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Liposuccion 5

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Lue : 721 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/10/2013

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Maud partie, André m’invite à sortir du placard-cabine de tournage.
-Assieds-toi et bois un coup. La suivante arrivera dans un quart d’heure. Par bonheur Julie ne me demandera pas un exploit sexuel supplémentaire, pas à la première visite. Enfin je l’espère. Je regretterais de devoir repousser les avances d’une femme aussi appétissante. Cette Maud possède un tempérament flamboyant, elle vient de me crever. Cette fois es-tu déçu ? Sa sucette finale m’a tué. Je prévois un autre rendez-vous ici avec toi ?
- C’est un joli lot. Mais tu vas trop vite en besogne et tu risques de l’effrayer. Ce serait dommage. Elle m’a enthousiasmé.
- J’ai vu ! Une fois que Maud est chaude on peut tout lui imposer. Je pense la mettre en route, lancer le mouvement, chauffer ses sens et te présenter à ce moment. Nous pourrions composer un trio, ou je me reposerais pendant que tu la défoncerais. Es-tu partant ?
- C’est certainement celle que je choisirais. J’aimerais pourtant observer quelques autres spécimens. Je ne veux pas me tromper dans le choix d’une maîtresse. Je ne peux pas me disperser, sinon ma femme le remarquerait trop vite. Je la mets en tête de liste si tu veux.
-D’accord, d’accord. Il y a encore Cathy, Anaïs, Charlotte, Régine. Elles piaffent d’impatience. Mon gaillard tu as la chance d’être tombé sur moi. Ah ! J’oubliais celle qui va se pointer, la brave Julie. Tu pourras y goûter, mais après moi. Tiens-toi prêt à manier le caméscope, si elle vient pour baiser, si elle y tient vraiment, je ne pourrai pas me dérober.
- Tu es crevé oui ou non ? N’as-tu pas peur de te ridiculiser ? Tu devais attendre l’intervention du chirurgien. As-tu changé d’avis.
- C’est vrai. Où ai-je la tête ? J’entends des voix. Cache-toi. … Entrez.

Victoire entre, elle tient ma femme. par la main. Julie est en beauté, fraîchement coiffée, fardée, très fardée, fardée comme jamais. Elle a relevé ses seins dans un soutien-gorge en corbeille, le bouton supérieur de sa blouse est resté négligemment ouvert. Sa peau sur le haut de sa poitrine brille d’un éclat que je ne lui connais pas. Aurait-elle grandi depuis ce matin : elle est montée sur des talons pointus de douze centimètres qui donnent à ses jambes un élan incroyable, arrêté par la limite de la plus courte des minijupes. Coiffure, maquillage, chaussures et vêtements neufs sont soulignés par le collier et les boucles d’oreilles de son anniversaire. Elle s’est préparée pour éblouir André, pour le séduire et pour le faire succomber. C’est une tentatrice redoutable qui joue la timide cachée derrière Victoire.
-André, je te présente Julie, ma cousine. Elle avait peur de monter. J’ai dû la tirer dans l’escalier. Dis-lui que tu ne la mangeras pas. Enfin, Julie, vous vous connaissez ! André mène souvent les séances d’aquagym. Allez fais ta bise. N’oublie pas de lui dire ce qui t’amène. Je me retire, passez un bon moment.
-Julie rougit, fait un pas vers André. Il l’accueille à bras ouverts et ils échangent une double bise sous le regard attendri de cette salope de Victoire : de la porte, dans le dos de Julie, l’entremetteuse arrondit un pouce et un index réunis aux extrémités et y fait aller et venir l’index de l’autre main. André sourit de ce geste obscène qui invite à la pénétration.

Demeurés seuls ils se regardent. Julie impressionne André. Il met une bonne minute à se remettre de la surprise, se ravise et se lance enfin dans un compliment de circonstance. Il offre un siège, sort une demi bouteille de champagne, verse deux coupes, lève son verre à la plus belle de ses visiteuses. D’emblée il tutoie ma femme.
-Chère Julie, tu es magnifique, splendide.

L’animal a raison. Toute rouge du plaisir de l’accueil, Julie attrape la balle au bond :
-N’exagère pas. Tu ne m’as pas toujours dit ça.

