Ma femme baisée par mon ami d'enfance

Mon nom est Stéphane, et voici l’histoire de ma première expérience de cocufiage ! C’est encore difficile pour moi aujourd’hui de parler de ça, mais il faut que je vous la raconte !
Ma femme Carole et moi sommes mariés depuis maintenant trois ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et Carole est une femme très passionnée et assez ouverte d’esprit !
Carole est très séduisante, proche de la trentaine, avec de long cheveux blonds, de fabuleux seins bien fermes, de longues jambes fines et un joli petit fessier bien rebondit ! Elle attire l’attention de tout le monde dans la rue, et c’est agréable pour moi, de voir les hommes se retourner sur elle. C’est une femme sans problème, ayant connu très peu d’homme dans sa vie. Elle la réputation d’être très fidèle en amitié, comme en amour.
Il y’a un mois, j’ai reçu un coup de téléphone d’un pote d’école, avec qui, j’étais très proche. Bob !
Je ne l’avais pas revu depuis plus de deux ans ! C’était un très bon ami de la famille aussi, et je lui ai donc proposais de venir passer quelques jours à la maison.
Bob, à la réputation de coureur de jupons. C’est conquêtes se comptent par dizaine. Il se vante même de coucher avec des femmes mariées.
Quand Bob est arrivé, Carole l’attendait, impatiente de faire sa connaissance. Je lui avais tellement parlé de lui. L’accueil qu’elle lui réserva fut très chaleureux. Bob la prit dans ses bras, la serra contre lui, un peu trop fort à mon gout. Carole se collât à lui, poitrine en avant, pour l’embrasser, tandis que lui, de son côté, ne se gênait pas, pour lui peloter les fesses.
-Tu en as de la chance d’avoir une femme aussi belle, dit-il.
-Je sais, je sais, dis-je.
-Merci, répond mon épouse. Stéphane m’a beaucoup parlé de vous.
-En bien j’espère ?
Nous sommes ensuite rentrés chez nous tous les trois, et nous nous sommes fait un délicieux dîner ! Nous avons bien sûr beaucoup picolé différents alcools pour fêter les retrouvailles ! Nous avons parlé de tout et de rien pendant de longues heures ! Les meilleurs moments de nos vies, nôtre jeunesse, les filles, le travail, la famille, tout y est passé…par contre, rien sur passé de Carole, dont j’ignore tout, si ce n’est, qu’on me la toujours décrite comme une fille très sérieuse. Je ne connais rien de son passé, concernant sa vie sexuelle.
Avec l’alcool, je commençais à avoir sommeil. J’ai donc décidé d’aller au lit. Dans la nuit, j’ai été réveillé par des voix provenant de la chambre, et fus surpris de ne pas voir Carole couchée près de moi… Etant donné que la porte de la chambre n’était pas fermée, et que les bruits continuaient, je me suis pour aller voir d’où pouvais venir ces bruits ! Je n’ai même pas pris la peine de passer un peignoir. C’est donc entièrement nu que je me rendais à la chambre.
J’ai failli faire un arrêt cardiaque, en voyant la scène qui se déroulait devant moi. !
Ma femme était à genoux sur la moquette, et avait le sexe de Bob dans la bouche !!! Elle était totalement nue, ses longs cheveux blonds cachant son visage ! Bob était debout devant elle, le pantalon enroulé aux chevilles ! Il avait un sexe énorme. Je n’avais jamais vu ça avant ! Avec sa bouche, Carole était en train de jouer avec la grosse queue décalottée, de mon ami d’enfance !
-Vas-y salope, suce ma bite…elle est bonne hein…
-Hum…hum…
Bob commençait à manipuler ma femme avec force, il lui tirait les cheveux et rentrait sa queue de force dans sa bouche ! Je pensais que me femme allait tout arrêter, mais non, même pas un semblant de résistance … Je n’en croyais pas mes yeux !!! Elle qui depuis le premier jour où je l’ai connue me refuse les fellations et là je la vois carrément sucer mon meilleur ami sous mes yeux !
Bob attrapait carrément sa tête, pour la plaquer contre son vente. Il essayait de lui mettre entièrement la queue dans la bouche mais, elle n’y arrivait pas. C’est à se demandait, s’il n’essayait pas rentrer ses grosses couilles avec.
J’ai été drôlement surpris quand j’ai découvert que je commençais à avoir une petite érection.
Je voyais Carole s’activait, caresser son clitoris avec sa deuxième main… Je l’entendais se délecter de ce qu’elle avait en bouche. La frustration montait petit à petit, j’avais envie de tout casser mais bizarrement, je n’arrivais pas à bouger et à faire quoi que ce soit, j’étais abasourdit !

-Je savais que tu voulais ça, disait-il, tu aimes qu’on te force un peu, hein ?
-Oh oui, répondait-elle...
Après quelques minutes, Bob lui demanda de se jeter sur le lit… Ma femme obéit, offrit sa croupe ! Bob commençait à lui mettre de grosses claques. Des traces rouges se formaient sur es fesses.
-Tu aimes qu’on te donne la fessée, quand tu n’es pas sage.
-Oh oui, et la, je ne suis pas sage. Je trompe mon mari que j’aime.

