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Lettre à ma femme 3

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Lue : 2019 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Post-scriptum 1 : Trop tard?

Hier, j’ai fini ma lettre. Et j’ai hésité à te la remettre. Certaines de mes suppositions auraient pu te choquer. Pendant une de vos rencontres amoureuses, après l’instant de la jouissance dans sa bouche goulue, Annie pourrait par ailleurs te persuader que je suis fou à lier et que je divague parce que je suis jaloux d’elle. Or ton prochain rendez-vous aura lieu dans deux semaines. Il me reste du temps, il te reste du temps pour enrayer le mouvement. Tu pourrais de toi-même, dans un sursaut de bon sens, stopper la dégringolade vers laquelle ta meilleure amie te précipite. Mieux vaut une réaction spontanée, due à un éclair de lucidité, qu‘un sermon intéressé d’un mari. Si, hélas, l’influence d’Annie l’emporte, je vais essayer de te mettre en garde à la limite du ravin.
A la dernière minute, avant de franchir les dernières barrières de la décence, avant de te soumettre à Léon, tu recevras et pourras lire ma lettre. Tu agiras alors en connaissance de cause. Si ça ne suffit pas, j’entrerai en guerre contre ta copine. Enfin, tu décideras de ton sort. J’ai pensé, un instant, amener Jean et Odile sur votre champ de bataille du lundi. Leur présence aurait pu te ramener à la raison. Mais pourquoi les enfants devraient-ils souffrir de la conduite de leurs parents ? J’ai envisagé de me présenter en personne. À quoi bon si tu suis aveuglément les consignes de ta destructrice, si elle a réussi à te persuader que ton bonheur dépend de notre séparation.

Je veux respecter ta liberté, mais je souhaite que tu sois éclairée. Ma lettre pourrait t’aider à condition que tu la lises et que tu croies mes affirmations. Si tu succombes à la tentation, je créerai une situation où tu seras mise devant un choix éclairé et après, advienne ce que tu voudras. J’ai trop tardé pour intervenir, je crains trop une interprétation défavorable de mes écrits. S’il le faut, je vais faire connaître l’enfer à tes âmes damnées et leur couper l’envie de recommencer.

Dans un foyer de célibataires, je viens de recruter deux costauds, sevrés de femmes, boxeurs amateurs à leurs heures de loisirs. Contre une importante rémunération, ils exécuteront mes ordres. L’acompte conséquent perçu à l’engagement et la promesse d’un complément encore plus important en font des mercenaires chers, mais dévoués. Ce qui restait dans notre enveloppe pour les prochaines vacances m’a attaché les services d’une troisième personne. Quand tu liras ce post-scriptum, tu auras vu et tu comprendras que, de toute façon, nous n’aurions pas pu passer ensemble les vacances projetées, puisque ton amie Annie devait nous séparer bien avant.

Que puis-je répondre à ton chef de service, étonné de la multiplication de tes erreurs? Il te croit malade ou gravement perturbée et prépare une mise au placard. Annie ne serait-elle pas responsable de tes troubles ? Mais, si je me manifestais actuellement, vous pourriez m’en attribuer la responsabilité et tu finirais par me haïr. À moins que ma dépression et ma coupable incapacité à te faire l’amour n’aient déjà été mises en avant pour justifier ta conduite et pour excuser tes distractions préjudiciables pour ton service. Vos nombreux contacts téléphoniques, dans le secret de vos portables, dénigrent certainement ma santé défaillante. Si tu m’as proposé hier de consulter un urologue, ce n’est pas un hasard. J’aurais plus besoin d’un psychologue, Annie te soufflera cette nouvelle idée au bon moment, je lui fais confiance et tu ne manqueras pas de me suggérer adroitement que c’est la dernière solution pour sauver un couple en perdition par ma faute.
Eh ! Oui, je déprime, tu l’as constaté, mais tu ne peux évidemment pas deviner pourquoi un homme qui a tout ce qu’il faut, y compris une merveilleuse épouse (c‘est ce que tu claironnes), se laisse aller comme ça ! Il suffirait que tu renonces à Annie, à ses pompes et à ses œuvres et je guérirais.

