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Ma fille, son pote black et moi

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Lue : 29622 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/08/2009

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J’ai 50 ans, je m’appelle Sara, de type européen, blonde, cheveux longs, yeux verts, très coquettes, et plutôt très en forme pour mon âge car il faut dire que je m’entretiens pas mal en faisant du « cardio » (1), un peu de musculation et je mange toujours sain et équilibré.

J’ai une fille unique de 27 ans, elle se prénomme Julie, assez grande, blonde elle aussi mince, très jolie et encore plus féminine que moi.

J’habite une belle maison individuelle avec mon mari et ma fille dans la commune de Sainte Luce. Ville touristique du Sud de la Martinique possédant de nombreuses plages appréciées par les résidents locaux et par ceux venus d’ailleurs.

Nous sommes situés sur un morne et avons une merveilleuse vue sur la mer. Un vrai paradis, quoi !
Seulement, dans cet enchantement, il y a un problème. J’ai un mari qui est très rarement à la maison et quand il y est, je ressens à peine sa présence.

Ma vie sexuelle est quasiment morte et Victor qui est toujours dans son travail et qui se plaint continuellement de fatigue, ne voit pas ce manque.
Il n’y a que son job qui compte et rien d’autres.
Malheureusement pour lui, j’ai un grand appétit pour le cul et ma fille avec qui j’entretiens une relation très particulière est la seule au courant de cette voracité. Toute petite déjà, elle m’adorait et au moment où elle a passé ses 18 ans, nous avons tous partagé. C’est à ce moment qu’elle m’avoua à son tour sa gourmandise pour le sexe.
Dès lors notre complicité s’est renforcée.

Notre particularité commune, c’est que nous aimons les « blacks ». A l’inverse de mon mari qui n’imagine pas un instant qu’une blanche puisse baiser avec un noir. Il faut dire que sa famille est quasi raciste.
Mais à force de me masturber ou de baiser avec lui une fois l’an, j’avais décidé après tant d’années de prendre les choses en mains.
Un soir alors que mon mari n’était pas là, j’ai dis à ma fille que je voulais me faire prendre sauvagement par un antillais.
- T’inquiète maman, j’ai la personne qu’il te faut, m’avait-elle répondu.
Après avoir composé un numéro et discuté 5 mn sur son portable, elle me dit :
- J’ai un pote qui vient dans 20 mn. Tu verras, il va te plaire.
- Je te fais confiance, lui répondis-je.

En attendant que ce mec arrive, j’ai enfilé une nuisette sexy en satin blanc crème et j’ai disposé dans un grand plateau en osier des bouteilles de punchs et de liqueurs accompagnées de noix de cajou que j’ai déposé sur la table basse du salon.
- Tu sais quoi Julie ?! Pour une première fois, j’aurai souhaité que tu me filmes avec ce gars. Ca m’exciterait plus et j’ai envie d’en garder un souvenir.
- OK maman, comme tu veux. Et si un jour t’as envie de faire chier papa... me dit-elle d’un air malicieux.

Soudain, on sonna au portillon automatique. Julie alla ouvrir et sortit accueillir notre invité.
Pendant ce temps, j’étais assise dans le salon, impatiente de me faire baiser.
Et qu’elle ne fut ma surprise de voir Julie arriver avec un grand rasta « black ». Il était mince, d’apparence sauvage et malgré son t-shirt en plus de son jogging large je le trouvais un peu musclé plutôt sec, il avait des « locks » qui lui arrivaient jusqu’à la taille, une moustache et une barbichette entourant ses gosses lèvres lui ornaient son visage et surtout, il avait la peau très noire, comme je les aime.
Après avoir discuté et fait connaissance autour de l’apéritif, nous sommes allés dans ma chambre car c’est là que je voulais me faire prendre.

J’ai demandé à Milton (2) de s’asseoir sur le fauteuil en face de mon lit. Il retira son t-shirt. En m’approchant de lui, je me suis mise à caresser son torse et ses abdos. J’ai retiré ses baskets et laissé ses chaussettes. Puis j’ai hotté son jogging.

Voyant la bosse épaisse explosant dans son slip gris alors qu’il n’était pas encore en érection, je ne pus m’empêcher d’y fourrer mon nez et lécher le tissu bosselé qui sentait le mâle.
Ma fille qui filmait ne ratait rien de ce que je faisais.

Ensuite j’ai enlevé le sous vêtement de notre rasta, apercevant ainsi sa grosse queue noire et veineuse qui y était confinée. Rien qu’au repos, elle devait faire 19 cm de long et 5 cm de large.
J’ai de suite attrapé sa verge dont le gland très gros était couvert par le prépuce. Après l’avoir décalotté, je me suis mise à sentir son pénis émanant une odeur légère de pisse et de sueur que laissait penser qu’il se négligeait un peu comme mec. Il aurait pu au moins se laver avant de venir. Qu’importe, ça m’excitait comme une folle. J’ai alors fourré sa bite dans ma bouche et je me suis mise à le sucer comme une malade.

