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Lue : 3869 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/01/2014
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Ma femme aime se branler
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En plein sommeil, me voilà brusquement réveillé. Il me semble recevoir un poids énorme sur le dos. Je me retourne, je sens toujours ce fardeau sur mon corps. Finalement, ce n’est rien : ma femme en se retournant a posé sa main sur moi. Je pourrais lui faire enlever sa main, pourtant je le laisse là où elle est. Je vais la réveiller à ma façon : la main glisse doucement sur sa douce cuisse. En mettant la main plus à gauche je trouve sa petite fourrure : celle qu’elle voulait se faire raser. Au milieu je trouve le passage vers le bonheur. C’est juste le haut de sa foune. Là sont nichés les principaux instruments de son ravissement.
Nous avons quarante ans, nous nous aimons comme des ados, nous conduisant souvent comme tels. Sauf que nous ne jouons plus : nous cherchons les plaisirs, les sensualités inconnues à nos débuts. Si quand nous commencions à faire l’amour, c’était moi en elle dans son sexe, nous avons largement dépassé ce stade artisanal.
Nous dérèglements ont député le jour où elle m‘a dit « encore ». Je ne pouvais guère la satisfaire puisque je venais de jouir en elle. Je me suis dévoué pour lui embrasser la chatte. Elle était étonnée, elle acceptait cette nouveauté. Elle restait les cuisses bien ouvertes, me donnait tout son sexe encore pollué par le sperme. Ma langue allait la fouiller, dénicher ses endroits sensible.
C’était la première fois qu’elle se plaignait. Elle guidait ma tête, elle se laissait aller totalement avec confiance. Ce premier cunnilingus était encore sommaire. Je léchais un peu trop ses lèvres, s’oubliais un instant son bouton. Quand j’étais dessus, je l’ai aspiré. Ses mouvements incontrôlés du bassin montrent que je suis bien là où elle aime. J’avais le menton sur son entrée de vagin, je sentais ses spasmes de jouissance. Elle a voulue me rendre la pareille : ma bite finissait dans sa bouche Elle aspirait tout, ses sécrétions, le gland et bien sur le sperme final.
Plusieurs fois plus tard, ma langue est passée sur son petit trou. Elle ne voulait pas au début, mais la curiosité l’emportait : il fallait bien qu’elle connaisse ce nouveau plaisir. Je faisais ce que je pouvais avec la langue, le massait le trou du cul, je musclais ma langue, je la mettais juste sur son cul. J’enfonçais la langue au maximum en elle. Ma chérie gémissait sans cesse, comme si elle souffrait d’une douleur insurmontable. Son petit cri annonçait sa délivrance au moment de son orgasme.
Dès le lendemain elle me donnait son cul. J’étais hésitant encore. Elle prenait ma queue, le mettait juste sur son petit trou. Après un encouragement, je forçais pour entrer dans un cul tout neuf. Elle se détendait complètement, son anus s’ouvrait presque seul. Elle aurait voulu que j’en sorte, mais je continuais la sodomie. Je faisais bien : je sentais son anus s’ouvrir et se fermait pendant qu’elle jouissait. C’est pour nous une pratique courante.
Son besoin de plaisir l’entraine vers la masturbation « longue durée ». L’autre jour, je devais partir travailler, elle était toujours nue dans la maison. Elle faisait du nettoyage à sa façon : un simple tablier de soubrette, un plumeau qu’elle passait alternativement sur les meubles et sur ses cuisses. Elle s’arrangeait pour se « chatouiller » l’entre cuisse. Pour se faire belle, elle se collait le manche du plumeau entre les fesses. Elle le faisait glisser bien bas : je pensais qu’elle allait le mettre dans se vagin : elle s’arrêtait bien avant en le plantant dans le cul. Elle restait immobile, appuyée sur le table par les mains. Elle remuait les fesses, faisait bouger le manche. Brusquement elle levait la tête, la mettait en arrière : elle jouissait.
Dommage, j’étais obligé de partir. Quand je suis rentré en fin d’après-midi, elle ait encore nue, mais couchée sur le lit. Elle souriait en me voyant pour annoncer qu’elle se branlait avec les godes (oui, les godes). Je regardais : elle se baisait ardeur par devant, elle maniait à une main le gode, l’autre main, elle s’occupait de l’autre gode le plus gros. Je voyais son cul écartelé comme jamais, le gode qui allait et venait comme dans du beurre.