Ce dimanche, j’ai failli te donner la lettre, je l’avais en main quand Annie et Léon t’ont apporté un bouquet de fleurs, une tarte et une bouteille de champagne. C’était, ont-ils précisé, pour souhaiter bonheur et longue vie au couple de leurs merveilleux amis. Bien sûr, les femmes se sont isolées en cuisine, vous avez chuchoté, j’ai cru t’entendre protester: te lutinait-elle? Probablement. En sortant les flûtes à champagne, j’ai tendu l’oreille pour entendre qu’il était inutile de compter sur un eunuque demain! « Tu » me traitais d’eunuque. Et vous avez pouffé de rire. J’ai voulu voir et j’ai vu comment vous vous dénouiez subitement d'un enlacement fiévreux, l’air un peu embarrassé. J’ai souri bêtement.
Léon t’a regardé avec convoitise pendant toute l’heure de leur présence, il bavait d’envie en avalant la tarte. Les yeux lui sortaient de la tête quand tu croisais ou décroisais tes jambes, son visage s‘éclairait à la vue de ta petite culotte. Annie, debout derrière ton fauteuil te caressait les cheveux, faisait remarquer à son étalon les belles courbes de tes seins, la finesse de ta taille sur tes hanches larges et soulevait le bas de ta jupe pour faire admirer « tes cuisses de pouliche nerveuse ». Et il bandait, le salaud.

-Tu vois comme mon amie est bien conservée, à quarante ans ! Paul, tu dois t’amuser au lit avec une aussi belle créature, ironisait-elle.(Tu lui as dit mes insuffisances ?). Léon, admire ces jambes ! Tu aimerais bien voir plus haut, pas question, c’est Paul le propriétaire ! Dis Paul, Mimi peut remonter le bas de sa jupe et nous faire envie ?

.La jupe est remontée, à ras de la touffe, sans mon approbation. Et nous avons vu ta culotte sur ton bas ventre. L’audacieuse s’est permis de repousser sous le tissu une mèche de poils sous prétexte que ces poils étaient indécents, tu as tressailli sous cet attouchement. Heureusement tu étais emballée dans une culotte blanche qui marquait l’emplacement de la fente. Je sentais l’ironie, le besoin d’appuyer sur ma faiblesse pour me rabaisser aux yeux de sa proie. Annie se sentait forte, tu venais sans doute de confirmer ton accord pour votre rencontre; l‘exhibition de tes charmes signait le contrat. J’ai gardé la lettre, humilié, eunuque méprisé et cocu annoncé dans des fous-rires. Devant le rictus de pitié de Léon, je ravalai ma colère.

Lundi matin, j’ai déposé très discrètement une demi-journée de congé. À onze heures quarante-cinq, tu viens m’annoncer qu’une terrible migraine t’empêchera de m’accompagner au restaurant : tu passes au supermarché, tu vas prendre un médicament et te coucher. Je ne te serai d’aucun secours, tu veux te reposer. C’est le moment, je risque le tout pour le tout, je te tends ma lettre et je te recommande de la lire avant de faire quoi que ce soit. J’insiste:
-Ne fais rien avant d’avoir lu ma lettre, c’est de la plus haute importance.
Tu prends ma lettre, tu me regardes avec étonnement et tu déclares
- Mais oui, mon chéri, dès que mon mal de crâne sera passé, promis ! Qu’est-ce que c’est, tu m’écris maintenant ?
– Lis et tu sauras !

La lettre aboutit dans ton sac à main. Tu pars en direction du magasin. Je file à la maison, je suis le premier dans la place, dans la cave. Tu arrives en compagnie de tes deux amis. Apparemment, la migraine s’est évaporée. Vous montez au salon en caquetant.

- Oui j’ai averti Paul ! Il me croit couchée. Nous serons tranquilles !
-Bravo, ma chérie. Donc tu es bien décidée ? Tu ne vas pas faire machine arrière ! Le plus dur est fait, ton Paul est hors jeu ! Précise bien à Léon que tu agis volontairement ! Personne n’est venu te forcer à quitter ton bureau ! Tu es une femme libre, tu veux faire l’amour avec lui, sans contrainte ! Parle.

