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La fille qui baladait son chien partie 2

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Lue : 826 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/06/2021

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Le lendemain soir, j’étais devant chez elle à 20 heures 25. La porte s’est ouverte et Rufus a fait son apparition le premier, au bout de la laisse interminable. Elle a surgi derrière. Aussi somptueuse qu’à l’accoutumée. J’ai senti mon sexe se durcir. Ne plus la voir de chez moi, mais en face à face était une chance appréciable.
Elle était tout en rouge, sauf pour les magnifiques cuissardes qui prenaient ses jambes d’assaut. Si elles n’étaient pas neuves, elles n’avaient sans doute pas été portées souvent. Noires et vernies, elles luisaient de tous leurs feux.
Son manteau rouge, était entrouvert sur une jolie blouse rouge et une mini jupe rouge, l’espace entre la mini et le haut des cuissardes gainé par le nylon de bas, dont on voyait un petit bout de jarretière.
Elle m’a souri.
—J’espérais que tu ne me ferais pas faux bond.
Elle s’est approchée et on s’est embrassés longuement.
C’était la première d’une des nombreuses sorties en soirée. On partait à travers la ville, je la laissais me guider, pour balader Rufus. On discutait de tout et de rien. Un moment agréable, c’était une fille simple et enjouée, qui avait le sens de l’humour.
C’est ce soir-là qu’elle a posé la base de notre relation. A moi de l’accepter ou pas.
On s’est calés un moment sur une placette, sur un banc. Je me suis penché vers elle, et on s’est embrassés longuement. J’ai posé ma main sur son genou. Le contact du vinyle glacé a été remplacé par celui du nylon électrique, traversé par la chaleur de son corps quand je suis remonté plus haut. Mais elle à bloqué ma main alors que j’allais passer sous la mini.
—Non, pas pour l’instant. Il faut attendre. J’ai juste envie d’un flirt, même s’il est poussé.
Je n’allais pas dire non. D’autant qu’elle venait de s’attaquer à mon pantalon, comme la veille, et qu’elle avait sorti mon sexe pour le masturber. Elle savait bien caresser, sa main glissant autour de moi, et je n’ai pas mis longtemps à jouir.
Je suis resté un peu plus longtemps chez elle ce soir-là, elle m’a invité à diner, mais j’ai bien compris qu’il n’était pas question que je reste pour la nuit.
Toutes les soirées ont été à peu de choses près sur ce modèle. Un long moment ensemble, elle me donnait du plaisir, puis on se séparait.
Je me posais beaucoup de questions. J’imaginais mille hypothèses empêchant une relation plus aboutie. Etait-elle bloquée par une relation malheureuse? Je pensais aussi à une de mes amies qui m’avait révélé un jour être née sans utérus…
J’étais loin de la vérité.
Ca a été au milieu de la semaine qu’elle m’a dit, en plein milieu d’une de nos balades du soir:
—Il y a quelque chose que je dois t’avouer…J’ai envie d’aller plus loin maintenant, mais…Je ne suis pas une fille tout à fait comme les autres.
C’est sorti du coeur quand je lui ai répondu:
—Tu sais, je te connais depuis peu, mais je t’apprécie énormément. Tout ce que tu es…Alors même si tu n’es pas tout à fait comme les autres…Je ferai avec…Le positif l’emportera sur le négatif.
—Alors…
J’ai pris cet alors pour une carte blanche, et j’ai cédé à mes envies. Attendre avait décuplé mon désir. On s’était calés, ce soir là sur un autre banc, une autre place, seuls, Rufus couché à nos pieds. Elle avait des bottes noires avec des talons aiguille, et une jolie robe abricot, courte, avec un collant noir. Elle m’a laissé faire quand ma main est venue se poser sur son genou, au contact électrique du nylon. Elle était brûlante, et sa chaleur est remontée en moi.
Je l’ai caressée doucement, en prenant mon temps. Nos soirées s’allongeaient, on passait de plus en plus de temps ensemble. J’appréciais ces moments qui me sortaient d’une solitude que j’avais subie ces derniers temps.
Je suis enfin arrivé à la lisière de la robe. J’ai soulevé le tissu très doucement…
Je mentirais si je disais que je n’ai pas été surpris.
Sous la robe, elle portait donc ce collant, un collant sans slip, et, enveloppé de ce collant, il n’y avait pas de chatte, mais une belle queue, en pleine érection, collée à son ventre qui disait son désir, et aussi qu’elle n’était certes pas une fille comme les autres.
Sans doute avait-elle redouté une certaine répulsion de ma part. Je n’en ai eu aucune. Simplement sans doute un peu surpris, parce qu’une queue est, qu’on le veuille ou non, le symbole d’une certains masculinité, et il n’y avait vraiment aucune masculinité en elle, que ce soit dans son corps, ses traits…Elle était simplement une fille avec une queue, un troisième sexe…
