Vacances sexuelles pour des soignants partie 3

C’est le soir même, on avait organisé un barbecue, qu’on leur a proposé, le lendemain, de leur faire visiter A…On habitait à 10 kilomètres de la préfecture, une ville magnifique, avec des bâtiments classés, qui avait été validée huit ans plus tôt comme faisant partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
On a appris à mieux se connaître dans la soirée, entre chipolatas et rosé, en se racontant mutuellement nos vies.
C’est au moment où la fraicheur a pris la place de la chaleur lourde de la journée, apportant de l’apaisement, que je me suis retrouvé seul avec Lola. Son mari avait disparu à l’intérieur, quand ma femme lui avait demandé s’il aimait le foot. C’était le moment de la Coupe d’Europe. On était un couple un peu spécial, parce que les rôles étaient inversés. Je ne m’intéressais pas au foot, alors que ma femme était une passionnée. Il se trouvait que c’était aussi le cas de Frank, et il avait été enchanté par la proposition de mon épouse de suivre le match sur grand écran.
On s’était retrouvés seuls.
Lola portait une robe d’été, et j’avais la quasi certitude qu’elle n’avait absolument aucun sous-vêtement en dessous. Ce n’était pas tant une question d’image que je pouvais avoir d’elle, mais quand elle se déplaçait, on voyait nettement que le tissu collait à ses formes, et que nul sous-vêtement n’entravait ses parties intimes. Etait-ce parce qu’on avait pas mal bu de rosé, ou dans sa nature, ou les deux, qu’elle m’a dit:
—Tu as envie de voir quelque chose de sympa?
Elle était assise face à moi, et elle est venue se poser pile devant moi. J’ai compris très vite ce que pouvait être ce quelque chose de sympa. De toute façon, elle ne m’a pas laissé le temps de répondre. Elle a attrapé le bas de sa robe, qui lui arrivait juste au niveau du genou, et elle a entrepris de la soulever. Elle était juste devant moi, suffisamment près en tout cas pour que je puisse la voir, et bien la voir, même si la nuit était tombée, on était près d’une des bornes lumineuses qu’on avait fait installer, mais aussi percevoir la densité de son corps, la chaleur intense qu’il dégageait, et l’odeur de ce qui était certainement un gel douche, odeur de vanille, elle avait du se laver juste avant que le couple nous rejoigne.
Elle m’a dévoilé son corps, sans doute pas parfait, mais très appétissant, aux formes sensuelles, et dont on sentait surtout qu’elle savait en faire usage pour donner et prendre du plaisir.
Elle n’avait effectivement pas de slip, et j’ai eu un premier aperçu de son sexe, la masse du pubis qui dessinait une courbe amenant jusqu’à sa vulve, toute proéminente, dont sortaient deux bouts de lèvre. Elle avait fait le choix de garder une toison pubienne taillée, qui confirmait qu’elle était une vraie blonde. Elle a continué de monter, m’offrant ses hanches, son ventre, et deux seins que j’avais déjà aperçus en début d’après-midi, orgueilleux et gonflés. Quand la robe a été au niveau de ses épaules, elle s’est retournée pour me présenter sa partie pile, dont l’argument majeur était sans doute une croupe charnue et impeccablement cambrée, coupée en deux par un sillon profond.
—Mon mari ne s’est pas rendu compte que tu étais là, cet après-midi, moi si. Ca t’a plu?
Je me suis senti rougir.
—J’espère que tu n’as pas été choqué. Nous tu sais, et c’est d’ailleurs une des choses qui nous unit, on estime que dans les rapports sexuels, tout doit être possible, tant qu’on reste dans le respect de l’autre. On parle librement de ce qui nous fait envie, à l’autre de voir s’il veut nous accompagner ou pas. Et…Frank aime que je le prenne comme si une queue m’était poussée. Il adore ça. Mais rassure-toi, il me donne aussi du plaisir. Et de toute façon, j’éprouve énormément de plaisir à le baiser comme ça, autant parce que la situation me plait que parce que, c’est comme une récompense, plus je travaille ses chairs, plus la base du gode frotte contre mes chairs, et je jouis très rapidement.
Elle a fait passer la robe définitivement par dessus ses épaules, s’offrant à moi dans toute la splendeur de sa nudité.
—Ce qui me plait dans le sexe, c’est qu’il y a des milliers de possibilités, et qu’on peut vivre une vie sans totalement les épuiser. Et même dans quelque chose de basique, il y a toujours des nuances, des différences, qui tiennent à un changement de conditions, de lumière, de lieu, d’humeur…Tu as envie que je te fasse quelque chose? Moi en tout cas, j’en ai envie.
Elle s’est tournée, et elle a tendu son cul vers moi en se penchant. Une croupe charnue, avec un sillon profond.
—Tu vas me dire si ça te plait?
