Les voisins 3

Paul s'avance, il ne s'attendait pas à ce que sa femme se donne dès le lendemain à une inconnue. Il la regarde, pose sa main sur sa cuisse et la caresse longuement ses yeux brillent le coquin, avec ce qu'il a vu est excité, sa queue déforme son pantalon. Valériane se blottit contre lui et comme pour se faire pardonner, lui donne quelques petits baisers sur la joue.



Léa s'assied à l'autre côté de son amante, saisit la main de Paul et la plaque contre la chatte trempée encore dilatée de sa femme. Elle< murmure doucement :


-fouille-la bien, elle est chaude comme de la braise !




Léa bascule Val sur le canapé et replace la main de Paul sur la chatte. Un peu crispé, Paul fait glisser ses doigts sur la fente entrouverte, trois doigts s'enfoncent dans le conduit trempé et tournent à l'intérieur. Val se cabre en grognant, Léa retire des mamelons les pinces et les gobe à tour de rôle, les bouts avec ce qu'ils ont subi sont douloureux. Val grimace, mais ne repousse pas la femme vorace.
Paul se redresse, retire son pantalon et son slip, sa queue se balance sur son bas-ventre velu. Rick fait de même, il se masturbe doucement en regardant sa femme dévorer les tétons de Val qui geint de plaisir.




Rick n'en peut plus, il repousse sa femme, prend Val à bras le corps et la relève du canapé. Il lui lève une jambe à hauteur de sa taille et la maintient fermement. Pour ne pas tomber, Val s'accroche au cou de Rick. Il place son membre contre la chatte gourmande et l'enfonce aisément Val pousse un râle de bonheur, la queue de Rick est longue elle bute contre le col de son utérus. À chaque coup de bélier Val pousse un gémissement rauque. Le mâle en rut la défonce rageusement, Val donne aussi des coups de reins pour être empalée à fond. Paul se place derrière sa femme et frotte son gland contre la rondelle ridée.



Léa réagit :

-Oui, encule-la, elle va adorer ta chaudasse, vas-y plante lui ta queue !




Encouragé par Léa, il s'agrippe aux hanches de sa femme et pousse fortement. L'anneau cède et avale petit à petit le manche de chair. Pendant toute la pénétration Val grogne, prise par les deux trous, la gourmande subit les assauts répétés des deux mâles puissants. C'est comme deux pistons bien synchronisés que les verges vigoureuses coulissent dans les orifices souples. La pression monte dans le corps de Val qui s'agite sur les queues qui la pourfendent sans relâche.




Val souffle comme un bœuf, la jouissance approche, elle se cambre, se tend comme un arc et explose en hurlant. Épuisée elle demande grâce, les deux hommes se retire du corps dévasté. Léa demande à son mari de s'allonger sur le dos, elle l'enjambe saisit d'une main la bite tendue et se baisse doucement. Le gland force les grandes lèvres et s'engage dans la grotte chauffée à blanc. La vieille se laisse tomber de tout son poids, elle pousse un râle terrible l'empalement est violent. Elle invite Paul à la prendre par le cul.




Le bougre ne se le fait pas dire deux fois, il se place derrière sa proie et donne un violent coup de reins. Sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans le fondement de la demandeuse. La paroi qui sépare les deux orifices et si mince que les hommes sentent les deux queues coulissées l'une sur l'autre. La vieille sûrement habituée à ce genre de traitement grogne comme un animal. Le pilonnage augmente en intensité, les mandrins puissants défoncent sans relâches les deux trous gourmands. Léa couine de plus en plus fort, elle se cabre et gicle sur les couilles de son mari. Elle continue de s'agiter sur les manches qui la besognent fermement.




Rick retire son membre de la chatte et la place contre celle de Paul, la longe et s'enfonce dans le trou déjà occupé. La vieille soumise hurle de plaisir, les bites la défoncent sans faiblir. Paul se cabre, Rick aussi. Les deux déversent dans les entrailles de l'enculée leur semence épaisse. Léa s'agite, la douce liqueur qui la remplit la fait délirer. Elle se raidit, pousse un cri terrible et gicle avec force, sa cyprine abondante noie le ventre de son mari et amant qui continue de la défoncer.

Léa se laisse tomber sur le côté, elle se met sur le dos et dit :

-Vas-y Rick chéri rends-moi dingue !




Elle écarte largement les cuisses, Rick frotte la chatte dégoulinante avec rage. Il enfonce un à un ses doigts dans l'antre des plaisirs. Il pousse fortement Léa grimace, la main s'enfonce lentement en elle jusqu'aux dernières phalanges, elle se cambre et hurle :

- Vas-y !



Rick pousse comme un malade, la main disparait entièrement dans la chatte, il la fait tourner à l'intérieur et ramone sans ménagement sa femme qui grogne comme une bête prise au piège. Léa se cabre et dit en grognant :

- Ça vient, oh oui !





C'est le signal pour Rick, il ferme le poing et ramone sauvagement la chatte de la jouisseuse, à chaque enfoncement Léa gicle sa jouissance et phénoménale. Elle bascule sa tête de gauche à droite, un rictus affreux déforme son visage. Elle halète péniblement. Rick retire sa main et la place contre l'anus, l'œillet palpite à cause des multiples jouissances.


C'est avec force que la main s'enfonce dans le fondement, Léa s'agite comme une malade, la main qui la défonce comme jamais fait monter la pression dans son corps, la soupape va lâcher. La vieille se cabre et explose, elle se vide de toute la cyprine qu'elle a en elle. Rick retire sa main, Valériane n'en croit pas ses yeux, elle regarde avec intérêt les trous de son amante dilatés comme jamais.