Tu ris, tu confirmes à voix presque inaudible. Gêne ou dissimulation ? Donc, tu n’as pas pris la peine de lire ma déclaration ou tu te moques de moi et de mes histoires.

-Qu'est-ce qu’on fait, on reste au salon ou on va dans la chambre ? Il y a plus de place ici, plus de meubles et plus de possibilités pour varier les plaisirs, pour prendre des appuis ! Gardons le lit pour la fin !

Annie invite Léon à déboutonner ta blouse et s’extasie sur le soutien-gorge et son contenu.

- Léon, regarde, c’est magnifique ! Tâte, c’est ferme, lourd, l’image parfaite de la plénitude et de la douceur ! Mais oui, tu peux les embrasser ! Comment Mimi, tu recules ? Ah ! Non, tu t’es engagée, tu ne peux plus reculer ! Mets tes mains dans ton dos, donne, Léon, les menottes ! Voilà, ma belle, tu as accepté, tu ne pourras plus te dérober ! Nous allons accomplir tes volontés !

Tu n’as pas un mot de protestation. Les menottes te rassurent, tu te méfies de toi-même. Liée tu libères ta conscience, tu ne peux plus résister, c’est de la faute de ces menottes entourées de longs poils roses si doux au toucher. Le champagne est au frais. Le bouchon saute, vous riez. Annie porte ta coupe à tes lèvres, inonde tes « nibards de reine » et ordonne à Léon de lécher le précieux liquide à même la peau. Et je t’entends glousser comme une dinde. C’est froid, mais il t’excite. Déjà !

- À mon tour, Léon, j’ai soif de sa peau, regarde bien le lapement de la langue ! La pointe doit exécuter de petits battements rapides ! Comme elle est sensible, ses tétons sont déjà tout durs ! J’adore les sucer !

Et tu glousses encore. Léon obéit à la recommandation suivante, à genoux, il doit faire tomber la jupe. Cette fois, il découvre les cuisses, il doit les toucher, remonter en caresses jusqu’au tissu. Les ordres fusent et ton rire chatouillé prouve son obéissance. Annie ordonne, Léon caresse, lèche ou suce, approche de ton sexe.

- Qu'est-ce que tu attends, tu as peur de toucher, là, entre les jambes ? Tourne la paume de ta main vers le haut et frotte le frifri caché ! Doux mais ferme, paysan!

Une claque sur une fesse te reproche un recul, tu dois mieux ouvrir les jambes, le plat de la main pourra envelopper la vulve, comme un nid.

-Allez, hardi mon gars, appuie ! Laisse-moi la place ! On dirait un enfant de chœur ! Je pousse le gousset sur le côté, rince toi l’œil, voici la foufoune qui te fait rêver depuis des semaines, elle est adorable ! C’est un beau fruit, bien mûr, comme le mien ! Nous sommes femmes ! Tu en meurs d’envie, passe ton index à plat sur la ligne de séparation des lèvres, comme chez moi, la moule bâille un peu quand elle cuit !

Léon doit faire doucement, le désir doit monter par paliers longs. Toi, tu assures que le doigt te fait du bien. Comme quand je te fais l’amour, précises-tu. Annie ne renonce pas à me mêler à vos jeux si la médecine me rend l’usage, hélas improbable, d’un zizi présentable et exploitable. Son rêve déclaré est de me sucer et de se donner à moi devant toi. Ainsi tu passeras ton permis de femme libérée. Après cette épreuve plus rien ne vous arrêtera. Vivement que le viagra fasse de l’effet.

- Tu ne lui as pas dit que le cachet était du Viagra ?
– Il me tuerait, s’il savait !
– Ma pauvre chérie, tu es trop jeune pour te priver des joies de l’amour ! Tu pourras compter sur nous ! J’ai des amis, si tu veux nous te trouverons un amant complice de nos jeux ! Tu verras, à quatre c’est encore beaucoup mieux ! Aujourd'hui, c’est un premier pas vers la liberté et le plaisir partagé ! Je t’aime, ma chérie, depuis toujours ! Léon est tout étonné, une partie de la proie ne sera pas pour lui. Mais il reconnaît qu’il regardera avec plaisir les ébats de ses deux femmes.
L’avenir est tracé, je ne t’entends pas protester. À la demande, en marche arrière, ils te font asseoir au milieu du canapé. Annie parle :

