ACCUEIL > Lesbiennes > Récit : Click and collect

Click and collect

+9

Lue : 807 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/06/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Depuis le premier confinement, tout avait été très compliqué pour les restaurants. Soupçonnés de mettre trop de gens en présence, et donc de favoriser la contagion, ils avaient du fermer. Leur survie, au moins partielle, ils la devaient à ce que l’on appelait, d’un terme bien français, le click and collect. Ca avait des formes multiples, mais l’idée de base, c’était de commander et de venir chercher ce que l’on avait commandé.
Certains commerces avaient fait le choix de fermer, mettant leur personnel au chômage partiel. Mais au cinquième confinement, certains rouvraient et se lançaient dans le click and collect, avec l’espoir, puisque tout évoluait très rapidement, de rouvrir très vite.
C’était le cas de la Trattoria d’Italia.
Quand je l’ai su, j’ai appeler pour réserver un repas pour le midi.
Ce n’est pas elle qui m’a répondu.
Je ne savais pas si je devais m’inquiéter ou pas. En même temps, ce n’était pas anormal que le patron soit au téléphone. Car je reconnaissais sa voix.
Il y avait de grandes chances, pourtant, les choses étant ce qu’elles étaient, qu’il ait mis son personnel à la porte, ou que ceux-ci, n’ayant aucune visibilité sur l’avenir, aient choisi de changer de métier. Ca faisait trois ans maintenant qu’on vivait les affres du confinement et du déconfinement parce que des variants étaient apparus, et le bout du tunnel, qui avait semblé dans un premier temps très proche, semblait aujourd’hui très lointain.
J’ai failli lui demander:
—Lara travaille toujours pour vous?
mais je n’ai pas été au bout de ma démarche. Je ne voulais pas qu’il comprenne que j’en pinçais, et sérieusement, pour elle. Et puis sans doute aussi parce que j’avais peur de me faire du mal. Qu’il me dise…’Ah, Lara, non elle n’est plus là depuis pas mal de temps déjà…’
De toute façon, la réponse, je l’aurais très vite. Il était dix heures du matin, et sur le coup de midi, je devais passer à la Trattoria d’Italia. J’avais commandé des lasagnes végétariennes et un tiramisu. Je savais que je me régalerais. Mais je rêvais d’un autre régal pour les yeux. Revoir Lara.
Avant, avant que le ciel ne nous tombe sur la tête, j’allais très souvent manger là. Je travaillais dans le centre-ville, à la préfecture, et j’aimais flâner dans cette zone du centre ville.
C’était plutôt le week-end quand j’avais VRAIMENT le temps que je revenais pour tester de petits restaurants que j’avais repérés en me baladant à la pause. Et donc j’avais apprécié la cuisine de la Trattoria d’Italia, et j’y passais, mes jours de liberté.
Et puis il y avait Lara. Elle n’était pas là au tout début. Elle avait fait son apparition un samedi à midi pour me servir.
J’avais 28 ans, et une certaine expérience amoureuse, mais jamais encore je n’avais expérimenté ce que pouvait être un coup de foudre. Quelque chose d’aussi immédiat. Son image était rentrée en moi pour ne plus jamais en ressortir. Je la redécouvrais à chaque fois, et pourtant il y avait des points saillants qui demeuraient, même si je la réévaluais chaque fois que je la voyais, et que je remarquais des choses nouvelles, qui ne m’étaient pas apparues précédemment. Elle était très grande, avec un corps bien développé, des rondeurs partout, qu’elle n’aurait pas pu cacher même si elle l’avait voulu, ou alors avec des vêtements très amples, mais sans aucune trace de surpoids. Des cheveux bruns, très longs, soyeux et luisants, c’étaient bien les deux points saillants que j’avais pris en pleine face ce jour-là.
Elle avait une collection de jupes impressionnantes. Elles se ressemblaient, même si ce n’était pas forcément le même modèle, décliné à l’infini. Des jupes courtes, moulantes, qui collaient à ses fesses et à ses hanches, et qui dégageaient bien ses jambes.
Je les trouvais vraiment magnifiques, ces jambes-là. Elles me faisaient penser à une anecdote que j’avais lue concernant le film PRETTY WOMAN. Julia Roberts avait de jolies jambes, mais sans doute pas si satisfaisantes que ça, car une fille nommée Shelley Michelle avait été sa doublure jambes pour le film. Et elle avait effectivement des jambes magnifiques.
On est parfois implacablement séduit par une partie de l’anatomie d’une personne. On se dit, elle a des jambes parfaites, ou des fesses parfaites…Elle était d’ailleurs bien consciente de leur impact, pour les mettre ainsi en valeur. Elle les gainait souvent, de plus, de nylon, ce qui réhaussait leur charme. Et elle avait très souvent des talons qui les galbaient.
