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Françoise se découvre à 50 ans - Partie 2

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Lue : 2089 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/07/2017

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[Françoise, Mère de famille quinquagénaire vivant à Lyon, a succombé il y a peu à ses pulsions lors d'une rencontre virtuelle fortuite. Le passage suivant est la suite de son histoire.]

Cela fait désormais quelques semaines que l'expérience de Françoise s'était écoulée. Depuis ce moment, elle avait observé une période de silence, comme perturbée, tiraillée entre le plaisir immense que cette expérience lui avait procuré, et sa morale.

Rendez-vous compte, elle, Mère de famille respectable, mariée puis divorcée, avait élevé deux beaux enfants. Elle, citoyenne travaillant pour la collectivité, toujours généreuse, polie et respectée voire admirée par certaines collègues. Oui, elle, qui avait osé céder à ses pulsions et ses envies. Pulsions et envies qui ne demandaient qu'à s'exprimer. Françoise avait donc succombé à ce jeune homme, sur son lieu de travail, et avait même découvert les délices du sexe anal, et avait surtout adoré !

En ce vendredi après-midi, concluant que cette parenthèse coquine avait été plus positive que négative, elle envoya un e-mail respectueux à son partenaire d'un soir, pour prendre de ses nouvelles. Elle se garda bien d'évoquer le plaisir inattendu et intense que ce bel éphèbe avait procuré au plus profond de son intimité. Il lui arrive d’ailleurs de repenser à ces sensations, le matin ou le soir, parfois les deux. Lors de ces moments, la Mère de famille ne peut s’empêcher de passer ses doigts sur sa poitrine gonflée, ou même effleurer le sillon de ses fesses ou de sa grotte intime. Elle ne tarde jamais à faire monter sa température afin d'exploser dans un orgasme souvent intense. Par conséquent, en rédigeant l'email, elle parla faussement de banalités tout en s'enquérant de la santé de son jeune amant.

La réponse ne se fit pas attendre, Edouard répondit une poignée de minutes après son envoi. Le mail était également très poli et respectueux, ce qui fit sourire la quinquagénaire. Il comportait également quelques provocations et sous-entendus qui la mettaient dans une humeur plutôt guillerette.

Elle décida toutefois de ne pas répondre immédiatement malgré une envie certaine. Afin de ne pas céder rapidement, elle eut l’idée d’aller faire quelques courses, le temps de la réflexion. Elle enfila donc une robe légère, ses sandales, un sac sous le bras et alla faire quelques courses sans idée précise sur quoi acheter. Elle se mit en route vers son magasin habituel à quelques encablures de sa résidence.

Elle marche au gré des rayons, flâne, remplissant machinalement son sac de courses. Après quelques allers et venues, dans le rayon des produits frais, elle entend une voix enjouée derrière elle.

E : "décidément ... Je vous croise souvent non loin d'un présentoir !"

Elle se figea soudain et sourit. Cette voix. Elle ne pouvait pas l'oublier, elle la connaît et une sensation de chaleur l'envahit.

F : "Edouard ! Ça alors, je pensais justement à vous cet après-midi !"

E : "en effet, incroyable coup du sort ! En bien j'espère ?"

Françoise passe la main dans ses cheveux, s'excusant presque de ne pas être pomponnée comme l'autre jour.

E : "je travaille dans le coin, je prenais quelques bricoles pour ce soir !"

F : "comme moi ... Enfin je ne travaille pas ici je ... Enfin vous m'avez comprise puisque vous savez où je travaille et ... Enfin voilà" bégaya t elle