Très vite il atteignit les 25 cm, dure comme la justice. Sa queue était couverte de ma salive et ses boules que je dégustais en ce moment malgré sa forte pilosité dégoulinaient elles aussi de ma bave.
Je me suis alors levée, déshabillée et allongée en position du missionnaire écartant mes jambes lui offrant ma chatte bombée et maculée de ma mouille qu’il vint lécher sans tarder. Sa grosse langue, ses lèvres charnues et sa moustache qui ravageaient mon intimité, me faisait jouir à mort. Il bouffait catégoriquement mes lèvres intimes, mon clitoris et mon orifice urinaire.
Ensuite, il frotta son gland sur ma chatte, faisant entrer sa queue à moitié et aussitôt ressortir pour l’enfoncer enfin jusqu’à la garde, me laissant échapper un cri de douleur et à la fois de grand plaisir.
Tout en continuant à filmer, ma fille lui ordonna alors de me défoncer le vagin.
- Allez bébé, défonce lui le minou, l’encouragea dit-elle.

Ses coups de reins devenaient de plus en plus violents. Je gémissais et criais comme une chienne en chaleur. Je mouillais abondamment sentant mon anus couvert de ma substance.
Ses grandes « locks » retombaient sur mon visage et sur ma poitrine. Tout en continuant ses vas et viens, il les ramena en arrière et les attacha avec une de ses nattes pour qu’il ne soit pas gêné dans son action.
Puis il se retira et me demanda de me retourner en me mettant à quatre pattes, appuyant sur ma nuque avec sa main gauche m’obligeant à me pencher en avant afin de mettre davantage mes fesses en évidence.
Milton cracha sur mon anus en y introduisant un, deux puis trois doigts. Je gémissais comme une salope. Ensuite, il força l’entrée de mon rectum avec son gros gland et me pénétra jusqu’à la garde.
- Ouais, allez ! Baises là, baises là, répéta Julie approchant le caméscope de l’action en court.
- Han, han, han, han... Aaaaaaaahhh !!! criais-je dans ma chambre.

Mon rasta n’arrêtait pas de me ramoner le cul en me donnant des tapes sur les fesses.
Sa queue était énorme en moi et il me limant tel un sauvage, je sentais mon anus chauffer.
Il me retourna ensuite comme un animal sur le dos écartant lui même mes jambes et me pénétra la chatte jusqu’au fond et continua ses vas et viens d’homme brutal.
Ses boules pendantes et poilues tapaient contre mes fesses.
Soudain, je sentis sous souffle s’accélérer, il m’attrapa à la gorge, ses muscles se crispèrent, sous plusieurs spasmes de jouissance et râlant d’une voix très grave, il déversa sa purée blanche en moi.
Nos deux corps étaient couverts de transpiration.

Puis il se retira de mon intimité très lentement laissant le soin à ma fille de filmer sa grosse verge qui glissait hors de mon minou.
Quand Milton s’est mis debout au côté de Julie, je ne me lassais pas de regarder sa queue noire, longue, épaisse et veineuse, luisante de ma mouille et de son sperme qui pendait entre ses jambes.

J’expulsais de ma chatte le reste du foutre qui dégoulina jusqu’à mon petit trou anal pour s’étaler sur le drap du lit, quand le pote à ma fille s’approcha pour entièrement boire et lécher le mélange de nos deux semences.
Il me dévorait monstrueusement le vagin prenant soin de bien le nettoyer. Et je dois reconnaître que cela m’excitais beaucoup de voir un mec se délecter de sa propre semence.
Se redressant à nouveau pour se tenir debout face à moi encore allongée sur le lit, il passa sa langue sur ses lèvres comme pour récupérer les dernières traces de jouissance et prit la parole :
- Alors ?!... Tu as pris ton pied ?
- Tu ne peux savoir à qu’elle point, dis-je en me caressant la fente et en y introduisant mes doigts.

Et ma fille qui continuait à filmer, me demanda si je voulais dire quelque chose à la «caméra » avant de l’éteindre.
Et donc, tout en passant mes mains sur ma chatte et mes seins, j’ai dis :
- « I love B-I-G...B-L-A-C-K...C-O-C-K », avec un sourire de vicieuse accompagné d’un clin d’œil.
Puis Julie éteignit le caméscope.

SteeBlack972

(1) Cardio : expression que l’on utilise en musculation qui signifie faire du footing. Courir pour se dépenser et perdre de la masse graisseuse.
(2) Milton : Il est originaire de Sainte Lucie, d’où son nom anglais.

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