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Line/Louis

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Lue : 709 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/10/2013

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Sans véritable copain, Line invitée chez Louis, espère trouver enfin un bon coup. Son collège de bureau l’a remarqué.

Elle en a assez de se masturber seule, même avec les godes, de rêver à d’impossibles accouplements. Dans sa ville, juste avant elle avait une copine, une très chère copine avec qui elle passait des moments en duo. Elle aimait bien se donner à son amie, se faire masturber ou sucer par cette fille. C’est fini. Line doit se faire d’autres amis. Elle commence par Louis. Il est bien bâti, semble aussi bien membré : pas trop en tout cas, elle n’aime pas les surhommes.

Louis a mis les petits plats dans les grands : cuisine venant d’un rôtisseur réputé de la ville, bons vins… Il faut dire que Line fait partie des « rares » femmes gourmandes. Ils sont installés en face, ils bavardent comme d’habitude de rien … Louis un peu à plat dans sa conversation ne sait trop comment faire avec cette fille qui lui semble farouche. Alors il décide de tenter le sort : il est debout derrière elle, pose ses mains sur les épaules de Line, un peu surprise. Elle souhaitait qu’il soit entreprenant, pas comme ça. Pour elle il aurait fallu qu’il l’embrasse dans une ambiance de comédie musicale. (Et puis quoi encore : je raconte une histoire de cul pas une romance à 2 balles.)

Revenons à Line et Louis. Bien, vous y êtes ? Allons-y.

Des épaules les mains glissent doucement vers les seins. Line baisse sa tête sur le côté, elle quémande ainsi un baiser sur le cou qu’elle a très sensible. Miracle du désir Louis pose sa bouche presqu’à l’endroit désiré. C’est largement suffisant pour exciter à fond Line. Elle pose ses mains sur celle de Louis. Elle les dirige un peu plus bas. Si elle s’était écoutée elle aurait mis la main en bas, sur la fourche. Le reste de pudeur qu’elle possède lui font mettre les mains sur ses hanches.

Line espère la suite comme elle le désire : finir dans un lit. Louis voudrait aussi la même chose, mais il ne lit pas dans la cervelle de son amie. Alors, il fait comme tout homme dans son cas. Il descend sa main vers les genoux de la demoiselle. Quand il monte en caressant le long de l’intérieur des cuisses, elle se laisse faire. Elle n’écarte pas les jambes à la demande : un peu de temps mort suffit à faire monter la pression dans le pantalon de Louis.

C’est vrai que la queue de Louis est dure, de plus en plus dure, elle grimpe sans cesse. Il aurait envie qu’elle la lui sorte, la lui caresse, la lui masturbe. Il est une chose qu’il ne connait pas : le passé de Line. Est-elle neuve, à dépuceler. Combien de bites elle a vue et caressé et enfin combien en e-t-elle eu dans son réfrigérateur du bas ?

Il se déplace vers le coté : il pose ainsi son engin sur l’épaule de Line qui peut se rendre compte de l’était physique de Louis. Il craignait qu’elle ne le trouve pas à son gout. Quand d’une main, Line attrape la queue pour la masser, Louis, se tend vers elle. Line fait mieux, elle se tourne vers Louis, sort la bite, la regarde un peu avant de la lui bouffer sans pitié. Elle aime bien, et le gout et la relative dureté d’une pine dans sa bouche. Elle aime particulièrement refaire ce qu’elle faisait avant à son premier amour. Elle descend doucement avec les lèvres le prépuce, lèche le haut puis le bord extérieur du gland. Elle n’attend qu’une petite chose : la goute de sperme.

Line arrête sa caresse, alors que Louis aurait bien aimé jouir dans la bouche de la fille.

C’est à lui pour la suite. Comme s’il se réveillait Louis monte sa main vers le paradis indispensable de Line qui l’attend. Pour elle sentir cette main monter vers son minou est galante, indispensable, adorable. Le pire dans cette attente est quand il arrive juste à côté des lèvres. Elle voudrait qu’il, enfin, qu’il lui fasse des choses, des choses indéfinissables, difficiles à demander comme ça pour une première fois à une type qui veut vous baiser et que vous désiraient. Elle les sent pourtant proches ses doigts qui contiennent tous les plaisirs de la chairs.

Louis passe sur les lèvres un doigt négligeant. Il est attiré par mieux que ces minuscules parties d’un sexe de fille. Il veut le maximum. Un clitoris sinon rien. Il est là ce petit morceau de chair plein de nerfs. Il le touche en l’effleurant. Il monte comme s’il le snobait.

Line bout intérieurement : elle veut son plaisir, maintenant, pas dans 2 minutes. Louis sait ce qu’elle peut ressentir : il le fait exprès. Il sait qu’en attendant elle prendra un plaisir plus fort, plus complet, même sans pénétration.

Leurs langues ne cessent de jouer, leur bouche de s’embrasser. Mais, la main de Louis, ne semble pas décidée à participer à cette fête particulière.

Enflammée, Line prend la main de Louis, la pose sur ses parties sensible. Sans être masseur, Louis sait comment dérider Line. Un seul doigt suffit pour masser ou caresser l’endroit. Line se cabre, se tend, se donne, s’abandonne à l’étreinte particulière. Elle en oublie la bite de Louis. Son ventre se plie, se contorsionne lentement au fur et à mesure du plaisir qui monte depuis ses reins jusqu’en haut dans sa tête : elle jouit sans compromis. C’est bon elle ne voudrait pas que ça cesse.

Louis se penche entre ses cuisses, revient sur les lieux du forfait de sa main, c’est sa langue qui lèche, caresse, asticote encore le même endroit. Et Line se tord encore, part dans une sphère inconnue. Ses cordes vocales participent à l’opération par des oui, encore, c’est bon, mets moi la.

Louis remonte le long du corps de son amante : sa queue toujours raidie par le besoin inhumain de baiser. Line l’attend : elle passe ses jambes autour de la taille du mâle. Elle peut mieux diriger la suite. Elle pousse comme un râle quand elle est pénétrée. Lui sent la pine enter dans les méandres du con de Line. Dommage, en quelques courtes minutes le sort du sperme est réglé : il passe d’un corps à l’autre.

Lui reste encore comme il peut dans la gaine de plaisir de Line. Elle resserre les muscles de son sexe pour le retenir : rien n’y fait. Elle aurait tant voulu qu’il visite son autre entrée. Ce sera pour un peu plus tard : la nuit est longue.
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Histoire de fabrissa

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