Les propriétaires

Je m’appelle Elsa, j’ai 26 ans et je suis mariée depuis deux ans avec Mathieu. Nous recherchions depuis quelques mois déjà un appartement à louer, suffisamment grand pour pouvoir nous accueillir et entreprendre d’agrandir la famille. En effet, je me sentais prête à devenir maman. Après de nombreuses visites, nous tombâmes enfin sur la perle rare, un superbe appartement spacieux, lumineux, extrêmement bien placé. Le loyer un peu élevé restait tout de même dans notre budget. Nous travaillons tous les deux et je gagne plutôt bien ma vie.

Quelques jours après avoir déposé le dossier, nous recevions la bonne nouvelle, les propriétaires nous acceptaient comme locataires ! S’en suivi notre emménagement, Mathieu était super content. On décora notre nid douillet à notre goût et on commença après quelques semaines à penser de plus en plus à un futur bébé.

Mais tout ne se passa pas comme prévu. La société qui m’embauchait a été rachetée et je me suis retrouvé en concurrence pour mon poste avec une autre personne. Quelques jours après ce rachat, une restructuration a été annoncée et je me retrouvais dans la charrette de licenciement. Ce fut comme un coup de massue pour moi et surtout pour notre couple. Cela décalait notre projet de famille. J’étais abattue. La crise passait par là et les offres d’emploi n’étaient pas légion ou bien nous obligeaient à quitter la ville. Mathieu a un travail dans lequel il a une possibilité d’avancement et nous n’avions surtout pas envie de quitter cet appartement…

Pourtant après quelques semaines puis quelques mois de recherches infructueuses, nos finances commençaient à faire grise mine et les factures commençaient à s’accumuler. Nous avions du retard pour le paiement du loyer et je proposais à Mathieu de prendre rendez-vous avec nos propriétaires afin de leur expliquer notre situation. Nous pourrions leur demander un délai. J’allais sûrement retrouver un travail d’ici peu et j’espérais qu’ils soient compréhensifs.
Il n’en fût rien, nos propriétaires virent à l’appartement. Il s’agissait de Monsieur et Madame P. la soixantaine. Madame était très autoritaire et limite aimable, Monsieur était plus effacé. Madame nous fît bien comprendre que cet appartement était l’investissement de toute une vie et qu’ils comptaient sur ce loyer. Sans paiement du mois avant la fin de celui-ci, ils seraient dans l’obligation de nous faire expulser.

Mathieu et moi étions dévastés mais comprenions leurs arguments.
Le lendemain, je reçu un coup de fil de Madame. Elle me dit que son mari et elle avait réfléchi et qu’elle souhaitait me rencontrer pour en discuter. Je me rendis à leur adresse. Ils habitaient un bel appartement au dernier étage d’un immeuble ancien. Madame me fit entrer. Elle me proposa une tasse de thé ou de café et on s’installa au salon.

- J’ai bien réfléchi à notre problème. J’ai une solution partielle à vous proposer. J’ai perdu depuis peu ma femme de ménage et je recherche quelqu’un. Vous nous êtes sympathiques et je souhaitais vous proposer la place. Bien sûr, cela ne couvrira pas l’intégralité du loyer mais cela devrait vous permettre de souffler un peu financièrement.

La proposition n’était finalement pas si mal. Faute d’un bon boulot, faire du ménage chez ces gens pouvait effectivement me permettre de prendre le temps dans mes recherches. J’aurais 5 heures à faire par semaine, parfois un peu plus pour du repassage. Si cela m’allait, elle me règlerait en espèces afin d’éviter de payer des charges dessus. Ça arrangeait tout le monde. J’acceptais.

- Il est bien entendu qu’à 14 euros de l’heure, cela ne va pas vous permettre de faire des folies mais mon mari et moi avons réfléchi à d’autres compensations que je vous expliquerais plus tard.

Je l’écoutais à peine et faisais mes comptes dans ma tête, 5 heures à 14 €uros par semaine, cela me faisait 280 €uros par mois… sur les 800 € de loyer, ça n’était pas énorme mais c’était toujours ça. Je ne prêtais donc pas attention à ces compensations qu’elle imaginait.

Dès le lendemain, je me présentais à l’heure convenue pour mes premières heures de ménages. Madame m’accueillit en tailleur noir très strict et me fit visiter l’appartement. Elle me montra les produits d’entretien et me laissa commencer. Elle devait s’absenter pour un rendez-vous mais son mari était dans son bureau si j’avais un souci.
Je me mis au travail et m’occupais des vitres pour commencer. J’avançais bien et étais plutôt satisfaite de moi. Je frappais à la porte du bureau de Monsieur pour pouvoir m’occuper de ses vitres. Il me fit entrer. Je commençais et vis qu’il m’observait. Au bout de quelques minutes, il me demanda de faire une pause et de venir s’assoir devant lui. Je m’exécutais.

