Ma cousine, suite

Tout à coup le vieux "parrain" de ma cousine s'est retiré de ma bouche et a dit:
- "J'en paie une chaque semaine pour être mon jouet, aujourd'hui je suis prêt à mettre le double pour que toutes les 2 vous ne me refusiez aucune de mes demandes".
C'est Libertin qui lui a répondu:
- "Ma femme et moi pratiquons uniquement pour le plaisir (quoique... parfois...), si vous souhaitez qu'elles vous obéissent il n'est nullement question d'argent en ce qui nous concerne, pour ce qui est de ... (ma cousine), arrangez-vous avec elle".
Le vieux:
- "Donc je peux tout exiger d'elles ?"
Libertin:
- "Oui, excepté ce qui est scato".
Le vieux:
- "Super !, vous voulez bien allez chercher mon petit sac que j'ai laissé dans votre salon ? Et vous les 2 poufiasses gouinez-vous en attendant".
Quand Libertin est revenu avec le sac il y avait dedans, tenez-vous bien, une tapette à mouches !
Le vieux l'a prise et nous a demandé, à ma cousine et moi, de lui présenter nos fesses.
Ma cousine m'a dit tout bas:
- "Il est un peu bizarre, mais il est gentil et généreux avec moi. Tu ne vas pas en revenir comme il sait se servir de son truc (la tapette à mouches).

Effectivement, il fut très habile, commençant doucement par quelques coups sur l'une puis sur l'autre. Au fur et à mesure la puissance devint plus accentuée et j'ai ressenti une douleur forte et agréable. Au bout d'un long moment il a cessé et quelques secondes après il m'a enfoncé le manche dans l'anus avec délicatesse. L'objet allait et venait tandis qu'avec son autre main il fessait ma cousine. Ensuite ce fut au tour de ma cousine de se faire sodomiser par l'objet quand dans le même temps je recevais la fessée.
Libertin, assis sur le bord du lit, ne perdait pas une miette du spectacle qui lui plaisait beaucoup.

Il cessa au bout d'un moment, dégagea l'objet du cul de ma cousine et demanda à Libertin: "Vous avez une baignoire ou une douche ?".
- "Les 2" répondit Libertin.
Le vieux:
- "Bien, maintenant les filles vous allez vous allonger toutes les 2 dans la baignoire".
(Je me suis doutée de la suite, j'ai eu raison)
Nous étions donc couchées côte à côte dans la baignoire quand il a pris sa queue en main et a joué un tout petit peu avec. Puis il a commencé à uriner sur nous (à mon avis il avait prémédité son coup et bu énormément avant de venir car le jet fut puissant et long).
Tout en pissant sur nous (têtes et visages) il s'adressa à Libertin pour lui dire d'aller protéger notre lit car il allait nous baiser pleine d'urine.

Alors que Libertin était parti couvrir le lit, le vieux demanda que nous ouvrions la bouche et pissa dedans (un peu) et exigea que nous buvions son urine. Nous le fîmes sans rechigner et il eut un sourire jusqu'au oreilles.
Le vieux:
- "Maintenant roulez-vous une pelle les gouines, ensuite vous irez sur le lit vous lécher de partout avant que je vous baise et vous encule".

Malheureusement Libertin n'a pas pris part à la suite, il ne voulu pas à cause de l'urine du vieux.

Si dans la baignoire j'ai bien gouter la pisse du vieux, ce ne fut pas le cas quand j'ai lécher ma cousine, mais elle et moi furent de vraies furies tellement tout ce qui s'était passé avant nous avait excitées.
Nous avons eu droit à ce qu'il avait promis (baise et sodo), mais pas longtemps. C'est dans le cul de ma cousine qu'il s'est vidé, me demandant après de bien lui nettoyer son membre avec ma bouche.

Pas totalement rassasiées, ma cousine et moi avons continué à nous donner du plaisir. D'ailleurs nous étions toujours "occupées" alors qu'il était déjà parti en laissant un petit cadeau sur la table de salon pour ma cousine.

Fin

Venant de passer quelques jours à La Panne (côte belge), Libertin et moi, nous avons fait la connaissance d'un étudiant qui travaille là en "job vacances". Je vous raconterai tout dans mon prochain récit.

Lucrèce, la liégeoise de plus en plus dévergondée selon Libertin.

Bisous à ceux et celles qui me lisent et, surtout, qui commentent.