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Ma Belle-doche 1 - L’art de la Fellation

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Lue : 8684 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/07/2017

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--- Une première partie qui pose le décor et décrit les personnages pour mieux les connaitre avant de rentrer plus avant dans le vif du sujet et les situations débridées auxquelles ils vont être confrontés. ---

Cela fait des années que je suis mariée à ma femme, Karen, et que nous vivons notre vie sexuelle pleinement. Belle blonde, cheveux mi-courts, d’un mètre soixante-cinq aux formes avantageuses (95C et un cul bien rond et musclé), elle tient un peu de sa mère plus petite, Marlène, qui doit tout de même faire un bonnet de plus et reste malgré son âge, la cinquantaine bien tapée, avec un cul qui reste fort plaisant à regarder pour un homme. Surtout lorsque, comme sa fille, elle porte une tenue qui lui donne un petit air coquin et sexy dont raffole tous les mecs. Alors que ma femme est d’un caractère plutôt autoritaire mais joyeuse, sa mère est toujours très discrète, réservée et pourtant parfois elle sait aussi se lâcher pour mettre de l’ambiance.

Il va s’en dire que l’été, j’aime bien la mater à côté de sa fille sur un transat, allongée pour bronzer ou se badigeonnant de crème aux endroits les plus audacieux de son anatomie pour ne pas cuire au soleil. Et même si ma fille est plutôt adepte du string (parfois minimaliste) sans le haut, ma belle-mère reste très classique avec un deux pièces qui lui maintient bien la poitrine et un slip de bain souvent banal. Parfois il lui arrive de l’ouvrir un peu pour éviter la marque trop flagrante dans le dos mais je n’ai jamais vu sa poitrine totalement de face. Bien qu’après un tour dans la piscine, j’ai souvent pu remarquer les grosses marques laissées par ces tétons larges parfois tendus. Il faut dire qu’elle porte aussi souvent des vêtements de couleur blanche qui la mettent particulièrement en valeur.

Elle est aussi adepte d’un maquillage toujours impeccable et d’un rouge à lèvres peu souvent discret s’alliant toujours de bijoux assortis à ses tenues. De ce point de vue-là, elle a quasiment les mêmes goûts que sa fille qui ne peut pas sortir sans accessoires ou dans une tenue toujours (très) féminine.
Ce jour-là, Roger son mari, m’appelle pour me signaler qu’il a un souci avec son nouvel ordinateur qui ne veut plus imprimer ses documents. J’essaie de l’aider par téléphoner mais impossible d’y arriver, il faut dire qu’il n’est pas doué avec l’informatique, beau papa !

Je me propose de venir le dépanner poliment dans l’après-midi alors que ma femme qui a écouté la conversation non loin de moi me fait des grands signes de la main au même moment. Je lui demande ce qui se passe, restant en ligne et elle me répond qu’elle pourrait peut-être en profiter pour aller avec son père chercher plusieurs sacs de terreaux dans une jardinerie non loin de là et moi je pourrais en profiter pour montrer comment fonctionne la nouvelle tablette de sa mère après m’être occupé de l’ordi de son père. Je la regarde un instant en faisant la moue, pour bien lui faire comprendre que je n’avais pas l’intention de passer mon après-midi à jouer au dépanneur plutôt que de profiter du soleil pour aller me balader ou profiter du balcon. J’entends Roger trouver l’idée excellente me rappelant que Marlène restera de tout de façon à la maison pour faire un peu les corvées ménagères, ce qui ne manque pas de le faire éclater de rire à l’autre bout du téléphone. Ma femme vient à mon niveau et se mets sur la pointe des pieds pour me susurrer à l’oreille, «Promis, je me rattraperais ce soir Chéri, comme t’en aura envie… ».

Je la regarde un instant se positionner maintenant devant moi alors que je reste indécis. Elle porte une petite brassière en dentelle blanche dos nu sans soutif avec un petit short moulant assorti qui mettent ses atouts en valeur et dont je peux voir dépasser légèrement les bords de son string de chaque côté. Elle me sourit et se cambre un peu devant moi en passant une main sur ses fesses qui remontent progressivement sur sa poitrine puis vient finir entre ses dents. Elle prend une attitude malicieuse qui me fait craquer et sans m’en rendre compte, j’accepte la proposition de Roger à haute voie en continuant de la regarder. Nous nous mettons rapidement d’accord sur l’horaire et nous raccrochons. Ma femme vient vers moi et me dit « Merci Chéri, t’es un amour, ce soir tu me feras ce que tu veux en échange. ». « M’ouais y’a intérêt » dis-je en la regardant s’éloigner en rigolant et moi faisant un peu la gueule de m’être fait un peu avoir sur ce coup-là.
Nous déjeunons un peu plus tard et je me change ensuite pour mettre un bermuda et un t-shirt avec mes baskets pour me rendre chez mes beaux-parents lorsqu’on sonne à la porte. Ma femme fait la vaisselle alors je vais ouvrir me demandant qui ça peut être. Il s’agit de Roger avec une petite bouteille à la main. C’est un homme bien portant (il doit peser le même poids que moi (94 kilos pour ma part) pour vingt centimètres de moins (1m83), brun, yeux marron, portant un costume un peu trop grand sans cravate. Il ne s’agit pas du père biologique de ma femme mais il a connu sa mère alors qu’elle était enceinte et ils se sont mariés rapidement juste avant sa naissance pour « faire les choses bien ». Il n’a pas sa langue dans sa poche et s’est utilisé son bagout en toute circonstance.
- Alors vous êtes prêt pour rejoindre ma belle et vous mettre au boulot, me lance t’il tout goguenard.
- Ah oui bien sûr, je finissais de préparer quelques fichiers sur une clé USB avant de partir avec un petit sourire forcé.
- Ah très bien, et ma fille alors ?
- Dans la cuisine, elle finit la vaisselle avant de partir. Je pensais venir avec elle chez vous pour plus de facilité.
- Oh non, pas la peine, vous voyez je suis déjà là. En plus, Marlène a commencé à faire le ménage. Après ce sera l’aspirateur et le repassage, pas la peine que je sois dans ses pattes, me dit-il en me faisant un clin d’œil.
- Ah oui bien sûr… m’imaginant déjà devoir subir ça pendant que je m’attèle à la tache...
Nous arrivons dans la cuisine où Karen finit de frotter la table avec un chiffon. Son père vient lui faire la bise et remarque sa tenue légère.
- Dis donc ma belle, on va à la jardinerie cet après-midi, pas draguer le petit minet dans les magasins.
- Oh papa, arrête, j’ai le droit de m’habiller comme je veux quand même à mon âge dis t’elle en lui souriant. En plus je suis sûre que maman s’habiller pareille quand elle était jeune.
- M’ouais, je suis pas certain, je me souviens pas que des petits trucs pareils existés à notre époque lui répond t’il en profitant pour mater un peu la croupe tendue de sa fille qui s’est cambrée davantage pour mieux astiquer la table.
Je le vois soudain passer un doigt pour attraper la petite ficelle rouge qui dépasse sur le côté de son short et tirer un peu dessus.
- En tout cas, toi au moins tu portes une petite culotte, pas comme ta mère qui adorait sortir sans quand elle avait ton âge.
Il se met à rire en tirant au maximum le petit bout de tissu élastique avant de le relâcher pour le faire claquer sur la chair blanche de ma femme.
- Humm, Papa. Elle pousse un petit cri en faisant une petite grimace lui jetant un regard noir.
- Oh si on peut plus s’amuser... dit-il alors qu’elle reprend son chiffon, avant de se mettre de l’autre côté, en matant davantage ses fesses et en posant la bouteille qu’il a amenée sur un coin de la table.
Il en profite pour passer son doigt de l’autre côté du string et tire dessus d’un coup pour le faire claquer à nouveau d’un coup avant de s’assoir sur la chaise qui se trouve à côté de lui.
Hrr… Papa ! Ma femme le regarde furibonde. Si ça continue, je vais aller me changer et l’enlever.
Moi je n’ai pas bougé car j’ai l’habitude de voir ma belle-famille toujours très détendue en notre présence et parler librement de sexe.
- Humm si tu veux, tu sais que si tu restes comme ça je vais pas pouvoir m’empêcher d’y toucher encore Choupette (le surnom qu’il donne à ma femme), comme quand j’étais gamin et que je jouais avec la ficelle des bretelles des soutifs de mes copines. Il commence déjà à repasser un doigt sur le tissu le plus près de lui en se penchant un peu pour mieux mater le cul de sa fille qui en as presque fini avec le nettoyage de la table. Il me regarde un instant en souriant et me fait un clin d’œil au même moment qu’il fait claquer à nouveau l’élastique sur la chair de Karen.
Elle se redresse d’un coup mais n’a pas le temps de dire quoique ce soit qu’elle reçoit illico une petite tape sur le bord de ses fesses.
- Allez sers nous plutôt un petit coup à boire à ton mari et à moi avant qu’il ailler travailler un peu.
Amusé par la situation, je prends rapidement place à la table en prenant une chaise à mon tour, bien décidé à me détendre avant le supplice.
- Non mais ho, pour qui vous me prenez là. Elle prend la bouteille de digestif, de la poire je pense, et enlève le bouchon avant d’aller sortir deux verres sans rien dire. Elle nous les pose devant nous avec un petit sourire pincé et nous sert ensuite sans rien dire.
- Ah bien merci ma chérie. Tu n’en veux pas ? demande son père.
- Non merci. Je vais plutôt enlever mon string tout de suite pour que t’arrête de jouer pendant que je conduirais. Parce que je suppose que c’est moi qui vais conduire hein ? dit-elle alors qu’elle commence à défaire le premier bouton de son short tout en sortant ses pieds de ses petits chaussons.
Je la regarde faire un peu rouge, sans rien dire, me demandant si elle va le faire vraiment devant nous là dans la cuisine même si je la connais loin d’être pudique. Elle doit surement apercevoir mon visage alors que je commence à boire mon petit verre à l’alcool fort car elle me lance en souriant « T’inquiète pas chéri, c’est pas la première fois que mon père va me voir toute nue… ».
- Oui oui, ne vous inquiétez pas Sammy, je connais ma fille quand même depuis le temps. Et en plus elle me connait aussi parce que c’est vrai que j’aurais peut-être été pénible en voiture. Il me sourit et s’enfile son verre d’une traite avant de le reposer sur la table.
Ma femme a retiré son short qu’elle a posé sur la table, et se retrouve avec son petit string ficelle rouge qu’elle commence à enlever à son tour pour se retrouver à moitié nue devant son père et moi. La fente parfaitement visible, et un peu humide il me semble. Totalement rasée après sa toilette matinale où je l’ai vue faire pendant son bain.
- Mmmm dit son père, souriant et profitant du spectacle sans gêne tout en se resservant un verre. Pas de doute, l’équitation t’a bien profité pendant toutes ses années. Et en plus tu ressembles toujours à la petite fille que j’ai toujours connue. Il part dans un rire gras.
Sans répondre, ma femme reprend son short et ses chaussons avant de se diriger vers la porte de la cuisine en roulant un peu du cul et en disant « Je vais me changer pour la peine, mettre des chaussures et un peu de rouge avant qu’on parte. N’abuse pas trop de l’alcool de papa chéri, tu conduis. » me lance t’elle en me regardant fière d’elle et souriante, chaloupant encore les fesses, avant de disparaitre telle une star en pleine représentation.
- Ok t’inquiète pas, je vais y aller de toute façon, ta mère doit m’attendre.
Je vois Roger nous regarder sans pouvoir s’empêcher d’être le regard fixé sur le cul de sa fille jusqu’à ce qu’elle est disparue. Il boit à nouveau un petit verre et me lance.
- Oui vous avez raison allez-y. Il ne faut pas vous mettre en retard, sinon vous allez encore l’entendre râler la vieille. Il s’esclaffe et poursuit : « Et puis vous inquiéter pas pour Karen, elle va aussi me rendre chèvre dans le magasin comme d’hab. Vous savez comment elle est. »
Je lui souris et commence à prendre congé encore un peu secoué par cette petite scène un peu surréaliste et lui serre la main avant de partir en direction de chez belle maman.
Sur la route, je reçois un petit texto de ma femme qui me dit qu’ils se sont aussi mis en route de leur côté et me souhaite bon courage. Je lui réponds après m’être garé dans l’allée de ma destination. Je sors et claque la portière en me dirigeant ensuite vers la porte où je sonne.
Pas de réponse, je recommence et attend à nouveau mais rien n’y fait. J’essaie d’ouvrir me disant que de toute façon je ne suis pas un inconnu et que Mickey le chien ne me sautera pas à la gorge. C’est fermé. Je râle malgré moi et commence à me positionner sur la fenêtre de la cuisine pour essayer de voir à l’intérieur. Je ne vois rien et change de côté en enjambant les pots de fleur pour voir par la double porte fenêtre et semble apercevoir une silhouette de l’autre côté. Je frappe à la fenêtre mais là encore rien n’y fait. Pas le choix, je vais devoir enjamber la petite barrière sur le côté de la maison pour passer sur le côté et faire le tour dans le jardin. Heureusement, je suis grand et reste un grand sportif. Je passe donc facilement l’obstacle et me retrouve dans le jardin où je commence à entendre le bruit sourd de ce qui ressemble être un aspirateur. Je commence à comprendre pourquoi elle n’a pas répondue et me retrouve sur le pas de la double porte vitrée à l’arrière de la maison à moitié ouverte. Mickey m’a vu et vient me faire la fête. Je le caresse un instant avant de lui demander où se trouve sa maitresse en entendant plus distinctement le bruit de l’aspiro. J’entre légèrement et soudain je m’immobilise en voyant Marlène à moitié à quatre pattes près d’un meuble de dos par rapport à moi en train d’aspirer dessous. Je la regarde faire sans un mot et peut remarquer qu’elle est pieds nus, avec un petit pantacourt moulant en tissu blanc sous lequel je ne peux distinguer ce qu’elle porte. Pour le haut, c’est encore plus simple, je remarque de suite qu’elle ne porte que son soutien-gorge. Je la laisse continuer et me recule un peu lorsque je la vois se mettre un peu de côté et continuer sa besogne. Ses longs cheveux blonds-gris sont noués en queue de cheval par un chouchou.
J’hésite à montrer ma présence et recule encore un peu pour me mettre davantage de côté et profiter encore du spectacle qui s’offre à moi. Je remarque les seins lourds ballotés dans leur écrin de lingerie fine de couleur bleue et remarque aisément la sueur qui perle sur tout le corps de Marlène qui s’attèle à sa tâche ingrate. Son pantacourt est aussi très mouillé par la sueur et je ne remarque pas de culotte dessous. Elle est bien rouge et je la remarque de temps à autre s’essuyer le front ou le creux de ses seins qui ballotent à chacun de ses mouvements. Elle s’arrête un instant pour reprendre son souffle et bien les remettre en place sans savoir que je suis là en train de la mater. Elle réajuste aussi ses bretelles tombantes et je la voie hésiter à instant, écartant un peu son soutif au milieu pour l’aider à mieux respirer. Je reste sans bouger espérant qu’elle va se décider à l’enlever. Hélas pour moi, elle décide le contraire et je n’ai pu entrapercevoir qu’un bref instant ses tétons de nouveau bien en place sous le tissu.
Elle n’a toujours pas remarqué ma présence et se relève complètement en s’éloignant pour continuer davantage dans la pièce. Je continue de profiter encore un peu de la vue jusqu’à ce qu’elle se soit éloignée suffisamment sur le côté et disparaitre vers le couloir.
J’attends un instant que mon début d’érection retombe un peu et je me décide alors à montrer ma présence en tapant sur la porte vitre et en l’ouvrant en grand tout en criant un « Marlène » assez puissant. Mickey vient me sauter dessus et j’entends l’aspirateur s’arrêter net alors que je recommence à appeler ma belle-mère.
J’entre plus avant et voit l’ordinateur portable de Roger poser sur la table à côté d’une chaise ou se trouve un petit chemisier blanc fin poser sur le dos de la chaise.
Je pose mes papiers et mes affaires sur la table lorsque je voie enfin de face la mère de ma femme devant moi toute rouge et en sueur venir à ma rencontre dans la même tenue, souriante et peu gênée pour me faire la bise.
- Ah vous voilà Sam, désolée je ne vois avez pas entendue. Je passais l’aspirateur. Vous avez frappé à la porte ?
Tout en disant cela, elle doit remarquer mon regard posé sur sa poitrine car elle attrape le chemisier et commence à l’enfiler puis à le boutonner. Je lui souris comme si de rien n’était et lui fait le descriptif de mon arrivée en lui rappelant que j’ai vu son mari avant de partir de chez moi en lui mentant un peu pour lui dire que je partais lorsqu’il arrivé.
Tant bien que mal elle essaie de se recoiffer un peu et de paraitre un peu plus présentable en me disant de commencer à regarder le pc de son mari pendant qu’elle finit l’aspiro et de faire comme chez moi si j’ai besoin d’un café ou d’autre chose. Elle me précise que les mots de passe sont sur une feuille près de l’imprimante et me signale que son mari à noter le nom du répertoire où se trouve les photos du dernier baptême familial auquel on a assisté ensemble il y a peu pour que je puisse les copier sur une clé.
Je l’as remercie en m’asseyant et lui répond que je vais regarder pendant qu’elle termine son travail, pas de problème. Les minutes passent et je règle rapidement le tout en réinstallant le driver de l’imprimante. J’effectue ensuite un test en imprimant une page quelconque venue d’internet. Marlène doit être du côté des chambres car je ne l’entends plus. Je vais me faire couler un café en me demandant ce que je vais bien pouvoir faire maintenant que j’ai réglé le souci en moins de dix minutes.
Je me remets à ma place et me dit que je vais regarder un peu si le pc a besoin d’un peu de ménage après que j’ai été lire mes mails. Rapidement je me retrouve à scruter dans les favoris de Roger si j’en trouve pas uns qui pourrait me plaire connaissant l’animal. Je me retrouve vite submergé tant il y en a dans tous les sens et à la pelle. Mais rien qui ne m’inspire vraiment jusqu’à ce que je clique au hasard sur un lien en me disant que c’est le dernier que j’ouvre tellement je ne me passionne pas pour la pèche et la chasse. Et là miracle, je ne peux m’empêcher de sourire en me retrouvant sur un site de vidéos pornos dédiées au sexe en groupe. Je mate deux trois extraits rapides histoire de me remonter un peu le moral en sifflant mon café avant d’aller voir si le disque dur du pc n’est pas surchargé, l’état de la corbeille, etc… Quand soudain, Marlène réapparait encore plus rouge et en sueur que tout à l’heure, les cheveux en bataille, le chemisier à moitié ouvert où j’aperçois immédiatement qu’elle ne porte plus son soutif en dessous. Je sursaute malgré moi surpris mais elle ne s’en aperçoit pas.
- Ouf enfin. L’aspiro est fini. souffle-t-elle dans ma direction. Tout va bien Sam, vous avez trouvé le problème ?
J’essaie de ne pas paraitre trop amusé en la matant ainsi, un peu décontenancé de son retour alors qu’une vidéo tourne avec une blonde à forte poitrine se faisant sauvagement prendre par deux beaux males.
- Oui, tout va bien. Je finis de regarder et je pense que ça devrait être bon, dis-je sur un ton amusé.
- Ah très bien, vous allez pouvoir regarder le mien ensuite alors…
- Oui pas de problème. Avec plaisir. Je reste poli et souriant n me demandant comment elle a pu se retrouver dans cet état en passant l’aspirateur alors que les deux males déversent leur semence sur le visage de la pauvre blonde elle aussi bien en sueur…
- Merci, c’est gentil. Je vais me rafraichir un peu et je reviens alors.
J’acquiesce de la tête et la voit repartir en sens inverse me laissant à nouveau seul. Je souffle de soulagement et ferme le navigateur pour en finir avec le pc.
Cela reste rapide alors que je ne peux m’empêcher de voir un nombre incalculable de fichiers non triés un peu partout sur le disque ou sur le bureau. Des dossiers photos nommés par dates ou par événements, thèmes. Je me souviens de la passion de Roger à flasher dans tous les sens avec son reflex lors d’un repas ou d’un autre événement familial à la manière d’un touriste japonais… Cela me fait sourire un instant et je suis sur le point d’abandonner ma recherche avant que je ne remarque enfin le dossier que je cherche juste en dessous d’un autre prénommé « Soirées Karen ». Je clique pour l’ouvrir et me retrouve à nouveau face à des dizaines de répertoires et quelques photos en vrac avec ma femme ou sa famille lors de vieux repas. Me vient alors l’idée d’insérer ma clé USB pour copier le tout et regarder plus tard tranquillement tout ça. Finalement, avec la capacité de cette dernière je me dis que je peux en copier beaucoup plus et je lance le transfert rêvant au fond de moi de trouver une ou deux photos de ma belle-mère en petite tenue… En attendant, je vais me dégourdir un peu les jambes dans la cuisine ou je me refais un petit café et dégote un petit paquet de gâteaux que j’ouvre et que je commence à grignoter. Je fais quelques pas dans le salon où se trouve aussi le séchoir à linge. Je souris en voyant quelques soutifs à ma belle-mère et quelques strings ainsi qu’une sorte de bustier en dentelle assez sexy en train de sécher parmi les nombreuses fringues accrochées. Je me l’imagine déjà ainsi habillée, en situation et cela provoque chez moi une nouvelle envie.
Après quelques secondes, je retourne vers la table et j’allume la tablette de Marlène et commence un premier examen en voyant que le tout est beaucoup plus ordonné. Mais qu’effectivement quelques applications essentielles sont encore à installer. C’est au même moment que réapparait enfin ma belle-mère métamorphosée devant moi.
Je sens de suite son parfum enivrant envahir la pièce et je ne peux m’empêcher de la regarder de la tête aux pieds tant elle ne ressemble plus du tout à la souillon d’il y a moins d’une demi-heure. Elle porte l’une de ses tenues pour une grande occasion ou presque. Et encore, je ne lui connaissais pas celle-ci un peu plus sexy que d’habitude je trouve. Elle a bien sûr passé une couche de maquillage sur son visage et son rouge à lèvres est bien pétant. Je la retrouve avec des boucles d’oreilles pendantes, un sautoir de perles et ses bagues aux doigts. Elle porte un petit top assez fin en V avec quelques strass avec une jupe assez courte plutôt moulante. Je ne devine pas de soutifs et il me semble qu’elle a opté pour des bas ou des dim up comme elle en a l’habitude et ne porte toujours pas de chaussures au pied. Elle me sourit alors que je reste un instant comme un con à la regarder ainsi et me demande :
- Alors je suis plus présentable ainsi ? prenant presque la pose avec une main sur le dossier d’une chaise.
- Euh… Oui bien sûr, dis-je un peu gêné par mon attitude masculine en lui rendant son sourire.
- Merci, c’est gentil. Je ne suis plus la femme que j’ai été et ma fille est beaucoup plus jolie que moi mais je n’en reste pas moins une femme qui aime encore plaire.
Je me demande un peu quoi répondre mais acquiesce ses propos alors que je la vois passer devant moi pour aller dans la cuisine. Je ne peux m’empêcher de porter mon regard sur ses fesses bien galbées dans sa jupe. Elle me demande si je veux un autre café alors qu’elle s’en prépare un. J’accepte alors que je vois que la copie des fichiers est finie sur le pc de Roger. J’y retire ma clé que je range rapidement dans mon sac et l’éteint. J’en profite pour réajuster un peu mon bermuda et me repositionne sur ma chaise pour mieux la regarder faire. Elle s’active sur les placards pour trouver ce dont elle a besoin et je ne peux m’empêcher de regarder ses formes généreuses bouger. Je profite de ce moment calme et un peu privilégié pour finalement poser un vrai regard de male sur cette femme toujours très désirable et terriblement féminine. Elle doit me sentir car elle me jette un regard de coin en me disant qu’elle a presque terminé et qu’elle va pouvoir m’écouter pour savoir comment utiliser sa nouvelle tablette. Je lui souris en lui disant qu’elle n’a plus besoin de se dépêcher pour me permettre de profiter du spectacle encore un peu alors que sa jupe un peu remontée me donne la confirmation qu’elle porte effectivement des dim up.
Soudain je sursaute sur ma chaise lorsque mon téléphone vibre et sonne un court instant signe que j’ai reçu un texto. Elle me regarde interrogative et lui répond que c’est Karen qui me dit qu’ils ont bientôt fini ses courses.
- Ah très bien, il faut se dépêcher alors si on veut avoir fini lorsqu’ils seront de retour.
Elle pose le plateau avec nos tasses et quelques sucreries sur la table basse du salon et plie les jambes pour poser ses genoux sur le long tapis en tapotant de la main le fauteuil à côté d’elle.
Je lui souris un peu étonné et vient m’assoir dans le fauteuil avec la tablette à la main alors qu’elle pose son avant-bras sur l’accoudoir en me souriant. Je profite un peu de la vue intéressante qui s’offre à moi et me cambre de tout mon long pour mieux la dominer en hauteur. Elle n’y prête pas attention et se cambre elle aussi pour mieux voir l’écran de la tablette.
- Allons-y, je vous écoute Sam.
- Humm… oui... alors ici…
Pendant de longues minutes je vais lui expliquer le fonctionnement de l’outil et profiter comme je le peux de temps à autre de la vue sur sa poitrine ou sur sa croupe bien cambrée lorsque soudain elle se met à quatre pattes devant moi pour prendre une tasse à café.
- Oh nous en avons oublié le café. Elle me tend alors ma tasse en se retournant toujours cambrée devant moi et je ne peux m’empêcher de lui mater l’arrière train qui se découvre un peu plus lorsque sa jupe remonte. Je peux maintenant parfaitement apercevoir la marque des dim up qui est assez large et très fine avec des petites formes fleuries. Elle prend la sienne et y ajoute plusieurs sucres avant de prendre un petit gâteau. Elle me regarde à nouveau pour me demander si j’en veux un aussi. Je lui dis que non sans pouvoir décrocher mes yeux de sa croupe. Elle reste un petit moment ainsi à tourner sa cuillère et en bougeant un peu ses jambes et son popotin devant moi. J’ai du mal à y croire.
- La vue vous convient, ça va ? me demande-t-elle alors.
Je déglutis sans répondre.
- Sam ?
- Oui oui, non oui, non pardon… Je dois rougir sans m’en rendre compte alors qu’elle reprend un autre gâteau qu’elle porte à sa bouche avant de revenir vers moi en me posant une main sur le genou qui me donne un léger frisson.
- Ça va, vous être sûr ? La vue ne vous a pas plu ?
Je me demande encore quoi répondre en fixant plutôt sa poitrine que ses yeux.
- Profitez-en, ce n’est pas tous les jours que vous aurez votre belle-mère à genoux à coté de vous, me lance-t-elle en riant.
J’essaie de lui sourire tant bien que mal alors que je sens une érection pointée le bout de son nez dans mon bermuda.
- Alors vous me disiez que si j’appuie ici ça ouvre internet… Au même instant elle se cambre davantage sur le côté pour que sa main puisse toucher la tablette que j’ai posée entre mes cuisses.
- Ah non non. Là c’est la météo.
- Ah oui, pardon, j’ai du mal à voir d’où je suis.
Se faisant, elle se rapproche davantage et son bras avec sa main posée sur mon genou vient prendre place sur ma cuisse entière devenant par la même occasion son nouvel accoudoir. Elle me sourit l’air un peu bête alors que je peux davantage apprécier la vue plongeante que j’ai sur sa ferme poitrine.
- Ça va, je ne suis pas trop lourde pour vous ?
- Non non, pas de problème.
- Très bien alors c’est ici l’internet. Elle clique sur un autre icone et ouvre cette fois-ci l’agenda calendrier.
- Heu non…
- Ah flute, j’aurais dû mettre mes lunettes. Elle se rapproche encore pour se mettre maintenant à quatre pattes sur le côté et avancer encore son visage de l’écran. Sa poitrine touche ma cuisse et je sens à nouveau un petit courant électrique me parcourir tout le dos pour me remonter vers mon cerveau en surchauffe.
J’ai de plus en plus de mal à me concentrer alors que je sens la peau douce de son bras et une partie de ses seins au contact de ma cuisse. Je sens aussi que dans mon bermuda, mon sexe commence à vouloir se relever dangereusement. Je déglutis difficilement et ne prête plus vraiment attention à ce qu’elle touche à l’écran comme une enfant avec un nouveau jouet alors qu’elle balance un peu les fesses de gauche à droite en même temps. J’ai l’impression qu’elle fredonne un peu en le bougeant. J’essaie de me repositionner un peu mieux dans le fauteuil en basculant un peu l’écran de côté et en redressant mon dos bien droit qui commence à me faire mal mais aussi dans l’espoir de lui cacher mon érection de plus en plus vive. Cela dure encore une ou deux interminables minutes pendant lesquelles je sens mes instincts prendre de plus en plus le pas sur ma raison alors que mon sexe commence à me faire mal et que mes mains me démangent. Mon regard va et vient entre sa croupe légèrement visible et ses seins que je sens tendus. Je bouge un peu la tête sur le côté pour essayer de voir un peu mieux son cul lorsqu’elle semble davantage concentrer sur la tablette lorsque soudain elle me dit en la fixant:
- Vous ne voudriez tout de même pas que je relève davantage ma jupe pour que vous voyiez mieux mes fesses, hein ?
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle mêle les gestes à la parole et se cambre davantage en s’appuyant d’un bras sur ma cuisse alors que sa main libre vient toucher le bord du tissu de sa robe pour la soulever doucement me faisant découvrir davantage ses rondeurs.
Je me fige sans un mot alors qu’elle ajoute « Encore un peu ou je m’arrête là ? » alors que son regard vif vient à la rencontre du mien. Je la regarde un instant avant que je ne vois sa main se placer à la hauteur de sa raie et s’immobiliser.
- Vous en pensez quoi Sammy ? Vous ne voulez pas voir le petit bijou que m’a offert mon mari dernièrement ?
J’hésite, mon sexe tendu me fait mal, mon crane est sur le point d’exploser et j’ai terriblement chaud d’un coup. Je ne comprends pas trop ce qu’elle veut dire mais j’ai une envie folle depuis longtemps de voir entièrement sa croupe rebondie à l’air libre.
Elle semble s’amuser de la situation alors qu’elle se cambre encore plus et bouge un peu les fesses, sa main ayant attrapée le tissu de sa jupe prête à me révéler ses formes. Elle me sourit et me fixe pleine de défi.
- Non ? Humm, moi qui croyez que le spectacle vous plaisez depuis tout à l’heure et que nous profiterions un peu du temps qu’il nous reste pour nous amuser un peu…. Je suis déçue…
Je vois sa main lâcher les rebords de sa robe comme pour me faire comprendre qu’elle respecte ma décision. Pourtant, je la regarde fixement et prend soudain une attitude différente plus dominante en lui souriant le regard plus noir comme si ma masculinité avait enfin pris le pas sur ma raison. Sans un mot, je l’interroge des yeux pour être sûre que c’est ce qu’elle veut. Ma main vient alors à la rencontre de la sienne et nous attrapons ensemble sa robe. Je lui lance un sourire de coin pour lui montrer que je vais prendre la direction des opérations.
Ses yeux se font plus doux, son sourire moins assuré et baisse légèrement la tête pour bien cambrer son fessier lorsque d’un coup je tire sur sa main et sa robe pour la relever complètement.
J’ai enfin une vue pleine et entière sur son cul rebondi. Mais la surprise est encore plus grande lorsque je peux y voir un petit éclat rouge en son centre. Elle ne porte aucune culotte et je vois immédiatement la forme d’une fausse pierre à la place de son anus. Je comprends tout de suite pourquoi elle bougeait les fesses depuis tout à l’heure, pour mieux sentir le plug anal qu’elle porte en elle et me demande si ce n’était finalement pas des petits feulements que j’entendais de sa part plutôt que des fredonnements.
« Hummmm… » Je ne peux m’empêcher de pousser un petit soupir d’approbation en voyant l’objet ainsi placé dans sa raie. Comprenant aussitôt par la même occasion que finalement, et contrairement à ce que je l’avais d’abord imaginé, la mère ressemble à la fille. Et que je vais avoir à faire à une sacrée cochonne entre les mains.