- Mademoiselle, me dit il, mon épouse et moi vous payons peu pour ces tâches ménagères mais vous pourriez gagner davantage très simplement. Bien entendu, vous êtes libre de refuser et continuerez votre travail comme prévu mais si vous acceptez, vous aurez des revenus beaucoup plus confortables.

Que pouvaient-ils bien me proposer, j’étais très curieuse de l’entendre.

- Vous êtes une très jolie femme et vous voir déambuler dans notre appartement est très agréable. Je vous propose pour que ce soit encore plus agréable pour moi et pour un taux horaire qui passerait à 20 € pour vous, de vous changer lorsque vous arriverez chez nous. Mon épouse et moi vous mettrons à disposition une tenue.

Je n’en croyais pas mes oreilles mais après tout j’avais besoin de cet argent et si ce vieux vicieux voulait se rincer l’œil pourquoi pas. Je ne suis pas pudique et me dévoiler un peu ne me gênait pas plus que ça.
J’acceptais donc cette première proposition.

Deux jours plus tard pour ma seconde matinée de ménage, Madame me salua et me fit entrer. Elle me remercia d’avoir accepté leur proposition. Elle m’indiqua la chambre dans laquelle je trouvais la tenue qu’ils souhaitaient que je mette.
Je découvris la parfaite tenue de soubrette, à l’ancienne, costume noir avec petit tablier blanc en dentelle. Je l’enfilais. Elle m’allait comme un gant. Le décolleté était profond et mettait en valeur ma belle poitrine tandis que la jupe était très courte. Une paire de bas auto-fixant gainait mes longues jambes et des ballerines complétaient la tenue.

Je sortis de la pièce dans cette tenue. Madame me regarda des pieds à la tête avec un air satisfait puis me laissa vaquer à mes tâches.
Quelques minutes plus tard j’entrais dans le bureau de Monsieur. Il eut un grand sourire en me découvrant et me laissa faire les poussières. Tandis que je nettoyais des bibelots situés sur la bibliothèque, il me demanda si je pouvais rebrancher la prise de la lampe située à côté de moi. Je lui tournais le dos et devais me pencher pour le faire. Je compris immédiatement en le faisant qu’il l’avait fait exprès et qu’il devait avoir une vue plongeante sur mes fesses. En effet en me baissant la jupe très courte était remontée de quelques centimètres, au mieux elle dévoilait le haut de mes cuisses, au pire il avait dû voir mes fesses !

J’étais un peu honteuse mais il ne fit aucune remarque ou allusion.
Je continuais mon ménage. Deux fois par semaine, c’était le même rituel. J’arrivais, enfilais ma tenue de soubrette sexy et faisais mes tâches ménagères sous l’œil parfois lubrique du couple.

Au bout de quelques séances, je trouvais un matin une nouvelle tenue. Je l’enfilais. Il s’agissait d’une mini robe en cuir noir, très moulante avec toujours un décolleté profond. Je trouvais cela de plus en plus osé, mais très à l’aise avec mon corps, je n’étais pas plus choqué que cela.

Monsieur me suivait désormais dans toutes les pièces pour me regarder remplir mes tâches. Je sentais son regard sur moi à chaque instant. Sa femme le rejoignait parfois, semblant très satisfaite de moi.

J’eus cette tenue pendant quelques jours puis ils passèrent un cran au dessus. Je trouvais un matin un simple tablier blanc. Je compris rapidement qu’il fallait que je l’enfile après avoir quitté mes affaires, ça allait dans le sens de l’évolution de la tenue ces dernières semaines.
Je me regardais dans le miroir avant de sortir. J’y vis une jolie femme, terriblement sexy. Le tablier cachait une partie de mes seins mais le volume de ceux-ci les faisait déborder sur les côtés. J’avais les fesses nues.