Edouard sourit, apparemment satisfait de cette déstabilisation. Il paraît plus calme, plus sûr de lui, ce qui n'est pas pour déplaire à la Mère de famille, bien au contraire. Elle, toujours si inquiète de son image ou du jugement des autres. Elle, qui depuis peu s'est découvert des Démons qui la dévore délicieusement, ses pulsions. Elle est ainsi rassurée, plus apte à s'assumer. Ensemble, ils terminent leurs courses. Ne se quittant plus, ils font quelques pas ensemble à la sortie du magasin. Tout en discutant, pas un mot concernant l'aventure de la bibliothèque, et pourtant Françoise, tout comme Edouard, y songent à chaque fois que leurs regards se posent l'un sur l'autre. Edouard proposa alors à Françoise de porter ses maigres courses, tel un gentleman. Cette dernière, bien que flairant une excuse, se laissa convaincre et lui tendit son sac avec un sourire. Elle passa alors devant, dandinant de sa croupe généreuse, bien dessinée dans sa petite robe. La réaction du jeune mâle mit quelques instants à venir.

E : "avez-vous repensée à la dernière fois ? Marquise ?!"

F : "devinez ..." Dit-elle en lui souriant

Edouard lui rend son sourire

E : "et vous songiez à me rappeler ?"

F : "c'est évident ! Ne l'ai-je pas fait ?!"

E : "Si bien sûr ... je pensais plus, se revoir et ..."

F : "et que vous me preniez avec conviction contre une autre étagère ? J'avais justement pensé à la supérette !" S'esclaffa-t-elle dans un large sourire

Ils arrivent devant l'entrée d'immeuble de Françoise, elle ouvrit la porte et laissa passer le jeune homme, en scrutant le paquet et l'arrière train de son livreur du jour. Prise d'une bouffée de chaleur, elle repense à ce moment où il l'a vigoureusement pénétré sur le bureau, dans la petite pièce de la bibliothèque.

E : "on peut tout à fait changer de lieu ! il n'y a pas que les étagères !" Coupa-t-il de sa voix assurée, sortant Françoise de ses rêveries et qui vit là une avance.

Françoise sourit en coin et passa à nouveau devant le jeune homme, elle ouvre la porte des escaliers en ouvrant la voie. Son appartement est situé au premier étage et donne sur un jardin sans vis à vis. La quinquagénaire vit ici depuis son divorce, un joli F2 qu'elle a fait à son goût, simple, chaleureux mais jamais elle n'y avait encore emmené un homme, qui plus est un amant. En montant les escaliers, son corps lui rappelait les sensations vécues la première fois : imaginer le regard du jeune homme chauffait ses reins. À chaque pas, elle sent son regard qui doit être en train de la déshabiller, de l'imaginer, de la caresser, de la baiser ! Son esprit s'emballait et c'est avec délice qu'elle aimait prendre le temps de monter une à une les marchés. Elle ouvrit enfin la porte et le guida le long du couloir afin de l'amener à la cuisine.

F : "c'est très aimable à vous ! posez cela dans la cuisine ... Je me débrouillerai"

Edouard s'exécuta. Il posa les affaires en plus des siennes tout en complimentant l'appartement de Françoise. Poliment, elle l'invitait à passer au salon, lui proposant de boire un verre. Les échanges d'amabilités se faisaient plus rares, on pouvait presque sentir une tension, la palper. Françoise se sentait bizarre. Elle était prise entre ses bonnes manières et cette envie qui la brûlait de se faire arracher les vêtements et sentir à nouveau la langue s'agiter dans sa grotte humide. Ses tétons pointaient sous sa robe, espérant que cela donne des idées à son jeune étalon.

E : "allons Françoise, vous avez l'air mal à l'aise ?"

F : "non Edouard, ça va ... pas mal à l'aise, enfin ... vu nos derniers échanges vous pensez bien que c'est assez étrange de vous avoir là, dans mon salon ... ce n'était pas prémédité et puis ... enfin ..."

Edouard sourit, sûrement flatté. Françoise le regarda de bas en haut, cherchant à savoir si cette excitation était réciproque. Elle sert à boire, sur la table basse, Edouard était posé dans le fauteuil. Les seins de la Marquise remplissaient le soutien-gorge quand elle se penchait et ils bombaient sa robe.

F : "que regardez-vous Edouard ?!" Dit-elle soucieuse du regard qu'elle vient d'intercepter.

E : "une superbe Femme ! Que j'ai pris beaucoup de plaisir à baiser !" Dit-il avec aplomb tel que Françoise rougit aussitôt

F : "Edouard ..." Dit-elle faussement choquée "chercheriez-vous à me faire céder ? À nouveau ?" Dit-elle avec un sourire en coin.

E : "selon vous ..." Dit-il en baissant sa braguette et sortant une verge si dure et tendue que Françoise ne peut faire autre chose que de la fixer.

La Mère de famille sentit poindre une suite beaucoup moins sage et calme que leur échange précédent. Elle se dit que cela ne va pas tarder à déraper sûrement, elle jeta un œil à la grande baie vitrée qui donne sur un jardin, celui de la résidence. Elle se demandait également si la porte était verrouillée. Elle sent de plus en plus la chaleur l'envahir. Sous cette excitation, elle finit par renverser son jus de fruit sur la table basse. Elle se précipite et éponge comme elle peut avec une serviette posée sur le bord de la table. Edouard saisit l'occasion et s'avança vers elle en se baissant. Il prit ses doigts mouillés par le jus de fruit et les porta à sa bouche. Les suçotant un à un. Françoise revoit alors comme des flashs. Les coups de langue donnés sur son bouton d'amour, elle se remémora ce que cette langue produit sur ses seins, sur sa peau ... Elle soupira et ferma les yeux. Edouard poursuivit plus activement, faisant frémir sa Documentaliste d'un soir.
Elle se tint fermement à un accoudoir avec une main, et de l'autre, elle se laissa faire par son jeune amant. Ce dernier ne tardait pas à la reculer sur le canapé en cuir. Il passa alors une main à l'intérieur des cuisses de la Marquise qui ne se rendit même pas compte que ses jambes se laissaient s’écarter. Elle respirait fort. Se détendait. Hypnotisée par cette démonstration de douceur.
La douceur apparente du début semble être la clef. La clef qui ouvre une boîte de Pandore dont elle n'était pas consciente. Des flashs et des sensations lui revinrent. Elle repensait au Edouard de la bibliothèque, son éjaculation dans son décolleté ou ses fessées, sa pénétration sur le bureau ou cette découverte de la sodomie ... Françoise tremblait et rougissait. Elle se mordait les lèvres. Espérant retrouver cette ivresse qui l'avait libérée. En ouvrant de nouveau les yeux, Françoise constata qu'Edouard était descendu entre ses jambes. Il a relevé sa robe légère et léchait l’intérieur de ses cuisses du bout de la langue. Françoise le laissa faire, trop heureuse de cette initiative. Elle lui sourit afin d'approuver son geste, posant sa main dans les cheveux du jeune homme pour le guider sur son bouton qui se réveille peu à peu. De l'autre main, elle empoigna un de ces seins à travers la robe.

Edouard écartait ensuite le tanga et léchait soigneusement ses lèvres. Françoise poussa un cri en basculant sa tête en arrière. Ses jambes s'ouvraient et ses mains malaxaient avec plus de conviction sa poitrine.

E : "hummmm je n'avais pas oublié le goût de votre petite chatte, Marquise !"

F : "elle est à vous Edouard ... Prenez en soin hummmmmm mais pas trop non plus hummmmmmm aaaaah oh"

À peine a-t-elle eut le temps de finir ses paroles que son jeune amant fait glisser 3 de ses doigts en elle, accompagnant cela de sa langue qui insiste sur son clitoris.

F : "oh le coquiiiiiiin hummmmmm"

Il s'occupa activement de sa chatte, qui mouillait de plus en plus. Insérant les doigts, frottant ses doigts activement sur ses lèvres intimes, la Marquise se laissait aller. Son esprit vagabondait. Quels plaisirs allait-elle découvrir aujourd’hui ? elle se demandait s'il allait la prendre contre un mur, sur la table du salon, sur le canapé, le conventionnel ne faisait pas parti de son vocabulaire aujourd'hui.

F : "hummm je vais vous avouer quelque chose Edouard ..."

Edouard ne réagissait pas, trop concentré, et lèchait copieusement Françoise tout en la regardant dans les yeux.

F : "depuis des semaines je me caresse en repensant à notre aventure hummm au travail ... ce que vous m'avez fait découvrir ! J'ai honte mais ... Hummm J'ai aimé, vraiment, votre côté insolent, entreprenant hummmmmm ah oui ! hummmmm !"

Françoise sentit le jeune homme mettre sa langue avec volupté puis insistance dans son intimité. Elle gémit et laissa échapper quelques soupirs graves et appuyés. Son corps s'affala et s'ouvrit de plus en plus au désir. Depuis des semaines, la quinquagénaire ne rêvait que de cela, repousser une fois encore ses limites.
Comme par télépathie, Edouard la relevait brusquement, il la fit mettre à 4 pattes sur la table basse, soulèva la robe sans que Françoise n'eut à redire. Ses deux mains se posent sur le tanga, et d'un coup sec, il le déchire et le retire de la croupe de Françoise qui arracha un soupir aussi excité que surpris. Son ressenti face à ce moment de fougue fut intense et délicieusement chaleureux au creux de ses reins. Elle retrouvait le Edouard des e-mails. Elle ferma les yeux, dos à la scène. Deux mains fermes vinrent ensuite pétrir avec maîtrise ses fesses, une claque fut reçue par une de ses fesses, faisant rougir sa peau blanchâtre.

F : "ahouuuuhummmm"

Puis une seconde claque et encore un gémissement. Les deux mains écartèrent ensuite son cul rougi. Une chaleur douce et humide passa dans sa raie et titillait sa rondelle anale. De bas en haut elle reconnut la douceur de la langue d'Edouard. Elle se délecta de ce début, ferma les yeux et s'accrocha à la table en offrant sa croupe au jeune homme. La Mère de famille commençait à lâcher prise de nouveau.

F : "hummmmmmmm Edouaaaaaard"

Il ne broncha pas, et passa le bout de sa langue sur sa rondelle. Elle serra la table basse de toutes ses forces et sentit couler la cyprine sur ses lèvres déjà chaudes. Son corps se tortillait pour supporter les décharges d'excitation qui parcouraient ses reins. Tout en écartant bien son cul généreux, il enfonça le bout de la langue dans l'anus entre ouvert. Françoise soupira et ouvrait les yeux à nouveau, fixant son regard dans le reflet de la télé. Apercevant la tête de son partenaire, s'occupant de son orifice anal. Elle se trouvait si belle, ne se reconnaissait pas mais bizarrement, elle aimait ce sentiment d'excitation et de honte. Elle se dandinait pour faire comprendre que la situation lui allait à merveille. Edouard redoublait d'attention sur le petit trou encore timide et fit entrer délicatement 3 doigts en même temps dans sa chatte trempée. La voyant réagir avec calme et douceur, il lui mordilla une fesse, puis l'autre. Jamais personne n'avait osé un tel comportement avec elle encore une fois.

C'est au moment où elle se cambra un peu plus qu’Edouard se releva. Claquant son cul avec une main assurée et ferme, pour signifier qu'il était content d'elle. Elle sursauta, ne bougeait plus, ne sentant plus son jeune amant la toucher. Elle était immobile, à 4 pattes sur la table, sans broncher. Edouard fit le tour de la table basse, se positionna face à elle. Cachée de ses grandes lunettes, elle le fixait, le regard passant de ses yeux à sa queue bien dure qui lui faisait face. Les mains du jeune homme la redressait et il déposait sa queue bien dure entre ses gros seins gonflés aux tétons durcis. Elle le regardait solennellement, lui, semblait plus assuré, plus coquin mais Françoise trouvait se rapport de force exquis. Elle posa ses mains sur les hanches du jeune homme et branla son sexe dans sa poitrine généreuse, soutenue par le soutien-gorge balconnet. Elle le regardait, silencieuse, sentant la chaleur monter en elle, imaginant déjà la suite. Pas de doute, elle savait que les minutes qui allait suivre vont être intenses pour son bassin.

Il passa sa main sur les épaules de la Marquise, puis la nuque pour enfin la prendre par les cheveux. Le rythme était lent, maîtrisé. Le souffle de Françoise passait sur le gland, elle se mordillait la lèvre inférieure comme si elle ne pouvait plus attendre. Sa bouche s'entre ouvrit, son regard fit des allers et retours entre le visage d'Edouard et son gland comme pour demander la permission. N'y pouvant plus, elle goba sa queue. Edouard serra la main qui passait dans les cheveux de la Marquise. Ce qui annonçait la surprise et l'excitation du jeune homme, pour le plus grand plaisir de celle qui l'avait en bouche. Edouard la fit mettre à 4 pattes sur la table basse.

E : "ouvrez grand la bouche ... Marquise !"

Elle s'exécuta et il inséra son gland, puis la verge petit à petit.

F : "huuuuuuuuummmmmmmm"

Il rentra presque au fond, les seins de La Marquise pendaient, ballotaient. Son soutien-gorge tombe quelques instants après les premiers coups de reins. Ce mélange d'humiliation et d'excitation était très nouveau pour Françoise, elle subit ensuite les coups de reins de son amant, plus secs et francs. Elle le regardait et suivait ses mouvements. Cela lui remémorait la fellation dans la bibliothèque. Espérant qu'il ne gicle pas sa sève tout de suite. Edouard baisait littéralement sa bouche grande ouverte. Ses mains passaient sur les épaules, son dos, il pétrissait son cul, il la fessait. Pour faire souffler la Mère de famille, il ressortait sa queue de temps en temps et la tapotait sur les joues de Françoise, la passait devant sa bouche qui essayaiy de l'embrasser, de la lécher pendant qu'il la biflait.

E : "elle est bonne la Marquise ! Quelle coquine !" Dit-il en lui pinçant la joue et lui passant ensuite la main dans les cheveux

Il fit alors deux pas en arrière et tendit sa main afin de l'aider à se relever de la table basse. Il l'accompagna à travers le salon, se dirigeant vers la baie vitrée, certes il n'y a pas de vis à vis mais quand même, elle sursaute.

E : "un souci Marquise ?!"

F : "je ... Je suis à vous Edouard ! Faites-moi grimper au rideau ..." Dit-elle non sans humour agrémenté d’un clin d'œil, se claquant le cul pour se donner sur courage.

Elle s'avança, nue. Posait ses mains sur la vitre tout en écartant les jambes. Un dernier regard vers son jeune amant, la chatte trempée à l'idée de ce qui allait se passer. Pour faciliter la pénétration, elle posait le plat du pied sur le rebord du pot de la plante verte posée à côté.

F : "baisez moi Edouard, prenez-moi ... je sais que je vous fais bander ! Donnez-moi ce que je recherche !"

Très excité par ces mots, il ne se fit pas prier pour répondre à sa demande. Le gland se présenta au bord de sa grotte trempée. Edouard le frotta contre l'intimité de la Mère de famille, en appuyant. Il saisit ses hanches fermement. La croupe de la Marquise se dandinait comme impatiente lorsqu'un cri déchira le silence de l'appartement. Edouard la pénétra d'un coup. Le visage de Françoise se colla à la baie vitrée. Puis il recommença, et encore. Des coups de reins secs, intenses qui duraient à chaque fois quelques secondes. Ménageant sa partenaire, il se retirait par moment, pour caresser et constater l'état de la chatte de la Marquise après ses coups de butoirs. Ce qui étonna Françoise.

