Ma femme se prête au jeu du fantasme candauliste

J’avais osé parler à ma femme de mon fantasme candauliste. Clémentine ne s’était pas fermée quand j’avais évoqué le sujet, mais m‘avait répondu que pour le moment, ça ne lui disait rien. Je n’avais pas insisté.
Un jour cependant, d’elle-même, elle décida de se prêter au jeu, de manière fantasmée. On avait pris un spritz chacun dans notre salon, et l’alcool avait dû l’aider à la désinhiber.
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- Alors, si tu voulais me voir en compagnie d’un autre, ça se passerait comment ?
Elle me fait son regard coquin. Ses propos autant que ses yeux me plongent subitement dans un grand état d’excitation.
- Déjà, tu serais habillée de manière sexy.
- Très bien, je reviens.
Elle me plante là et se dirige vers notre chambre. Je bande dur en l’imaginant choisir sa tenue. Elle revient quelques instants plus tard, maquillée et en tenue suggestive.
Elle porte une robe verte courte, nouée de manière à dévoiler à la fois un décolleté plongeant ainsi que le haut de ses cuisses. Elle a mis des talons aiguilles et un rouge à lèvre couleur prune. Ma femme est du genre féminine, mais ce n’est vraiment pas son style de jouer vestimentairement les aguicheuses. J’ai l’impression de la redécouvrir.
- Et voilà… dit-elle en me clignant de l’œil. Assez sexy pour monsieur ?
- C’est même … au-delà de ce que j’imaginais…
- Entre nous, ça fait un peu petite salope, non ?
- J’avoue…
- Et ça te plaît, de voir ta femme transformée en petite salope ?
Je déglutis :
- Clem… j’adore…
Mon épouse reprend une gorgée et me demande :
- Bon, donc on va dire qu’on a un invité, qu’il prend l’apéro avec nous, que je rigole bien fort à ses blagues pour lui montrer que je suis « open »… et ensuite, qu’est-ce qu’il se passe ?
- Tu lui décoches un rapide baiser sur les lèvres, et comme ça, il est certain que t’es partante.
- D’accord, et ensuite ?
- Lui se permet de te mettre une main sur la cuisse, puis de te caresser doucement la poitrine.
- Comme ça ? demande Clémentine en posant sa main sur sa cuisse avant de remonter lentement vers son flanc puis son décolleté.
- Parfaitement. Et toi, tu me regardes comme maintenant. Avec ce regard complice Et tu continues à me fixer pendant qu’il te mordille le cou. Tu glousses un peu.
- Uh uh uh… je fais bien la cruche, hein ?
- Et après tu te lèves, tu lui prends la main et vous allez sur le canapé.
- Allez, venez… comment il s’appelle au fait ?
- Je ne sais pas… Charles ?
- Allez, venez, Charles, on va sur le canapé.
Clémentine se lève, tendant la main comme si elle tenait celle de Charles et le guide vers le canapé. Elle rajoute :
- Et là… je sens que Charles est un peu stressé. Alors je me mets comme ça face à lui.
Elle se met à genoux sur le canapé et relève délicatement sa robe, dévoilant en partie son sexe. Elle ne porte pas de culotte.
- Je lui montre ma petite chatte et la caresse légèrement, comme ça, pour faire les présentations, et le détendre un peu. Je lui prends sa main pour qu’il défasse un peu plus ma robe et puisse se saisir d’un sein. Et bien entendu, je te jette des coups d’œil de temps à autre pour te montrer que ça me plaît, de me donner à ton pote.
Clémentine me regarde. Je suis resté sur ma chaise, l’esprit en surchauffe face à ma femme se caressant et me parlant.
- Après, je vais guider sa main pour qu’il sente comme je mouille, comme ça. Je vais le sentir excité. Je vais lui demander si ma chatte lui plaît. Il me dira que oui en rougissant. Alors je l’inviterai à me mettre un doigt. Comme ça.
Clémentine se doigte en me regardant. Elle gémit de manière démonstrative. J’entends le bruit de son doigt effectuant des aller-retours dans sa chatte mouillée.
- Et là, il s’enhardira, comme tous les garçons, dès qu’ils se mettent à baiser une chatte. J’ondulerai du bassin et je lui demanderai s’il aime ça, de doigter la femme de son pote. Je l’exciterai par mes paroles et mes cris. Quand je sentirai qu’il est assez en confiance, je me pencherai pour lui défaire sa ceinture, mais je me contorsionnerai pour lui permettre de garder son doigt en moi.
Ma femme, toujours avec un doigt en elle, se penche alors et met sa main sur le coussin. Je n’ai aucun mal à l’imaginer déshabillant ce Charles imaginaire.
- Je sortirai sa queue qui sera toute dressée. Je sourirai face à son érection et après je te regarderai d’un petit air innocent et je te dirai : « chéri, je peux sucer la queue de Charles s’il te plaît ? »
- Vaz-y, mais demande lui s’il est d’accord.
- Charles, je peux te prendre dans ma bouche ? Attends, je reviens. C’est du gâchis de sucer de l’air.
Clémentine se relève et file dans la cuisine. Elle en revient avec une banane qu’elle épluche à moitié.
- Voilà, c’est plus réaliste non ?
Elle se met à genoux, pose la banane sur le canapé et en lèche le bout. Je suis suffoqué d’excitation par le spectacle. Je me caresse à travers mon pantalon. Clémentine me fixe du regard et d’un coup, sans me quitter les yeux avale la banane. Elle émet un « mmmmm » de satisfaction.
- Tiens, tu peux regarder ma petite chatte et mon cul pour si tu veux, dit Clémentine en relevant sa robe.
- Ecarte les jambes que je les vois bien. Et applique-toi à bien sucer Charles.
- Bien monsieur.
Je me rapproche alors que Clémentine continue de sucer la banane goulument. J’observe son sexe. Il est tout luisant de mouille. Je crois que cela m’excite bien plus que tout le reste : voir que ma femme est fondamentalement excitée par ce fantasme. Clémentine en profite pour remuer son derrière. Elle continue de sucer la banane en prononçant des « mmmmmm ».
- Parle-moi. Dis-moi ce que tu ressens. Ça te plait ?
- Moui, ça va… répond Clémentine d’une voix un peu maussade. Mais…
- Mais quoi ?
- Mais je crois que je préfèrerais sucer une vraie bite. Il va falloir que tu me trouves un Charles.