Ma langue, son cul

J'avais ma langue entre ses poils, sur sa chatte. Elle grognait pour manifester son plaisir.

J'étais à plat ventre entre ses jambes. Je gouttais sa mouille. Je fouillais vers son sexe, vers sa féminité. Elle tenait ma tête comme pour me guider, moi qui connais son sexe par cœur.

Et je bandais comme un dingue en attendant de pouvoir, de vouloir qu'elle accepte ma bite en elle, n'importe où. C’était bon pour elle, c'était bon pour moi. Elle appuyait sur ma tête comme pour me demander de descendre encore.

Je passais ma langue sur le périnée : ce n'était pas suffisant. Elle me demandait silencieusement de lécher son anus. Après tout pourquoi ne pas ne la satisfaire puisque c'est elle qui la première fois me demandait de l'enculer, curieuse de connaître un autre orgasme.

J'étais avide de connaître la sensation de son cul sur ma langue. Je trouvais d'abord un endroit tout plissé, tout près à s'ouvrir avec un tout petit peu d'insistance.

Je caressais doucement les abords de son anus. Ses mains insistaient sur mon crâne. J'enroulais ma langue en cigarette russe. Je devenais comme un serpent : dangereux pour elle, sans aller jusqu'à la mordre (quoique).

Elle se rendait complètement ouverte.
Mets moi là au fond.

Elle ne parlait pas de ma bite qui la visitait à sa demande. Mes muscles linguaux forçaient pour arriver à la satisfaire. Si le bout de la langue entre facilement, il n'en est pas de même pour le reste. Pourtant elle ouvre bien son cul. Et d'un seul coup ma langue perfore son cul. J'entre je ne sais combien de ma langue. Je sens un goût bizarre dans ma bouche : le raffinement de ses intestins ; pour une fois non plus sur la bite, mais dans la bouche. J'aurais dû être écœuré, au contraire j’adore goûter son intérieur particulier.

Sans lâcher son cul, je me retourne, je lui donne ma bite qu'elle mange en partie.
Elle m'a pris dans sa bouche, l'a englouti. Ma bite prenait ses aises sur sa langue. Je la sentais bien lécher, me mordiller. Sa main tenait la base de ma queue. Elle caressait mes couilles de l'autre main.

Et puis je ne sais pourquoi elle me laissait tomber. Je sentais bien la langue sur mes couilles. Désireuse de me connaître d'avantage elle léchait le périnée. Sa langue allait jusque vers mon propre cul. J'avais ma queue quelque part vers son cou.
Elle fouillait vers mon cul, comme je le lui faisais.

Ce n’était plus un 69, ça devenait un dîner particulier. Sa langue forçait mon cul à s'ouvrir, ce que je faisais tranquillement, comme si j'étais un habitué de la situation.

Mais pourquoi voulait-elle que je l'encule la première fois. Quand j'étais bien logé dans son anus, elle se masturbait comme rarement. Ses doigts roulaient sur son clitoris, je me souviens encore, de la droite vers la gauche pour remonter encore et recommencer sans arrêt jusqu'à l'orgasme. Je sentais son cul réagir à sa jouissance.

Je la sentais jouir tellement que j'éjaculais dans ses boyaux. Je sortais ma queue pleine de sperme, elle jouissait encore.

Mais là, avec sa langue dans mon cul ? Je déguste ce plaisir inconnu, sauf qu'elle le connait fort bien. C'est étrange de déguster sa langue à l'envers. Elle coulisse en moi de plus en plus facilement de plus en plus profond. Je la laisse m'enculer, moi l'homme, comme elle le désire.

Elle devait en avoir une énorme envie à la sentir s'ébattre dans mon cul. Elle entre encore un peu, un peu qui me fait jouir à ma plus grande stupéfaction. Que c'est bon cet orgasme particulier hors norme.

Elle ne sait pas encore, moi, je suis prêt à recommencer quand elle veut.