Les Spectacles du voisin

Depuis qu’il a emménagé dans l’appart d’à coté, le voisin ne fait que m’offrir des spectacles inédits de baise presque tous les week-ends. Il se tape de jeunes demoiselles qui venaient lui rendre visite, certainement exprès pour se faire prendre un peu. J’entendais leurs ébats sexuels jusque dans ma chambre, ce qui provoque chez moi des excitations incontrôlables, suffisant pour me transformer en une sorte de pute en chaleur prête à n’importe quel jeu pervers.

Je me rappelle une nuit où il en a baisé une avec une telle rage la fille hurlait à faire réveiller tout le voisinage ,qu’est ce qui peut bien attirer toutes ces filles qui lui couraient après si ce n’est son physique athlétique avec de jambes fortes et une large poitrine, sa peau claire et lisse, son sourire d’ange et certainement sa grosse queue.

Une fois je l’ai aperçu et observé de ma chambre. Il était presque nu, le membre enroulé dans un slip de couleur blanche, les muscles en pleine balade sur son corps. Sa présence permanente dans mon entourage directe et son charisme de pro du sexe commença par me faire fantasmer des rêves érotiques aux scènes de baises construites de ma propre imagination. Assez de preuves qui commençaient à me persuader de mon envie de me laisser prendre par ce mec tellement je le désirais ; je pouvais fondre devant ce mec, juste à l’entendre parler ; j’avais besoin qu’il me baise.

Je commençai alors à planifier ma rencontre avec cet homme histoire de déclencher une aventure. Très facile pour ce fait, je l’ai eu à son hebdomadaire jogging du samedi matin ? j’y étais aussi pour la circonstance. Il a avoué ne jamais remarqué une voisine aussi sexy que moi et qu’il fallait que je lui rende visite une de ces quatre soirs ; il m’invita donc à venir quand je le voudrais.

Un soir, alors que j’avais une folle envie de baiser, je décidai d’aller le provoquer dans sa chambre. Je commençai à mettre un truc quand j’entendis une sorte de voix de femme en pleine baise, venant du derrière de ma chambre à l’extérieur. J’ouvris discrètement la fenêtre pour observé l’événement et que vis-je : mon cher voisin bien habillé, debout dans ce coin de la cour. Il était collé au cul d’une femme, la jupe retenue relevée et la fente en pleine besogne par monsieur le voisin.

J’observai la scène, un doigt dans ma chatte pour caresser, jusqu’au moment où elle s’accroupit et pour recevoir les giclées de sperme au visage. Ah le salaud , baiser comme ça à l’air libre, dans un coin obscur de la cour sans craindre d’être surpris en pleine action ; s’il pouvait savoir qu’il avait fait jouir deux filles en même temps sans le savoir (cette femme et moi.) lorsqu’il éjacula.

Une autre fois, décidée à lui faire une visite surprise, je le surpris tout nu dans son salon en train de besogner une autre allongée sur le sofa, les pieds au repos sur ses fortes épaules. Il ne se rendit pas compte de ma présence. Je me retournai après avoir suivi la scène jusqu’à sa fin. Apparemment c’est un doyen de la baise derrière lequel courent toutes les filles. Elles voulaient toutes se le faire. J’en voulais aussi mais comment pourrais-je m’y prendre lorsque toutes les fois il y a toujours une qui se le fait quand j’arrive.

Un samedi soir j’ai prié que ça soit mon tour. Alors, sans slip, vêtue d’une mini et d’une petite chemise soutien gorge laissant à découvert mon joli ventre (j’en ai eu des compliments à maintes reprises) je fis un tour chez lui. Pour la première fois il était seul. Il m’accueillît avec joie. On se lança après dans une discussion de tout et de rien pendant lequel on s’était entretenu sur la politique, le sport et surtout le sexe ; oh oui c’est cette fameuse histoire de fantasme vécu qu’il me racontait dans ses moindres détails qui a fait resurgir toute cette envie que je ressentais pour cet homme depuis un moment. Très vite je senti ma chatte se mouiller. J’essayai de le cacher ; puisque j’étais pratiquement nue. Je n’avais pas mis un slip sous la mini jupe. Il le remarqua très vite. Je tremblais de désir à l’idée de voir réaliser cette histoire sur moi, le sentir en train de me buter le vagin.

Ma patience a été longue cette nuit avant qu’il ne décide de me proposai un verre d’alcool que j'acceptai avec joie. Nous nous sommes fixés un moment après le trinque et ……je sentis l’heure de la délivrance approcher. Il continua à me fixer sans baisser les yeux, s’approcha et dirigea ses lèvres vers ma bouche :une invitation. Je les saisi aussitôt et c'était parti pour une séance d’excitation que je n’ai jamais connue….