Elle aussi tutoie : ce n’est pas habituel. Les deux se connaissent donc bien et ont dû se rencontrer à plusieurs reprises. André n’avait pas évoqué devant moi des contacts à l’origine de cette familiarité : l’idée de liposuccion n’est pas tombée du ciel. Il a multiplié les occasions de l’imprimer dans le cerveau caché sous les mèches blondes qui égaient depuis aujourd’hui la chevelure habituellement brune de la coiffeuse. Et Victoire relayait ses invitations. Sont-ils déjà amants ? Peu à peu je découvre de nouveaux détails insolites dans la tenue et l’allure de Julie, tant j’ai été surpris, moi, le mari, par la métamorphose de mon épouse. André ressent le même étonnement. Ca faisait longtemps que Julie ne cherchait plus à me surprendre. Qu’a-t-elle donc en tête ? Ca me semble clair ! Elle refuse l’excès et introduit le sujet du jour :
-Souviens-toi du nombre de fois où tu m’as fait remarquer mes coussins de matière adipeuse.
- C’était pour te taquiner, je le regrette. Tu es parfaite.
- Ne mens pas, j’en ai pleuré en secret, j’ai fait le régime que tu me prescrivais.
-Ca ne peut pas nuire. Mais arrête, tu es si belle aujourd’hui.
-Moque-toi. J’ai appliqué ta dernière recommandation, j’ai trouvé un chirurgien à Tunis pour une liposuccion et pour remonter mes seins.
- Non, il ne fallait pas. Je plaisantais

L’hypocrite. Victoire l’a mis au courant, il sait que les billets sont achetés, la date retenue ; il fait l’innocent. Il joue au chat et à la souris !
-N’as-tu pas fourni des adresses à Victoire ? Il y a un mois, au salon de coiffure tu as pincé mes hanches en hochant la tête. Le lendemain au bar voisin, pendant ma pose, tu m’as demandé si ma recherche avançait. Tu m’as proposé de m’aider financièrement si mon mari ne voulait pas lâcher de l’argent. Ca ne peut pas être une plaisanterie. Regarde ça : ce sont les billets d’avion.
-Aie, je me sens fautif. Tu m’as pris au sérieux. Dans le fond, en maillot de bain, tu es différente. La liposuccion te rendra encore plus belle. Tu seras satisfaite et tu me remercieras. Ah ? Dans quinze jours tu prends l’avion. Avec ton mari ?
- Non, il refuse le voyage et la liposuccion et il menace de divorcer. Je suis malheureuse. J’aurais tellement l’avoir à mes côtés.
-Ton mari est un sot. Il ne te mérite pas. S’il n’y avait pas la différence d’âge entre toi et moi, je me jetterais à tes pieds et je t’épouserais

Dans mon placard j’entends et j’enregistre. Ah ! Je suis un sot. Je ne l’oublierai pas. Il m’abaisse pour se faire valoir. Mais l’incorrigible Don Juan, utilise le conditionnel et se ménage une porte de sortie : Julie a sept ans de plus que lui.
-J’aime mon mari. Je ne veux pas m’en séparer. Tu ne m’épouserais pas à cause des quelques années de différence ? Tu m’as fait des déclarations plus enflammées, tu disais :
« Fais-toi opérer, je saurai que tu m’aimes ».
-Tu n’auras pas à me marier. Mon mari menace, il aboie mais ne mord pas : il ne divorcera pas, je le connais. Il va attendre mon retour bien sagement et quand il me verra revenir toute neuve, il me sautera au cou.
- Parfait ! On s’est tout dit ?
-Ah ! Non. Plaisanterie ou pas, tu m’as mis dans le pétrin. Tu me dois réparation. Je ne veux pas y aller seule. Tu es responsable de ma décision, prise contre l’avis de mon mari : tu dois porter ta part. Tiens, ceci est ton billet d’avion. Arrange-toi pour te libérer.
-Ca ne se fait pas. Nous ne sommes pas mariés, pas amants. Rien ne peut m’obliger à te suivre. Que diront les gens, que pensera ton homme ?
- Il n’en saura rien, il n’aura pas d’état d’âme ! Ce n’est pas juste, tu n’as pas le droit de me laisser tomber. Tu n’auras rien à payer, je prends tous les frais en charge. Je veux un homme pour me soutenir et me protéger. Nous aurons la même chambre mais deux lits séparés, je ne te tenterai pas, je ne serai pas en état de faire des folies. Tu n’as rien à craindre. Ça te fera six jours de repos au soleil. Tu acceptes ?
- Vraiment, parce que c’est toi, je veux bien.

