Les retrouvailles 2

Les hommes un peu sonnés, descendent l'escalier et reprennent place sur la terrasse. Pour se remonter le moral, ils se versent encore à boire. Les femmes réapparaissent enfin, elles ont rajustées leurs vêtements, c'est les cheveux ébouriffés qu'elles prennent place autour de la table que les deux maris cocus ont dressés.


Les deux coquines ne cessent de se sourire, elles sont en face l'une de l'autre, se prennent les mains et s'écrasent presque les doigts tellement c'est intense entre eux. Rick et Paul se regardent, ils haussent les épaules dodelinent de la tête et reprennent un verre. Le repas se passe sans un mot, c'est Marc le premier qui entame la conversation.


- Je suppose que vous ne regrettez pas de nous cocufier ?

C'est Isabelle qui lui répond en riant :

-Pourquoi nous le devons, figurez-vous que nous allons même rattraper le temps perdu !

Elle se lève, fait le tour de la table et embrasse fougueusement Valériane, qui lui rend le baiser en grognant de plaisir.

Ryan réagit en grommelant :

- Vous êtes de belles salopes, mais si c'est votre truc je me résous avec regret !

En ironisant Valériane dit :

- Mais si vous êtes gentils, vous pourrez vous joindre à nous !

Isabelle éclate de rire et ajoute :

-Nous pouvons vous faire une démonstration pour vous chauffer mes cochons !

Elle joint le geste à la parole, elle retire le top de Valériane et lui presse délicatement les seins. Ryan secoue la tête, il désapprouve le sans gêne des deux femmes, mais fixe quand même les lobes mammaires de L'amie de sa femme. Marc, lui est souriant, s'installe confortablement dans un fauteuil de jardin et attend la suite des événements.


Rapidement les femmes sont nues, elles s'entendent dans la pelouse qui longe la terrasse et commence un spectacle, qui ne laisse pas de glace les deux voyeurs. Valériane s'allonge sur Isabelle, les poitrines se frottent un bon moment, par enchantement, les bouts se dressent au centre des aréoles brunes. Les bassins ondulent, les chattes se frottent l'une contre l'autre. Les deux actrices commencent à mouiller.


Les voyeurs se raclent la gorge, ils ravalent leur salive bruyamment. Marc ne cesse de regarder le cul d'Isabelle qui s'agite sur son amie. La tension monte dans son corps, il soupire fortement, lorsque la bouche d'Isabelle s'empare d'un mamelon de sa femme. La vorace s'acharne sur le bout qui ne cesse de prendre du volume. Les Râles rauques, que pousse valériane déstabilisent Ryan. Il s'approche du couple en action s'agenouille et caresse les fesses de sa femme. Ses doigts s'insèrent dans le sillon des demi-sphères charnues et glissent sur la rondelle ridée. Un doigt appuie sur l'anneau brun. Isabelle se cabre, la première phalange et entrée dans sa gaine étroite.

Ryan pousse plus fort, le visiteur s'enfonce entièrement dans le conduit anal de sa femme, qui pousse un grognement de bête. Il tente d'en enfoncer un second, mais Isabelle proteste :


-Non mon chéri, c'est pas encore le moment !


Résigné le mâle éconduit, retire son doigt de l'orifice interdit. Les femmes chauffées changent de position. Elles se mettent tête bêche et se dévore la chatte mutuellement. Les gémissements qu'elles produisent, excitent encore plus les maris. Les pantalons se baissent, les slips suivent. Les queues balancent sur les bas-ventres velus, elles sont dressées comme deux mats que des mains agiles caressent. Les langues des deux dévoreuses, s'enfoncent dans les gaines trempées, en fouillent chaque recoin puis, s'attaquent au bouton d'amour.


Les gémissements se font plus intenses, les bouches s'activent sans relâche chattes en feux. Le but recherché est atteint, les deux amantes explosent en même temps, les corps brulants sont secoués des spasmes violents. Les bassins s'agites férocement sous les nombreux orgasmes incontrôlables. Les deux amantes sont en sueur, elles halètent férocement. Les maris sont au bord de la syncope, ils n'en peuvent plus, les queues sont tendues au maximum. Ils décident d'intervenir. Ils séparent sans grandes difficultés les deux amantes essoufflées. Ryan s'empare de Valériane la femme de Marc et commence à lui dévorer les seins.


Marc lui, se place entre les jambes d'Isabelle, écarte avec ses doigts les grandes lèvres vaginales et sort de son écrin le clitoris, qui n'a pas encore dégonflé. Il gobe la perle avec voracité, la suce comme un bonbon, il tète la boule de chair si efficacement, qu'Isabelle se cabre en grognant. La bouche de son amant la rend folle, elle agite sa croupe comme une dératée, elle se cambre comme l'arche d'un pont et hurle de jouissance.



Marc mordille les bouts larges et épais de sa proie, les souffles bruyants qu'elle pousse prouvent qu'elle y prend un certain plaisir. La bouche descend sur le ventre plat, la langue agile de Marc fouille un petit moment le nombril, avant de s'enfoncer dans l'entre en fusion. Valériane, ne retient pas ses cris, elle s'agite en grognant comme une bête. Son clito est gonflé comme jamais, la bouche avide s'en empare et la suce jusqu'à ce que Valériane jouisse. Les bouches se régales du nectar qu'envoient les deux jouisseuses.