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Ma sortie en discothèque.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/09/2022

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La pluie martèle les carreaux de ma fenêtre, emprisonnant mon esprit dans la même grisaille que ce début de week-end. Enfermée dans cette caserne, je me sens si seule, à attendre encore quelques semaines, que mon époux rentre de mission.
Il n’arrête pas de pleuvoir en ce vendredi de juin, sur la petite résidence réservée à la caserne militaire. En ramenant mes enfants de l’école, je rencontre Lise et Sandra, deux copines âgées de trente deux et trente cinq ans. Quant à moi, j’ai vingt huit ans.
Enfin, quand je dis copines, je me méfie, car elles entretiennent toutes les deux, un relation lesbienne, à laquelle elle voulait que je participe, mais que j’ai refusé. Je suis hétéros.
D’après les officiers de la caserne, nous avons, malgré nos grossesses, gardé un corps parfait. Il arrive même que certaine jeunes recrues, nous draguent ouvertement, sans succès.
Je sais que très souvent le vendredi soir, un certain nombre de filles sortent en discothèque. Je le sais pour avoir, un soir, gardés leurs enfants. Et je ne serais pas surprise, malgré leur fidélité, que certaines d’entre elles, ne succombent aux avances de jeunes mecs, et finissent par baiser dans leur voiture.
Un soir, elles me propose de les accompagner. Après tout, pourquoi pas, il n’y a pas de mal à boire un verre, et faire une danse ou deux.
Après réflexion, j’accepte leur proposition.
Il est vingt deux heures, quand on klaxonne en bas de chez moi.
- Caroline...t’es prête ?
- J’arrive les filles…
Ce soir, avec Lise et Sandra, avons choisi d’aller à la discothèque du village voisin, pour éviter d’éventuelles connaissances. Comme je vous l’ai dit, nous sommes, malgré nos grossesses, encore assez belle, et ne tenons pas à être accostées, par de jeunes recrues de la caserne, qui se feraient un plaisir d’aller tout raconter.
Nous sommes toutes les trois, épouses d’officiers de marine, et avons pris soin de confier la garde de nos enfants, à des nounous, pour la soirée. En effet, nos maris ont embarqués depuis déjà trois semaines, et en ont encore pour deux mois.
Il est vrai que, sexuellement, l’abstinence peut se révéler dure. Mais bon, dans l’immédiat, ce n’est pas mon cas.
Afin de briser cette absence, Ils nous arrivent d’organiser des sortie entre épouses. Surtout de la marche.
Mais ce soir, trois d’entre nous, avons opté pour une soirée en discothèque.
Ce soir, j’ai très envie de me détendre, de danser, m’amuser un peu.
Dès nôtre arrivé, nous nous installons au bar.
Nous sommes de suite accostées par trois mecs de vingt cinq, trente ans, qui nous offrent à boire, et nous invitent à danser. Nous acceptons volontiers. Nous voila sur la piste chacune avec nos cavaliers respectifs.
J’écoute le jeune homme qui me caresse le dos, qui me raconte des blagues qui finissent par me faire rire. Ce jeune, impertinent, est très entreprenant, intéressé, comme ses potes, par des femmes, à la fois jolies, mûre, et vêtues de façon à séduire.
Le slow terminé, Lise et Sandra retournent au bar, alors que je suis entraînée à la table de ces trois jeunes hommes, très séduisant .
Je vais passer la soirée à discuter, rigoler, danser aussi. En fait, je suis là pour m’amuser, en sachant que la soirée peut réserver des surprises.
Vers une heure du matin, mes copines viennent me chercher.
- Caroline, tu viens? On s’en va…
- Déjà...vous vous couchez de bonne heure, dit un garçon...
- Et oui, dit Sandra. On a nos enfants à récupérer. Il faudra se lever pour les emmener à l’école.
Je commence à me lever. Le jeune homme, toujours avec beaucoup de toupet et d’assurance, rétorque.
- Toi aussi tu as des enfants? Allez, reste encore un peu. Je te ramènerai chez toi.
- Bon...je reste, dis-je en m’asseyant. Il me ramènera. Rentrez les filles.
