Une prof soumise

Il est huit heures du matin, quand j’arrive au lycée, pour des cours commençant à neuf heures. Je fais un tour par mon casier, et y découvre une enveloppe. Je la regarde sur les deux faces, aucun nom d’envoi. Arrivé à mon bureau, je l’ouvre.
Beaucoup de photos de moi, de mon mari...du classique. Je regardais ça avec un léger sourire. Par contre, la dernière photos me fit froid dans le dos.
Une femme, entièrement nue, à genoux, entourée de trois bites en érection. La photo est prise de haut en bas. On y voit une femme tailler des pipes aux trois mecs, et avaler leur sperme. Cette femme, c’est moi, Céline.
Je reconnais l’endroit. C’est dans l’arrière salle d’une discothèque, le soir ou j’enterrais ma vie de jeune fille. Mais qui a bien pu prendre ce photos ?
Sur une photo, un mot. « Surveillez vôtre casier, d’autres photos vont suivre ».
Même si je suis mal à l’aise, j’assure mon cours le plus normalement possible, toisant les élèves à la recherche d’un indice, une façon anormale de me regarder, un signe qui le trahirait...rien.
Le lendemain, je me précipite à mon casier, et y trouve une nouvelle enveloppe. Cette fois, les photos sont plus suggestives.
Elles me montrent à quatre pattes, en train de me faire prendre en levrette par un jeune maghrébin, tandis que je suce la bite de son pote.
Je suis effondrée sur mon fauteuil. La peur que ces photos tombent entre les mains de mon mari, qui bien évidemment, n’est au courant de rien. Je sentais un chantage se profiler.
Je ne pouvais cacher mon état de nervosité durant les quatre prochaines minutes qui précédaient l'heure de cours particulier avec quatre de mes étudiants, dont l’un était, peut-être, celui qui postait ces enveloppes.
Ce n’est que le lendemain, ou sur les dernières photos, me montrant en train de me faire prendre en double par deux blacks, alors que je taillais une pipe à un troisième.
C’est là que je trouvais un mot, au dos d’une photos.
« Rendez-vous demain dix huit heures sous le porche, ou une voiture sera stationnée. Vous vous installerez sur la banquette arrière. Vous porterez une courte jupe, pas de culotte, et que vôtre chatte soit parfaitement épilée ».
Je passais toute la nuit et la journée du lendemain à réfléchir à cette indécente proposition. Si je n’allais pas au rendez-vous, les circonstances risquaient d’être grave, pouvant aller jusqu’à la destruction de mon couple, et de ma carrière. Je n’avais pas le choix.
J’aurai dû me douter qu’un jour, si ces photos tombaient entre les mains d’un élève poussé par ses hormones, aurait le cran de venir me faire chanter. Mais je n’avais pas envisagé cette situation, et je dois maintenant me rendre à l’évidence.
Avant de quitter le lycée, je me rendais aux toilettes pour ôter ma culotte, et peaufiner l’épilation de ma chatte. Dix huit heures pétante, je m’installais à l’arrière du véhicule.
Un homme monte dans la banquette arrière, le visage à moitié caché par un foulard, et une casquette. Je le juge jeune, d’après la finesse de ses doigts. Un élève dans doute.
- Qui êtes-vous...ou avez-vous eu ces photos…
- On se calme..;c’est moi qui dirige ici...OK.
Devant le côté autoritaire du personnage, je m’incline.
- Sur la dernière photo, c’est à mon frère que vous taillez une pipe, Il est le seul à vous avoir craché dans la bouche...vous avez tout avalé, et l’avais gardé en bouche.
- OK...et vous attendez quoi de moi...de l’argent, ou peut-être une faveur. N’y comptez pas en tout cas.
- Dans un premier temps, je veux que vous remontiez vôtre jupe, et que vous écartiez les jambes, entièrement, et surtout, de vous laissez faire.
La nuit tombait tôt en ces soirs d’hiver, et je commençais à avoir peur.
- N’ayez pas peur madame, je veux juste vous donner du plaisir.
C’est à ce moment que je sentis une main glisser entre mes jambes. Je la repoussais brutalement, ne voulant pas céder aux pulsion du jeune inconnu.
- Est-ce que vous me rendrez les photos si je coopère ?.
Pour toute réponse, la main revint quelques secondes plus tard pour s’installer contre ma chatte. Je me crispais sur la banquette, tandis que la main entamait une lente et douce caresse. Malgré la situation, je sentis une légère chaleur monter en moi. Pour son âge, ce que je pensais être un ado, n’avait rien a envier à certains adultes pour caresser une femme, mon mari en premier. Il sait faire, sait comment donner du plaisir. Je sentais son majeur doigter mon clitoris, que j’ai proéminent. Je ne tardait pas à gémir, de plus en plus excité par l’intensité de la caresse.
Je jetais ma tête en arrière sur les appuis tête dans un cri de plaisir.
- Oh oui...salaud...oui, vas-y...je jouis...ah…ah...
- Je savais que vous aimeriez ça madame.
Je me sentais salie, humilié, je suis une jeune maman, et me suis faites doigter par un gamin, et y est pris énormément de plaisir. J’ai atteins un terrible orgasme devant lui.
- Surveillez vôtre casier, madame, j’ai prévu d’autres rencontres avec vous. Vous n’aurez qu’à lever le doigt en cas d’acceptation, un élève comprendra.
