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Ma nouvelle vie 6

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Lue : 4893 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2015

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La semaine suivante passa très vite avec mes enfants. Je profitais de mes soirées pour regarder les petites annonces et tombais sur deux, trois intéressantes. J’envoyais des CV ne me faisant guère d’illusion sur les retours. Pourtant le lundi matin je recevais une convocation à un entretien d’embauche pour le lendemain. C’était pour un poste de secrétaire de direction dans une très grosse boîte de la région.
C’était un exercice nouveau pour moi, je n’avais jamais eu besoin de chercher du travail… Je me présentais à l’heure convenue au siège de la société à une trentaine de minutes de chez moi. Bien entendu, je n’étais pas la seule convoquée et je me retrouvais au milieu de jeunes femmes d’au moins 10 ans mes cadettes. Je devais passer en dernière position de ce groupe et tuais le temps en jouant sur mon téléphone.
Après une longue attente, je fus enfin reçue dans le bureau du directeur. Celui-ci m’accueillit avec un grand sourire et une poignée de main franche. Il m’invita à prendre le siège devant moi et s’installa de l’autre côté du bureau. C’était un homme d’une soixantaine d’années, élégant, dégageant un charisme intimidant.
L’entretien commença. Il me posa des questions sur mon expérience, sur mes connaissances. Il m’avoua que mon cv l’avait interpellé à cause des nombreuses langues que je parle. En effet, je parle très bien anglais, italien et norvégien. C’est cette dernière langue qui a suscité son intérêt et je lui expliquais que mes grands-parents maternels étaient originaires de Norvège et que ma grand-mère m’avait appris cette langue.
L’entreprise travaille dans les fournitures de plate-forme pétrolière et un de leurs très gros clients est norvégien. Du coup cette compétence pouvait être très intéressante.
Il me remercia et me tint le discours habituel que l’on me rappellera si je suis retenue. Je rentre chez moi sans trop d’illusion en repensant aux jeunes pleines d’ambition croisées avant l’entretien.
Pourtant dès le lendemain, je recevais un coup de fil me demandant de me présenter pour un second entretien le plus tôt possible.
Après une bonne heure, je me retrouvais à la porte du bureau. J’entrais et saluais le directeur qui était accompagné de son DRH. Les deux hommes se ressemblaient et j’en conclue rapidement qu’il devait être frère.
Je m’asseyais face à eux. Monsieur D., le directeur, me dit qu’il avait beaucoup apprécié le contact que nous avions eu et que mon cv était de loin le meilleur. Il me demanda si je voulais du poste.
Devant ma réponse affirmative, il me coupa en me disant que je devais d’abord lire le contrat avant de lui répondre.
- Notre société est une société familiale, nous demandons à nos employés un dévouement total, ajouta le DRH. Ce contrat spécifie quelques règles importantes auxquelles nous tenons.

En effet, le contrat était très clair sur certains points tels que la tenue vestimentaire, les horaires, les déplacements professionnels ou encore les disponibilités.

Il ajouta :
- Nous travaillons dans un milieu où l’argent coule à flot, avec des pays tels que l’Arabie Saoudite, le Qatar mais également les Etats Unis ou la Norvège. Nous pouvons être amenés à nous déplacer dans ses pays à n’importe quel moment et nous savons que vous avez la garde de vos enfants une semaine sur deux. Ainsi ce travail peut perturber fortement votre vie de famille.
- Je comprends mais j’ai besoin de ce travail, justement pour ma famille. Donc j’accepte avec plaisir.
- Très bien, je vous laisse signer et je vais vous préciser quelques petites choses.
Je paraphais les 6 pages du contrat et leur rendis. A leur tour, ils mirent leur signature.
- Bien, concernant la rémunération, vous ne nous avez posé aucune question. Elle s’élèvera à 6500 € net à laquelle s’ajoutera une prime mensuelle de 1000 € uniquement pour vos frais de présentation. Est-ce que cela vous convient ? demanda le DRH.
Je n’en croyais pas mes oreilles, moi qui avais du mal à boucler les fins de mois ces derniers temps, on me proposait un salaire aussi élevé. Je demandais tout de même de quoi s’agissait les frais de présentation.
- Comme nous vous le disions, nous évoluons dans un milieu haut de gamme et vous vous devez d’être toujours impeccable face aux clients, de plus nos interlocuteurs sont le plus souvent des hommes et ils apprécient la présence d’une femme à nos côtés mais seulement si celle-ci est agréable à regarder. Donc, vous devez chaque mois nous présenter vos factures de manucures, coiffeurs, esthéticiennes et autres soins ainsi que vos factures de vêtements. Nous insistons également sur notre souhait que vous ne portiez que des tenues féminines : tailleurs et talons obligatoires. Nous vous souhaitons attirante mais non vulgaire. Si vous avez des doutes sur votre tenue, nous souhaitons que vous nous demandiez notre avis avant de vous rendre au travail. C’est pour cela que nous avons mis une clause dans le contrat stipulant que vous devez nous envoyer une photo de votre tenue chaque matin avant votre départ de votre domicile.
En fonction des pays où vous serez amené à vous rendre, nous vous informerons des us et coutumes et vous conseillerons dans vos tenues