Fatiguée de sa position elle se mettait en levrette. Le gode culier pouvait sortir seul, elle en profitait pour le mettre encore plus profond. Elle ne laissait sortir qu’un tout petit bout, elle forçait son cul pour le faire sortir et recommencer. Ses yeux étaient vitreux, sa bouche bavait. Ses seins ballottaient sous elle. Elle murmurait qu’elle jouissait, sans cesses. Je crois que c’est vrai, elle était dans un paradis particulier : le sien.
Nous avons quarante ans, nous nous aimons comme des ados, nous conduisant souvent comme tels. Sauf que nous ne jouons plus : nous cherchons les plaisirs, les sensualités inconnues à nos débuts. Si quand nous commencions à faire l’amour, c’était moi en elle dans son sexe, nous avons largement dépassé ce stade artisanal.
Nous dérèglements ont député le jour où elle m‘a dit « encore ». Je ne pouvais guère la satisfaire puisque je venais de jouir en elle. Je me suis dévoué pour lui embrasser la chatte. Elle était étonnée, elle acceptait cette nouveauté. Elle restait les cuisses bien ouvertes, me donnait tout son sexe encore pollué par le sperme. Ma langue allait la fouiller, dénicher ses endroits sensible.
C’était la première fois qu’elle se plaignait. Elle guidait ma tête, elle se laissait aller totalement avec confiance. Ce premier cunnilingus était encore sommaire. Je léchais un peu trop ses lèvres, s’oubliais un instant son bouton. Quand j’étais dessus, je l’ai aspiré. Ses mouvements incontrôlés du bassin montrent que je suis bien là où elle aime. J’avais le menton sur son entrée de vagin, je sentais ses spasmes de jouissance. Elle a voulue me rendre la pareille : ma bite finissait dans sa bouche Elle aspirait tout, ses sécrétions, le gland et bien sur le sperme final.
Plusieurs fois plus tard, ma langue est passée sur son petit trou. Elle ne voulait pas au début, mais la curiosité l’emportait : il fallait bien qu’elle connaisse ce nouveau plaisir. Je faisais ce que je pouvais avec la langue, le massait le trou du cul, je musclais ma langue, je la mettais juste sur son cul. J’enfonçais la langue au maximum en elle. Ma chérie gémissait sans cesse, comme si elle souffrait d’une douleur insurmontable. Son petit cri annonçait sa délivrance au moment de son orgasme.
Dès le lendemain elle me donnait son cul. J’étais hésitant encore. Elle prenait ma queue, le mettait juste sur son petit trou. Après un encouragement, je forçais pour entrer dans un cul tout neuf. Elle se détendait complètement, son anus s’ouvrait presque seul. Elle aurait voulu que j’en sorte, mais je continuais la sodomie. Je faisais bien : je sentais son anus s’ouvrir et se fermait pendant qu’elle jouissait. C’est pour nous une pratique courante.
Son besoin de plaisir l’entraine vers la masturbation « longue durée ». L’autre jour, je devais partir travailler, elle était toujours nue dans la maison. Elle faisait du nettoyage à sa façon : un simple tablier de soubrette, un plumeau qu’elle passait alternativement sur les meubles et sur ses cuisses. Elle s’arrangeait pour se « chatouiller » l’entre cuisse. Pour se faire belle, elle se collait le manche du plumeau entre les fesses. Elle le faisait glisser bien bas : je pensais qu’elle allait le mettre dans se vagin : elle s’arrêtait bien avant en le plantant dans le cul. Elle restait immobile, appuyée sur le table par les mains. Elle remuait les fesses, faisait bouger le manche. Brusquement elle levait la tête, la mettait en arrière : elle jouissait.
Dommage, j’étais obligé de partir. Quand je suis rentré en fin d’après-midi, elle ait encore nue, mais couchée sur le lit. Elle souriait en me voyant pour annoncer qu’elle se branlait avec les godes (oui, les godes). Je regardais : elle se baisait ardeur par devant, elle maniait à une main le gode, l’autre main, elle s’occupait de l’autre gode le plus gros. Je voyais son cul écartelé comme jamais, le gode qui allait et venait comme dans du beurre.
Fatiguée de sa position elle se mettait en levrette. Le gode culier pouvait sortir seul, elle en profitait pour le mettre encore plus profond. Elle ne laissait sortir qu’un tout petit bout, elle forçait son cul pour le faire sortir et recommencer. Ses yeux étaient vitreux, sa bouche bavait. Ses seins ballottaient sous elle. Elle murmurait qu’elle jouissait, sans cesses. Je crois que c’est vrai, elle était dans un paradis particulier : le sien.
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