Julie se lève, court vers André, lui saute au cou en criant « Merci, Oh, merci »
Elle veut embrasser ses joues, il détourne la tête, happe sa bouche, lui roule un patin. Les lèvres restent longuement collées. L’étreinte se prolonge, Julie est prisonnières des mains refermées l’une sur sa hanche si épaisse et l’autre sur sa croupe à réformer. Accroché à ces formes reprochées, André profite de la situation pour sonder la résistance. Julie décroche, proteste :
-Non, pas comme ça André. Je suis mariée.
-A un mufle. Quitte-le, sois à moi.
- Je croyais que tu étais mon ami. Reprends-toi.
-Oui, pardon. Je ne recommencerai plus. Aussi, c’est toi qui m’as sauté dessus. Pardon, je suis ton ami. Oublions cet instant d’égarement. Mais c’était drôlement bon. Hein ?
-Oui. Mais il ne faut pas, je n’ai pas le droit. As-tu des questions ?
- Ce serait plutôt un conseil. Quand des femmes font un régime sévère, elles aiment se rendre compte de leurs progrès. Combien de publicités montrent des photos d’avant et d’après. N’as-tu pas envie de faire comme elles ? As-tu des photos de ton corps tel qu’il est actuellement pour les comparer à celles que tu prendras lorsque ta silhouette sera impeccable.
- Non ! Comment ferais-je. Oui, je trouve que ce serait chouette. J’aimerais, mais ce n’est pas possible.
-Me ferais-tu confiance ? J’ai le matériel, je peux te photographier sous tous les angles, maintenant et après la guérison.
- Oui, je veux bien. Euh…Faut-il que je me déshabille ?
-Un peu, forcément. Je te connais, je t’ai vue en maillot de bain. Tu as une culotte et un soutien-gorge là-dessous. Ça devrait suffire. Passe dans ma chambre, mets-toi en tenue, je sors mon appareil. Oui, c’est par là. Appelle-moi quand tu seras prête.

Julie passe d’un côté à l’autre de mon placard-observatoire. La porte coulissante s’ouvre
-Alors, Jean, tu préfères celle-là à Maud ?
-Oh ! Bien sûr.
-Attends de la voir à poil.
-A poil ? Tu as dit en culotte et soutien-gorge.
-Il faut un début à tout. Elle commence le strip-tease ; je l’achèverai. Je veux la voir nue. Cette étape franchie, toute honte bue, elle s’offrira et je devrai freiner son ardeur. Elles sont toutes pareilles quand elles n’ont plus rien à cacher. Crois-moi, je ne sais pas si je vais pouvoir dominer mon instinct. Son innocence m’excite encore plus que le vice des autres. Filme, ne rate rien. Ne fais pas de bruit, je bande, j’y vais. Gare à sa vertu.

De l’autre côté, Julie a fait l’essentiel du travail. Avait-elle prévu cette séance de photos. La taille de ses derniers voiles n’est pas de nature à dissimuler ses formes. Qu’elle est belle ! Qu’elle est impudique.
André la pousse devant le miroir d’une moitié de porte coulissante, il se tient dans son dos.
-Regarde-toi attentivement. Désigne tes petits défauts.

Julie ouvre ses jambes, pose ses mains à l’intérieur des cuisses
-Là, tu vois ?

André se place sur le côté, fléchit une jambe et à son tour touche la cuisse à l’endroit désigné, promène ses doigts de haut en bas, attrape entre pouce et index un bourrelet de chair.
-Tu parles de ça ? C’est vrai, c’est du muscle gras. De l’autre côté, ouvre que je puisse toucher.

Quelle femme ne comprendrait pas l’orientation de ces attouchements : il n’a pas pris de photo, il se contente de toucher la peau si douce à l’intérieur des cuisses, sous le mince string, fait des moues mais caresse, touche par inadvertance le gousset du cache sexe du dos de la main. Le frôlement descend, s’attarde aux genoux
-Le chirurgien devra aussi aspirer cette bosse derrière le genou.

La main parcourt le chemin du genou vers la cuisse, refait le trajet sur l’autre jambe. Je vois de prêt Julie fermer les yeux sous le toucher. Elle se retient, ces tâtonnements sont sans doute nécessaire pour localiser les poches avant de les photographier. Redressé André reprend place dans son dos. Lui aussi est ému par les contacts avec les chairs si proches du sexe convoité. S’il approche trop des fesses de Julie, elle ne pourra pas ignorer son érection. La lueur dans ses yeux face au caméscope et un raidissement du corps disent qu’elle a senti. Elle ne proteste pas. Elle sourit intérieurement, son charme opère, André n’est pas de bois. Mais c’est son ami, il a promis d’être correct, il faut faire la part du feu et admettre des réactions incontrôlables de sa virilité. Les mains baladeuses sur les hanches font partie de l’examen. Il doit lui sembler normal aussi de subir l’agréable passage des doigts entre le nombril et la limite du string. En effet le bourrelet le plus moche se situe là et la désole. André en mesure toute l’étendue et se contente de lâcher à plusieurs reprises des
« Ah ! Oui. En effet ».