Mais sans doute aussi que je mettais au même niveau sa crinière épaisse, dans laquelle j’avais eu irrésistiblement, envie, depuis la première seconde, une envie qui ne m’avait pas quitté depuis, de plonger les mains.
Sans compter cette élégance souple et racée, cette bouche pulpeuse, soulignée toujours d’un trait de rouge à lèvres…
La toute première fois où je l’avais vue, où elle m’avait servie, j’avais été pour ainsi dire dans un état second. C’était seulement quand j’étais rentrée chez moi que je m’étais rendue compte que j’avais le ventre en feu, et que j’avais trempé ma culotte. Pour soulager ma tension, et ma frustration, je m’étais caressée, avec son image sur ma rétine, jouissant du plaisir que j’aurais pu avoir avec elle, mais avec un immense sentiment de frustration. J’aurais voulu l’avoir là, à portée de main, la prendre avec mes doigts et ma langue, venir sur sa bouche, sur ses seins, son sexe, la caresser, la fouiller, la faire jouir, et jouir, moi, du plaisir que je pourrais lui donner. Il n’y a rien de pire qu’un désir qui n’est pas satisfait.
Mais on ne peut pas aussi facilement satisfaire son désir. Alors, pour le moment, je me contentais de revenir manger régulièrement à la Trattoria d’Italia, et de la dévorer du regard, en rêvant qu’elle puisse être mienne. J’essayais de ne pas me trahir, partagée entre désir et frustration. Car, à la regarder, je ne la voyais pas comme une personne susceptible d’être intéressée par une liaison avec une fille. Je l’imaginais totalement hétérosexuelle. Moi, j’avais erré sur les chemins d’une bisexualité, sans que cela me contrarie d’ailleurs outre mesure.
Elle hantait mes fantasmes, mes pensées, mes désirs, et je me caressais jusqu’à l’épuisement en pensant à elle.
Le premier confinement était arrivé, et il avait marqué la fin des contacts entre nous. Le restaurant fermé, pas de click and collect, et elle n’avait plus été qu’un souvenir. Mais un souvenir tenace. Je continuais de penser à elle, et de la désirer. Le temps n’avait rien épuisé de tout cela. Je devais être accroc à elle, plus que je ne l’imaginais. Elle restait en moi, douloureuse et triste.
On avait alterné les retours à la vie, et les confinements, mais le restaurant n’avait pas rouvert. J’avais d’ailleurs téléphoné, sans avoir qui que ce soit au bout du fil. Je pensais que c’était mort.
J’allais roder dans les rues, passant devant la façade fermée. Jusqu’à ce panneau annonçant du click and collect. Le jour où le virus serait vaincu, il y aurait un retour à la normale, mais les variants avaient fait, implacablement, leur travail. Il avait fallu reconfiner à chaque fois.
J’ai avancé dans l’entrelacis de petites rues du coeur de la ville. Je retrouvais des parcours passés, des tonnes de souvenirs. J’imaginais mille scénarii, sans savoir lequel se mettrait en place au final.
Mon désir, intense, de la retrouver, était bien plus fort que mon appréhension.
Je suis arrivée sur le coup de midi, avec l’espoir au coeur. Se pouvait-il que…? L’idée que ce ne soit pas le cas, en même temps, me déchirait. Mais il est un moment où, malheureusement, il faut regarder la vérité en face.
On avait, de toute façon, gâché un an et demi. Et ça, même s’il y avait une issue positive, c’était irrattrapable.
La grande porte métallique qui permettait l’accès au restaurant était ouverte. Avant, il y avait une grande cour, encadrée par une terrasse couverte. C’était là qu’on mangeait.
Les tables étaient toujours à leur place. Mais évidemment personne n’y était installé. Par contre, là où on accédait habituellement, des tréteaux avaient été disposés qui barraient le passage, avec une caisse enregistreuse, un terminal de CB. Le patron était là, masqué. Je l’ai reconnu. Lui aussi, sans doute, puisqu’il m’a dit, alors que je m’avançais vers lui:
—Je suis heureux de vous revoir.
J’ai failli lui répondre:
—Moi je me fous de vous revoir, ce que je voudrais c’est la revoir elle. Mais je n’ai évidemment rien dit. Il est parti un instant me chercher mon paquet, est revenu avec un sac papier.
—Attention, c'est encore chaud, il faudra le prendre par le haut.
C’est au moment où j’insérais ma CB dans le terminal que j’ai senti quelque chose sur la gauche. Une question d’instinct. J’ai relevé la tête, et je l’ai aperçue. Je n’en croyais pas mes yeux. Il a fallu que je fasse un effort sur moi-même pour revenir sur le terminal et taper mon code.
J’ai relevé la tête vers la gauche. Elle n’était pas masquée. Elle m’a fait quelques signes, que j’ai compris. Je ne voulais surtout pas attirer l’attention du patron. Je l’ai remercié, j’ai pris mon sac, et je suis repartie.
