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Une bonne élève

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Lue : 3661 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/11/2013

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Plus âgé de cinq qu’elle j’ai rencontré Florence alors que nous poursuivions nos études de médecine. Assez timide, elle ne savait mettre ses attributs en valeur : un corps assez « bien en chair », bien proportionné toutefois, une jolie poitrine et un superbe cul toujours enserré dans un vieux jean peu excitant. Une sensualité non encore développée, en attente de jours espérés. Elle me plaisait, je ne semblais pas lui déplaire. Nous travaillions souvent ensemble. J’aimais sentir sa présence sensuelle, la chaleur et la douce odeur de sa féminité. Elle n’avait eu que quelques aventures passagères. Rien d’important. Sauf avec moi.

Je dus faire une longue année de stage de perfectionnement à l’étranger. On se promet de s’écrire, par voie électronique.

Nos échanges, quasi quotidien, prirent assez rapidement un tour plus familier, voire intime. On se disait tout (ou presque).
Un jour, je m’enhardis et lui fis cette proposition :
« Florence, je vais faire ton éducation « sensuelle » car je crois que tu es un peu « coincée ». Je vais te proposer certaines choses. Tu seras la « bonne élève » que je sais que tu es par ailleurs. »

A ma surprise, elle accepta, intriguée et excitée à l’idée de savoir ce que je lui proposerais fort désireuse au fond d’elle-même de s’émanciper.

Voici quelques extraits des courriels :

- Florence :
« Je crois être une bonne élève et je viens de commencer mes leçons. Tu sembles être un excellent pédagogue !

J’ai eu un peu peur, au début, je suis assez timide, comme tu le sais, mais te sachant derrière moi en tant que guide attentionné, je me suis laissée aller. J’ai donc accepté de ne plus serrer les jambes, toujours vêtue de mon vieux jean (un peu crade et poussiéreux, avouons-le). Curieuse sensation et impression d’être toujours ouverte, parfois j’ai écarté les jambes bien large, oui, oui ! Mon jean me protégeait, mais les regards n’ont pas manqué de se tourner vers moi. J’ai beaucoup mouillé et j’avais un peu peur que cela ne transparaisse au travers du tissu. Moi, si pudique, si fermée ! Je m’ouvre, dans tous les sens du terme et cela me plait.

Je continue à suivre tes conseils et suis heureuse que tu m’encourages et m’incites ainsi à de légères et innocentes débauches.

Les regards des types à la fac, au restau, dans le métro lorsque je suis assise jambes assez ouvertes, parfois franchement écartées, sont très excitants. J’ignorais que l’on pouvait ainsi exciter et cela me donne bien des idées.
- Moi :
Il faut que tu t’habille moins strict, pas comme une dame patronnesse. Mets-toi des choses qui te mettre en valeur, montre tes jambes, tes cuisses, tes seins même.
- Florence
En passer à la robe ou à la jupe est une autre affaire. J’ai franchi le pas. J’ai mis une jupe en jean, aux genoux, fermée sur le devant par de petits boutons. Difficile de faire comme si j’étais en pantalon !

J’ai obéi à tes exigences et je n’ai pas mis de collants mais des bas, une petite culotte de coton blanc, des bottines. Ça m’a fait tout drôle ! Je me suis sentie exposée, comme nue, alors que ma tenue était fort sage.

Question d’habitude, me diras-tu ! Oui, c’est vrai. Je me suis assez vite habituée à ne plus faire attention au fait que j’étais en jupe. J’ai parfois « oublié que je n’étais plus en jean. Je m’en suis rendue compte et j’ai tout de suite pris une position plus décente. Avant d’oublier à nouveau. Ces jeux commencent à me plaire singulièrement. Tu es vraiment un sacré pervers et moi je vais finir par être la petite débauchée que tu souhaites que je devienne.

Aujourd’hui je me suis enhardie à faire sauter deux boutons de ma jupe. J’ai bien reçu ta jupe en cuir, très sexy, que tu m’as envoyée. Merci ! Mais on verra plus tard, je n’en suis pas là encore, doucement, il faut que je fasse des progrès. Par contre les petites culottes en coton blanc côtelées, étroites et un peu larges me vont à merveille. Envie de les porter et de les montrer.

J’ai reçu un message sur mon portable d’un copain. Il a envie de me voir. Je lui ai donné rendez-vous. On verra.

Rendez-vous donc. Il est charmant. Nous allons boire un verre. Il commence à me draguer. Il s’assoit à côté de moi. Je sens que je mouille quand j’ouvre un tout petit peu les jambes et que je vois un type me mater. La situation me plait. Je deviens une vraie « salope ».
Il m’invite à manger un petit morceau. J’accepte.

Il propose de me raccompagner chez moi, je ne laisse pas monter, par contre nous nous caressons follement dans le hall de l’immeuble. Il est déçu .Pourtant nos caresses n’étaient pas innocentes. Je lui ai dorloté la queue, il me masturbait. Lui jouissait en envoyant son foutre à deux bon mètres et moi je crois bien que j’ai éjaculé. Sitôt rentrée chez moi je regrette qu’il ne m’ait pas baisée….La prochaine fois !
- Moi :
Ne regrette pas, il te baisera comme tu le veux. Le veut-tu vraiment, pense à sa queue dans son vagin : masturbe toi en pensant à lui.

- Florence :
Ma copine Laetitia a voulu me parler pour me dire combien j’ai changé et combien elle entend parler de moi en termes parfois « vulgaires ». Je lui ai expliqué ma « recette ». Elle a été séduite et m’a enviée. J’ai promis de l’aider.

