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La rousse

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Lue : 817 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/06/2013

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Bloqué contre son vagin, je ne peux même pas lécher. Mon nez empli de son odeur particulière de rousse chaude, je touche ma bite bandée quand j’y reçois un coup sec.
- Ne te touches pas encore, attends.

Attendre quoi ? Son simple vouloir. Pourquoi je me suis aventuré avec cette fille. Je voudrais tant me toucher, me branler en la léchant, elle qui refuse de me prendre dans sa bouche. Son sexe me tente de plus en plus. Je voudrais la mordre, me régaler de ses jus.
- Je vais jouir sans toi. Attends demain sans te toucher la queue.

Je rêve, elle me refuse de déguster sa chatte, pour jouir en solitaire. Devant moi je vois son vagin se contracter : elle jouit.
- Je veux te baiser.
- Non. Demain… Tu me désireras encore plus.

Elle se relève, s’habille quand je suis encore nu. Un regard sur son épaule, elle s’en va. Comment, elle ne veut même pas que je me masturbe en pensant à elle en plus. Son départ a un effet conforme à ce qu’elle veut : je débande.

Pas longtemps, je repense aux trésors de son corps, ses seins, ses hanches, sa taille, ses mollets, ses cuisses, ses fesses, sa douce fourrure. Ah, ses fesses.

Ma nuit a été totalement dévastée : je ne pensais qu’à elle. Dans mes rêves érotiques je ne voyais que sa crinière rousse. Ma journée a été détestable. Malgré les cafés ingurgités sans même les apprécier je ne vis que pour la revoir. La toucher encore. La goûter surtout. J’en oubliais mes autres préférences homosexuelles.

Cette fois elle ne se refuse pas, elle enlève doucement ses bas, la robe finit au sol. Son corps nue est là : je peux la caresser l’embrasser. Nos bouches s’amusent. Nos langues font un amoureux duel. Quand je veux lui caresser un sein, elle le retire. Son refus m’inquiète. Est-ce qu’elle aime les hommes ? La réponse arrive quand la main sort ma queue. Elle ne me masturbe pas, elle compresse ma pine dans sa main. Le sang arrive dans le gland. Elle me fait presque mal. Pour ne pas gêner ses mouvements je reste un peu à l’écart. Elle en profite pour passe une main sur les fesses. Elle est douce, trop douce dans ses caresses : je bande encore plus dans sa main.

Je ne sais plus que faire, soit je la laisse prendre l’initiative, soit je la prends. Pour une fois j’ai envie de me laisser faire. Ça doit lui plaire. Elle s’accroupit devant ma queue comme en adoration d’un dieu ancien. Ses mains entourent les fesses, les écartent. Un doigt cherche je ne sais quoi dans mon arrière train : elle serait la première à y venir.

La première, pas le premier. Il y a longtemps, sortant de l’adolescence un copain a voulu, en sortant de la piscine me toucher la pastille. Il était sur le dos, sa bite dressée. Tenté par son sexe, je l’ai pris dans la main. Il m’a demandé de lui donner mon anus. Je me suis assis presque sûr, lui, je sentais sa langue venir me fouiller. C’était bon, agréable. Je me branlais sans pudeur. Je regardais ma main sur sa queue et l’autre sur la mienne. Il me semblait que mes couilles venaient sur les siennes. Quand il éjaculait, son plaisir pris, à mon tour de jetais ma semence. Nous avons souvent recommencé. Une fois nous étions trois copains. Le premier voulait absolument se faire mettre. Je craignais de me faire bloquer dans son cul. C’est le troisième qui, juste sous mes yeux enfonçait sa longue queue. J’ai eu envie un peu tard moi aussi de sodomiser un cul. Celui de celui qui enculait était vide. Je suis entré doucement pendant qu’il poussait des soupirs d’aises. J’ai longuement jouis dans ce cul.

Les fois suivante étaient avec une vague cousine. Elle ne voulait pas baiser par peur d’un bébé sans doute. Mais son cul était ouvert à qui le voulait. Elle était agréable à sodomiser, presque autant que mon copain. Je sentais, quand j’entrais, son anus s’écarter doucement. Si nous avions étaient deux elle aurait certainement avalé le foutre de l’autre.

Donc ma rousse veut me caresser l’anus. Son doigt caresse la raie. Elle vient doucement, trop lentement même pour moi. Je lui donne mon cul, elle traine en route. Et moi, pourquoi ne pas lui fouiller les entrailles. Je passe vite ma main sur ses fesses, semblant ne pas savoir laquelle choisir. Un doigt se faufile en elle : elle écarte ses fesses, en soupirant d’aise. Nous nous masturbons chacun le cul de l’autre. Je me laisser aller. Elle me regarde avec tendresse. Sa bouche s’empare de ma queue. Elle repousse le prépuce, lèche le gland deux, ou trois fois, comme pour me goûter. Quand elle me prend totalement en bouche, son doigt s’enfonce en moi totalement. Je suis tendu complètement sur les caresses. Elle allie sa langue à son doigt, en rajoute même un deuxième pour m’écarteler. J’adore ce qu’elle fait.

Je ne pensais jamais qu’elle soit si douée en baise. Je regarde ce qu’elle fait : elle se branle en me suçant et m’enculant. La garce, elle sait prendre et donner du plaisir. La station debout nous fatigue.

Allongés nous sommes vite en 69.Je reprends son odeur dans les narines. Ma langue passe partout dans son entre jambe. Mon nez bloqué contre son vagin, ma langue sur l’anus, je lèche sans cesse. Elle aussi me caresse sous les couilles. Je sens le bout de sa langue juste sur l’anus. Elle fait ce que j’espère depuis le début : elle entre sa langue à peine puis en forçant à peine, elle entre la presque totalité de la langue dans le cul consentant. Sans que je le demande elle s’empare de la queue. Elle me branle comme une vraie pute, ce qu’elle est sans doute. Elle jouit d’un seul coup. Je lui donne toute ma réserve de sperme.

Elle ne me fait pas oublier mes copains, ceux avec qui je partage ma queue. Pour me remettre de mes amours hétérosexuels, je vais passer le weekend avec des gens comme moi, je veux me faire mettre par une grosse bite qui jute dans mon trou : je jouirais sur mon ventre. Je serais encore plus heureux si j’avais une belle bite à lécher et faire juter.
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Histoire de fabrissa

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