Tout cela était clair pour moi et j’étais plutôt heureuse de savoir que j’allais être pouponnée régulièrement, moi qui n’avais jamais eu ni le temps ni l’argent pour le faire.
Ils me saluèrent et me proposèrent de commencer le surlendemain afin de me laisser le temps de faire quelques emplettes et de remettre de l’ordre dans mon physique. Je pris donc rendez-vous chez le coiffeur, la manucure et l’esthéticienne pour un « ravalement » complet ! Je suis également passé dans une boutique que j’avais repérée mais dans laquelle je n’avais jamais osé rentrer.
Je repartis avec deux tailleurs noirs, trois chemisiers. Puis dans une autre boutique, je jetais mon dévolu sur de très beaux escarpins avec des talons de 9cm.

Le lendemain, comme convenu, j’envoyais une photo de ma tenue avant de partir. Un simple ok me rassura sur mon bon goût !
Monsieur D. me salua à son arrivée et me demanda de venir dans son bureau. Il me dicta un courrier à taper. Il tournait en rond devant moi tandis que notait sa lettre. Juste avant de quitter son bureau.

- Votre tenue est parfaite mais je pense que vous pouvez déboutonner un bouton de plus sur votre chemisier

Un peu surprise par cette remarque, je penchais la tête et déboutonnais un bouton.
- Bien monsieur lui dis-je simplement.
- Montrez !
Je me retournais vers lui. Il s’avança un peu et me détailla des pieds à la tête.
- C’est beaucoup mieux. Par contre, il serait opportun que vous achetiez de la lingerie plus haut de gamme.
- Bien monsieur.

Je quittais la pièce, un peu troublée par ce qu’il venait de se passer.

Cette première journée fut intense, je recevais un nombre d’informations importantes. Le DRH vint prendre de mes nouvelles et penché au dessus de moi, il me fit la même remarque que son frère sur mon soutien-gorge.

Je lui confirmais que j’irais après ma journée en acheter mais il m’annonça qu’un client était de passage à Paris et que ce soir, ils partageraient un dîner avec lui et que je devais être présente, ce client étant norvégien… Il me demanda alors mon tour de poitrine afin qu’il en fasse livrer un ici avant notre départ. Un peu surprise, je tardais à répondre et je sentis que cela l’agaçait.

- Alors ???!!
- 90D monsieur…
- Ok, c’est ce qu’il me semblait. Je m’occupe de tout, à tout à l’heure.

30 minutes plus tard, un coursier déposa un pli à l’accueil et le DRH me l’apporta.

- Voila pour vous Florence, allez vous changer, nous partons dans 15 minutes.

Je me glissais dans les toilettes et me déshabillais. Je découvris un ensemble string, soutien-gorge et bas auto-fixants, le tout noir. Le soutien-gorge me faisait une poitrine pigeonnante donnant l’impression que mon chemisier allait exploser.
Je remis un peu d’ordre à ma coiffure et fis une retouche de maquillage.

Monsieur D et le DRH m’attendait dans le couloir. Je les suivis jusqu’au 4x4 Porsche du patron. C’est son frère qui prit le volant et je m’installais à l’arrière avec mon patron. Les sièges profonds entraînèrent irrémédiablement la remontée de ma jupe, tant et si bien qu’elle découvrait la couture haute de mes bas.
Je sentais le regard du sexagénaire sur moi mais je regardais fixement devant moi, gênée et troublée.

Après une bonne demi-heure, nous arrivâmes enfin au pied de l’hôtel-restaurant où le client nous attendait. En me voyant celui-ci se leva de son fauteuil et me prit la main pour y déposer un baiser. C’était un grand homme barbu très costaud, il salua les deux hommes et se reposa dans le gros fauteuil de cuir du salon de réception.
Monsieur D. parla en anglais me présentant et lui disant que je parlais norvégien à la grande surprise de l’homme qui entama directement la discussion avec moi. Il me donna son nom, Soren et me flatta, me disant que j’étais très belle et que ma place n’était pas au milieu de gens ennuyeux comme eux.
Monsieur D. me demanda de traduire mais je ne lui fis qu’une traduction succincte.

Nous passâmes à table et la discussion devint plus technique. Je tentais de traduire du mieux possible la discussion des trois hommes. Le norvégien étudiait le contrat entre ses mains mais je le sentais réticent. Il me dit soudain que ce contrat était intéressant mais qu’il aimerait un petit bonus pour pouvoir le signer. Je le traduisis à mes patrons qui voulurent savoir quel genre de bonus souhaitait-il.
Sa réponse me fit frissonner. Il était prêt à signer si je passais le reste de la soirée avec lui.