Le bâtiment avait plusieurs points d’accès, dont deux portes, à gauche et à droite, juste avant le portail.
J’ai jeté un bref coup d’oeil derrière moi. Le patron s’était de nouveau éclipsé. Et la porte venait de s’ouvrir. Un timing parfait. J’ai plongé sur la droite.
Elle était là, devant moi. Fidèle à elle-même. Grande, belle, sculpturale. Avec un beau sourire sur le visage. Et une jupe courte qui mettait en valeur ses jambes.
J’ai compris en quelques secondes ce que je n’avais pas su voir jusqu’alors. Que l’attraction était mutuelle. Ses yeux, son sourire, son corps le disaient.
—Je ne pensais pas te revoir, elle m’a dit.
—Moi non plus.
On a plongé l’une sur l’autre. Quelque chose de d’abord maladroit, puis qui est devenu plus précis dans les minutes qui ont suivi. J’ai plaqué mon corps contre le sien, en même temps que je suis venue prendre sa bouche. Elle a répondu à mon étreinte comme à mon baiser. Sa chaleur m’a rempli, tout comme le dessin de son corps, son épaisseur se sont imprégnés en moi. Nos lèvres se sont d’abord jointes, puis nos langues accrochées. Plus audacieuse ou plus rapide que moi, elle a glissé ses mains sous ma robe, venant attraper mes fesses nues dessous. Je portais un string qui les laissait libres, même si je n’avais pas opté pour ce vêtement en anticipant que potentiellement, elle viendrait mettre ses mains dessus. Elle les a pétries, la chaleur de ses mains remontant dans mon corps. J’ai senti que mon sexe, clos jusqu’alors, s’ouvrait à vitesse grand V, et qu’il se mettait à suinter contre le tissu du string.
On a continué de s’embrasser, et, comme j’avais aussi envie de partir à la découverte de son corps, j’ai enfin accompli ce geste de glisser mes mains sous ses éternelles jupes. Avec la surprise de découvrir qu’elle ne s’était pas encombrée d’un sous-vêtement.
—Avant de te connaitre je mettais toujours une culotte, et puis quand je t’ai vue et que j’ai commencé à fantasmer sur toi, je n'en mettais plus au boulot. Je rêvais que je m’approcherais de toi, que tu soulèverais ma jupe, que tu verrais que je ne portais rien, et que tu commencerais à me caresser avec tes doigts ou ta langue. Tu n’en as rien su, mais tu vois, j’étais là, cul nu, en attendant que tu bouges.
—Il n’est jamais trop tard pour bien faire, j’ai répondu, en la poussant vers sur table sur laquelle elle a basculé, sa jupe se retroussant, pour me donner à voir son intimité. Premier regard, qui, je l’espérais, serait suivi par d’autres. Sous mes yeux, son sexe se dilatait, s’ouvrant sur un intérieur tout rosé et ses lèvres s’étendaient, longues et fines. Elle avait gardé une toison, réduite par le rasoir, mais très fournie dans laquelle j’ai passé les doigts, sensation agréable, en même temps que ma langue venait sur ses lèvres, que j’avais le premier goût de ses sécrétions intimes qui, son sexe d’abord sec, s’étaient mises à ruisseler avec intensité sur ses chairs intimes. Pendant les confinements, comme pour tout le monde, mes relations intimes s’étaient réduites, mais je me rendais compte que je n’avais pas perdu la main,et la langue pour faire des cunnis. Elle se mordait les doigts pour ne pas gémir. Son clitoris s’était décalotté de lui-même, et pointait, long et fin.
—On a perdu trop de temps, elle m’a dit.
—On peut toujours le rattraper. A quelle heure tu finis ton service?
—15 heures.
—Je vais te donner mon adresse. Tu passeras…On aura la fin d’après-midi, la soirée…On pourra en profiter, tu ne crois pas?
—Oh, je crois que je vais jouir. Il ne faut pas que je…
Elle s’est mordue pour qu’aucun cri ne sorte de sa bouche. Elle m’a éclaboussé le visage d’un flot de sécrétions.
—Attends, j’ai une idée…Tu vas voir…
Elle s’est dégagée, laissant retomber sa jupe sur son intimité, et elle a disparu quelques instants. Elle est revenue avec un objet dont je n’ai d’abord vu que les contours dans l’obscurité, long et légèrement courbé, avec une sorte de téton aux deux extrémités. C’est quand elle est rentrée dans la lumière que j’ai vu le concombre, d’un vert éclatant. C’était la pleine saison et il avait bien poussé. Mais j’avais l’intuition qu’elle ne le ramenait pas pour me proposer d’en faire une salade pour le moment où je la rejoindrais.
