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Ma nouvelle vie 8

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Lue : 4322 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2015

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Après une bonne nuit de repos, nous repartîmes chez le prince Al-Souad. La même délégation nous reçue et les discussions reprirent. Vers 13h00, le prince proposa que nous passions à table et que nous finalisions l’accord le ventre plein. Il s’installa au centre de la table entouré de ces hommes mais alors que j’attendais pour m’asseoir, il me fit signe, sans presque me regarder de venir m’installer à ses côtés. Je m’exécutais sans broncher.

Les plats se succédèrent et alors qu’il ne m’avait pas adressé la parole une seule fois depuis le début du repas, je sentis sa main se poser sur ma cuisse, là où mon porte-jarretelle tenait mes bas. Dans un geste discret mais précis, il remonta ma longue tunique pour découvrir mes jambes et mes cuisses. Il tourna alors la tête vers moi puis regarda mes jambes. Il releva la tête et me sourit. Sa main se retira et il reprit le cours du repas et de sa discussion.

A la fin du repas, il convia Messieurs D. dans son bureau. Nous attendions dans un petit patio attenant. Au bout d’une vingtaine de minutes, la lourde porte s’ouvrit, mes patrons apparurent tout sourire. Le DRH me fit signe de venir.

- Le prince aimerait vous voir Florence. Nous vous attendons ici.

Un peu inquiète, je l’avoue, je pénétrais à mon tour dans le vaste bureau. La porte se referma derrière moi. Le prince était assis dans son fauteuil. Il dit quelques mots en arabes aux deux gardes du corps qui se tenaient près de la porte. Ces derniers vinrent vers moi. Le premier tira sur mon voile, découvrant brutalement mes cheveux, le second dégrafa l’attache de ma tunique. Elle s’ouvrit largement découvrant mes épaules et le haut de mon buste.

Le prince s’énervait et avec des gestes, parla virulemment à ses sbires. Ceux-ci se dépêchèrent et en quelques mouvements, je me retrouvais en lingerie devant le prince. Je n’osais bouger et n’opposais aucune résistance. Il me regarda très fier de lui et me fit signe de tourner sur moi-même.

Dans un grand mouvement de bras, il dégagea sa dishdash, cette longue robe blanche qui le couvrait, son sexe en érection apparut. Il dit de nouveau des mots en arabe et ses hommes me prirent chacun par un bras et m’entraînèrent vers lui. Je compris rapidement que je devais me mettre à genoux et le sucer. Je le fis bien entendu, m’appliquant pour le satisfaire. J’étais sa chose, complètement soumise à ses désirs et cela m’excitait au plus haut point.

Il me caressait les cheveux en même temps que je le pompais. Il me fit ensuite signe de me relever et de prendre appuis sur le canapé. Je me retrouvais les fesses en l’air. Il vint derrière moi et me prit d’un coup sec. Ses mouvements étaient désordonnés, pas très agréable, il prenait son pied tout seul sans se soucier de moi. A ce rythme là, il ne dura pas longtemps et après à peine 5 minutes, il se vida en moi et éructant des mots en arabe. Il se retira, je sentais son sperme couler entre mes cuisses. Il dit quelques mots à ses hommes et quitta la pièce sans un regard ni un mot pour moi.

Je m’apprêtais à ramasser mes affaires lorsque les deux hommes s’avancèrent vers moi. L’un d’eux avait déjà sorti son sexe. Je compris rapidement que le prince m’avait laissé aux mains de ses hommes et qu’ils avaient l’autorisation de faire ce qu’il voulait de moi.

Ils jouèrent avec moi pendant près d’une heure. Une heure au cours de laquelle, je dus les sucer, l’un d’eux possédant un très gros sexe que je pris plaisir à sentir coulisser entre mes lèvres. Ils me prirent à tour de rôle en levrette. Je me retrouvais à un moment à cheval sur l’un tandis que l’autre me présentait sa queue à sucer. Finalement les deux voulurent me sodomiser et c’est au fond de mon petit trou qu’ils se vidèrent.

J’eus beaucoup de mal à retrouver mes esprits tant cette partie de jambes en l’air m’avait procuré du plaisir. Mon corps était marqué par le passage de ces deux hommes. J’avais les fesses douloureuses et mal aux mâchoires mais le plaisir reçu me fit rapidement oublier toute cela.

Je rejoignis mes patrons puis nous regagnâmes l’hôtel. Je m’effondrai sur mon lit et dormis jusqu’au lendemain.

La signature du contrat n’interviendra que le mois prochain lors de la visite de l’usine par le prince… mais tout cela était en bonne voie !
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Histoire de LN78

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