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Ma rédemption de 3 jours III

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Lue : 11143 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 31/05/2010

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Ca y était, on était lundi, je me réveillais, je n’avais aucune idée de l’heure, mais je n’entendais plus la respiration de Victoria. Je l’avais entendue et écouter toute la nuit, plutôt angoissé vis-à-vis de mon sort. Mon cul me faisait souffrir, car le plug était toujours en moi, incapable d’y remédier vu que mes bras étaient attachés ensemble à un pied du lit, et que me jambes l’étaient aussi au pied opposé.
Essayant, une fois de plus de trouver une position moins inconfortable, je remuai, grosse erreur. Victoria m’entendit ;
-Comment oses-tu me réveiller, chien ?!

Je savais que c’était faux, mais je redoutais la cravache, qui ne devait pas être loin. Elle prit mon menton entre son pouce et son index, plongea son regard dans le mien, et d’un air menaçant, me dit :
-Tu peux être sûr que tu va le regretter soumis !

Sur ce, elle se leva, elle était en string et en en top, c’est ainsi qu’elle avait dormit, et me remit le bandeau sur les yeux. Je l’entendis ouvrir un tiroir de sa commode, avant de se rapprocher à nouveau. Elle me remit le collier et la laisse, détacha mes poignets et mes chevilles.
-Enlève le matelas du lis et couche-toi sur le lit.

Je ne réagis pas assez vite, car je n’avais pas compris que je devais me mettre à la place du matelas et l’endormissement du matin n’aidait pas, et elle donna un coup sur la laisse.
-Dépêches-toi !
-Oui…

Elle me mit une claque sur mes fesses, qui me surprit encore par sa violence.
-Oui qui ?!
-Oui, maîtresse !
-Allez couche toi !

Je cherchais à tâtons le bord du lit, mais Victoria en avait marre d’attendre, elle me poussa dessus et, sans ménagement, m’attacha avec des cordes bras et jambes aux quatre coins du lit. Les lattes, les cordes et le plug me faisaient tous souffrir. Le plug m’agrandissait l’antre, les cordes me brûlaient poignets et chevilles et les lattes du lit s’enfonçaient dans mon dos.

Je la sentis se mettre sur moi, à califourchon juste au dessus de mon sexe, sur mon bas-ventre. L’excitation me revenait déjà, car elle m’avait empêché de jouir, et après la journée de la veille, je ne pouvais plus me contrôler. Elle du le sentir, elle retira mon bandeau, et d’un œil réprobateur ;
-Tu es vraiment exaspérant. Enfin de toute façon j’avais décidé de m’étirer ici.
Elle s’agrippa au cadre du lit au dessus de ma tête, et commença à s’étirer, tout en descendant son bassin. A hauteur de mon sexe, elle continua ce qui eut pour effet de le tordre vers le bas. La douleur fut sans doute moins forte que la peur qu’elle continue son mouvement, mais je poussai un cri. Elle parut étonnée.
-Tu as la mémoire courte, je ne t’ai autorisé qu’à gémir aboyer, ou à dire « Oui, maîtresse ». Pas un mot de plus.
-Oui maîtresse.

Et elle me gifla, avant de se lever.
Je n’osai pas lui demander, mais je n’avais rien mangé depuis la veille et je commençais à avoir vraiment faim. Elle le savait sûrement car elle revint quelques minutes après avec des corn-flakes, elle s’asseya sur moi sans ménagement et mangea en regardant la télé, l’air de rien. Ayant peur de parler, je me mis à gémir piteusement en rougissant de honte.
-Tais-toi j’écoute, tu mangeras quand tu seras sage.