- Je me mets à ta gauche ! Léon, à genoux entre tes cuisses, pousse-les vers l’extérieur ! Ce sera plus simple si tu lui retires son chiffon, mais garde le sous la main, c’est une grande mouilleuse !
Annie te connaît bien et pour cause. Léon doit cesser de renifler la culotte ! L’odeur du sexe est plus forte à la source ! Qu’il montre ce qu’il sait faire, qu’il bouffe la chatte !
- Dire que pour toi, elle s’est rasée hier soir ! Dans l’après-midi, à la cuisine, quand j’ai mis la main dans sa culotte, elle avait encore un barbu fourni! Je lui ai conseillé de couper, parce que tu détestes avoir des poils dans les dents ! N’est-elle pas mignonne notre première communiante imberbe ?

Quelle bavarde cette Annie. Voilà l’explication des bruits hier: Annie avait inspecté le terrain, doigts dans la culotte de l’amie et exigé le rasage des poils pubiens. La langue de Léon doit aller chercher tout derrière et balayer de la rose jusqu’en haut de la cramouille, en largeur, en forçant et quand la crevasse s’ouvrira sous la caresse, il pourra y promener la pointe de sa langue, puis l’index et le reste.

-Attends, je te montre ! Ta langue frétille, tu remues très vite à petits coups secs et tu refais le parcours en sens inverse ! Ça fait deux fois, écoute ! Si je ne me retenais pas, je ne te rendrais pas son abricot ! Ce jus, humm ! Continue !

Tu viens d’émettre un premier petit cri. Tu commences à les renseigner sur l’effet produit. Et mes invités n’arrivent pas, ils m’avaient promis d’être là à l’heure. Seul, si je me montre, je recueillerai des quolibets. Mais que font-ils ? Pendant ce temps, Annie reprend sa démonstration, comme si Léon ne savait pas. Tu as toujours les mains liées dans le dos, tes fesses ont glissé vers le bord du canapé.

-C’est facile, tu pointes ta langue sur le rond de son trou du cul et tu essaies d’y entrer ! Utilise tes mains pour ouvrir les fesses ! Ça ne va pas ? Mouille ton index dans sa bouche et pose-le sur le petit trou, pousse ! Attends, je tire sur les fesses, elle te paralyse ? Ça y est, tu es passé ! Remue, fais des ronds, tu dois élargir le passage ; quand tu l’enculeras, tout à l’heure, ça rentrera comme dans du beurre ! Le secret d’une sodomie réussie tient dans une bonne préparation ! Si tu renifles ses odeurs à tous les orifices, ton envie de bien faire va grimper !

Annie sort son tube de vaseline, en enduit l’index et le majeur du mâle et ordonne de recommencer l’élargissement de la rose avec les deux doigts. Léon trouve qu’elle traîne, il aimerait passer au plat de résistance. Il n’en est pas question, Mimi a besoin d’être chauffée. Annie saura à quel moment lui livrer une cavale sans entrave, qui réclamera qu’on la prenne enfin. Alors il doit, lui aussi, suivre ses conseils. Annie te connaît parfaitement Mimi; et Léon poursuit la fameuse progression qui va te transformer en suppliante boule de feu.

- Occupe-toi de son clitoris, je lui mets un doigt dans le cul et un dans le con !
Mimi ne résiste pas à la fourchette, détends-toi. Ah ! Elle commence à se tendre, à soulever les fesses. Le désir la chatouille, elle va bientôt entonner son hymne à l’amour et t’appeler au secours ! Tu seras son pompier ! Quand je pense à cette couille molle de Paul qui ne bande plus, heureusement ses pilules vont le retaper pour moi !

Annie sait qu’il faut de la patience. Au tour de Léon de faire la fourchette, Annie veut sucer le berlingot, aspirer le jus.

-Zut, je n’ai pas prévu qu’elle allait pisser ! Elle perd, on arrête quelques minutes, Léon conduis-la aux WC et regarde-la dans les yeux durant la miction, son regard va te faire une déclaration d’amour !

Mais que font mes sbires ? Un quart d’heure de retard. Ils arriveront quand l’adultère sera consommé. Je les aurai payés pour rien.