J’ai reçu par SMS un message de notre prof de biochimie que tu connais. Il veut me rencontrer. Je l’invite chez moi ! J’ose ! Sans hésiter. Je deviens dévergondée.

Il est donc venu samedi. J’ai mis la mini en cuir etc. Il a apporté une bouteille de champagne. Je suis assise sur le canapé, il est face à moi. Il me regarde. Il n’y a pas que le champagne qui coule, ni les paroles… Je te laisse à deviner ! Il veut me servir une coupe de blanc, maladresse de sa part ou acte volontaire, il m’inonde, mouillant mon tee-shirt. Ma jupe en cuir retient le précieux liquide. J’écarte les jambes. Tout naturellement il vient laper à même mon giron avant de fourrer son visage entre mes cuisses largement ouvertes. Puis nous faisons l’amour : il suce divinement. J’ai sorti sa queue, un beau morceau, crois-moi. Il a descend ma culotte aux pieds, est venu sur moi. J’avais du mal à écarter les jambes. Il s’est arrangé pour me la mettre devant. C’était bon, je lui ai donné mon petit trou : iI s’est épanché dans mes boyaux. Il bandait encore un peu, je l’ai branlé comme je te fais, comme tu aimes que je te fasse, ou comme tu fais devant moi. (Je te vois avec ta main atour de ta queue, j’en mouille). Au cours de la nuit nous nous sommes mis en 69. Tu sais que j’aime sucer une bite pendant qu’une bouche me lèche le con. Bref, une nuit d’amour parfaite à recommencer.
-Moi
Tu as dû te faire baiser par ce prof. Il a bon gout. Comment est son jus ? Tu as aimé le lécher ?
- Florence :
Je l’ai sucé, c’était bon, presque comme toi, sauf que sa queue est plus grosse, surtout dans mon petit trou. Mais j’ai aimé. Je ne suis pas très fidèle, ni très obéissante comme tu peux le constater.

Par exemple, je n’ai pas pu expérimenter ta suggestion de « mouiller volontairement » mes dessous. Je l’ai fait toute seule. Cela m’a assez plu et rappelé de vieux souvenirs lorsque j’étais petite fille. Mais de là à faire ça avec d’autres. Non, pour le moment.

Je me suis achetée une jupe en skaï, des pressions sur le devant, un peu large mais très décente (aux genoux). Je suis allée à la fac sans rien au-dessous.

Curieuse impression de se sentir sortir nue. Une journée bien sage toutefois, décevante ! Le soir je reprends le métro. Foule. Pressée contre des corps inconnus, troublantes sensations. Un type me colle très fort contre lui. Ca me plait, je dois l’avouer. Je sens – ou crois sentir – quelque chose de dur sur ma croupe. Il ne s’agit pas d’une main baladeuse. Surprise, une panne, plus de dix minutes d’attentes demandées. Lumières en veilleuse. Messages rassurants. J’arrive à prendre en main la queue qui me serre de près. Elle est grosse, un peu moins que la tienne. J’ai masturbé lentement la bite : elle a giclé trop vite, je voulais l’avoir dans ma bouche. Je manque de sperme. Il faut que je trouve vite une autre queue à la fac. Ce sera facile, pour faire un pompier. Je te raconterais.

Oui, bien sûr, j’ai demandé à un copain de faire les photos que tu désires. Vois combien j’ai changé. Tu vas être surpris par les métamorphoses. Oui, il y aura des photos prises en public comme tu me le demandes et d’autres aussi. J’ai aimé me montrer presque nue dans le métro et aussi sur les boulevards : les hommes s’arrêtaient pur me voir : j’ai même vu de bite se dresser. Je plais beaucoup aux hommes. Je pourrais me donner facilement à n’importe qui pour peu qu’il soit un bon baiseur. J’ai insisté pour celles où je me masturbe : il n’osait pas me demander de le baiser. Je l’aurais fait, j’en avais envie. Il y a des hommes bizarres.

L’autre jour j’ai voulu tenter l’expérience avec une autre fille, une copine de fac. Elle aussi voulait connaitre l’effet que ça fait de faire jouir une autre fille. Je recommencerais, nous recommencerons pour mieux nous appliquer. J’avais peur de lécher un autre sexe (pourtant je ne rechigne pas devant le tien). J’ai trouvé que le gout d’un con est agréable, mangeable, Ma langue est passé dans les lèvres d’en bas : elle était mouillée, comme moi. J’ai facilement trouvé son vagin où j’ai niché ma langue un moment, ensuite je suis remontée un peu pour aller sur ce que tu nommes le petit bout. C’est petit peut-être, mais facile à lécher. Je me suis régalée sur le plan gustatif, à tel point que je recommencerais bientôt, c’est promis. J’ai envoyé en l’air cette copine. Elle m’a rendu la pareille. Ne sois pas jaloux, elle suce bien mieux que toi : elle ajoute deux doigts dans le petit trou. J’en redemande encore.

J’ai prévu de passer une nuit avec plein de copains et copines pour essayer enfin une partouze. Je voudrais me faire mettre par trois queues à la fois. Tu vois bien où. Une camarade, qui sera là avec nous l’a déjà fait, Elle en redemande encore. Tu sais je crois t’en avoir parlé ; nous avons fait un concours de masturbation qu’elle a gagné. Le prochain concours se fera avec le nombre d’amant dans la journée : là je vais gagner.

Maintenant, sous ta direction, je vais passer à des choses plus sérieuses et continuer à t’envoyer de mes nouvelles aventures de débauchée que je suis devenue grâce à toi.
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Histoire de baiserjouir

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