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Lingerie coquine 11

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Lue : 727 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/11/2016

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Orgie à domicile.


Suzon m’a allumé les sens. Un instant j’ai cru voir tomber la dentelle et retrouver la belle nue, toute nue, mais pour moi seul cette fois. Soutien-gorge et string enlevés, enfin elle m’appartiendrait. Enfin ! La première fois elle s’était présentée à Lili et à Jules dans le plus simple appareil et je l’avais trouvée si désirable. Son entrée inattendue dans la chambre les avait effrayés puis rassurés, trop rassurés à mon goût puisque, après un épisode lesbien avec Lili des plus surprenants, elle avait été prise en levrette, sous mes yeux, par son mari. C’est dire comme son apparition et son attitude bienveillante pendant l’adultère commis par nos conjoints avait fini par les convaincre qu’ils n’avaient rien à redouter d’elle et qu’ils pouvaient user d’elle à volonté.

Depuis elle m’a expliqué qu’à ce moment précis, elle attendait mon entrée pour confondre les deux coupables. Mais au lieu d’intervenir, j’avais fui, dégoûté de son comportement ambigu, laissant le champ libre aux amants. Et depuis, chaque vendredi, dans mon lit, Lili et Jules se livrent à leurs exercices de rentre-moi dedans et fais-moi du bien, étonnés à peine de ne plus recevoir la visite de Suzon et persuadés et de son silence et de mon aveuglement de mari cocu. Pour eux Suzon n’irait pas se vanter auprès de moi de sa complicité. Par ailleurs notre recherche du partenaire idéal pour la réalisation du sandwich sexuel se révèle trop longue, nous paralyse et permet aux infidèles de connaître le bonheur de nous tromper sans être dérangés. Suzon en a marre et l’a exprimé.

Dans ce contexte Suzon vient de me montrer, en sa lingerie fine, dans cette chambre d’auberge, ce que je perds d’elle en plus de notre temps. Vêtue de sa lingerie rouge détournée, elle m’a rappelé sa beauté naturelle et son amour et a obtenu, sans rien m’accorder d‘autre qu‘une promesse, que je me décide à tirer la situation au clair, à montrer aux coupables que les événements sont connus de moi aussi et me forcent à tirer les conclusions qui s’imposent : la séparation et le divorce

Ça va chauffer, Suzon m’aime, m’a conduit à avouer que je l’aime, mais elle ne souffrira pas une nouvelle reculade de ma part. Elle m’appartiendra si j’agis, si je la mérite. Ailleurs cela s’appelle un ultimatum… Dans ma voiture nous passons sous mes fenêtres. La voiture bleue stationne devant mon garage. Jules baise Lili ! Par excès de confiance, les amoureux ne prennent pas de précautions, ne se cachent pas. Je m’arrête un peu plus loin pour ne pas les alerter, afin de garantir une arrivée surprise, sans leur laisser le temps de s’habiller. Nous voulons des preuves irréfutables de l’adultère. Mon smart phone enregistrera les images des corps emmêlés.

Quelques pas devant nous marche un grand gaillard, rouleur de mécanique, une sorte d’Aldo Maccione. Mais…

- Qu’est-ce que ce bonhomme va faire chez moi ? Il entre dans la cour, se dirige vers la porte d’entrée sur le flanc droit de la maison. Nous nous sommes arrêtés derrière la haie. Il sonne, attend une minute. La porte s’ouvre et nous reconnaissons la voix de Jules :

- Enfin ! Tu as vu l’heure, où as-tu traîné ? Entre vite, monte, nous commencions à désespérer.


Suzon et moi empruntons le passage pour homme de la porte du garage, entendons les pas en haut de l’escalier, pénétrons dans le vestibule au pied des marches, dans l’angle fermé où on ne peut pas nous apercevoir et nous tendons l’oreille. Arrêté sur le palier Jules, en maître de maison demande à son hôte de pendre ses vêtements au porte manteau :

- Tu n’as pas l’intention de tirer un coup en restant habillé. Fais vite, mets toi à poil, elle bout d’impatience. Tu sais te faire désirer. J’ai été obligé de l’amuser, elle mouille.


