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Ma Carole

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Lue : 4362 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 10/08/2020

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Le soir de nôtre anniversaire de mariage, j’ai offert à Carole, le bracelet dont elle avait toujours rêvé. J’avais, pour la circonstance, préparé un petit dîner aux chandelles, afin que la soirée soit des plus tendre.
Carole arrive avec une demi- heure de retard, en colère après son patron, qui, avant de quitter le bureau, lui avait soit disant demandé, un dossier important, Et ce genre de fait, n’était pas la première fois qu’il se produisait. A tel point, que je commençais à me poser des questions, quant aux relations qu’elle avait avec lui,
Enfin la soirée se passa assez bien, même si on est loin de ce que j’espérais, D’ailleurs, Carole s’en rendit compte, et se confondit en excuses. Comme pour se faire pardonner, elle passa sous la table, et entreprit de me sucer. C’était divin, Évidemment, nous n’avons pas fini le dessert, et sommes passé au lit, plutôt que prévu.

Durant les jours suivant, je sentais Carole distante, et tracassée. J’avais beau lui demandé ce qu’elle avait, elle me répondait toujours qu’elle était déçu d’être arrivé en retard lors de nôtre soirée anniversaire,
J’avais beau lui dire que c’était oublier, rien n’y faisait,
Un jour, en rentrant du bureau, alors qu’elle était sous la douche, je trouve un message sur le répondeur de son portable

« J’espère que ton mari ne t’en veut pas trop, d’être arrivé en retard à vôtre anniversaire, Bisous »,

Je ne connais pas cette voix, mais je suis persuadé que c’est celle de son patron. Soudain, elle apparaît, entièrement nue, dans le salon, Attirante comme elle est, j’en oubli de lui parler du message,

Un samedi, alors que j’étais en train de jardiner, et que Carole était allé faire du shopping, je reçois un appel,

-Allo mon chéri, va prendre une douche, nous sortons, Je te prends dans un quart d’heure.

Je me demande quelle surprise m’attend, Le temps de fermer la porte, qu’un taxi se gare devant le portail.
Carole est confortablement assise à l’arrière, maquillée, vêtue d’un long manteau. Elle est magnifique, Elle m’embrasse tendrement, et me souffle à l’oreille,

-C’est pour rattraper nôtre anniversaire, mon chéri. Cette soirée, c’est la tienne, Nous allons dîner à un endroit que tu ne connais pas,

Je frémis, et me sens très fier d’être son mari,
Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, Nous rentrons, un réceptionniste prend nos manteaux, et là, j’ai le premier choc de la soirée, Mon épouse, si discrète, porte une tenue des plus sexy, Mini jupe, et veste, que je devine à même la peau, offre un décolleté des plus plongeant entre les seins, Je reste sans voix,
Carole prend les choses en main, et se dirige vers nôtre table, Je suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et autres clients installés à leur table,
Tout en mangeant, Carole m’explique qu’elle a voulu me faire plaisir, et s’est donc acheté cette tenue sexy, Elle me souffle à l’oreille, qu’elle est très chaude ce soir,
Je n’en reviens pas, et je dois dire que j’avais du mal à détacher mon regard de son décolleté, Je n’étais d’ailleurs pas le seul, le serveur ne se gênait pas pour regarder sans vergogne, Une pointe de jalousie montait en moi,

-Que t’arrive-t-il mon chéri, dit-elle, Après tout, tu devrais être fier d’avoir une femme qui attire les regards, Détends toi et profite du spectacle, je vais régler l’addition,

Sans avoir le temps d’émettre le moindre geste, elle se lève et se dirige vers le bar, La plus part des hommes présents la suivent du regard, Elle reste une éternité face au serveur et je décèle quelques gestes qui, j’espère, suis le seul à voir,
Au bout de quelques minutes, elle me rejoint, rayonnante, les yeux pétillants d’excitation, Je m’aperçus de suite du changement, Sa veste était largement ouverte, découvrant sa superbe poitrine, et sa jupe était relevée sur le devant, laissant deviner sa petite chatte toute proche, Je la questionnais du regard,