—Tu vas voir, tu ne seras pas déçue…
Elle a repris sa place, soulevant à nouveau sa jupe. Son sexe avait gagné un degré supplémentaire dans sa dilatation, peut-être parce que la perspective de ce qui s’annonçait l’excitait. En tout cas, être aussi béante facilitait l’intromission du concombre qu’elle a fait glisser en elle. Fascinée, j’ai vu un tiers du légume glisser en elle. Je me suis demandée si c’était la première fois qu’elle jouait ainsi avec des légumes. Il y avait dans ses mouvements une sorte d’expertise qui pouvait laisser penser qu’elle était coutumière du fait. C’était à la fois obscène et fascinant que de la voir ainsi pousser le concombre épais, et qui, semblait-il, même si un vagin est élastique, le distendait. Elle en rentrait un bon morceau, et, quand elle le ressortait, un liquide, plus épais et plus crémeux que les premiers jus qui étaient sortis d’elle quand elle poussait le concombre en elle était expulsé autour du légume.
De sa main libre, elle est revenue sous ma robe, et elle a écarté mon string pour venir caresser mon sexe. J’étais mouillée et ouverte, mais sa caresse a accentué le phénomène. Elle est venue se balader sur mes lèvres d’un geste à la fois délicat et appuyé qui m’a procuré du plaisir. Un plaisir d’autant plus grand sans doute que j’en avais rêvé tout ce temps. Elle a glissé jusqu’à mon clitoris, sans doute moins long que le sien, et elle l’a caressé doucement.
—Viens sur moi, tu vas voir…Je vais te prendre comme un homme prend une femme.
Parce que je l’observais attentivement, j’ai remarqué qu’elle faisait glisser le concombre en elle de quelques millimètres supplémentaires, mais aussi qu’elle resserrait la prise autour de lui en se contractant.
Me prenant par la main, elle m’a faite monter sur la table et me placer au dessus d’elle, dans un schéma qui, maintenant, s’écrivait clairement. Ce concombre n’était plus un simple légume, mais une sorte de queue qui lui était poussée, et avec laquelle elle allait me prendre. Cette simple idée suffisait à me faire tourner la tête. Pour moi à ce moment, ce n’était plus un légume, mais un appendice, quasiment une vraie bite, sur laquelle je me suis laissée glisser. Je l’ai sentie rentrer en moi, et, ce que je ne n’aurais pas cru possible, j’ai éprouvé un plaisir intense. Ce n’était pas, pour sûr, une vraie bite, chaude et capable de cracher du sperme, mais c’était la bite de Lara, et elle me remplissait bien. Je me suis laissée glisser dessus. Je voulais être totalement remplie. Le concombre a glissé entre mes parois vaginales, jusqu’à ce que sa tête vienne taper contre mon utérus. C’était bon. Elle pourrait me pénétrer comme elle le voudrait, ce serait toujours délicieux, parce que c’était elle, et parce que cela faisait quasiment deux ans que j’attendais ça.
Elle est venue poser mes mains sur ses fesses, les a caressées, avant de poser son index en haut de ma raie, et de descendre doucement jusqu’à ma muqueuse anale qu’elle a caressée doucement, sans pour autant glisser dedans. Ca a duré un moment, puis elle a empoigné mes fesses à pleines mains, et elle s’est mise à me faire monter et descendre sur le concombre. Il se retirait, puis rentrait de nouveau en moi, caressant mon intérieur, le vide me faisant désirer être de nouveau remplie, immédiatement, sans attendre et le plaisir montait en moi, me guidant vers l’orgasme. Je pensais que celui-ci allait venir plus tard, mais il s’est présenté plus tôt que prévu, un point de fusion qui s’est élargi très rapidement dans mon corps. L’onde s’est épanouie dans mon corps et je me suis retenue pour ne pas crier, tellement c’était bon.
Je me suis dégagée. Le concombre ruisselait de mes liqueurs intimes. Elle l’a sorti de son vagin, ça a fait un appel d’air, une sorte de pet vaginal. Il était AUSSI souillé, de ses sécrétions. On s’est regardées, on a retourné le concombre, et est on venues chacune lécher les sécrétions et le goût de l’autre sur la partie qui avait été plantée dans son intimité.
On s’est finalement détachées l’une de l’autre, A se regarder. Partagées ente le regret de ne pas avoir profité plus tôt l’une de l’autre, et la promesse que les jours à venir permettraient justement de rattraper ces moments perdus.
On s’est rajustées. Elle a regardé le concombre qui était posé sur la table.
—S’il pouvait parler…Je dois refaire des hors d’oeuvre, je vais le couper en tranches. Ceux qui le consommeront lui trouveront un goût bizarre sans réellement savoir d’où ça vient…Il aura connu un beau destin…
On s’est séparées sur la promesse qu’elle me rejoindrait une fois son travail fini.
Décidément la journée était belle.
9 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Click and collect


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :