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Ma nouvelle vie 7

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Lue : 3734 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2015

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Le lendemain, de retour à l’entreprise, Messieurs D. m’attendaient de pieds fermes dans le bureau.

- Entrez Florence, nous avons reçu un appel de Monsieur Soren Norsk qui nous a confirmé que vous rameniez le contrat signé ce matin. Nous tenions à vous féliciter ! Ce contrat permettra faire fonctionner la société à plein régime pour les prochains 6 mois !!
Monsieur Norsk a beaucoup apprécié votre professionnalisme et votre dévouement à l’entreprise, il vous félicite pour vos atouts et votre expérience.
Nous sommes nous-mêmes très satisfaits de vous et à ce titre, nous souhaitions vous annoncer que nous avons décidé de stopper votre période d’essai et de vous embaucher pour un CDI. De plus, vous toucherez au titre de votre commission sur la vente d’hier, 1.7% du montant total de la transaction soit environ 8500 €.

Tout cela était une excellente nouvelle pour moi. Après tout, j’avais donné de ma personne et je méritais tout cela.

Monsieur D. ajouta qu’il espérait que nos prochaines négociations se passeraient aussi bien et entre autres avec leurs clients saoudiens à la fin du mois.

Les jours suivants furent un vrai bonheur, d’une part ma dose de travail fut moins importante, d’autre part, je pouvais enfin compter sur mon CDI et mes revenus pour reprendre ma vie en main et me débarrasser une fois pour toute de la coupe de mon ex-mari.
Je me mis à la recherche d’une maison pour pouvoir accueillir décemment mes enfants. Je trouvais rapidement un joli pavillon à 1km à peine de mon lieu de travail, ce qui me rapprochait également de l’école des enfants. Mon ex-mari devint vraiment exécrable avec moi, il vivait très mal le fait que je reparte d’un si bon pied et que son argent ne me soit plus très utile !

Messieurs D. me convoquèrent plusieurs fois afin de planifier la rencontre avec les saoudiens. Il s’agissait d’un contrat très important courant sur 5 ans que la société ne pouvait manquer. Je participais aux réunions avec les ingénieurs pour bien comprendre l’ensemble du projet. J’étais bien évidemment la seule femme au milieu de tous ces hommes et cela me donnait une importance non négligeable.

Afin de mettre toutes les chances de notre côté, Messieurs D. prirent conseil auprès d’une femme habituée aux milieux saoudiens. Sofia, c’est son nom, était ce qu’on peut appeler un escort-girl et travaillait exclusivement avec le Moyen Orient. Les codes vestimentaires et de bienséance étant très différents, il fallait qu’elle me donne toutes les informations afin que ma présence ne soit pas un frein mais plutôt booste l’éventuelle signature des contrats.
Je rencontrais Sofia à l’hôtel. C’était une superbe jeune femme d’une petite trentaine d’années, très entretenue et courbes gracieuses. Elle m’attendait dans sa chambre et avait pour l’occasion fait venir une véritable garde robe pour moi.

On sympathisa rapidement. Elle m’expliqua que les saoudiens étaient très portés sur le sexe et que les européennes les fascinaient. Ma chevelure blonde était un gros avantage même si celle-ci serait voilée la plupart du temps. Les vêtements que je devrais porter n’étaient bien évidemment pas sexy et couvraient la quasi-totalité de mon corps. Pourtant par un jeu de couches plus ou moins légères, et plus ou moins transparentes, on pouvait laisser deviner et suggérer beaucoup de chose. La lingerie devenait très importante. Sofia me demanda de me déshabiller complètement. Elle me félicita pour ma poitrine, et me proposa un soutien-gorge avec un effet push-up qui les rendait encore plus volumineux. J’essayais également une guêpière avec porte-jarretelle et bas. Après deux bonnes heures d’essayage et de discussion, j’étais prête. Je me repris mon apparence habituelle et on s’installa sur la petite terrasse de la chambre pour discuter de tout et de rien.