Ses paroles, même rassurante, n’apaisaient pas ma rancœur.
Bob se rapprocha alors, introduit deux doigts entre les cuisses de Carole, qui de son côté écartait ses fesses avec ses mains. Elle avait l’air d’être trempée de mouille et les doigts de Bob en étaient tout gluant… J’avais l’impression que ma femme était contente de s’offrir comme ça ! Elle lui offrait ses trous comme si de rien n’était. Il me semble encore l’entendre crier, quand l’énorme calibre la pénétra.
Je ne reconnaissais plus du tout ma femme, elle hurlait de plaisir. Plus elle écartait ses fesses, et plus il allait fort entre ses reins. Je n’y croyais pas. Ma femme était en train de se faire violement baiser…
Du coup, je me posât des questions sur son passé sexuel. Ce n’est pas une novice qui ferait ça. Elle se donnait à fond.
Après quelques minutes, Carole est devenue carrément incontrôlable, elle utilisait un langage que je n’avais jamais entendu.

-Oh mon dieu, qu’elle est grosse ta queue.
-T’as mal…
-Non, ça va…
Le sofa où ils étaient bougeait dans tous les sens et grinçait comme pas possible ! C’était une scène invraisemblable à laquelle j’assistais maintenant. Bob la baisait sans relâche, dans des positions que moi-même je ne connaissais pas.
-Oui…oui, baises-moi…
-Ah…ah, prends ça salope…prends mon jus petite trainée…
-Oh oui…vas-y, remplis moi, insultes moi…traites moi de pute…

Bob ne s’arrêta que lorsqu’il avait déchargé tout son sperme dans le vagin de Sharon. Il dégoulinait d’entre ses cuisses…
Une fois terminé, Bob attrapa Carole par les cheveux et posa sa queue sur sa langue, pour qu’elle la nettoie…
Seulement cinq minutes après, Bob rattrapa mon épouse et la força à se mettre à quatre pattes sur le lit, jambes bien écartées. Dans cette position, on voyait nettement la fente légèrement ouverte. Bob se pencha, excita le clitoris mis à nu, avec sa langue, léchât le petit trou. Ni une, ni deux, Carole se cambra et écartât ses fesses avec ses mains, comme si elle attendait sa dose.
Quand Bob déposa son énorme gland sur le petit trou de ma femme, j’ai eu un haut le cœur et faillit tomber dans les pommes ! Elle m’a toujours prétexté qu’elle était vierge de ce côté-là et que pour rien au monde elle se ferait trouer le cul, par qui que ce soit. La sodomie n’étant pas son truc.
Assez bizarrement, Bob n’a pas véritablement eu du mal à rentrer dans le petit orifice. M’avait-elle menti sur le sujet ? Il était carrément planté dans son cul et la prenait avec force, tout en lui donnant des claques sur le cul et les fesses !
-Salaud…oui, encules moi…Frappes moi, fort…j’adore ça…
Je passais vraiment une soirée horrible entre l’excitation de voir cela et le dégout que je pouvais ressentir ! Carole donnait carrément son cul à un autre homme. Bob passa une main entre ses cuisses, saisit le clitoris entièrement décalotté, qu’il fit rouler entre deux doigts. Le corps de Carole vibrait, elle hurlait de plaisir.
Il finit par ressortir de derrière ses fesses et vint se vider dans la bouche. Elle avala tout d’un trait…

C’est au petit matin que je suis revenu voir ce qu’il se passait dans la chambre, encore une fois réveillé par des cris stridents. Je ne pris même pas la peine d’enfilait un peignoir. J’étais entièrement nu.
Et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir mon épouse, jambes écartées, en train de se faire branler la chatte, déjà pleine de mouille. Elle se tordait comme une anguille, gémissant de plaisir. Puis, ce fut la queue de Bob qui remplaça les doigts. Carole empalée dessus, donnait de violents coups de reins.

-Oh putain, gémissait-elle, ça c’est de la baise. Combien de fois tu m’as fais jouir cette nuit, salaud…six, sept fois…et combien ce matin ?
-C’est à moi de décider, dit Bob fier de lui. Je vais bien te mettre le compte.
-J’ai encore envie, supplia Carole. Touche, ma petite chatte est toute mouillée.

Quand ils se sont enfin aperçu de ma présence, ils ont éclatés de rire, en voyant mon sexe ridicule, pendre lamentablement entre mes jambes. Il est vrai que, comparé à celui de Bob, la différence était énorme. Pour le plus grand plaisir de Carole.
Je suis alors reparti me coucher, essuyant la plus grande humiliation de ma vie. J’essayais de me dire que ce n’était qu’un mauvais rêve et que c’était impossible que ma femme m’ait fait un truc pareil…et pourtant, c’était bien réel.
Quand ils m’ont rejoint au salon, pas un mot sur leur torride relation. Carole et Bob faisaient comme si de rien ne s’était passé.
Bob est resté une semaine entière. Chaque nuit, il a baisé et sodomisé Carole, laissant la porte ouverte, pour que je ne perde rien des orgasmes à répétition de ma femme. Epuisé, je finissais par m’endormir.
Quand Bob repartit, Carole lui donna un sulfureux baiser. Elle lui proposa même de revenir à l’occasion, qu’il serait bien accueilli.
-Il y a toujours la chambre d’amis, poursuit-elle en me regardant.
Je compris de suite que la chambre d’amis, m’était réservée.