F : "hummm seulement quelques coups de reins ??! Je vous ai connu moins timiiiiiiiiiiide ouh ouh ouh hummmmmm"

Provocateur et un brin vexée sûrement, il se remit à l'œuvre. Il la besogna furieusement, dans un enchaînement parfois incontrôlé. Il la gratifia de quelques tapes sur la croupe ou quelques tirages de cheveux qui décuplèrent l'excitation de la quinquagénaire qui lâchait des râles de plus en plus intenses. Françoise est collée contre la vitre, la buée est bien visible. Ses seins se collent à la vitre si fraîche, que ses tétons durcissent et augmentent son plaisir.

E : "ah elle aime ça la Marquise hummmm dans sa petite chatte ... Hummmm ce qu'elle est bonne ..."

Françoise n'ose le dire, elle si bien élevée, mais elle aime qu'on lui parle de la sorte. Edouard redoublait d'intensité, culbutant Françoise contre la vitre si intensément que les huisseries tremblaient. Dans l'excitation, Edouard inséra aisément le pouce dans l'anus de sa Marquise.

F : "aaaaaah oui Edouard oui ... Baisez moi ! Baisez moi !"

Il retira alors Françoise de la vitre et sans perdre de temps, il l'amèna vers le canapé. Elle s'écroula presque au sol, tremblante, se positionnant à 4 pattes à même le sol. De ses mains, elle écartait bien ses fesses. Ne perdant pas de temps, Edouard posa le gland sur sa rondelle et poussa. Après une première grimace, le gland entra puis la verge écartait peu à peu le petit trou de la Mère de famille. Un cri de plaisir rugit à travers la pièce lorsque le gland arriva au bout de sa course.

F : "ah hummm oui ... Refaites moi vivre cette sensation de la bibliothèque ... Transformez moi à nouveau ..."

E : "... en salope ?!" Dit-il en mettant le dernier coup de rein qui lui fit écarquiller les yeux.

F : "votre salope ! Ouiiiiiii !"

Les barrière tombèrent sous le poids de l'excitation. Encore debout, il se baissa sur ses jambes afin de bien la pénétrer. Il commença, doucement au début, puis Françoise se dilatait petit à petit. Sa verge allait même plus loin et plus fort que lors de l'épisode de la bibliothèque.

F : "hummm c'est si bon ... Si hummm dur ... Hummm j'ai tellement hummmm repensé à votre ... Queue hummm"

E : "et moi hummm à votre cul !" Dit il en la fessant, laissant la marque de ses doigts sur son cul rond. Françoise ne se reconnaissait pas, elle grommelait sous les coups de butoirs de son étalon. Se dandinant sensuellement afin de bien sentir le chibre sur l'ensemble de ses parois intimes. Elle l'aida quelques fois en écartant à pleine main son cul généreux. Le bruit des saillies résonnait dans le salon.

La Marquise l'arrêta après quelques coups de reins appuyés. Sa fougue l'ébranlait. Elle se redressa et s'avança vers le canapé en prenant la queue encore bien raide du jeune homme, puis elle l'allongea sèchement. La queue du jeune homme se dressait bien droite, tel un pieu de chair. La quinquagénaire chevaucha alors son partenaire et s'empala d’un sur le sceptre tendu pour elle, d'un coup ! Le membre disparu dans son chatte transpirant l'excitation. La Marquise se tenait au canapé et faisait danser son entrejambe afin de ressentir cette queue dressée en elle. Edouard s'accrocha à ses formes, pressa ses seins, pétrit son cul. Françoise arriva à lui soutirer quelques grognements d'excitation qui la firent sourire et gémit à l'unisson de son jeune amant. Edouard se releva pour mettre sa tête au milieu de ses obus qui pointaient si forts que Françoise en avait mal aux tétons. Elle le bloqua avec poigne et lui demanda de la lécher. Il ne tarda pas à s'exécuter. La Mère de famille en profita pour monter et descendre sur le dard bien en forme d'Edouard.
Dans le creux de l'oreille, elle murmurait sans cesse qu'elle le sentait, qu'elle aimait. Elle s'assumait désormais, elle aimait être soumise à la fougue d'Edouard.
Tout en se cambrant, elle sentit un doigt venir se mettre dans sa petite porte. Cette sensation d'être prise de partout décupla les battements de son cœur, la chaleur l'envahissait de nouveau. Ses yeux s'embrumaient, elle vit flou et entendait les coups de butoirs dans son vagin. Edouard la souleva du canapé, et la prit contre le mur le plus proche, qui en tremblait à chaque assaut du jeune homme.