C’était donc un élève, qui participait à mes cours. J’étais prise dans un odieux chantage, orchestré par un élève du lycée, à qui je donnais des cours particulier.
Son prénom...Luc.
Parfois, ses parents s’absentaient une semaine entière, c’est chez lui que ça se passait.
En arrivant, il me demandait de quitter ma culotte. Aussi, je passais tout le cours assise sur ses genoux, avec un ou deux doigts enfoncée dans la chatte. Il n’était pas rare, que pendant le cours, j’atteigne deux, trois orgasmes. Il riait, prenait plaisir à me faire jouir, à m’entendre crier.
- Maîtrisez-vous...restez concentrée, me disait-il en souriant.
- Comment veux-tu que je me concentre, en faisant subir ce traitement à mon clitoris.
Petit à petit, je me soumettais aux caprices d’un gamin d’à peine dix huit ans.
Un soir, avant de partir, il me fit agenouiller, me demandais de sortir sa bite, et la prendre en bouche. Il était ma foi, assez bien monté. Après quelques va et vient sur sa hampe, je lui taillais une pipe. Je levais les paupières pour voir son visage se déformer quand il jouit. Je sentis de puissante giclé tapisser mon palais. Pour la première fois, j’avalais tout, me délestais de sa semence. Je ressortis, enroulais la langue autour de son gland. Ses râles de plaisir résonnaient dans mes oreilles.
Lors du dernier cours, il me fit asseoir sur le bureau, jambes entièrement écartées. Il enfouit son visage entre mes cuisses, et se mit à bouffer ma chatte. Je sentais ses lèvres aspiraient mon petit bouton, sa langue me pénétrer. Je me cramponnais à ses cheveux. Je hurlais de plaisir, n’en finissais pas de jouir. Jamais mon mari ne m’a fait jouir comme ça, je n’ai jamais senti autant de plaisir au cours de préliminaires qu’avec lui.
Luc était très doué dans ce domaine. Il me relève, me prends dans ses bras. Ses yeux verts plein d’assurance, fixent les mien. Il approche son visage, me prend les lèvres. Quand sa langue force le passage, je me laisse faire, et répond même à ses avances. Nos langues se mêlent dans un même élan.
- Vous avez envie que je vous baise ?
Il sourit et m’embrasse encore plus violemment. Comme la première fois, je ne peux lui résister. Une de ses mains vient caresser mes seins et commence à déboutonner mon chemisier. Ma main caresse lentement son sexe tendu au travers du jean.
- Alors, avouez que vous la voulez !
- Oui, c’est vrai…
- Dites le plus fort, dites que vous voulez que je vous baise !
- Oui, j’ai envie de toi…
- Non, ce n’est pas ce que je veux entendre !
Je ne me contrôle plus, ma chatte est trempée, et le désir monte cescendo.
- Oui je veux que tu me prennes…
-  Encore !
-  Oui je veux que tu me baises...oui je suis ta prof et je veux que tu me défonce !!
On tombe au sol, nous déshabillons en un temps record. Nous nous embrassons, nous enlaçons, excitons nos sexe. Je le suce pendant qu’il bouffe ma chatte. Il se met sur le dos, la bite dressée. Je le chevauche et m’y empale dessus. Je suis salope, la salope infidèle qui se donne à un élève, qui me baise, et me rend heureuse. Soudain, jaillit un puissant orgasme, tandis qu’il vide ses couilles en moi. Luc est phénoménal, m’offre trois autres orgasmes. Cette matinée fut intense, torride.
Je rentre chez moi vers midi, prend un bonne douche et rejoins mon mari au salon.
Je reçois un message de Luc m’informant qu’il est seul ce soir, que ses parents sont paris, et qu’il aimerai bien ne voir. Mon mari me questionne de la tête.
- C’est Jade qui m’invite à aller voir « Titanic » ce soir.
- Ouf...c’est long comme film. Je te suggère de coucher chez elle.
C’est chez Luc que je passais la nuit, cette nuit ou je reçu ma première sodomie. Cette nuit là, je me suis offerte comme jamais, jouissant jusqu’au matin...Une tuerie.
Le matin, en me réveillant, j’ai une pensée pour mon mari, qu’il me croit avoir passé la nuit chez ma copine.
Mais mes pensées sont vite dissipées en voyant la queue en érection, de mon jeune élève. Je le regarde, il est encore endormi. Je lui sourit, me penche, et prends sa queue en bouche. J’entame une lente fellation, qui le fait légèrement soupirer.
Encore à moitié assoupi, sa main caresse mes cheveux, il commence à gémir, à onduler sous ma douce pipe. Soudain, je le sens se cambrer, je sens sa bite vibrer en moi. Puis ce sont de puissants jets de sperme qui jaillissent au fond de ma gorge, tapissent mon palais. J’avale tout, sors la bite, enroule ma langue autour du gland, le nettoie, puis le remets au chaud dans bouche. Je sens Luc s’agiter.
- Chut, mon bébé...rendors-toi, il est encore tôt...nous avons toute la matinée.
Je me lève, me dirige vers la salle de bains. Je prends un bon main, puis, entièrement nue, rejoins mon jeune amant.
J’envoie un message à mon mari, l’informant que Jade va faire les boutiques, et qu’elle me demande de l’accompagner, et que je ne rentrerais qu’en fin d’après-midi.
Comme le« Titanic », ma chatte n’en finit pas de couler sous le joug de mon jeune amant.