-Tu étais bien longue ma chérie,
-C’est ce serveur, murmure-t-elle, il a voulu à tout prix voir mes seins, Pire, il a tenu à ce que lui offre mon string comme pourboire, Bien évidemment, il en a profité pour caresser mon minou, Tu es le seul avec lui à le savoir, mais ma petite chatte est à l’air sous ma jupe,

C’est sous les regards des clients, que nous quittons le restaurant, Il est encore tôt pour rentrer, aussi, Carole propose d’aller danser pour entretenir cette tension qui s’est installée entre nous,
J’accepte ce choix, et nous voila partis pour une sorte de piano bar, Pendant le court trajet, je caresses ses cuisses, remontant délicatement vers son entre jambe, Non seulement elle ne porte rien dessous, mais en plus sa fente est toute humide, Elle m’embrasse tendrement, et ôte ma main,
Nous arrivons rapidement au dancing, et découvrons l’endroit qu’un des collègues de travail de mon épouse lui avait chaudement recommandé, Nous prenons une table dans un coin tamisé, et commandons deux cocktails,
L’ambiance est feutrée, quelques couples dansent au son du piano, qui joue une douce mélodie, Carole me propose de danser,
Doucement, nous évoluons un long moment au milieu des danseurs, puis rejoignons nôtre table,

-Vous avez un verre offert par le Monsieur qui est au bar, nous dit un serveur,
-Oh mon dieu, dit Carole, c’est Bernard, mon patron,,,
-Tu pourrais me le présenter, dis-je, Que je fasse connaissance de l’homme qui met ma femme en retard,

Comme s’il avait lu dans nos pensées, voila que l’homme se dirige vers nous, La cinquantaine, cheveux grisonnant, très séduisant,

-Je te présente Bernard, mon patron,,,Bernard, je vous présente Marc, mon cher et adorable époux,
-Enchanté, dit Bernard, auquel je réponds poliment,
-C’est une réelle surprise de se rencontrer dans ce piano bar, dit Bernard, Pourtant, j’y viens très souvent,
-Ben nous, c’est la première fois, dis-je,
-Puis-je inviter vôtre charmante épouse à danser, demande-t-il,
-Mais bien évidemment,,,n’est-ce pas ma chérie,

Prenant ça pour un accord, c’est en prenant Carole pat la taille, qu’ils se dirigent vers la piste de danse,
De ma place, je peux les voir tourner doucement, presque enlacés, Petit à petit, je vois les mains de l’homme caresser le dos de mon épouse, Je capte le regard interrogateur de mon épouse, Voir sa femme se faire caresser le dos en dansant, par son cavalier, n’a rien de bien méchant, Ce qui ne m’empêche d’avoir un œil sur ma chérie, et son bel inconnu pour moi, dont les mains se font plus insistantes sur les fesses de Carole,
Petit à petit, ils se rapproche de nôtre table, leur corps de plus en plus serrés l’un contre l’autre, Ils ne sont plus qu’a deux mètres de moi, quand Bernard regarde dans ma direction, Sans me lâcher des yeux une seule seconde, il fait pivoter le visage de ma femme, et lui donne un tendre baiser sur les lèvres,
C’est à ce moment précis, que la musique s’arrête, et que Carole me rejoint,

Tu es en colère mon chéri, me demande-t-elle inquiète,
-Mais pas du tout, ai-je des raisons pour l’être,
-Tu l’as vu me draguer, et ça ne t’a rien fait,
-Si tu veux m’entendre dire que j’ai apprécier de te voir danser, de le voir te caresser et t’embrasser, bien sur que non,,,je n’ai pas apprécier, Et toi,
-C’était très agréable tu sais,,,et puis ça m’excite de me sentir désirable, pas toi ?

Soudain, mes vieux démons réapparaissent, C’est un fantasme que j’ai toujours eu, Voir mon épouse faire l’amour avec un autre, Mais depuis, ça m’avais passé, et voila que suite à cette soirée, ce fantasme réapparaît,
Du coup, c’est à ce moment que je me pose la question, savoir si cela me plairait qu’elle se fasse baiser par un autre que moi,
Prenant mon courage à deux mains, je lui demande alors si elle aimerait danser une nouvelle fois avec lui,
La réponse fuse, évasive,

-Cette nuit est ta nuit mon amour, je ferai ce qu’il te plaira,

Nous restons de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser

-Écoute ma chérie, je sais que tu adores danser, et je ne voudrais pas t’en privé, Vas-y si tu en as envie,

Elle cherche son cavalier parmi la foule, et le rejoint, Je viens, sans le savoir, de jeter mon épouse dans la gueule du loup, de l’offrir à cet homme que je connais à peine,
je la vois se déhancher sur la piste, vite rejoint par Bernard, Petit à petit, il se déplace vers un coin plus obscur, proche de nôtre table, Voilà que mon épouse, jusque là assez sage, devient de plus en plus sensuelle, Je la regarde fasciné, onduler devant son partenaire, Ce dernier se rapproche d’elle, la prend par la taille, lui chuchote à l’oreille,
Carole lui sourit, Ils reprennent leur danse l’un contre l’autre, eu rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leur corps, jusqu’à se souder,
Mon excitation grandit, bien que ma jalousie et ma colère s’accentuent, Voir ma femme aussi décontractée dans le bras de cet homme me fait mal,
ma tension intérieure chute brutalement, et me surprend à lui sourire, Elle prend la tête de son cavalier, et l’embrasse sur la bouche, Un baiser torride, sensuel,
Les mains de Bernard investissent les fesse de Carole, ce qui l’oblige à se coller d’avantage,
A la fin de la danse, il l’entraîne vers une table, ou se trouve un autre couple, Carole s’assied sur les genoux de Bernard, D’une pression des doigts, celui-ci la force à écarter les jambes, Et là, l’impensable, La femme de l’autre couple glisse une main entre les cuisses de mon épouse, A voir les ondulations de Carole, je devine ce qu’elle doit lui faire, Après un orgasme contenu, l'inconnue retire ses doigts, et les porte à la bouche de mon épouse, qui les lèche goulûment, Je suis sidéré en entendant leur rire moqueur, Bernard, lui, quitte les lieux.
Après s’être remise de sensations érotiques, Carole vient me rejoindre, les yeux brillants de tendresse,

-Je vois que tu prends énormément de plaisir, dis-je, Mais pourquoi est-il parti,,,
-Il nous attend dehors, il veut que nous allions chez lui,

A ce moment, mes sentiments sont tellement confus, que je ne sais pas quelle réponse lui apporter, Elle me regarde dans les yeux, et me répète,,

-N’oublie pas mon chéri, cette soirée est pour toi,

Le problème, c’est que je ne savais plus ce que je voulais, Je suis resté un moment à lui caresser les cheveux, Puis la curiosité l’emporte,

-C’est ce que tu désires, lui dis-je,
-Ca peut être une bonne soirée, répond-elle,
-Très bien, allons-y,

Bernard nous emmène dans son somptueux appartement, Là, surprise, Sur la table basse du salon, trois coupes et une bouteille de champagne nous attendent,
Ce rendez-vous était donc prévu, Et je ne suis pas au bout de mes surprises, quand Carole annonce,

-Voila mon chéri, autant que tu sache, Cela fait maintenant six mois qu’on couche ensemble,
-Mais,,,bégaye-je,,,ma chérie, pourquoi, Qu’as-tu à me reprocher,
-Rien mon amour, mais j’ai besoin d’autre chose que tu ne peux m’apporter sexuellement,,,tandis qu’avec Bernard, Du reste, on t’a invité pour ça, pour que tu vois comme il se sert de ta petite femme, Allons à la chambre,