Sofia avait pris cette voie depuis 5ans suite à des galères financières, issue d’un milieu aisé, elle avait fait cela la première fois pour un ami de ses parents. Lorsqu’elle s’était rendue compte de ce que cela lui rapportait, elle avait continué et c’était devenu une vraie drogue pour elle. Elle facturait entre 3000 et 7000 €uros la prestation et gagnait entre 30 et 40 000 € par mois !!

J’étais fasciné par cette jeune femme. Elle était superbe et je me surpris à laisser glisser mon regard vers son décolleté lorsqu’elle parlait. Elle s’en rendit compte et me sourit. Elle me demanda si j’étais bi et je lui avouais que j’avais eu une seule expérience lors d’une soirée (voir ma nouvelle vie). Elle prit ma main et la posa sur son sein gauche. Sa poitrine était ferme et je devinais sous le fin tissu de son chemisier, la dentelle du soutien-gorge. Elle approcha son visage du mien et m’embrassa tendrement, sa langue s’enroula autour de la mienne pour un baiser au gout sucré. Elle se leva et me prit par la main, je la suivis à l’intérieur de la chambre. Elle m’embrassa dans le cou, glissant ses mains sur mon corps. En quelques instants, elle dégrafa ma jupe qui tomba à terre rapidement rejoint par mon chemisier. Elle embrassait avec tendresse mes seins qu’elle libéra du soutien-gorge.

A mon tour, je la déshabillais faisant apparaître un corps parfait sans kilos superflus. J’embrassais ses petits seins ; son sexe était épilé et elle n’avait conservé qu’un fin ruban de poils. Elle me poussa vers le lit et tout nous embrassant, on s’allongea l’une à côté de l’autre.

Pendant plus d’une heure, elle me fit découvrir les joies du plaisir lesbien. Elle me procura un orgasme incroyable avec sa langue que je tentais de lui rendre lors d’un 69 délicieux. On resta un long moment soudée l’une à l’autre, enlacée, s’embrassant comme des adolescentes. Je m’endormis dans ses bras. A mon réveil, elle avait l’hôtel non sans me laisser un petit mot de remerciement pour ce moment exquis passé avec moi.

Quelques jours plus tard, je retrouvais mes patrons et notre petite délégation à l’aéroport de Roissy. Nous étions 5 à partir, Messieurs D., Greg un ingénieur et Abdel, le commercial chargé du suivi de ces clients. Après 6 heures de vol, nous atterrîmes à Riyadh où nous étions attendus par deux représentants de la compagnie. Deux gros 4x4 aux vitres fumées nous emmenèrent ensuite à l’Intercontinental, luxueux hôtel au centre de la ville. Nous avions 30 minutes pour nous préparer et serions emmenés ensuite dans le palais du prince Al-Souad.
J’enfilais la tenue prévue par Sofia. Je me maquillais et descendis retrouver mes collègues. Mon arrivée ne passa pas inaperçu, surtout auprès d’Abdel qui discrètement me complimenta pour ma tenue.

Après une bonne heure de route, on arriva enfin au palais du prince. Un service de sécurité nous laissa entrer après un contrôle approfondi. Le palais couvrait plusieurs centaines de m², le personnel attentif était présent à chaque endroit du lieu. Nous entrâmes dans un vaste bureau où plusieurs hommes habillés de façon traditionnelle nous attendait. Le prince était assis dans un vaste fauteuil où dorures et soie étaient omniprésentes. Comme la tradition le veut, je restais en retrait, les yeux baissés afin de n’offenser personne. Je pris tout de même le temps d’observer le prince qui du haut de ses 35 ans en imposait malgré tout.

Après des présentations très solennelles, tout ce petit monde s’installa autour de la vaste table basse. Je restais en retrait sur une chaise.

