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Ma première fois avec une queue

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Lue : 2063 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/06/2013

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Soleil décline sur la mer. Il se promène encore sur la plage. Il me plait, je le voudrais bien pour ma première fois. Mon désir est plus fort que la morale. Claude, ma sœur l’a eu comme amant l’an dernier. Pourquoi se refuser à ce bel homme, qui semble si bien monté: j‘ai aperçu son paquet hier. Elle a décrit sa nuit avec tant de détails que j’en mouillais. Je ne suis pas si jeune, pourtant à 18 ans, je suis encore vierge. Depuis je ne sais combien de temps, je me satisfais seule ou une fois avec une copine. J’ai bien aimé avec cette amie, seulement il manquait de pénétration autre que ses doigts. Claude m’a expliqué tout ce qu’il lui a fait. Je le veux aussi en moi. Je peux m’approcher de lui. Le peu de vent ne me gêne pas au contraire.

Je vais jouer à l’innocente en me mettant presque nue devant lui. Je reste sur le sable près de l’eau. En passant une crème solaire, totalement inutile à cette heure, je vais me faire remarquer. Je passe la crème sur mes seins. Il me regarde. Tant mieux, il me fait dresser les tétons. Dieu que j’ai besoin de lui, que l’aimerai qu’il vienne me caresser, m’embrasser les lèves, les seins, et le minou, pourquoi pas l’anus : il serait le premier. Des seins, ma main est venue sur le pubis. Je ne me caresse pas encore, j’ai pourtant envie de frémir, même s’il ne me regarde plus.
Il est entré dans l’eau tiède de la fin d’après-midi. Je ne vois que son dos et ses fesses encore vêtues. Enfin, il se retourne, je vois que sa bite est plus grosse que tout à l’heure. J’ai envie de lui. Il me faut une bite, la sienne si possible. Je ne fais que regarder sa queue. Je frôle mon minou. Son slip est trempé. Je m’allonge, jambes ouvertes : il peut voir mon état. Il bande bien maintenant. Ah, si Claude était là, elle l’aurait déjà attiré. Je pourrais même les voir ensemble, lui dessus, elle dessous. D’après ce qu’elle m’a dit, il est bien monté. C’est vrai qu’il commande à bander. Sa queue se développe assez. Elle est drôlement grosse. Il pourrait me faire mal en me baisant ou m’enculant. Je le veux dans mon corps.

Il me regarde. Il ose enlever son caleçon. Belle queue bien droite, gland brillant. Il me montre comment il se touche. Qu’il se branle en me regardant: j’en ferais autant. Il avance vers moi en lâchant sa queue qui ballotte de droite et de gauche. Ses couilles aussi attirent mes yeux. Personne n’est là : il peut faire une démonstration de baise. J’entre deux doigts dans ma grotte. J’ai besoin de lui pour jouir, vite. Je pourrais même lui lécher la bite pendant qu’il me dévore le sexe, ou alors dans mon cul, sa main sur le clitoris.

Je n’y tiens plus, je me caresse devant lui sans honte aucune. Deux doigts écartent mes lèvres, l’autre, au milieu caresse le bouton. Je ferme à peine les yeux : il me regarde. Sa main est sur la queue : il en fait descendre la peau en trop. Nous nous espionnons sans gêne. C’est bon de se monter à celui qu’on désire. Je suis bien plus rapide que lui, je jouis dans ma main posée sur la fente. Il vient tout près de moi, son bout bien dressé. Le prépuce descend tout seul. C’est presque dommage, je l’aurais bien fait mettre vers le bas avec ma bouche. Il sait que je jouis. Il me donne sa queue : je la suce à peine pour recevoir pour la première fois de ma vie une bonne dose de sperme. C’est salé, chaud. Bon finalement. Je déguste doucement. Je dois bien le lécher puisqu’il bande à nouveau. Je deviens salope, en prenant ses fesses dans mes mains, en cherchant comment aller en lui aussi. Il n’attend pas, il se couche: je sens son poids sur moi.

Il va me dépuceler : je vais avoir mal. Je sens sa queue juste à l’entrée de mon magasin. Il n’entre pas, pas encore. J’ai envie qu’il vienne me dépuceler. Pourtant je crains un instant sa grosse queue qui va me défoncer jusqu’à la matrice; Sa bouche ferme la mienne. Nos langues soudent ensemble. C’est lui qui entre le plus dans mon palais. Sa poitrine se pose sur la mienne elle écrase mes seins juste ce qu’il faut. Il descend encore sur moi. Sa queue est sur le point d’entrer. Je le veux, je la veux. Il écarte un peu mes chairs. Je m’ouvre en entier, il peut me faire ce qu’il veut : il le fait. J’ai un bref éclair de douceur. Il me donne des plaisirs inconnus de mon corps. Claude, ma sœur a raison, c’est bon de baiser. Je me fais mettre sur la plage, malgré le sable qui me gêne un peu entre les fesses. Il me fait du bien, c’est meilleur que les plaisir solitaires. Je pousse un petit cri quand mon sexe se resserre contre le sien. C’est merveilleux, je me fais mettre pas une grosse pine. J’espère que dans la soirée il recommencera, que demain et toutes les vacances, nous baiserons souvent? J’adore cette découverte.

Le soleil de couche lentement.
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Histoire de fabrissa

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