Ma soirée libertine

Il est dix heures du matin, quand je me réveille, la tête dans le cul, suite à une nuit faite d’alcool, de drogue et de sexe. Près de moi, Marjorie, jeune femme d’une trentaine d’années, mariée depuis peu, que j’héberge.
Je me lève, et pendant que le café coule, je remplit un sac de glaçons, et le pose sur mon front. Puis je repart me coucher. Je me couche sur le côté, la tête appuyée sur mon coude. J’admire le corps sublime, entièrement nue et découvert de Marjorie. Je me penche, et dépose un baiser sur le bout d’un sein. Je saisit sa jambe, la passe sur mon ventre. Entièrement écartée, j’aperçois sa petite fente, soigneusement épilée. Je pose ma main sur ses seins, caresse son ventre, jusqu’à la fourche de sa chatte. Ces caresses ont pour effet de la réveiller. Pudique, elle remonte le drap sur elle.

-Alors, bien dormi.
-Heu...oui, mais qu’est-ce que je fais là.
-Ton pote r’a plantée, alors je t’ai proposé de venir coucher chez moi.
-Oh le con, poursuit-elle. Quel mal de crane...j’ai rêvé, ou tu étais en train de me caresser.
-Non, tu ne rêvais pas. Quand j’ai vu ce corps superbe, je n’ai pas pu résister...ça ta plu ?
-Je dois avouer que ce n’était pas désagréable. Mais tu sais, je n’ai jamais fait ça avec une femme.
-Et...est-ce que ça te dis d’essayer.

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, que Marjorie grimpe sur moi, et me prend la bouche. Surprise, je réponds au baiser. Puis ce n’est qu’un enchevêtrement de corps, de langue, de chattes, de clitoris qui s’affrontent. C’est à celle qui dominera l’autre, qui la fera jouir, et à ce jeu, Marjorie est supérieure. C’est a ce demander, si c’est la première fois qu’elle couche avec un femme. Je pense qu’elle m’a menti. je trouve Marjorie très vicieuse, voire experte.
Elle reste des minutes entières à bouffer ma chatte, à sucer mon clito décalotté, jusqu’à ce que je succombe dans des gémissements de plaisir. Elle remonte sur moi, suce le bout de mes seins, les mord, me donne de fougueux baisers, puis s’occupe à nouveau de ma chatte. Une vraie furie, qui n’arrête pas de me faire jouir. Je la supplie d’arrêter. Une seule fois, je suis parvenue à la faire jouir, à la faire crier de plaisir.
On finit épuisées, enlacées dans les bras l’une de l’autre.

-Ben toi alors, pour la première fois que tu couches avec une femme…
-Non, j’ai vécu pendant un an avec une femme, avant de me marier. Et toi, pourquoi t’es toujours célibataire.
-J’aime trop la liberté. Je ne veux dépendre de personne. Si je vois un mec qui me plaît, il faut que je me le tape. A une époque, j’ai vécu avec Hervé, un mec super. Un jour, on promenait, j’ai croisé le regard d’un super canon. J’ai planté mon copain, et suis parti avec lui. On a passé une nuit de folie. Le lendemain, ma valise était prête.

Mais bon, revenons à nôtre soirée. Comment en suis-je arrivé là. Il faut que je vous dise.

En fait, un jour, je reçois une invitation de la part d’un pote, pour une soirée libertine. Après mure réflexion, et étant célibataire, pourquoi ne pas tenter l’aventure. D’autant que je suis accro au sexe. J’accepte l’invitation.

Il est vingt deux heures, quand je me gare devant le club.
J’arrive dans un immense salon, jonché d’épais matelas, et autres coussins. Déjà, des couples en tenue légère, s’embrasse, se caresse. L’organisateur a fait venir quatre étalons, montés comme des dieux, pour animer la soirée. Ils sont de suite entourés par des femmes, attirées par les mensurations hors norme de leur calibres. Elles tombent à genoux, prennent goulûment leurs énormes queues en bouche, les sucent.
Je suis happée par deux mecs qui, après m’avoir mise à poil, me jette sur les moelleux tapis. Je sens leurs mains parcourir mon corps, prendre mes seins, caresser ma chatte. Ils me font rouler d’un côté, de l’autre, leurs doigts encrés en moi. Je prends leur lèvres dans de longs et torride baisers. L’un d’eux me prend par les hanches, m’oblige à m’empaler sur sa bite. Dans le brouhaha général, on entend pas mes cris de plaisir. Pendant que l’autre me prend au petit, je vois la femme à côté de moi, tailler une pipe d’enfer à un black. A voir ses lèvres se serrer, je devine qu’elle est en train d’avaler.
Mes deux partenaires me libèrent, passe à autre chose. La jeune femme s’approche de moi, les lèvres souillées de sperme.

-Quels salauds...oh putain...j’en suis à ma deuxième pipe.
-Moi, je viens de prendre une double par les étalons. Je te dis pas comme ils sont membrés, oh putain...c’est la première fois que tu viens ici.
-Oui...c’est un collègue de bureau qui m’a invitée. Ce con, est reparti. Du coup, je me retrouve à pied.
-Dans le nombre, tu trouveras quelqu’un pour te ramener. Au pire, tu couches chez moi...je m’appelle Lucy.
-Moi, c’est Marjorie...je te remercie.

A peine sa phrase terminée, que des bras vigoureux, me couche au sol. Sans aucun préliminaire, il me prend à la missionnaire. Tout près, Marjorie se fait prendre en levrette, tout en taillant une pipe à un autre partenaire.
Je finit la nuit dans les bras d’une jeune coréenne, qui tire le meilleur de la salope que je suis. Une vraie perverse.
Après un dernier orgasme, je retrouve Marjorie au bar.

-Putain, dit-elle, quelle galère pour retrouver ses fringues.
J’ai perdu ma culotte, et mon soutien gorge.
-Ouf...moi je n’ai même pas pris la peine de les chercher.
-C’est mon mari qui me les avait offert.
-A bon...t’es marié. Et ton mari le sait que tu es là.
-Non, on s’est disputé. C’est pour ça que je suis là. De colère, j’ai appelé mon ami.
-Moi, je suis célibataire...j’ai pas ces problèmes.
-Je sais, mais je regrette pas. J’ai pris énormément de plaisir cette nuit.
-Moi aussi...un petit dernier coup de queue pour la route.
-Allez…et si je me chopais une meuf...

Il est près de six heures du matin, quand nous rentrons à la maison, bourrée d’alcool, mais ivre de sexe.
Après une bonne douche, nous nous couchons, dos à dos.