Mes patrons attendaient la traduction mais devant mon silence s’énervèrent un peu.

- Et bien Florence, qu’a-t-il dis ??!!

Le norvégien, voyant que je ne traduisais pas ses dernières paroles, se répéta en anglais.
Monsieur D. regarda son frère en hochant les épaules puis me regarda.

- N’oubliez pas votre contrat et le dévouement que vous nous avez certifié avoir pour l’entreprise. Ce contrat est important pour nous. Si nous le signons, vous aurez un bonus confortable.

Je réfléchis rapidement, après tout qu’est ce que je risquais et puis ce Soren était plutôt agréable. Je lui confirmais que c’était ok pour moi. Il sourit, se leva et serra fermement la main des deux hommes et en anglais leur dit que je leur ramènerai le contrat signé.
Ils nous laissèrent et quittèrent les lieux.

Soren me proposa d’aller boire un verre au bar. On s’installa dans un vaste canapé de cuir et un serveur nous apporta une coupe de champagne pour moi et un whisky pour lui. Je le voyais reluquer mes jambes que ma jupe, un peu courte dévoilait en partie. Le serveur non plus n’en perdait pas une miette !

Après deux nouvelles coupes, une douce chaleur se réveillait en moi. J’avais chaud et je souhaitais prendre un peu l’air. Il m’aida à me relever et m’accompagna vers la terrasse de l’hôtel. En cette fin d’été l’air frais était très agréable et me fit le plus grand bien.
Soren me regardait, il ne se gênait pas pour me jauger des pieds à la tête. Il me proposa un dernier verre dans sa chambre, afin qu’il puisse signer ce fameux contrat.

Je le suivis docilement. Il avait une luxueuse suite. Il déboucha une bouteille de champagne et m’en servit une coupe. Il s’installa dans un fauteuil face à une petite table et sortit son stylo. Alors qu’il allait signer la première feuille du contrat, il me dit qu’il était encore hésitant et me demanda ce que je pouvais faire pour le convaincre définitivement. Sur ce, il se plongea dans le fond du fauteuil et posa son stylo, attendant un geste de ma part. Je me doutais de ce qu’il souhaitait. J’étais de toute façon allée trop loin pour reculer. Je posais mon verre et entrepris de retirer ma veste. Très lentement je dégrafais mon chemisier, ma poitrine apparut dans son écrin de dentelle. Mon chemisier rejoint rapidement la veste au sol suivi de la jupe qui glissa le long de mes longues jambes. Soren observait, sa main poser sur son entrejambe, se caressant à travers son pantalon.

Il me fit signe de la main de continuer. Je dégrafais alors mon soutien-gorge, libérant ma poitrine durcie par la montée du désir. Il se leva et s’approcha de moi. Son visage s’approcha de moi et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Son haleine sentait le cigare et le whisky, sa langue s’enroula autour de la mienne, ses mains me tenaient par le cou puis descendirent vers mes seins. Il les empoigna et commença à les triturer. Il me retourna et me poussa vers le lit. Je lui tournais le dos, mes fesses relevées. Il se mit à genoux derrière moi et je sentis les poils de sa barbe entrer en contact avec mes fesses puis sa langue s’insinua dans la raie de mes fesses libérées de leur string.

Il fouilla mon intimité avec sa langue, il l’a fit pénétrer mon petit trou puis y enfonça un doigt, puis deux. Il prenait du jus de mon sexe pour lubrifier mon anus. Je compris rapidement qu’il voulait me sodomiser. Il se releva et je sentis son sexe se présenter sur mes fesses. Il tapota chaque lobe avec sa queue bandé comme un arc puis je sentis le gland forcé l’entrée. Ses préliminaires avaient préparé le passage et il entra comme dans du beurre. Son sexe me remplissait bien et me semblait de belle taille. Il commença doucement mais rapidement il se mit à mettre de puissants coups de reins, son bas ventre claquant sur mes fesses.

Il m’encula de la sorte pendant de longues minutes, il avait une résistance incroyable et s’agitait avec force et rythme. Au bout d’un moment, il se retira, s’allongea et me demanda de venir sur lui. Je lui tournais le dos, et une nouvelle fois, il me prit par le petit trou. En même temps que son sexe entrait et sortait, il me mettait des claques sur les fesses, ne faisant qu’accentuer la chaleur qui irradiait mon corps. Ses mains étaient agrippées à mes hanches et il me faisait sauter sur sa queue comme une poupée de chiffons.

