Ma soumise à moi 12

Un voisin bien aimable…

17H00, je suis au boulot, j'entends le "ding" de mon téléphone qui m'indique qu'un SMS viens de m'être envoyé.
Il est de toi.
Je l'ouvre et découvre une photo de toi.
A quatre pattes sur le divan, en bustier, porte-jarretelles et talons aiguilles, un bandeau sur les yeux et un plug figé dans tes fesses.
Avec la mention " j'ai passé l'après-midi à me détendre et à me préparer, j’ai laissé la porte grande ouverte. Ma bouche et mon cul son disponible pour vider les premières couilles qui passes….Avis aux amateurs !… "
Il faut vite que rentre, heureusement c'est la débauche et je n'ai que dix minutes de route.
Je pars en trombe avec une trique d'enfer.
J'arrive devant chez moi et découvre mon voisin devant la porte !
Je descends de voiture et il m'explique qu'il est là, car il s'inquiétait de voir la porte ouverte comme ça alors que j'étais au travail.
Je me suis dit : si tu savais...
A ce moment je me souviens du "avis aux amateurs"
J'ai pensé à cet instant " ma salope, la prochaine fois, tu feras attention à ce que tu écris ! "
Je propose à mon voisin, (qui est un chaud lapin à ce qu'il paraît..) de rentrer mais sans faire de bruit.
On passe l'entrée, je reclaque la porte derrière moi.
On se dirige vers le salon.
Et là nous découvrons ensemble ma femme le cul en buse dans le canapé, les yeux toujours bandés, la main entre les cuisses en train de se caresser le minou.
Je me tourne vers mon voisin, il a les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte ! Tu m'étonnes ! Vu la surprise...
Je lui fais à nouveau signe d'avancer sans faire de bruit.
Je le vois se frotter la queue au travers de son Jean et une énorme bosse déformer son pantalon.
Je retire mon pantalon et mon boxer qui me serre à moi aussi et observe mon voisin, qui sans le retirer, déboutonne son jean et extirpe une paire de couilles et une queue énorme de là-dedans !
Je me dis qu'avec ça il a dû en faire hurler plus d'une....
Nous approchons d'elle, je fais le tour du propriétaire....
Elle a maintenant la tête enfouie dans les coussins.
Je l’entends gémir à mesure qu'elle joue avec son bouton d'amour.
Elle joue avec, comme si nous n'étions pas là, le titille, le pince, l'écrase.
J'entends le bruit de sa mouille sur ses doigts trempés.
Ma main effleure sa croupe, elle se tétanise comme surprise par ma caresse.
Mes doigts parcourent son dos et descendent jusqu'à ses fesses.
Elle s'immobilise, lève la tête.
Mes doigts tapotent sur son plug.
Un « Ahhh » de plaisir sort de sa bouche.
Je fais glisser l'objet dans ses fesses et m'aperçois qu'il a bien été lubrifié...
Je tourne la tête et observe mon voisin se malaxant ses grosses boules d’une main et branlant sa queue fièrement dressée de l’autre.
Voir ses mains branler cette tige sur toute sa longueur réveil en moi un instinct bestial.
Ses couilles sont énormes, son gland violacé, et sa queue du même diamètre que la mienne mais atteint bien les 25cm.
Récemment lors d'une soirée, je lui avais déjà offert la chatte de ma femme qu'il avait labourée avec ardeur, mais ce soir je n'avais pas envie qu'il épingle ma femme par le cul avec son engin !
Je lui ai donc montré du doigt la bouche de ma femme grande ouverte par ses gémissements.
Ma main s'abat sur ses fesses et lui assène une belle fessée qui lui rougit l’arrière train.
Je recommence plusieurs fois et la vois se cambrer encore plus.
C'est qu'elle y prend goût ma petite chienne.
Je vois alors mon voisin attraper ma femme par les cheveux et commencer à lui biffer le visage avec son membre.
Sans savoir qui sait, elle ouvre la bouche pour essayer de gober l'engin face à elle.
Il présente son gland violacé à l'entrée de sa bouche.
Je la regarde partir à la découverte de cette queue qui n'est pas la mienne, elle lape du bout de la langue son méat d'où s'échappe déjà quelques gouttes de jute.
Lui pressé d'en découdre, force l'entrée de sa bouche avec son gland et lui déforme la bouche.
Je l'observe petit à petit téter son gland et avancer un peu plus le long de la tige.
Elle bave de plus en plus à mesure que cet homme lui enfonce son engin.
Il s'énerve encore plus, lui maintien plus fort la tête et s'enfonce encore plus loin dans sa gorge.
Mon dieu quel spectacle !
Je le vois ressortir 20 bon centimètres de tige pleine de bave de sa bouche.
Avec doigts, il encercle ses couilles et les plaques sur le visage de ma femme.
E - « purée ! Elles sont énormes chéris ! Il était temps que tu rentres ! »
Si elle savait....
Je l'observe tenter de lui mettre tout son paquet dans la bouche mais rien n'y fait.
Sa bouche distendue n'arrive qu'à en gober une par une et encore !
C'est à ce moment-là que j'entre en jeu.
D'un geste brusque je lui claque les fesses et lui retire d'un coup le jouet qu'elle a dans le cul.
Un petit bruit de succion me prouve qu'elle avait bien lubrifié son petit trou.
J'attends un « Ahhh » suivi d'un « Bande de salaud ! »
Ça y est, elle a compris !
J'en profite pour rentrer toute ma queue dans sa petite grotte bien huilée, elle hurle.
Mon voisin en profite pour lui remplir la bouche avec son sexe.
Nos queues s'activent aux mêmes rythmes chacun à une extrémité.
Ma petite chienne doit bien morfler me dis-je.
Mais contre toute attente, je la voie s'agripper à deux mains sur son chibre et tenter d'en avaler encore plus!
Mais quelle salope !!
Elle s'étrangle et bave comme une chienne en rut.
A mesure qu'il s'enfonce en elle, mes couilles claques de plus en plus contre son abricot.
Je me dis qu'a cette allure il va me l'étouffer, mais tous les deux nous sommes tellement excités qu'on ne s'arrête plus.
Je l’entends grogner et le vois maintenir à deux main le visage de ma femme.
Le salaud, il se vide dans sa bouche.
Je vois sa jute dégouliner de la commissures de ses lèvres et se reprendre sur sa poitrine.
Au même moment j'expulse une grosse quantité de foutre dans son intimité que je vois s'écouler de son petit trou quand je me retire.
Comme une petite chienne bien apprise, elle se délecte des dernières gouttes de cet inconnu et la surprend même à frotter sa tige pour étaler le reste sur ses seins.
Je remercie mon voisin d'être passé et il se retire à pas de loup comme il était venu.
Ma femme toujours les yeux bandés, assise dans canapé, alternant les coups de langues sur son sein et se léchant les doigts qu'elle vient de porter à son minou à la recherche du liquide que je viens de lui offrir en cadeau.
Je lui retire son bandeau et me dis avec un grand sourire :
E « Il n'a pas le même goût que toi, mais ce n’est pas mauvais non plus! »
E « Tu exagère quand même ! Au départ c'était pour toi la surprise ! »
E « C'était qui cette fois ci ? »
M « Personne ! »
On reste l'un contre l'autre un moment enlacé tendrement avant de partir ensemble vers la salle de bain.
Elle est trop belle la femme....