- Tu aimes mon petit bijou ?
- Oui, ça me plait beaucoup. Je passe ma main sur sa croupe alors que de son côté, elle prend la tablette et la pose comme elle le peut sur la petite table.
Je souris pour moi-même alors que mes doigts s’attardent un instant sur le bijou et commence à le faire un peu bouger sur place. L’effet est immédiat sur Marlène qui commence à gémir légèrement en se pinçant les lèvres. Je recommence plusieurs fois en alternant quelques caresses sur les deux côtés de ses fesses. Ses deux mains se sont agrippées à ma cuisse et elle se laisse faire en se cambrant au maximum pour moi, montrant bien son cul pour que j’aie la meilleure vue possible sur son postérieur.
« Humm mm oui, montrez-moi bien votre belle croupe…. » J’approuve son attitude plus soumise et continue de lui caresser l’arrière train tendrement alors que je sens ses seins lourds frotter plus avant sur ma peau. Je sens mon sexe se tendre fort alors que mes doigts se font un peu plus pressants. Je pince un peu la chair de son cul et utilise un peu mes ongles pour le griffer par instant avant de me remettre à le caresser plus tendrement. Elle ne dit rien et commence à baisser la tête en se laissant faire.
N’y tenant plus, je lui claque d’un coup le postérieur de la main. Elle pousse aussitôt un petit cri sauvage en redressant la tête d’un coup. Je caresse à nouveau sa peau tendrement pour la sentir se décontracter à nouveau avant de recommencer en claquant plus fort cette fois ci. Je répète l’opération une troisième fois et l’effet est toujours le même sur elle. Son cul semble déjà rougir par ce traitement mais je sens que ça lui plait alors je ne me fais pas prier pour recommencer encore une fois. Elle pousse à nouveau un petit cri qui m’excite au plus haut point sentant mon désir bestial prend le dessus, je peux m’empêcher de dire « Putain, quel cul ! »
Elle ne me répond pas alors qu’elle n’ose plus me regarder et baisse à nouveau un peu la tête alors que je sens ses deux mains serrées fermement ma cuisse. Je me décide alors à jouer de nouveau avec le plug et sans que je lui demande, je la vois se contracter un peu et pousser pour que je puisse l’attraper et le faire sortir de son fondement. Je ne me fais pas prier et lui retire délicatement pouvant voir par la même occasion son petit trou ouvert un instant.
Je joue avec la pointe du plug sur sa raie et je serais presque en train de l’entendre me supplier de le lui remettre en place. Sans attendre je lui replante de là où il vient et le bouge un peu pour la faire gémir un peu plus. Je l’as sens de plus en plus à ma merci alors que mes doigts commence à descendre vers la moiteur de son entrecuisse. Ils rencontrent immédiatement une humidité abondante et s’immiscent aisément entre les deux lèvres que j’écarte pour mieux sentir son intimité. Elle ondule de plus en plus sur place continuant de gémir de plus en plus fort. Je joue de haut en bas avec ma main pour l’exciter encore davantage, en tapotant un peu son petit bouton et décide de prendre définitivement l’ascendant sur elle en lui ordonnant sur un ton plus sec :
- Si vous voulez que je continue, foutez-vous à poil et montrez-moi ses gros lolos qui me font triquer depuis si longtemps.
Elle s’exécute sans dire un mot et se redresse pour enlever rapidement son petit top et mettre à jour ses deux gros globes aux tétons pointés. Je souris et passe l’une de mes mains sous mon bermuda pour me caresser le sexe bien tendu en me mettant plus à l’aise dans le fauteuil.
- Hummm, oui. C’est bien mais je suis sûr que vous voulez que je vous montre aussi ma queue, hein Belle Maman ? J’utilise le vouvoiement sur un ton sarcastique pour voir comment elle va réagir.
- O..Oui… Elle n’ose pas me regarder en me répondant doucement, la tête baissée lorgnant vers mon short.
- Hein, comment ? J’entends pas ce que vous dites ? Je joue avec ma main sur mon sexe bien raid sous le tissu en posant un coude sur un côté du fauteuil en souriant pour la narguer.
- Oui, j’ai envie de la voir dit-elle d’une traite sans me regarder alors que je la sens gênée.
- Mmmm okay. Satisfait par son attitude et sa réponse, je défais le nœud d’une main et écarte mon bermuda de l’autre pour mettre à jour en partie mon sexe bien droit. Je retire mon smartphone de ma poche pour le placer dans un creux du fauteuil. Je me soulève un peu les fesses et s’en attendre je la vois tirer dessus pour me l’enlever sans que je ne lui ai demandé quoique ce soit. Je sens alors son désir monté encore d’un cran à la vue de mon membre proche d’elle.
Je prends ma queue d’une main et commence à me branler un peu, doucement. Je devine son regard comme hypnotisé par mon chibre. Je l’a vois un peu hésitante alors je me décide à l’encourager en reprenant un ton plus ferme, le regard noir :
- Alors vous attendez quoi ? C’est vous qui m’avez chauffé depuis tout à l’heure non ? Maintenant il vous faut l’assumer…
Sans un mot, je la voie alors rapprocher son visage de ma tige et se positionner entre mes jambes en se cambrant. Sa main douce prend enfin mon sexe et la mienne vient alors caresser ses cheveux délicatement pour la soumettre un peu plus. Je lui caresse un peu le visage alors qu’elle commence à me branler doucement d’une main alors que l’autre s’occupe de mes bourses bien pleines.
- Mmmm oui, continuez. Faites-moi bien bander, grosse cochonne.
Sans répondre, elle s’active davantage et serre la base de ma queue pour bien la tendre au maximum. Mon désir augmente encore alors que je joue avec mon pouce sur sa bouche. Elle ne me regarde pas, humant l’odeur âcre venue de mon entrejambe. Elle tire un peu la langue et commence à lécher mon pouce délicatement. Je le tourne autour et l’enfourne plus avant pour mieux sentir ses dents et l’humidité de son palais. Je fais des allers retour à l’intérieur avant que je lui prenne le visage et le rapproche de ma verge. J’accompagne sa bouche vers elle alors qu’elle commence à me gouter. Elle me donne quelques coups de langue de tout mon long puis me décalotte.
Je la laisse faire alors que ma main vient de nouveau lui caresser sa longue chevelure. Elle commence à me griffer les couilles avec ses ongles parfaitement manucurées et aussi rouge que le bord de ses lèvres. Je pousse un long râle de satisfaction et je la vois prendre mon gland en pleine bouche au même instant. Sa langue commence à rouler dessus alors que je pousse un peu avec ma main pour qu’elle avance davantage pour me prendre en bouche. Ses seins lourds ballotent un peu le long de mes cuisses et je décide avec mon autre main de venir les tripoter comme j’en ai souvent rêvé.