Il m’ordonna de venir le sucer, qu’il allait jouir et qu’il voulait que j’avale tout. Je m’exécutais et me jetais sur sa bite, prête à recevoir sa jouissance. Il ne tarda pas et m’attrapa par les cheveux, ma plaquant contre son ventre et me fourrant sa bite au fond de ma bouche. Je sentis alors les jets chauds s’écraser sur mon palais. J’avalais en toussotant un peu. Il riait aux éclats mais continuait de me tenir par les cheveux.

Il me lâcha enfin et je me retirai pour reprendre mon souffle. Il rigolait. Alors que je faisais mine de vouloir ramasser mes affaires, il me stoppa tout net et me dit que pour un contrat à un demi million d’euros, la soirée n’était pas finie. Sur ce, il me demanda de lui commander une autre bouteille de champagne au room-service. Je passais la commande par téléphone auprès du réceptionniste.

Pendant ce temps là, Soren était allongé sur le lit et finissait son whisky. Il me fit signe de le rejoindre et me montra son sexe redevenu mou entre ses jambes. Je compris que je devais lui redonner de la vigueur. Je le pris délicatement dans ma main droite et le branlais doucement. J’étais assise à côté de lui et il avait posé sa main sur le bas de mon dos, me caressant le haut des fesses. Il me fit un signe de tête me faisant comprendre que je devais le sucer de nouveau. Je m’exécutais et gobais son gland. Rapidement il se remit à gonfler sous mes coups de langues. C’est à ce moment là que l’on frappa à la porte. C’était le serveur qui nous apportait le champagne. Soren m’ordonna de continuer et dit au serveur qu’il pouvait entrer. Ce dernier resta bouche-bée en découvrant le tableau. Soren rigolait et en anglais demanda au jeune homme de venir lui apporter la bouteille. J’étais honteuse mais mon excitation ne faisait que croître. Le garçon allait repartir, à regrets, lorsque que Soren lui demanda comment il me trouvait.

Le jeune homme bafouilla que j’étais très belle.
- Come on ! lui dit alors Soren.

Il ne savait pas trop quoi faire et Soren me poussa un peu vers lui. Je me levais donc et prit le jeune par la main. Je la lui posais sur ma poitrine. Il avait les yeux écarquillés. J’empoignais la bosse qui déformait son pantalon et malaxait ses testicules au travers de celui-ci. Il resta un moment figé puis Soren m’ordonna de revenir le sucer et de me mettre à quatre pattes. Si bien que je me retrouvais les fesses en l’air, celles-ci dirigées vers le serveur. Je me remis à sucer le norvégien tandis que j’entendais le jeune se débarrasser de ses vêtements. Je sentis rapidement ses mains se poser sur mes hanches et son sexe à l’entrée de mon vagin. Il me pénétra lentement, guettant ma réaction. Je poussais alors mes fesses vers lui et m’empalais sur son sexe. Il commença alors des vas-et-viens très agréables. Soren me regardait avec un air triomphant et excité.

Le jeune s’enhardissait et ses mouvements étaient plus rapides, plus profonds, je sentais ses couilles qui se balançaient. A ce rythme, il ne tiendrait pas longtemps. Soren se dégagea de moi et descendit du lit, du coup le serveur s’arrêta intimidé. Soren le poussa et me releva. Il lui fit signe de s’allonger et me demanda de monter sur lui. Je me retrouvais face au jeune, son sexe glissa entre mes cuisses, se remettant rapidement au chaud. Il avait mes seins à portée de bouche et ne se gêna pas pour les embrasser. Je sentis Soren se présenter derrière moi, il fit resserrer ses jambes au garçon et me poussa un peu plus. Je me retrouvais complètement allongée sur le serveur. Je sentis le sexe du norvégien s’enfoncer dans mon petit trou, glissant à l’intérieur contre le sexe du jeune homme. Ce dernier n’osait bouger, Soren, lui, reprit ses mouvements. Le jeune commença timidement à aller et venir, essayant de se caler sur le rythme de l’autre.

Je sentais le plaisir monter du creux de mes reins, une onde de plaisir me submergea et déclencha par la même la jouissance de serveur. Il se tendit et cracha une quantité de sperme incroyable au fond de mon vagin. Soren n’arrêta pas pour autant ses vas-et-viens, il claquait son bas ventre sur mes fesses, s’enfonçant au plus profond de moi.

Le jeune serveur ne savait plus trop quoi faire, son sexe était redevenu mou et il me fixait. Soren s’agrippa à mes hanches et dans un dernier coup de reins, il se vida au fond de mon petit trou.
Il se retira enfin et me laissa me dégager. Le jeune quitta précipitamment la chambre. Je profitais de la salle de bain avant de quitter à mon tour ce lieu de débauche… contrat signé en main !
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Commentaires du récit : Ma nouvelle vie 6

Le 02/11/2015 - 12:30 par Bugs
Félicitations. Quelle ascension... Maintenant c'est une putain...

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