Il recule, sérieux et solennel :
- Voyons le dos.

Il tâte, il tripote, il triture, explore, roule entre ses doigts.
-Oui ! Ah, si j’avais-su. Sais-tu ma chérie que je prends des cours pour devenir kinésithérapeute. Je n’ai pas encore mon diplôme, mais avec de bons massages j’aurais pu traiter en grande partie ces petits amas de graisse superflus.
- Tu crois ?
- Pas tout, mais une grande partie. La lipo aurait été plus légère. Dommage, tout est commandé. Que reste-t-il ?
-Il y a mes seins. Ils commencent à tomber.
-Ca ne se voit pas.
-A cause du soutien-gorge ils semblent plus fermes. Veux-tu les examiner. Défais les agrafes dans mon dos. Regarde. Je place mes doigts au-dessus et je tire : ils remontent. C’est plus beau comme ça ! Je voudrais les avoir comme ça.
- Tu permets. Ils sont pourtant bien fermes. Les tétins réagissent au quart de tour.

André a placé ses mains en forme de coupes sous les deux globes, ses index caressent les pointes érectiles. Il place son visage à côté de celui de Julie, me fait un clin d’œil et malaxe la poitrine. Julie souffle, ouvre légèrement la bouche, les yeux levés vers le plafond. Si le mâle pousse son avantage ses sens vont la trahir.
-Pour tes seins je ne suis pas compétent. Bon, ne bouge plus, je prends les photos. Tiens-toi droite….Rentre ton ventre… fais le sortir. Penche-toi sur le côté droit, fais saillir ta hanche… Même chose de l’autre côté. C’est bien. … Lève les bras, tes seins remontent, c’est bon signe.

Chaque ordre est suivi d’un déclic, précédé d’une pression sur une parcelle de peau. Julie obéit comme un automate. Son visage pourtant laisse percer des émotions contraires. J’y lis de la satisfaction puis un peu de gêne ou un profond trouble. Elle se sent dominée mais lutte contre la menace de céder.
-C’est fini, tu peux te rhabiller. Sauf si tu souhaites entamer tout de suite ta première séance de massage. Tu me paies le voyage, je t’offre jusqu’au départ des séances quotidienne de massage gratuites. Au club il y a une table de massage. Mais nous pouvons débuter ici exceptionnellement. Retournons au séjour. Nous utiliserons ma table.

Appuie-toi sur moi, grimpe là-dessus, allonge-toi sur le ventre. Tes bras ici, la tête comme ça. Julie cramponne ses mains au bord de table, ses jambes dépassent à l’autre bout. André verse un liquide dans ses mains et entreprend le massage dorsal.
-Julie, il serait préférable de baisser ta culotte. Je ne voudrais pas la tacher. De plus tes fesses réclament un massage vigoureux. Tu permets ?

Les doigts pourtant gras tirent le tissu, décollent la partie qui couvrait le sexe. La culotte passe des cuisses aux mollets, franchit les pieds et aboutit sur une chaise.
Voudrais-tu descendre une minute, je tourne la table pour avoir plus de place de chaque côté.
Julie reprend place dans la même position. Le quart de tour place le caméscope dans l’axe du corps. André se tourne vers moi, me sourit et me montre le fessier ; Il monte à hauteur des épaules, reprend le glissement des mains sur la peau, commande :
-Tu seras plus stable si tu écartes tes genoux.

Pour le moment il voit la figure de ma femme. Le caméscope lui restituera les images qu’il manque. Moi je vois sa figue ! Me voilà pour la première fois de ma vie en train de filmer de près l’intimité de ma femme, la grimace de sa vulve et le bâillement imperceptible de ses nymphes sous l’œil coquin de son cul. Je transpire. Je crains le pire.
Peux-tu te tourner sur le dos. Voilà. Pose tes talons sur le bord de table, sinon tu auras mal aux genoux.