E : "hummmmmm ma salope de Marquise !" Dit il dans le feu de l'action.

F : "j'aime que vous me baisiez ... Comme une salope !"

La chaleur de ses reins ne désemplissait pas. Elle se mit à trembler, planta ses doigts dans le dos d'Edouard. Lorsque soudain.

F : "Edouard je ... Je jouiiiiiiis hummmmmmmmm" tout en le mordant dans le cou.

Edouard sentit Françoise se contracter, son vagin plus chaud encore, coulait sur le parquet. La bouche du jeunot tétait abondamment les tétons mais ne calmait pas les spasmes de Françoise. C'est alors qu'il la reposa sur le parquet froid, à côté de la table basse.

F "hummmm finissez moi ! Finissez de faire jouir la Marquise !" Dit elle en levant les jambes et se fessant fort

Edouard se remit au travail, bien qu'essoufflé, il donna le maximum. Toute son envie se fit sentir dans le bassin de Françoise qui eut un orgasme violent encore. Jamais il n'aurait pensé que la Marquise se lâcherait à ce point, il avait tellement fantasmé dessus. L'excitation et la délivrance étaient presque palpables. Françoise décida de prendre les devants, ce qui n'était pas son habitude. Elle se mit à genoux et fit redresser son partenaire, face à elle. Sa bouche s'ouvrit en grand, sa main sûre, pris le membre en main et elle avala le sexe à pleine bouche. Son regard ne baissa pas une seule seconde. Comme déterminée. Elle lui fit comprendre qu'il pouvait porter le coup final. Sans se défiler, elle ne décollait pas sa bouche du gland, assumant son envie. Comme un gage de soumission. Comme un cadeau. Ce serait son cadeau.

Françoise pompa si fort le sexe, derrière ses grandes lunettes, que le jeunot ne tarda pas à sentir sa sève monter. Il crispa ses doigts dans ses cheveux, et lâcha un premier jet qui lui arracha un son rauque qui résonna dans la pièce, puis un second jet qui finit d'inonder la bouche de la marquise. Au troisième jet, la bouche de Françoise déborda; ne pouvant plus contenir la semence de son partenaire, coulant sur ses seins, dont les tétons étaient gonflés. Au moment de sortir le sexe qui avait perdu un peu de vigueur, elle fut surprise par un dernier jet qui allait mourir sur le visage et ses lunettes. Elle les retira et nettoya du doigt la traînée de sperme chaude et visqueuse avant de lécher ses doigts tout en souriant à son jeune amant. Ce dernier haletait, soufflait et semblait difficilement reprendre ses esprits.

Sans un mot elle ramassa ses effets et fila vers la salle de bain. La Mère de famille avait du mal à réaliser ce qu'elle venait de faire. Succomber à ses pulsions les plus crues. Elle prit une douche, durant laquelle elle se revoyait sur le mur, la baie vitrée, la table basse ... Puis elle revint sur terre, se roulant dans une serviette et allant prendre des nouvelles de son jeune Edouard. Personne dans le salon, avait-elle rêvé ? un mot traînait sur la table basse à côté des restes du tanga encore souillé.

"Je pense que vous avez pu une fois de plus dépasser vos interdits ... j'imagine aisément votre sentiment d'excitation mêlé à de la honte, alors je m'éclipse tel un fantasme, votre fantasme ... Écrivez moi !"

Le sourire l'envahit. Appréciant cette attention. Elle se prépara un thé, et se posa sur le canapé tout en caressant le cuir encore chaud de leur ébat.

FIN Partie 2 (Suite à venir ...)
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Histoire de CharivariBrains

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