Elle s’est approchée de moi, et elle s’est mise à me caresser avec. Elle s’est penchée pour venir d’abord frôler mes genoux, mes cuisses. D’instinct, j’ai ouvert les jambes. Elle a reculé, et dans un mouvement souple et circulaire, elle est venue appuyer contre mon ventre. Mon sexe, d’abord, qu’elle a forcément senti tout dur, puis elle s’est remontée sur mon abdomen et ma poitrine. Elle est venue enfin frotter mon visage. A chaque fois, des sensations différentes, même si au final, il y avait la même sensation, l’épaisseur d’une chair chaude et douce, dont le frottement était une délicieuse caresse.
Avait-elle fait du lao dance, ou était-ce son instinct qui parlait? Elle a continué en tournant autour de moi, en venant frotter mes épaules, mon dos, puis elle est revenue, en cassant le rythme et son parcours, pour appuyer sur moi d’une manière indéterminée.
—Ca te plait?
—On ne m’avait jamais fait ça avant, et c’est super bon.
—J’ai toujours de bonnes idées. Tu veux que je te fasse jouir? Tu vas voir, je vais te faire une caresse que tu n’oublieras pas.
Elle a défait mon pantalon pour mettre ma queue à nu. J’avais une belle érection. Elle m’excitait terriblement.
—Dis donc, tu as vraiment une belle queue. On peut faire plein de choses avec, j’en suis sûre… Mais en attendant…
Tout en tenant ma queue dans sa main, elle s’est penchée en avant, s’ouvrant. Dans la semi-obscurité, je n’ai pas vu grand chose, mais les sensations ont afflué, intenses, quand elle a attrapé ma queue, et qu’elle a guidé vers l’endroit précis où dans sa chair, le lisse de sa peau laissait la place à la naissance de la déchirure de son sillon fessier. Collant mon gland à sa chair, elle a fait parcourir à ma queue le chemin qui s’amorçait là, se poursuivait dans son sillon fessier, en passant par sa muqueuse anale, avant d’émerger, après une zone lisse, sur la déchirure de son sexe, dont jaillissaient ses lèvres.
Parcourir ces surfaces différentes, en ayant en plus bien la sensation contre moi parce qu’elle m’appuyait contre elle était quelque chose d’intense, et j’ai fait un énorme effort sur moi-même pour ne pas jouir sur le champ, parce que je voulais vraiment avoir un moment de plaisir, avant l’orgasme. Ce qui l’a déclenché, ça a été de me rendre compte qu’en même temps qu’elle me caressait avec ses parties intimes, elle se caressait aussi, et qu’elle se frottait le clitoris pour se faire jouir. J’ai craché mon premier jet de sperme en haut de sa raie.
Imperturbable, elle m’a fait descendre, de telle sorte que j’aie arrosé de mon sperme ses muqueuses sans que rien ne soit omis.
Elle s’est éclipsée sans rajouter un mot, mon sperme coulant de sa raie et de ses lèvres, qu’elle contenait avec sa main. J’ai rengainé ma queue.
Je me suis demandé si… Si son mari et ma femme… Mais Frank a surgi. Le silence avait pris la place du vacarme du match. Il m’a fait un petit signe de la main.
—A demain! Bonne nuit!
J’ai été rejoindre mon épouse. en repensant à ce qui venait de se passer avec Lola, si fort.
Muriel m’a souri.
—Elle est partie se coucher?
—Elle vient de partir, oui.
—Tu as passé un bon moment?
Il y a avait quelque chose d’étrange dans cette phrase. Ca tenait à un ton, qui m’a fait comprendre qu’il s’était produit quelque chose entre elle et Frank, tout comme il s’était produit quelque chose entre Lola et moi.
—On va se coucher?
—Mmm, il est tard.
On est montés jusqu’à la chambre. Elle partait toujours la première se préparer et moi je prenais la suite. C’est quand je l’ai rejointe que je l’ai trouvée à quatre pattes sur le lit, la nuisette relevée offerte. Au cas où je n’aurais pas compris, elle avait le visage tourné vers moi, avec une expression qui disait clairement qu’elle avait envie.
Même si j’avais joui un quart d’heure plus tôt, moi aussi j’avais envie, et mon sexe était tout dur. Je me suis approché d’elle, et je l’ai pénétrée. Elle a gémi.
—Fouille-moi bien avec ta queue.
Ce qui s’était passé, pour elle comme pour moi, avait exacerbé nos désirs. Il était fort probable que sans cela, on se serait couchés sans plus. Il y avait en moi une énergie sexuelle que je n’avais pas d’habitude, et je l’ai fouillée avec ardeur. Elle semblait elle aussi possédée par une étrange excitation. Je sentais son sexe plus ouvert que d’habitude, et elle m’inondait littéralement de ses sécrétions. Elle se frottait le clitoris, dans un geste qui m’a rappelé celui de Lola quelques instants plus tôt, et ma jouissance a été vraiment très intense. On s’est couchés avec le sentiment, je crois, c’était mon cas en tout cas, d’un plaisir partagé vraiment très fort. Mais avais-je eu envie d’elle, ou avais-je fait l’amour à Lola à travers elle? Et elle, la queue dont elle avait envie, était-ce la mienne ou celle de Frank? Je me suis endormi sur ces questions.