Elle a frémi quand, à travers le nylon j’ai caressé doucement sa verge, un effleurement de la paume.
—Je n’ai pas eu de partenaire depuis un certain temps…J’ai envie de sexe et envie de toi…Je refoulais, je craignais que tu me rejettes…
—Hé bien, tu vois, non…
J’ai glissé ma main sous le collant. Sa queue, déjà dilatée, croissait encore d’excitation, plus longue et plus dure. Je l’ai enveloppée de la main et je l’ai caressée doucement, la sentant toute chaude et bien épaisse au creux de ma paume. Elle s’est mise à gémir sans retenue, alors même qu’on était à l’extérieur.
Elle n’a même pas cherché à contrôler sa jouissance. Elle avait sans doute besoin de jouir une première fois, rapidement, pour apaiser une envie et un manque qui trainaient depuis plusieurs semaines…Le sperme a jailli, en rasades copieuses, venant poisser sa chair et souiller le collant.
Elle s’est redressée, m’a attrapé par la main.
—Viens, on va chez moi, ce sera plus discret, on pourra en profiter autant qu’on voudra.
Je commençais à bien connaître les lieux. Rufus, fidèle à son habitude, est parti gambader dans la maison. Elle s’est rapprochée de moi, me défaisant en même temps que je glissais la main sous sa robe. J’ai retrouvé sa queue aussi raide que si elle n’avait pas joui. Je l’ai encerclée de ma main en même temps qu’elle enveloppait la mienne. On s’est caressés mutuellement, avant qu’elle n’écarte ma main et qu’elle donne un coup de hanche pour rapprocher nos queues. Ca m’a fait de l’électricité dans le corps quand la sienne est venue se coller contre la mienne, chaude et ferme.
Elle les a encerclées toutes les deux, et elle s’est mise à les masturber tout doucement. Elles ne faisaient plus qu’un, collées l’une à l’autre. La main autour de moi, la queue collée à la mienne…C’était trop, et j’ai joui, bien plus tôt sans aucun doute que je ne l’aurai du, arrosant de sperme nos deux queues et la main.
On s’est embrassés longuement, avant qu’elle ne dise:
—Est-ce que tu accepterais de me pénétrer? J’en ai envie depuis le premier jour…Mais je n’osais pas te le demander, je pensais que tu allais t’enfuir…
J’ai failli lui répondre que moi aussi j’avais envie de la pénétrer…Même si je pensais à l’époque la pénétrer par la chatte…
—J’en ai terriblement envie moi aussi.
Elle a été jusqu’au tiroir d’une table basse, et en a ramené un préservatif qu’elle a sorti de son enveloppe d’aluminium. La rondelle de latex gluante au bout des doigts, elle l’a faite couler sur ma queue d’un mouvement fluide.
L’instant d’après, je me laissais glisser sur le canapé. Rufus, indifférent à nos rapprochements, se baladait, allant d’une pièce à l’autre.
Elle est venue se positionner au dessus de moi, sa queue dressée contre son ventre bien qu’elle ait déjà joui deux fois. Elle rattrapait des mois gâchés. Mais je pouvais en dire autant.
J’avais déjà pris des filles par le cul, des filles qui me l’avaient demandé, ça avait été très agréable, mais c’était la première fois sans doute que je pénétrais une fille pourvue d’une queue, une queue que je fixais en même temps que je regardais mon membre appuyer contre les plissements anaux, puis glisser lentement à l’intérieur.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas sodomisé une fille, et j’ai retrouvé cette sensation unique et délicieuse de sentir sa queue étroitement serrée dans l’étroitesse d’une muqueuse.
Mon membre est rentré totalement en elle jusqu’à disparaitre. Elle a eu une expression qui disait sa félicité.
—J’avais envie de ça. Ca me manquait trop.
Mes mains sont venues se poser sur ses hanches, et je l’ai faite monter et descendre sur moi. J’avais sous les yeux son beau visage, qui exprimait une félicité sans bornes, son torse fin, ses seins sur lesquels elle avait amené ses mains pour travailler ses tétons, et cette queue qui se gonflait encore, frémissante. Elle a joui pour la troisième fois, crachant des jets de sperme qui ont maculé nos deux corps, alors que je continuais de la fouiller. Je voulais retenir ma jouissance, garder mon plaisir le plus longtemps possible, mais j’ai senti moi aussi la jouissance arriver…Quand le premier jet de sperme a tapé contre ses parois intimes, elle a joui une fois ultime en criant, et libérant encore du sperme.
—C’était vraiment bon…Ca faisait longtemps que je n’avais pas fait l’amour. Ceux qui se privent de ça ne savent pas ce qu’ils perdent. Tu veux rester dormir avec moi cette nuit?
J’ai vu cette proposition comme une victoire. Et un début. Ca aurait pu n’être u’un feu de paille, ça fait un an qu’on est ensemble. Que je promène Rufus avec elle, et que je profite de son petit secret, celui qui fait qu’elle n’est pas une fille tout à fait comme les autres.
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Histoire de JamesB

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