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Ma femme et mon frère

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 13/03/2023

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Je savais qu’en épousant Sandrine, j’épousais une fille au passé sulfureux.
En effet, à l’université, elle passait le plus clair de ses nuits dans sa chambre, à se faire baiser des nuits entières par un ou deux étudiants. Ces petits cons se vantaient de l’avoir prise en double, de se faire tailler des pipes, ou elle prenait plaisir à tout avaler. Sa réputation de fille facile fit le tour du campus, et elle fut mise à l’écart, par cela même qui avait profité de ses faveurs. J’avais été le seul à cet époque, à la soutenir. C’est à partir de là que nous avons entamé une sérieuse relation. Sandrine ne m’a jamais avoué son amour pour moi, ni juré fidélité, mais me promis de faire des efforts pour que nous ayons une vie de couple normale.
En effet, nous nous marions deux ans plus tard, et nous installons dans une belle villa en bord de mer, ou elle s’occupait de l’entretien, du jardin, au point qu’elle ne voulait plus sortir, mis à part quelques soirées entre amis, ou de part sa beauté, elle était sollicitée de toutes parts, par des mecs avides de sexes. Mais chaque fois, nous rentrions très tôt, et passions la nuit à faire l’amour.
Un jour, je fus contacté par mon frère Marc, qui rentré d’une mission humanitaire au Mali. N’ayant aucun pied à terre, il me demanda si je pouvais l’héberger quelques jours. J’en parle à Sandrine, qui accepte ma proposition, me disant que ce serait l’occasion de faire sa connaissance, car elle ne le connaissait pas, n’ayant pas pu se libérer pour participer au mariage..
Lors des présentations, je vois bien que la beauté de ma femme ne laisse pas Marc indifférent. Je fus surpris, et me demandais si cette attirance était réciproque. En voyant le regard coquin de ma femme à son égard, la méfiance s’installa en moi.
Au fil des jours, je remarque que Sandrine troque ses tenues de femmes de maison,
jogging, survêt, botte en caoutchouc, par des tenues un peu plus sexy. Jupe courte, chemisier ouvert, absence totale de soutien-gorge et de culotte. Cette absence de dessous est courant chez elle, mais quand on est que tous les deux.
Au cours de repas, mon frère n’hésite pas vanter sa beauté, dire que j’ai beaucoup de chance d’avoir une femme si belle, au point de faire rougir mon épouse. Quand elle débarrasse la table, Marc ne la quitte pas du regard, lui donne même un coup de main. Je les entend rire à la cuisine. Le soir au digestif, Marc nous raconte sa mission au Mali. Sandrine est fascinée, suspendue aux lèvres de mon frère.
Las, je monte me coucher, laissant mon frère et ma femme seuls au salon.
J’entends mon frère poursuivre ses aventures, mais je remarque qu’il y a beaucoup de blanc dans ses propos, un silence total. Que font-ils ?
Je commence à me poser des questions, d’autant que mon travail m’impose de m’absenter des journées entières. Mais dois-je m’en inquiéter, douter de la fidélité de ma femme. Je sais qu’elle aime le sexe, mais irait-elle jusqu’à me tromper avec mon propre frère, l’attirer dans le lit conjugal.
Quand il m’arrive de rentrer plus tôt du bureau, je les trouve souvent dans la piscine, en train de rire, s’amuser à s’arroser, je vois mon frère la prendre par les hanches, et la jeter par dessus se épaules. Sandrine ressort, le nez pincé. Je les vois aussi très proche, leurs mains disparaître sous l’eau. Je vois mon frère sortir, la forme de sa queue en érection à travers du maillot. Quand à ma femme, je la vois se tordre, comme si elle rajustait le bas de son deux pièces, dont le haut à disparu.
Lui a-t-il caressé la chatte sous l’eau, la-t-il doigtée ? La-t-elle décalotté...branlé...
Sandrine devinant ma détresse, me rejoint sur le transat.
- Que t’arrive-t-il mon chéri, je te sens triste.