Le gaillard pose veste, chemise, pantalon, caleçon, défait chaussures et chaussettes et se dresse nu face à Jules également nu. Ils se regardent; l’étranger interroge :

- Où est ta femme ?

- Derrière cette porte dans notre lit. Tu constateras que je ne t’ai pas raconté de salades, c’est une merveille.

Voilà Jules qui laisse croire que Lili est son épouse. Il loue ses qualités et l’offre généreusement à cet étranger. Il ne manque pas d’air.

- Elle est d’accord pour la double pénétration, sûr ?

- Elle est demandeuse. C’est son fantasme. Bon, tu es un peu épais pour la sodomie, pour aujourd’hui tu attaqueras le sexe. Il faudra un temps d’adaptation pour passer à la sodomie.

Jules a bâti un plan, appelé un autre homme en renfort pour exécuter le fantasme de Lili. Ils vont la prendre en sandwich. L’animal a été plus rapide que moi pour organiser la séance à trois. Il répartit les rôles, se conserve sa tâche préférée : enculer.

- Bien, pour aujourd’hui je me contenterai du sexe. Toutefois si vous souhaitez recommencer, je passerai par la porte arrière. Est-elle prête ?

- Je l’ai bien chauffée en t’attendant. Pour ne pas lui faire peur, j’entre avec toi, je me couche contre elle, toi tu fais connaissance.

- J’aimerais commencer seul, tirer un coup et évaluer son ardeur. Après nous la pénétrerons à deux par tous les trous. Ça te va ?

- C’est parfait. Mets-la en confiance, éblouis-la et ensuite elle se livrera à fond.

- Et ça ne te fait rien de m’offrir ta femme et de nous regarder jouir?

- Je ferais n’importe quoi pour lui plaire. Elle le veut, elle doit réaliser son fantasme. Entrons.

Jules passe devant son complice et annonce :

- Ma chérie, chose promise, chose due. Ma surprise est arrivée en retard, mais voici Didier.

- Didier ? Oh, bonjour Didier. Merci d’être venu. Je vois que vous êtes en tenue. Jules vous a indiqué la raison de la convocation ? Oui et vous êtes d’accord ?
Eh! Bien, approchez, venez là que je vous voie de près, là près de la fenêtre. Oh; il faut que je me lève pour t’accueillir Didier. Jules, je te félicite, ce garçon est superbe, musclé et doté du plus bel outillage. Puis-je toucher ? Oh !


- Touche, ma chérie, il est à toi. Sois gentille avec ce bénévole et tes vœux seront exaucés.

Pendant que Lili s’extasie sur les qualités apparentes de Didier, Suzon et moi atteignons le palier et l’entrée de ma chambre. En face, de l’autre côté du lit, ma femme tend ses lèvres au nouvel arrivant. Tout près Jules vu de dos reste immobile, hausse les épaules. Ce baiser de Lili et de Didier dépasse ses prévisions. Lili se détache et glisse, en frottant du ventre et des seins, le long de son héros, s’agenouille devant son sexe, soupèse les testicules, saisit la verge en érection et s’exclame:

- Jules, tu as trouvé un spécimen rare. Merci mon chéri. Ses couilles sont gonflées, lourdes à souhait et son sexe est absolument exceptionnel, en longueur et en diamètre. Quelle queue, quel gland impressionnant. Mes sincères félicitations l’ami, merci encore d’être aussi généreux

Jules ne doit pas apprécier beaucoup les soupirs d’admiration et les compliments de Lili. Il subit l’enthousiasme de ma femme et se penche vers ses propres attributs pour comparer sa verge avec celle du partenaire qu’il a déniché. La comparaison n’est pas à son avantage. Lili perd ses mots mais passe à l’acte. Ses deux mains englobent la tige épaisse tendue vers son visage, caressent le bel engin, entament une masturbation instantanée. Jules tente une diversion :

- Attention, ne traînons pas, nous avons du retard.