Les discussions d’abord techniques continuèrent sur un plan financier jusqu’au moment où le prince en eut assez et quitta la pièce sans autre explication. Ses hommes nous demandèrent de quitter les lieux et de revenir le lendemain, que le prince était fatigué et avait d’autres impératifs pour aujourd’hui.

On reprit le chemin de l’hôtel. Dans le luxueux 4x4, je m’étais retrouvé avec Abdel et Greg. Nos patrons étant dans celui qui nous précédait. Abdel était de plus en plus familier avec moi et me taquinait un peu. Greg, très effacé, était l’archétype de l’ingénieur, toujours plongé dans ses calculs.

Arrivé à l’hôtel, Messieurs D. nous laissèrent quartier libre jusqu’au dîner. Je regagnais ma chambre tandis qu’ils partirent prendre un verre au bar.
Alors que je m’apprêtais à aller prendre une douche, on tapa à la porte. Je m’enroulais dans une serviette et partis ouvrir. Je tombais sur Abdel.
- Désolé de te déranger Florence, j’aurais besoin de…

Il s’arrêta me découvrant enveloppée dans la serviette. Il me regarda des pieds à la tête.

- Je te préfère dans cette tenue, plaisanta-t-il !

Je souris et lui demandais ce que je pouvais faire pour lui. Il entra soudain dans la pièce et ferma la porte derrière lui. Je protestai, lui demandant de partir. Il attrapa un coin de la serviette et tira dessus. Je tentais de la retenir.

- Fais pas ta mijorée, je suis au courant pour le norvégien, les patrons m’ont raconté !

Je n’en croyais pas mes oreilles. Il tira encore sur la serviette qui finit pas se retirer, dévoilant mon corps nu. Il laissa échapper un petit sifflement flatteur.

- On va s’amuser un peu en attendant de retrouver les vieux !

Et sur ce, il dégrafa son pantalon et le fit glisser au sol. Son boxer était déjà déformé par une énorme bosse. Il s’approcha un peu plus de moi et m’embrassa. J’essayais bien de le repousser mais rapidement, je devais m’avouer vaincu. Il me poussa un peu plus vers le lit. Je me retrouvais alors assise face à lui, à quelques centimètres de son ventre. Il fit glisser son boxer et son sexe en sortit comme un diable de sa boîte. Il était très gros. Je le pris en main et soupesais les testicules. Il me saisit par les cheveux et me fit plier vers son sexe. Je le pris alors dans ma bouche et commençais à le sucer. Il en profita pour me caresser sans ménagement les seins et au bout de quelques minutes, il se retira et me poussa. Allongée, il m’écarta les jambes et vint se placer entre elles. Il me regardait avec un air supérieur, fier de lui. Je sentis son sexe se frotter au mien puis doucement le pénétrer.

Il me sauta ainsi pendant de longues minutes, me faisant varier les positions. Il était un très bon amant, endurant, variant son rythme, attentif à mon plaisir. Il m’en procura beaucoup.

Il me fit m’allonger sur le ventre, une jambe repliée et se plaça à cheval au dessus de l’autre. Il me pénétra lentement me faisant ressentir toute la longueur de son sexe. Il en profita pour planter son pouce dans mon anus et jouer avec. Je remuais doucement mes hanches pour mieux recevoir cette caresse. Il se retira alors et son sexe prit la place de son pouce. Il fut surpris de la facilité avec laquelle il put s’enfoncer aux fonds de mes entrailles.

Après quelques vas-et-viens, il n’y tint plus et sortit son sexe, je sentis alors ses jets de sperme s’écraser sur mes fesses et mon dos. Il tapota son sexe sur mes fesses pour en faire tomber les dernières gouttes et m’embrassa dans le cou.

Après un petit merci, il se rhabilla rapidement et prit le dossier que j’avais posé sur une chaise me disant avec un grand sourire que c’est ce qu’il était venu chercher… !!
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Histoire de LN78

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