- Tu as vu sa queue tendue dans son maillot...l’as-tu prise en main sous l’eau ?
- Quoi...mais pas du tout...mais j’avoue qu’il a l’air bien monté.
J’étais rassuré, jusqu’au jour ou je rentrais plus tôt du bureau. Personne au salon, mais je fus attiré par des bruits venant de la cuisine. Ils étaient là, elle appuyée contre le plan de travail, lui face à elle, la tenant par les hanches, tandis que les mains de Sandrine prenaient appuie sur les épaules de mon frère. Je vis que celui-ci défaisait un à un les boutons de la robe. Je savais qu’elle ne portait rien dessous.
Je me suis reculé dans le hall d’entré, puis suis revenu en toussant.
Attiré par ma voix, ils s’étaient écartés. Marc jouait avec son portable, Sandrine essuyait le plan de travail. Quand elle se retourna, je vis la robe déboutonnée jusqu’à l’entre jambes.
- Tiens, vous êtes là.
- Bonjour mon chéri...bisous
- Comment va frérot, dit Marc...je vous laisse, je vais faire un tour dans le parc.
- Je vais prendre une douche, me dit-elle, je serais pas longue.
Je me sers une vodka orange, et m’installe sur le canapé. Au bout de dix minutes, je décide de rejoindre Sandrine sous la douche. Arrivé à l’étage...
Je vois mon frère sortir de la salle de bains, alors que ma femme y était encore. Que c’est-il passé, ont-ils eu une relation, l’a-t-il baisée, droite contre les faïences, lui a t-elle taillé une pipe, a t-elle tout avalé. Autant de questions qui me blessent, mais ne me fais-je pas des films ? Pourtant, le soir dans le lit, je sens mon épouse distante, jusqu’à repousser mes caresses, sans parler de la baiser.
Les jours se suivent et se ressemblent. Je sens mon épouse s’éloigner de moi, pour ne s’intéresser qu’à mon frère. Mon frère ne ressent pas ma souffrance, et joue avec Sandrine, comme s’il ignorait que c’était sa belle-sœur, ma femme.
Certains soirs, je monte me coucher, tandis qu’ils s’éternisent dans la cuisine. Je les entends rire. La baise-t-il sur le plan de travail ? La sodomise-t-il ?
Il me faut de toute urgence en parler à ma femme, crever l’abcès, lui avouer la douleur que je ressens. Le soir, dans le lit, elle me tourne le dos, refuse tout contact. J’insiste, il faut qu’on parle. C’est moi qui entame la discussion sur le sujet.
Elle m’avoue être attirée physiquement par mon frère, qu’elle aime son sourire, sa façon de la faire rire, de lui parler, sa façon de la…
« Caresser...c’est ça qu’elle voulait dire ?
Il y a urgence, je dois la récupérer, lui faire oublier cet homme que j’ai introduis chez nous, et qui risque de causer la perte de mon couple.
Le soir venu, dans le lit, je passe mes doigts sur son visage, sens des larmes perler sur ses joues. Je glisse une main par dessus ses hanches, vers son intimité.
L’espoir renaît, car elle ne me repousse pas. Au contraire, elle s’écarte d’avantage, pour donner libre accès à mes doigts. Je ne suis pas surpris de sentir sa chatte toute mouillée, mais en suis-je le seul responsable ?
- Dis-moi...a qui penses-tu en ce moment...à mon frère ?
- Oui..un peu, je ne sais pas pourquoi, mais c’est vrai qu’il m’attire.
- Au point de me tromper avec lui ?
- Non...ça jamais...jamais je ne te tromperais.
- Mais pourtant...dans la piscine...la douche.
- La piscine, il a essayé de caresser ma chatte, de me mettre un doigt, j’ai repoussé sa main, il me disait qu’il fantasmait sur moi, qu’il aimerait bien me baiser, c’est pour ça qu’il bandait. J’ai coupé court. Dans la salle de bains, j’étais en peignoir, je me suis retournée, il avait sorti sa queue toute décalottée. Elle était énorme. Célibataire, j’aurais ôté mon peignoir, me serais agenouillée, et lui aurai taillé une pipe, et me serais certainement faite baiser, en levrette, debout contre la paroi de verre. Mais là, en épouse fidèle, je lui ai demandé de sortir.
Je sentis Sandrine déçu. Elle m’avouait fantasmer sur mon frère, mais ne voulait lui donner aucun espoir. Elle me dit penser souvent à lui, de s’endormir avec lui.