Ma main le soupèse tout d’abord, avant de le presser un peu et de le malaxer plus fort. Elle continue de gémir davantage par mon traitement et je sens qu’elle se laisse enfin aller à ses désirs. Je joue avec son téton en faisant rouler mon pouce autour. Je le pince un instant alors qu’elle s’active de plus en plus sur ma bite. Je tire un peu dessus comme pour la traire et je vois immédiatement qu’elle aime ça, gémissant un peu plus fort. Je l’encourage à nouveau, en la tutoyant cette fois-ci, sentant un cap franchi.
- Oh putain que c’est bon. Mumm oui continue vas-y. Elle est tout à toi. Merde t’es presque aussi douée que ta fille.
Ah ces mots et sans répondre, je sens que je l’ai piquée au vif comme je l’espérais et je la sens investir encore davantage ma queue dans sa bouche, presque entièrement. Sa salive commence à perler dessus. Je tire à nouveau sur son téton en le gardant quelques instants ainsi. Malgré son poids, sa poitrine garde une certaine élasticité et je tire encore davantage pour voir si elle tient un peu à la douleur. Mon autre main pousse encore plus sur sa tête pour accentuer ma pression sur ma queue bien droite. Je relâche son téton et lui donne une petite claque sur le sein. Elle gémit pour approuver, alors je recommence encore, avec le même résultat. Je le pince de nouveau et tire encore dessus pour tester son élasticité au maximum. Elle fait un peu la grimace en gémissant malgré tout. Je ne relâche pas ma pression alors qu’elle a complètement avalé ma bite. Je décide alors de lui donner le même traitement avec mes deux mains pendant qu’elle ne se fait pas prier pour faire des va-et-vient sur mon sexe déjà proche de l’explosion.
C’est alors que nous sursautons presque en même temps lorsque mon téléphone se met à sonner et à vibrer dans le creux du fauteuil. Elle relâche sa pression sur mon sexe alors que je le prends d’une main pour répondre en voyant qu’il s’agit de ma femme à l’autre bout du fil. Mon autre main lâche sa poitrine.
- Oui allo chérie ?
Je souris à ma belle-mère qui me regarde enfin dans les yeux depuis la première fois depuis le début des hostilités. Alors qu’une de ses mimines malaxe toujours mes bourses alors que de l’autre, elle continue de me masturber. Je la voie m’esquisser une moue défiante et fais passer sa langue sur ses lèvres moins rouges que tout à l’heure.
- Oui tout va bien et pour vous ? Tu as trouvé ce que tu voulais ? Elle me semble qu’elle est dans la voiture mais je ne sais pas si elle conduit alors que j’entends Roger demandé si son Pc est réparé.
- Tu peux lui dire que s’est réparé, dis-je sans attendre sa question.
J’ai du mal à garder mon calme lorsque soudain Marlène crache un peu de salive et presse d’une main à la base de mon membre tendu. Mon autre main lui caresse le visage comme pour la calmer un peu mais rien n’y fait, elle me prend en bouche d’un coup sans m’avertir et je ne peux m’empêcher de serrer les dents un instant pour ne pas pousser un long soupir de contentement. Elle continue de me regarder fixement droit dans les yeux en m’aspirant de plus belle et en gémissant légèrement.
- Vous êtes sur le chemin du retour. Ok parfait, oui, j’ai presque fini de mon côté et…. Ta mère finie les poussières… je crois…
Je m’enfonce dans le fauteuil malgré moi pour lutter contre mon envie folle de lui décharger dans la bouche alors que ma main se crispe sur la base de sa queue de cheval. J’entends Roger pousser des petites rires gras à l’autre bout sans bien comprendre exactement pourquoi alors qu’il me semble avoir perdu ma femme quelques instants.
- Allo chérie ? Tout va bien ?
- Oui…oui, tout va bien, ne t’inquiète pas… C’est papa qui fait encore des siennes en… blaguant… J’ai l’impression d’entendre davantage de rires amusés de Roger à l’autre bout du fil en même temps.
- Mmmm ok, je te laisse ok ?
Je me demande ce qui peut se passer à l’autre bout un instant mais je reviens vite à la réalité lorsque je sens la langue de Marlène me lécher la sucette de tout son long. Elle descend progressivement vers mes bourses qu’elle commence à gober. J’ai du mal à garder mon calme mais ma femme ne semble pas vouloir encore raccroché. Mes doigts se resserrent sur les cheveux de belle maman, qui s’amuse cette fois-ci avec mes nerfs, alors que je suis forcé de rester en ligne.
- Pour ce soir, le diner… Ah non je ne sais pas si ta mère va pouvoir préparer quelque chose ? Le mieux….. oui c’est ça, passez prendre une pizza ou deux avant d’arriver….
Roger semble se réjouir plus qu’il n’en faut de l’autre côté alors qu’il me semble l’entendre murmurer un truc du genre « on fera une autre pause plus loin » ou quelque chose comme ça à sa fille.
De son côté, Marlène semble bien décidée à continuer à s’amuser avec moi alors que je sens sa langue descendre encore plus le long de mes boules pour se retrouver à l’entrée de mon petit trou. Je la regarde surpris par son attitude alors qu’elle a pris une position bien plus cambrée à quatre pattes devant moi pour y parvenir. Je suis sur le point de perdre patience au téléphone alors que je sens le bout de sa langue me lécher doucement l’anus puis me laper plus fort alors que ses ongles jouent avec mes bourses.
Finalement ma femme est enfin sur le point de raccrocher et nous nous embrassons mutuellement via l’appareil lorsqu’il me semble entendre Roger dire un truc comme « T’inquiète pas on lui dira rien Choupette comme d’hab… ». Puis plus rien, la ligne est coupée. Je n’ai pas le temps de m’appesantir sur cette étrange tirade car Marlène est toujours en train de me lécher avidement le petit trou avant qu’elle ne remonte vers mon sexe qu’elle reprend avidement à pleine bouche. Bien décidé à lui montrer qu’elle n’aurait pas dû jouer avec mes nerfs, je lui balance immédiatement sur un ton très sec et autoritaire :
- Alors comme ça, p’tite salope, t’avais envie de t’amuser avec moi, hein ?
S’en attendre de réponse je tire d’un coup dur sur la base de sa queue de cheval pour la forcer à lâcher ma bite et à me regarder droit dans les yeux. Je lui fais les yeux noirs avec une moue peu amicale pour bien lui montrer qu’elle n’aurait pas dû. Un filet de bave coule de ses lèvres à mon sexe. Je tire pour lui enlever l’élastique qui tient sa tignasse attachée sans ménagement. J’y arrive sans avoir enlevé quelques cheveux au passage lui procurant une petite grimace.