- Oui, mais j’ai tellement hâte de prendre cette bite en bouche. Didier, permets-tu ?

- Je t’en prie Lili, mes bijoux de famille sont à ton entière disposition. Sers-toi, rien ne saurait me combler davantage. Ah! Gourmande, il faut bien ouvrir les mâchoires. Que tu es douée ma belle. Et si on se couchait ?

Lili est d’accord évidemment. Elle prend les commandes:


- Toi, mon Jules chéri, allonge-toi de ce côté. Que je suis heureuse de coucher entre deux hommes aussi bien disposés. Jules entretiens-toi, je veux mieux connaître ton ami. M’amour, tu ne seras pas jaloux ? Comme je t’aime. .. Oui Didier,toi aussi tu peux me toucher. Mes jambes, mes cuisses, mon ventre, mes seins, mon cou, ma bouche : tout mon corps t’attend.

- Et là ?

Lili roucoule de bonheur quand l’audacieux effleure de ses mains épaisses les chairs de sa vulve.

- Mon sexe ? Bien sûr et c’est surtout « là » qu’est mon attente. Oh ! Merci.
Jules, vois comme il s’y prend habilement. C’est un bonheur. Ses doigts m’ouvrent, son souffle m’enflamme.

- J’en suis ravi. N’oublie pas que le temps presse.

Didier tilte :

- Pourquoi cette h^te, Jules?

- C’est que je suis l’amant et non le mari de Lili. Le mari quitte le travail à 17 heures trente. C’est un cocu heureux par ignorance.

- La situation se complique. Le bienheureux ne sait pas quoi ?

- Que sa femme est une chaude qui a pris un amant et qui veut explorer toutes les possibilités de se donner du plaisir.

- Est-ce vrai Lili ?

- Oui et je te prie de donner tout ce que tu es capable de fournir. Une autre femme profite-t-elle de ta nature généreuse?

- Peux-tu imaginer que tout ça ne serve pas? Je suis marié .

- Oh ! La veinarde ! Ah! Que c’est dommage. Toi, tu me plais tellement. Aimes-tu ma bouche ?

Nous n’apercevons que le dos de Jules. Si quelque un découvre la jalousie, ce doit être Jules, cet amant surclassé par Didier qui enchante Lili. Elle cesse la fellation pour une autre question:

- Ta femme aussi est cocue. Tu ne l’aimes plus puisque tu la trompes?

- Hé, non ! Nous avons cinq enfants. Margaux estime que c’est assez. Alors nous avons un accord : elle m’autorise à rendre service à des malheureuses sexuellement insatisfaites. Je lui raconte mes aventures, elle m’écoute avec passion et m’encourage dans mon œuvre humanitaire.

- Je ne suis donc pas seule à …

- Chaque semaine j’ensemence une ou deux mal baisées. Aujourd’hui, grâce à Jules et à toi, c’est une première à trois participants. Veux-tu te coucher sur le dos et ouvrir tes brancards. Oui, comme ça. Tu as un beau sexe, bien dégagé. Qui t’oblige à raser ta motte, ton mari?

- Ben non : Jules me l’a demandé. Ça n’a pas plu à mon homme. Que préfères-tu?

- Je baise tout ce qui vient. J’ai une préférence pour les chattes poilues, en broussailles.

- A partir d’aujourd’hui, je ne me raserai plus les poils pour te faire plaisir et un peu pour calmer mon mari.

- C’est comme tu voudras. Je n’exige rien. Sens-tu mon gland contre tes lèvres?

- Oh! Oui, viens, prends-moi… Que tu es gros, aïe. Mais pousse, ça va passer, je le veux, ha!


À suivre.
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Histoire de Veilleur

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