Je débarquais dans le salon. Monsieur et Madame étaient dans le canapé et me regardèrent entrer.
Ils n’avaient pas l’air surpris de me voir ainsi. Leur influence sur moi était évidente désormais. Je me mis au travail. Madame me demanda de venir nettoyer la table basse devant eux. Je le fis donc, me doutant qu’ils voulaient me voir tout à côté d’eux dans cette tenue. J’étais penchée, face à eux. Je sentais le regard de Monsieur sur mes seins à peine cachés. Je fis tout le tour de la table, dévoilant un coup mes seins, un coup mes fesses. J’étais très excitée.
Je sentis soudain, alors que je tournais le dos au couple, une main se glisser entre mes jambes. Je ne bougeais plus et je la sentis remonter vers mon entrejambe. Au contact avec ma toison humide, j’entendis un murmure d’approbation et de satisfaction de la part de Madame. J’étais trempée et j’attendais. Je sentis une main tirer sur le cordon du tablier ouvrant celui-ci.
Monsieur s’était redressé derrière moi.
Il posa ses mains sur mes hanches, les remonta ensuite vers mes seins. Il les saisit et les malaxa un moment, il me pinçait les tétons qui durcirent immédiatement. Il me fit me pencher en avant. Je pris appuis sur la table, les fesses bien relevées. Il se rassit alors et je sentis ses mains m'écarter les fesses. Sa langue vint alors fouiller mon intimité, il manoeuvrait avec une dextérité incroyable, titillant mes grandes lèvres, remontant ensuite vers mon petit trou. Je sentis le bout de sa langue pénétrer ce dernier. Madame s'était placée face à moi, elle observait la scène. Monsieur se releva de nouveau, m'obligeant à conserver la position. Son sexe chaud entra alors en contact avec mes poils pubiens. Doucement je sentis le gland se frayer un passage. Il était large et m'écartait doucement les chaires. A peine était il au fond de moi que j'eus un premier orgasme tellement j'étais excitée.

Il se mit alors à donner de puissants coups de reins, s'agrippant à mes hanches. Son sexe me semblait énorme, il me remplissait comme jamais je ne l'avais été. Il continua à me besogner de la sorte puis se crispa soudain et je sentis son sexe gonfler encore davantage. Il se déversa en moi par saccades.Je recevais une quantité impressionnante de sperme.

Il s'affala sur le canapé. J'avais honte. Je venais de me faire baiser par mon propriétaire. Madame m'aida à me redresser et me félicita avec un sourire. Elle me dit que la journée était finie et que je pouvais partir. Je retournais me changer.Juste avant mon départ, elle me tendit l'enveloppe avec mon argent. J'étais passé à 50€ de l'heure!!!

Les jours qui suivirent virent ma transformation physique. Madame trouvait disgracieux les poils que j'avais et entreprit de me raser intégralement. Ils m'initièrent à de nombreuses pratiques. Bien sûr je n'étais pas novice mais ils voulaient que je me perfectionne. Ainsi, Madame m'expliqua et me montra comment sucer Monsieur. Ce dernier avec un très beau sexe et je me régalais à le sucer. Il me fit des cunnilingus extraordinaire. Madame me pénétra avec des godes de plus en plus gros. Ils me firent faire le ménage avec un plug anal fiché au fond de mon petit cul. J'étais devenue en peu de temps leur esclave sexuel.

Je ne laissais rien transparaître à la maison même si Mathieu profitait de mes nouvelles dispositions régulièrement. Pour l'argent qui rentrait plus facilement, je prétextais que Madame m'avait présenté à des amies chez qui je faisais également le ménage, expliquant également mes absences répétées.

Un jour, où je me rendis pour ma séance de "ménage" habituelle, lorsque j'arrivais dans l'appartement. Madame et Monsieur recevait deux amis à eux. Ils étaient dans le salon. Madame m'ordonna d'aller me changer. J'enfilais rapidement ma petite tenue de soubrette et commençait à faire les poussières dans les chambres.La voix de Madame retenti alors, m'ordonnant de venir au salon. Je saluais les deux hommes qui discutaient avec Monsieur. Ils avaient décaler la table basse et Madame m'ordonna de venir me mettre à 4 pattes sur le tapis au milieu des canapés. Je les entendis alors faire de nombreux commentaires sur moi, comme si je n'étais pas là. Je compris que Madame et Monsieur me faisait passer un nouvel examen. Je mouillais déjà, excitée par cette situation à la fois humiliante et terriblement excitante.

Un des deux hommes releva complètement ma jupe et écarta mon string. Il me pénétra sans autres préliminaires tandis que le second à genoux devant moi me présenta son sexe. Les deux hommes avaient également une soixantaine d'année. J'imaginais l'image que je renvoyais entrain de me faire baiser par deux vieux.

Cette après-midi là, je fus le jouet sexuel de ces messieurs, j'eus le droit à tout ! Ils me prirent ensemble pour une double pénétration incroyable. j'avais les trois trous occupés par leur sexe, tandis que j'en suçais un les deux autres se déchaînaient dans mes entrailles. J'eus même le droit à une double pénétration vaginale. Je jouis plusieurs fois et dus sucer les trois hommes à tour de rôle pour qu'ils se vident au fond de ma gorge.

Ce jour là, j'eus droit à un bonus de 200 €. Je rentrais à la maison et m'écroulais comme une morte. Mathieu voulut me faire l'amour mais je refusais. J'avais mal aux mâchoires et aux fesses!!