- Je vais te gicler dans la gueule pour te montrer qui est le patron maintenant !
J’ai du mal à voir si elle semble surprise, apeurée ou encore plus excitée par ce que je viens de dire mais en tout cas elle ne bronche pas un mot lorsque finalement elle baisse les yeux alors que je serre les dents avec un rictus peu avenant. Je force avec ma main dans ses cheveux pour qu’elle me reprenne en bouche. J’ai soudain une idée alors que mon autre main tient encore mon téléphone.
- Vas-y. Pompe moi le dard et t’arrête pas. Je vais bientôt tout décharger !
J’appuie encore pour mieux sentir mon chibre entièrement dans sa bouche humide. Je sens sa langue s’activer alors qu’une de ses mimines me branle en même temps. J’active l’appareil photo sur mon téléphone et déclenche un cliché de ma belle-mère la bouche pleine de ma bite sur le point d’exploser. Elle essaie de voir ce qui se passe mais je force ma main pour qu’elle ne relève pas la tête et recommence.
- T’inquiète pas, je prends quelques souvenirs, histoire de montrer à mes potes comment t’es une bonne vieille salope qui aime la queue !
Finalement, contrairement à ce que je pouvais penser, elle semble se faire à l’idée car elle se détend lorsque je soulève un peu ses longs cheveux pour avoir une meilleure vue sur sa magistrale pipe. Je déclenche à nouveau mon appareil pour immortaliser l’instant.
J’aurais presque tendance à croire qu’elle aime ça, prenant presque la pose pour moi tout en redoublant d’effort sur mon membre dont la sève est sur le point de sortir.
- Humm, oui, continue… t’arrête pas, je sens que ça vient.
Ma main se crispe alors dans sa chevelure et la tient fermement un instant avant qu’elle ne relâche son étreinte pour la laisser respirer. Je n’attends pas longtemps avant de recommencer alors que je lâche enfin mon téléphone pour prendre mon sexe en main et commence à me masturber frénétiquement. Marlène accentue encore sa succion avant d’ouvrir la bouche comprenant ce qui l’attend. J’accélère mes mouvements en poussant plusieurs râles rauques. En la tenant par les cheveux, j’accompagne le mouvement de sa tête pour que je puisse me relever en même temps.
- Ha putain, je sens que je vais me vider…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que le premier jet chaud sort de mon membre et vient se loger dans la bouche de ma belle-doche qui l’a ouvert en grand pour moi. Je continue de pousser de petits râles de satisfaction alors que ma queue continue de lancer son foutre sur le visage et dans le palais de Marlène. Je m’astique encore plusieurs secondes pour bien me décharger entièrement les bourses et lui donner tout ce que j’ai.
Je la regarde prendre le relais avec sa petite mimine lorsque je relâche mon membre avec la mienne. Elle continue de me branler de longues secondes en me pressant bien la bite pour essayer d’avoir encore une petite goutte en rab. Elle utilise ensuite le bout de ma queue comme d’une baguette pour ramener le sperme qui a un peu couler sur le contour de ses lèvres vers sa bouche.
Elle me regarde enfin en me souriant avec un petit gémissement de plaisir lorsqu’elle avale ma semence encore chaude d’un trait.
- Humm ça t’a plus, hein ma cochonne ?
- MMmmoui…. Merci mon gendre. Ça faisait longtemps que j’en avais envie, me répond-elle essayant de faire bonne figure, la moue amusée, les cheveux un peu emmêlés et de grosses gouttes de sueur perlant dans le creux de sa poitrine généreuse.
- Ah oui hum. Je vais encore m’occuper un peu de toi avant qu’ils reviennent alors. T’en penses quoi ?
Je la regarde encore à quatre pattes devant moi et je me penche pour attraper le plug encore fiché dans son cul. Sans attendre sa réponse, je lui retire sans attendre qu’elle m’aide en poussant dessus. Cela lui provoque un petit cri aigu qui m’excite au plus haut point. Je fais quelques mouvements pour me mettre de côté et lui décoche une belle claque sur la fesse la plus proche.
- Va te mettre sur le canapé (qui se trouve de l’autre côté de la table basse), lui dis-je d’un ton sec.
Elle essaie de se relever pour rejoindre la destination et je l’arrête aussitôt en lui ordonnant : « Non, non, reste comme ça. Vas-y à quatre pattes, j‘ai envie de voir bouger ton cul comme une petite chienne ! Comme sait si bien le faire ta fille !»
Elle n’ose pas me regarder, baisse la tête entre les épaules et s’exécute en tournant sur elle-même bougeant les genoux et roulant du cul doucement pour arriver près du canapé non loin du séchoir à linge qui bloque heureusement la vue sur la grande porte-fenêtre du devant de la maison. Je profite du spectacle et reprend mon téléphone d’une main.
- Mumm Oui, j’aime quand tu m’obéis. Ta fille adore ça aussi. Montre-moi mieux ton cul. Écarte- le avec tes mains. Je veux encore un petit souvenir !
Je ne sais pas si elle a compris où je voulais en venir mais en tout cas, elle s’exécute sans broncher et vient poser sa lourde poitrine sur le bord du canapé avant de se bien cambrer en écartant davantage les cuisses et baissant la tête au maximum. Ses deux mains viennent écartées ses fesses de chaque côté de sa raie et alors que je suis sur le point de déclencher une photo, je remarque sa fente complètement trempée. Je ne me fais pas prier pour immortaliser l’instant et me rapproche d’elle toujours immobile. Je prends un autre cliché de plus près et vient poser ma main entre sa raie offerte. J’aurais presque l’impression qu’elle aime vraiment poser pour moi ainsi et j’imagine déjà mon beau-père lui ordonner de prendre des poses obscènes devant son objectif.
Elle pousse immédiatement un petit gémissement et je commence à lui caresser son petit trou. Je pose le plug près d’elle avant de continuer avec mon smartphone.
- Hummm, oui, maintenant je vais te gouter la fente avant de te martyriser le fion ! Et vu comment il se dilate, je suis sûr que Roger adore se faire plaisir dans ton fondement !
À Suivre…
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Histoire de Sammy

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Commentaires du récit : Ma Belle-doche 1 - L’art de la Fellation

Le 27/09/2023 - 11:40 par Bigben0308
Mmmmh terriblement excitant
Le 17/08/2022 - 13:18 par Sexty53
Très jolie histoire j'espère que vous aurez une suite

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