André veut que je filme le sexe avec en fond les monticules des seins. Ses mains massent sous les côtes le fameux bourrelet. Il rit de plaisir et descend progressivement. La position des pieds a ouvert l’espace entre les jambes. Sous les poils bruns du pubis les petites lèvres s’épanouissent brillantes d’un fluide transparent. La nudité de ma femme est obscène, je suis le seul à la contempler.
-Qu’est-ce que je vois, tu veux te faire opérer et tu n’as pas dégagé ton pubis. Tu es inconsciente, ta touffe va gêner le chirurgien. Elle est épaisse. Il faudra couper, raser tous ces poils.

La fautive ne dit mot, reçoit sans broncher la main qui s’abat à la limite de sa fente et les doigts emmêles dans les poils coupables. Le majeur éprouve le clitoris, n’insiste pas, laisse grandir la sensation, mais ne cherche pas à réveiller trop vite la pudeur anesthésiée par le massage et les caresses.
-Je m’occupe de tes jambes maintenant. Remonte sur la table, appuie-toi sur les coudes, tends tes gambettes.

Le masseur étale en gestes doux une sorte d’huile, la répand sur toute la partie intérieure des cuisses. Il entreprend la cuisse gauche. Cette fois je ne vois plus grand-chose en dehors de son dos. C’est le tour de l’autre cuisse. Après un retournement je devine qu’il s’applique sur l’arrière des cuisses. J’entends de plus en plus distinctement les soupirs de Julie.
-On termine sur le dos encore un peu sur la face avant des cuisses, je remonte aux hanches, je redescends. Je filme en gâchant, de Julie je ne vois qu’un pied, un bout de jambes. Le balancement des coudes du soignant indique où il porte ses efforts. Merde, son pantalon vient de s’écraser sur ses pieds, il tire le corps allongé vers lui
-Non ! Pas ça, tu as promis. Arrête. Recule, retire ta verge. Tu perds la raison… Non André, ou je me fâche. Dehors

La protestation l’a bloqué net. C’est raté pour ce coup. Julie s’est révoltée à la dernière seconde, sans doute quand a commencé la pénétration du gland.
Rouge de confusion, André se baisse pour ramasser son pantalon, se réajuste et me fait signe de couper. Je sais désobéir, il ne me voit pas. J’ai failli assister en direct à l’adultère de ma femme. Pourquoi s’est-elle débattue ? Je l’apprends.
-Excuse-moi André. Je ne voulais pas te tenter. Je suis mariée, je suis une épouse fidèle.

J’ai frôlé la catastrophe, je laissais faire, certain d’être cocu. Il n’en est rien. Ouf ! André encore congestionné bafouille :
- C’était plus fort que moi, le contact de ton corps, ton odeur m’ont fait tourner la tête. J’ai eu une envie folle de te faire l’amour. Tu vois, tu cours un danger en me prenant avec toi à Tunis. Je croyais que tu serais reconnaissante. Je ne sais pas si je pourrai supporter de vivre près de toi avec une si forte pression de mes sens. Je ne suis qu’un homme.
- Quoi, tu essaies de te défiler ? C’est minable. Si tu m’avais possédée, tu te serais rétracté aussi ?
-Je suis fou de toi. Donne-toi à moi au moins une fois. Ton mariage ne mourra pas d’un rapport que ton mari ignorera. Nous nous aimons et cela ne le regarde pas. Je le répète, il ne te mérite pas. Viens.

Julie saute de la table, se penche, enfile sa culotte, les deux seins pendants. André veut s’en saisir.
-Si tu m’aimes, si tu couches je viens à Tunis. Je le jure.
- Tu n’auras rien avant d’être dans l’avion. Ne me prends pas pour une gourde.
- Dans l’avion ? C’est sûr ? Je te masse demain ?
- Je ne veux pas te soumettre à une tentation trop forte. Plus tard, peut-être, pour mon bien être. Oh ! Il est tard. Il va râler. Je me sauve

André enrage, vexé d’avoir subi un échec en ma présence
-Tu as vu la rusée salope. Elle me chauffe, se laisse tripoter et quand je crois me la faire elle me claque au bout de la pine. Oh ! Je l’aurai, patience et après je lui casserai son mariage et je te la refilerai. Non, mais… On vide une coupe ?
-Je ne peux pas. Ma vieille aussi pourrait râler. Des retouches s’imposent pour effacer la fin du massage.
- Ah ! Tu as raison, coupe ses cris. A demain. Je vais inviter la sœur de Victoire. Elle baise sans faire d’histoire et ne parle jamais de son mari. C’est autre chose. Même heure.

A suivre
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Histoire de Veilleur

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