Il m’embrassa gloutonnement, descendant lécher mon ventre pendant que j’enlevais ma petite chemise. Il revint malaxer mes nibards déjà dehors, les pointes étant déjà en pleine érection ; ni-bards qu’il complimenta même de joli et de charnu. Il les serra entre ses lèvres, mordilla un peu les pointes pour en aspirer un peu de jus. Ahhhh que c’est bon de se faire exciter comme ça ! J’envoyai mes mains fouiller dans son pantalon pour en sortir le joli machin. Waouh, c’est un membre bien monté, bien raide, debout et prêt pour toute la soirée qui nous attend. Je n’en avais pas encore vu de cette taille. Elle était si dure et vibrait déjà dans mes mains qui les caressaient encore, encore et encore. Il s’accroupit, releva ma mini appliqua des coups de langues sur mon clito, ce qui m’arracha un orgasme brusque et violent mais il parvint à me contrôler et continua avec sa langue , me la fourrant dans la raie et ensuite dans la chatte. Je gémissais, de plus en plus.

D’un coup j’ai eu envie de prendre cette queue dans la bouche. Aussitôt je m’accroupi, la pris en bouche pour une fellation bien méritée pendant qu’il me travaillait les seins. Ceci ne dura pas trop longtemps car bientôt il me chuchote « viens que je te baise, t’en a envie hein ? » « ouiishhhhh » lui répondis-je. Alors il me saisit par la hanche, me souleva d’un coup avec ses bras forts, et alla me déposer sur son lit. Ensuite il posa sa bite dans ma fente, la poussa doucement et je la senti me pénétrer petit à petit jusqu’à ce qu’elle ne tape le fond de l’utérus. Je hurlai aussitôt de plaisir à cet instant même . Je ne m’étais jamais senti aussi possédée de cette façon ; une bite m’ouvrant en deux pour me procurer autant de plaisir. Aahhhh, maintenant il fallait plus retenir son plaisir ; j’allais d’orgasme en orgasme sous les pilonnements sévères de cette queue. J’ai hurlé tout le temps que les va-et-vient ont duré. Aaahhhh c’était ça ce que ressentait toutes ces femmes que j’entendais râler depuis ma chambre. Aujourd’hui c’est mon tour de goutter le gâteau et j’avoue que c’est vraiment bon. Il me posa une question pendant qu’on baisait « avoue que t’a toujours rêvé goutter à ça hein ? ». perdu dans ce lit sous l’effet de ce je ressentais dans tout mon corps , que pouvais-je lui répondre si ce n’est pas la vérité « ooouuuuiiiiiiiii, ooouuuuii , je voulais te sen….tir me buter le ventre…., ahh oouuuiiiiii, maintenant je le sens…. Oui…ça grossit…ah ..aaahhhhh, vas y, .. T’arrêtes pas, Vas y ». Je sentais la bite grossir de plus en plus en moi . je ne retint pas pendant longtemps, et suis allé avant lui, un orgasme agité, arrosé ensuite d’un liquide épais et lourd déversé en grande quantité que j’ai senti gicler dans mon ventre « ah ouii, gicle »lui dis-je « encore,gicle, ooouuuiiii, j’adore ton sperme ».

Après je sentis son membre se ramollir dans mon vagin. Pas question de terminer la séance sans me le faire dans le cul. Alors je le repris en bouche pour lui donner la forme normale. Il ne tarda pas à rebander. Alors je lui confesse « vas-y baise moi encore, j’en ai envie, encore, encore ». J’ouvris grand mes cuisses pour le laisser reprendre place. Il me repointa cette superbe bite dans la chatte et recommença un pilonnement plus fervent que le précèdent avec des coups de reins beaucoup plus violents et réguliers. Encore une fois je repartis dans mes hurlements de femme en pleine chaleur. Oui j’en voulais du cul pour me décharger de toute cette envie, de tout ce désir qui me brûlait le ventre depuis un moment. Une soudaine envie de me sentir au dessus, me le fit basculer et hop j’y étais. Je commençai une pompe frénétique de ce membre encore debout comme un homme dans chatte toujours mouillée par l’éjaculation précédente.

Il attrapa ma croupe afin de me l’envoyer au plu profond par ses coups qui venaient rencontrer ceux que je donnais déjà à travers mes montés et descentes. Ahhh remplie, j’étais remplie de ce membre maintenant beaucoup plus en profondeur de mon vagin. Et comme une salope, une. Alors une pute vulgaire, je commençai une petite manœuvre : aux descentes, je roulais cette bite dans tous les coins de ma chatte et l’enfonçait d’avantage comme pour le sentir me défoncer tout le ventre mais cette manœuvre et m’encourageais à continuer. Ahhh ooouuuuiiiiiiiii la baise à son comble !!! J’en voulais, encore et encore de cette bite. Alors j’accélérais mes montées et descentes jusqu’à ce qu’il décide de me prendre par l’anus. Que pouvais-je souhaiter de plus ?Ahh là encore, j’en pouvais plus. Je criais mon plaisir pendant qui me pilonnait avec rigueur, revenant de temps en temps me malaxer les seins. Je sentis son gland grossir de plus en plus, sentant venir le sperme à éjaculer. Mais j’ai pas le temps de m’y préparer, il jouit de nouveau, mais cette fois je recueille son jus dans mon trou de cul au plus profond. Me sentant maintenant bien baisée, je me laissais écrouler dan s ses bras ouverts me réclamant. On a dormi toute la nuit dans cette position, la queue dans la motte.

Le lendemain matin on avait remis ça avant que je ne parte toute heureuse dans ma chambre. J’ai eu ce que je voulais.