-Léon assieds-toi ! Bistouquette à l’air, s‘il te plaît, montre-lui ton corps, donne-lui envie de baiser ! Mimi, si tu veux te donner la peine de lui raidir la lance, reste debout et penche toi ! Rien de tel qu’une bonne fellation pour lui faire attraper la trique ! Si tu veux l’avaler complètement, écarte bien tes pieds ! Oh! Ton cul tendu me donne envie de te bouffer. Oui. Je m’assieds à terre entre tes guiboles et je vais te sucer comme tu aimes, escalopes étirées, langue bien enfoncée ! Chéri, aide-la, pousse sur la nuque ! Avec les mains. Mimi, suce le avale tout le morceau de viande, que diable, monte, descends !

Les grognements montent d’un ton. Annie ne parle plus. Léon râle, suffoque. Surtout, il ne doit pas cracher sa semence. Il faut la projeter contre le col de ton utérus le moment venu. Ce n’est pas pour tout de suite. Pour faire durer le plaisir, Annie et Mimi vont jouer ensemble un morceau de flûte baveuse, collaborer à l’érection d’une hampe grandiose.

- Trempe ta queue dans le champagne ! Mimi, de ton côté et moi du mien, nous allons monter et descendre le long de son gourdin ! Je t’avais promis une belle bite, tu vas être servie ! Ce n’est pas un macaroni mou de mari coincé ! Avec ça, tu vas jouir et savoir enfin ce que ça veut dire !

Pourquoi laisse-t-elle entendre que je suis mal monté? Une fois au moins, il y a vingt ans, elle a pu prendre mes mesures. Si j’étais minable, pourquoi réclamerait-elle à ma femme le plaisir de faire l’amour avec moi?

On gratte à la porte du garage, mes deux athlètes débarquent du bus qui a pris du retard. Ouf, il était temps car Annie vient de te demander, une dernière fois, si tu es toujours décidée et annonce qu’elle délivre tes mains, tu en auras besoin pour serrer l’homme contre toi. Elle te fait coucher sur le tapis de laine, remonte tes genoux, annonce à Léon que la voie est libre, le terrain glissant. Elle va tirer sur tes lèvres, il n’aura qu’à viser et plonger, zizi en apnée dans le conduit détrempé par les manœuvres préparatoires.

-Mimi, tu es prête, en route pour le grand voyage, accroche toi, ma belle chérie ! Donne-moi ta bouche, ma chérie !

Mes deux gaillards gravissent l’escalier derrière moi. Je crie:

-Qu'est-ce qui se passe ici ?

Mon cri a bloqué le gland à l’entrée du vagin. Léon tourne la tête, tente de se relever, mais la présence de mes gorilles l’en dissuade, sa queue dérape le long de la raie. Tes fesses retombent dessus et la coincent sur le tapis. Toi, tu caches tes yeux. Annie tente de reprendre la main.

-Nous t’attendions, Paul, tu as décidé de participer ? Difficile à convaincre ton mari, mais tu vois, il est là et avec du renfort ! Plus on est de fous, plus on rit. Je vous promets une partouze du tonnerre. Quatre hommes pour deux femmes. Ma chérie, ton mari te gâte pour une première.
Je m’adresse à ma femme, réconfortée par le sang froid d’Annie.
– Voilà une nouvelle thérapie pour soigner tes migraines, Mimi. Toi, Ahmed, tu attrapes cette femme, tu la penches sur la table et vite tu t’occupes d’elle ! Tu l’as entendue, notre entrée la réjouit. Elle espérait ma trique, montre lui la tienne pour commencer.

Puisqu’Annie ne demande pas mieux, à mon tour je m’amuse
-Annie, regarde, c’est beaucoup mieux que le machin de ton étalon ! Vas-y, mon gars, rentre dedans et bonne bourre !
- Toi Igor, tu menottes le monsieur à moustaches et tu le pousses dans le fauteuil ! Tiens, tu lui colles les jambes aux pieds du Voltaire, il ne doit pas toucher le sol !
Léon, tu es bien installé ? Tu n’es pas surpris, tu as l’habitude des orgies épicées. Evidemment, les mains dans le dos, c’est désagréable, tu aurais dû y penser quand tu as mis les menottes à Mimi !
Plein de commisération feinte je me tourne vers l’épouse infidèle:
- Mimi, reste où tu es ! Tu peux resserrer tes cuisses si tu veux ! Attends, je t’aiderai à te relever ! Debout Mimi, tu vas assister à un spectacle gratuit ! Veux-tu aller ouvrir la porte, on a frappé !
– Comme ça ? Toute nue ?
– Pourquoi pas ? Depuis trois quarts d’heure tu es nue devant Léon et Annie: Ça ne t’a pas gênée!