Elle laissa ensuite son bol à moitié plein et se saisit d’une bougie qu’elle avait allumée, sans doute quand j’avais les yeux bandés. Elle la tint au-dessus de moi, et la pencha si bien qu’un filet de cire brûlante commençait à s’échapper, la cire coula d’abord sur mon torse, puis, en passant par mes tétons, elle la fit descendre sur mon ventre. La cire me brûlait et je gémissais de mal. Victoria ne se laissa pas perturber, un sourire était peint sur ses traits et elle continuait de verser en descendant, elle arriva au niveau du bassin, elle contourna mon sexe et en fit couler sur la cuisse, puis sur l’autre. Je me débattais mais elle savait vraiment faire les nœuds, et ça ne servait à rien. Elle passa ensuite sur mes pieds ce qui déclencha une nouvelle douleur, et de nouveaux gémissement. Puis elle s’arrêta, me regarda droit dans les yeux avec un sourire, et je compris immédiatement ou le prochain filet de cire allait tomber. Elle me remit le bâillon boule, ensuite, elle tint la bougie, très haut, au-dessus de mon sexe et fit couler la cire qui restait d’un coup dessus, c’était une grosse bougie et il y avait énormément de cire fondue. Quand je sentis le liquide arriver sur mon sexe tendu, malgré moi, et que je sentis la cire couler sur mes deux boules, le bâillon étouffa un gémissement et je me débattis encore plus. Quand je me calmai, vu que les liens ne faisait que me meurtrir, je la regardai, impuissant. Elle le savait, et elle ricana ;
-La cire fond juste à la bonne température pour faire regretter aux petits chiens dans ton genre leurs actes. Je dois être d’une grande bonté, vu qu’elle ne brûle pas vraiment. N’est-ce pas ?

Je fis un « oui » de la tête, n’osant pas la contredire, mais je me demandais quand même comment elle osait dire que ça ne brûlait pas…
Elle vit le doute dans mon regard et me demanda,
-C’était trop chaud ?

Elle avait l’air inquiète, alors je fis encore un « oui », croyant qu’elle me laisserait alors, à cause la culpabilité.
-J’arrive je vais chercher quelque chose pour te refroidir…

J’étais étonné qu’elle ne me détache pas, mais finalement elle revint avec un pot. Je ne vis pas ce qu’il y avait dedans, mais elle entreprit de me détacher les chevilles. Je fus soulager, croyant être au bout de mes peines, mais sans que je comprenne comment, je me retrouvais avec les chevilles attachées presque à la même hauteur que me poignet, ma tête était presque entre mes genoux, et mon cul, était dirigé vers le haut, et me faisais mal, car le plug s’y trouvait encore !
Je fis un gémissement, que j’essayais de faire interrogatif, car le bâillon m’empêchait toujours de parler. Elle me dit
-J’ai quelque chose pour te refroidir.

Et elle me montra des glaçons. Elle en pris un, puis le fit glisser, d’abord sur mon torse, puis sur mon dos, ce qui était vraiment froid, puis sur mes cuisses et sur mon sexe, passant de mes bourses, à mon pénis. C’était très froid, je frissonnais. Une fois le glaçon fondu, elle entreprit de retirer le plug, mon anus était élargi, elle prit un glaçon et le caressa avec, ce qui me crispa, mais pas assez pour qu’il revienne à la normale, et après quelques secondes, elle l’enfonça entre mes reins. C’était tellement froid, je recommençais à gémir, pour la supplier d’arrêter, mais elle y prenait plaisir, se saisit d’un deuxième, qu’elle fit directement rejoindre le premier, elle recommença avec un troisième. C’était froid au point d’en être douloureux, elle détacha mes chevilles pour les y attacher encore une fois, mais ensemble, histoire de garder les glaçons en moi, au cadre du lit. Elle mit mon pénis en bouche qu’elle suça avidement. Le froid et le plaisir commençaient, à se mélanger, bientôt sans que je ne puisse plus les distinguer, et le plaisir devenait de plus en plus fort, Victoria, continuait ses aller retour pour mettre mon pénis de plus en plus loin dans sa gorge. Elle continua même après que les glaçons aient fondus, et encore une fois quand je m’apprêtais à jouir, elle s’arrêta.
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Histoire de tom159

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Commentaires du récit : Ma rédemption de 3 jours III

Le 12/08/2010 - 22:44 par lylipuce
la suite je t'en prie!!

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