- Et tu l’imagines caresser ta petite chatte, doigter ton clitoris…
- Arrêtes...s’il te plaît…
- T’imagines sa queue coulisser dans ta bouche, avaler son sperme, ou pénétrer ta chatte, ton petit trou...jouir jusqu’à l’orgasme…
- Tais-toi salaud...tu vas me faire jouir…
- En pensant à lui...ou à moi…
- A toi...à ton frère...j’imagine sa grosse bite en moi...c’est lui qui me fait jouir…
- Et tu serais aller jusqu’à lui tailler une pipe ?
- Bien sûr...et j’aurais tout avalé...arrêtes de me faire dire tous ça...embrasses-moi…
Maintenant je suis fixé. Ce n’est pas ma queue qu’elle sent pénétrer dans sa chatte, mais celle de mon frère. C’est la sienne qui lui déclenche un puissant orgasme.
Pendant cette nuit torride, je m’aperçus qu’on faisait fait l’amour à trois, que pendant que je lui baisais la chatte, mon frère la sodomisait. Sandrine gémissait sous cette double pénétration, avalait nôtre sperme au cours de savantes fellations.
Je me réveillais en sursaut, m’aperçus que ma femme n’était plus dans le lit.
Je la vis sur la terrasse, proche de mon frère qui la tenait par la taille. Il se permit même de l’embrasser dans le cou. Quand elle me vit, elle se précipita vers moi, se pendit à mon cou, et me prit tendrement les lèvres. Puis elle me murmura à l’oreille.
« Penses à lui dire ce que je t’ai dis », et s’éloigna.
La nuit avait été tellement fabuleuse, que j’avais oublié. Quoi m’avait-elle dit ? Quoi devais-je lui dire ? A oui...ça me revient.
Elle m’avait demandé de dire à mon frère de quitter la villa, de ne plus revenir. Elle m’avait avoué qu’elle ne voulait pas succomber à ses avances, et ne tenait pas à ce que je les trouve dans le lit conjugal en train de faire l’amour.
J’expliquais nôtre décision à mon frère, qui comprit très bien la situation. Il demanda une dernière faveur, que se soit Sandrine qui l’emmène à le gare.
Je me sentais rassuré, je savais maintenant, qu’il ne s’était rien passé entre mon frère et ma femme, et imaginais leurs au revoir glacés sur le quai de la gare.
Je pouvais reprendre enfin une vie normale de couple. Nous passions des heures entières à baiser. Sandrine m’accordait des faveurs, auxquelles je n’avais jamais eu droit. Des faveurs issus certainement du fantasme qu’elle avait sur mon frère.
Je pensais souvent à Marc, qui devait encore fantasmer sur ma femme, qui dans son esprit l’imaginait empalée sur sa bite, puis son abondance semence couler dans sa bouche. Il devait imaginer son sourire quand elle enrouler sa langue autour de son gland pour le nettoyer. Le pauvre. Si j’avais fait parti de ces hommes qui aime voir leur femme se faire prendre par d’autres mecs, j’aurais peut-être accepté qu’il baise Sandrine, avec l’accord de celle-ci, bien sûr...mais ce n’étais pas le cas.
Avec Sandrine, on ne parlait plus de Marc, mais je pensais souvent à la déception qu’il avait dû avoir de ne pouvoir la baiser, jusqu’au jour ou je reçus une lettre adressée à ma femme. Je ne pu m’empêcher de l’ouvrir.
Le genre de lettre qui tue...
Il remerciait Sandrine des moments fabuleux passés avec elle, et du plaisir qu’elle lui avait donné en s’offrant à lui.
Les doigts dans sa chatte dans la piscine, elle les avaient pris, l’avaient faites jouir, la queue dans sa main, elle l’avait branlée, le peignoir dans la salle de bains, elle l’avait ôté, s’était agenouillée, l’avait sucé, avalé. Tout comme les silences creux dans le salon, n’étaient pas dû qu’à de torrides baisers, mais bien pire. Quand je partais au bureau le matin, il a rejoignait au lit…
Que de mensonges…


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Commentaires du récit : Ma femme et mon frère

Le 14/03/2023 - 21:58 par OlgaT
On imagine que Sandrine a rechuté. Vivement la suite!
Le 13/03/2023 - 16:51 par valeriane
Bien racontée cette histoire, j'adore.

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