Au moins, dans cette tenue, elle ne cherchera pas à fuir dans la rue. Nous avons encore à parler, elle doit l’admettre. Annie aux prises avec le gros calibre est bien chaude après les préliminaires. Nichons en amortisseurs sur la table elle encaisse joyeusement des coups redoutables. Ahmed est patient et calme. Il a longuement frotté l’extérieur du sexe, ses gros doigts ont écrasé et agité le clitoris, il fait affluer le sang dans les fesses en les giflant fortement. Annie aime la fessée, mais sursaute de surprise à cause d‘un coup dévié sur le gras du sexe. Ça ne plaît pas à Ahmed, il est pris d’une sainte colère et sa main se fait plus lourde sur le postérieur . Annie a compris et se contente d’un cri à chaque frappe. Il va doucement, sort la longue tige épaisse, ramène la tête du gland en surface, guide d’une main la pointe imposante dans la bouche de la femme ravie de tenir un engin de ce calibre hors norme.
Bien raidi et enduit de salive le gaillard se présente entre les cuisses alourdies de la quadragénaire obsédée de sexe et se propulse dans l’antre tranquillement, mais entièrement. Son ventre pousse contre les fesses et Annie signe un accusé de réception en poussant un han encore contenu, mais on peut s’attendre à une intensité croissante. Ahmed a quartier libre. Elle voulait de l’homme, elle en a et ce n’est pas fini, Igor attend son tour en surveillant Léon. Je l’ai embauché sur preuves. Si Ahmed fait bien le travail, Annie n’aura pas trop mal quand Igor la pénétrera.

Voilà enfin Gaby, elle tient la main de Mimi. Eh ! Oui, j’ai donné des consignes. On se salue, je désigne Léon. Gaby retire robe et chaussures. C’est une professionnelle, elle est bien fichue et sait ce que j’attends d’elle. Elle a besoin de la deuxième moitié de la prime.

- Léon, cette dame pleine de talent et d‘expérience, va s’occuper de toi ! Sois poli et aimable ! Je vous ai préparé une fête ! J’ai avancé l’argent, vous saurez me remercier en me remboursant !
Mimi ne sait quelle attitude adopter, je la tranquillise:
- Mimi, sèche tes larmes, pardon de te priver momentanément de ton plaisir. Mais si tu le souhaites, mes trois amis, moyennant une prime supplémentaire, te réserveront leurs dernières forces ! Et si cela ne te suffit pas, tu pourras forniquer à volonté en plus avec Annie et Léon. Contrairement à ce que tu disais à ta gouine, je suis adepte de l’échangisme. Dommage que tu n’aies pas jugé possible ou utile de m’en parler.

Tu as redoublé tes sanglots, souviens-toi. Pourquoi ? Regrettais-tu la fête mesquine organisée par Annie ou avais-tu des remords ? Je t’ai envoyée chercher ma lettre et, au milieu des soupirs et des plaintes des accouplés, tu as commencé à la lire à voix haute. Je n’ai rien prévu de plus cruel pour toi que la lecture publique de la lettre négligée et oubliée dans ton sac à main, pour l’édification de tous les protagonistes.
Quand tu bégayes, quand les sanglots étouffent ta voix, je te demande de relire la phrase. Léon et Annie ne doivent pas en perdre un mot. Gaby assouplit ses poignets sur l’engin de Léon, lentement pour qu’il puisse bien entendre et comprendre mon texte. Ahmed, de même, parcourt le vagin d’Annie au ralenti et elle ne peut pas ne pas entendre !
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Lettre à ma femme 3

Le 25/01/2023 - 14:57 par Balista
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