Les deux amants se déshabillent, s’installent sur la lit, Je remarque la queue imposante de Bernard, C’est sur qu’a ce niveau, je ne peut pas lutter,
Le visage de Bernard descend doucement entre les cuisses de Carole, l’oblige à les écarter, les lèvres aspirent le clitoris, les doigts caressent la petite chatte, la pénètre, Carole se cambre sous l’odieuse caresse,
Après l’avoir bien léchée, il la pénètre doucement, il entre en elle, reste quelques secondes sans bouger, comme s’il voulait que la chatte de ma femme s’habitue à une autre queue que la mienne,
Puis il a commençait de lents va et vient, jusqu’à ce qu’elle noue ses jambes dans son dos, comme un signal d’acceptation, Ils ont fait l’amour devant moi, pendant près de trois heures, De son propre aveu, Carole devenait plus chienne à chaque minutes, Elle l’a sucé longuement, lui a demandé de la prendre en levrette, d’être plus brutal, Je ne reconnaissait plus mon épouse,

-Regarde ce que je vais lui faire, en prenant sa bite en main, je vais bien le sucer,,,tout avaler,

Au bout d’un court instant, Bernard se vide les couilles dans la bouche de mon épouse, Sans se démonter, elle se lève, s’approche de moi, et me donne un baiser, je sens le goût du sperme de Bernard sur mes lèvres,
Elle me regarde, une lueur coquine dans les yeux, retourne au lit, se love contre son amant,
Il l’embrasse longuement, puis glisse le long de son corps, jusqu’à sa chatte, Instinctivement, elle s’écarte pour mieux s’offrir, Elle frémit de tout son corps quand elle jouit, Bernard se relève, de la cyprine plein les lèvres, A chaque fois, Carole me regarde, comme pour me dire,
« Tu vois comme on se sert d’une femme »
Bernard la place pour la prendre en levrette, Il la pénètre doucement, puis accélère, Carole gémit sous les coups de boutoir, de l’énorme queue de son partenaire, qui n’a que faire de ma présence,

-Alors, dit-il, elle est bonne ma queue, hein,,,meilleure que celle de ton mari,
-Oh oui elle est bonne, souffle Carole,,,s’il te plaît, encule moi,,,je voudrais sentir ta grosse queue dans mon petit trou,,,
-Non, pas ça, criais-je,,,
-Pourquoi mon chéri, c’est bon dans ce trou aussi,,,

Ils sont en train de m’achever, de m’humilier, je reste scotché sur ma chaise, paralysé, J’assiste impuissant à la sodomie de mon épouse, Je vois l’énorme calibre aller et venir dans le petit trou,
Les hurlements de plaisir de mon épouse me crèvent les tympans, soutenus par des comparaisons humiliantes quant à mes performances au lit, A cet instant, je ne compte plus pour elle,
Mais le plus terrible reste à venir, Bernard se lève, s’approche de moi, la bite en érection,

-Tu ne veux pas goutter,,,la mouille de ta femme,,,

Tel un automate, j’ouvre la bouche, et suce la mandrin de l’amant de ma femme, Puis il me prend par l’oreille, m’emmène au lit, ou ma femme attend, jambes entièrement écartées,

-Allez, ordonne Bernard, nettoie lui la chatte, cocu,

Soumis, je me penche et lèche la chatte baveuse de sperme laissé par Bernard, Je remarque au passage, son petit bouton, entièrement décalotté, Une fois la toilette terminée, je m’écroule, humilié, au pied du lit,

Il est cinq heures du matin, quand nous rentrons à la maison, Je suis exténué d’avoir vécu ce que j’ai vécu, Quant à ma femme, elle est imperturbable,

-Mon chéri, ça ma fait plaisir que tu suce mon amant, La prochaine fois, j’aimerais que tu ailles plus loin, que tu lui tailles une vraie pipe, que tu avales tout, Hum,,,

Je la regarde, Elle sait que je ferais tout ce qu’elle voudra pour la garder, Déjà des rendez-vous sont pris.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Ma Carole

Le 10/08/2020 - 21:37 par Aurore34
Chaque fois que j'écris un récit, j'ai un commentaire négatif de mangouste. Je l'adore. dommage que son nom commence pas par un "L" je l'aurai bien manger en sauce américaine.
Le 10/08/2020 - 19:06 par mangouste
" Aurore 34" enfermée dans son monde rempli de lopettes, de cocus content, de soumis.

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