- Comme tu veux, Caroline...ne rentre pas trop tard. Bisous..
On se fait la bise, et Lise et Sandra rentrent chez elle..
Je continue la soirée à danser et discuter, répondant à chacune des questions indiscrètes, que me posent les garçons. C’est dans ses propos, que je leur avoue mettre mariée très jeune, et n’avoir connu peu d’homme, ni d’expérience avant de connaître mon mari. Je leur dis aussi me consacrer à mes deux enfants, mon mari étant souvent absent.
Petit à petit, je commence à me lâcher. Je vais danser seule sur le piste. Je me déhanche au rythme de la musique, observée par les jeunes hommes, me regardant de la tête aux pieds, en faisant, je suppose, des commentaires. D’autant que pour cette soirée, j’étais vêtue d’une courte jupe, et d’un blouson ouvert sur un décolleté. Cet ensemble me permet de suggérer une ferme poitrine, et de dévoiler le haut de mes cuisses, tout en prenant des airs de femme facile, et très agréable à regarder, avec mes longs cheveux brun. Je suis rejointe sur la piste par un des trois copains, qui n’hésitent pas à me serrer dans se bras, ses lèvres allant même jusqu’à effleurer les miennes. Je reste lucide, et le repousse.
Après une dernière virée au bar, ou je charge en vodka orange, le gérant annonce la fermeture de la boite. Il est deux heures trente du matin.
Deux d’entre eux, et moi même, dont la tête commence à tourner, nous regroupons près de la voitures du troisième copain.
J’ai dû boire deux ou trois verres de vodka orange, trop pour moi, qui n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool.
Je m’installe à l’arrière de la voiture avec un des pote. Ce dernier essaie de m’embrasser, glisser une main dans mon décolleté, ou sous ma jupe. Mais à chaque fois, je parviens à repousser ses assauts.
«T’es dure toi, susurre-t-il à mon oreille, mais va falloir que tu te lâches.».
Dois-je prendre ça pour une menace ?
Après avoir malgré tout guider le conducteur jusqu’à mon domicile, je sors de la voiture, et commence à remercier les trois jeunes hommes, à voix basse, pour cette soirée. Il est presque trois heures du matin.
Le petit lotissement résidentiel, dort d’un profond sommeil.
Le conducteur arrête le moteur de la voiture.
- On ne va pas se quitter comme ça. Tu nous offres un verre, ou un café.
Sous la pression des trois jeunes garçons, et de peur qu’ils n’ameutent le quartier, je ne peux que les inviter à rentrer.
- Éviter de faire du bruit, dis-je...faudrait pas réveiller les voisins. Ce sont des officiers de marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l’on pense des choses sur moi, et qu’on me juge mal.
- Alors, on ferait mieux de discuter à l’intérieur, n’est-ce pas les gars ?
Après avoir bu un verre, les langues se délient, au point de dévier la discussion sur le sexe. Les trois jeunes commencent à me regarder d’un air intéressé. Mais je suis fatiguée, et pressée d’aller me coucher.
- Tu dois être en manque de sexe, vu l’absence de ton mari, dit l’un.
- La queue doit te manquer, ajoute un autre.
- Je suis fidèle à mon mari, je suis mariée et mère de famille.
- L’un n’empêche pas l’autre, poursuit-il.
- Tu pourrais nous sucer tous le trois, avant qu’on s’en aille...ou plus si tu veux. Je sens que tu as besoin de sentir des grosses queues en toi.
Ces mots me troublent, et je dois reconnaître qu’une bonne queue dans ma chatte, ne serait pas pour me déplaire. Mais je reste une épouse fidèle.
Gênée par ces propos, je me lève de mon fauteuil en m’inclinant en avant. L’un d’eux en profite pour lorgner dans mon décolleté.
- En tout cas, les potes, elle porte un soutien-gorge en dentelle rose…
- Bon...maintenant, je suis fatiguée. J’aimerai bien aller me coucher. Ne compter pas sur moi pour satisfaire vos envies.
- OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va te faire une belle publicité dans le quartier qui va pas te plaire. Imagine la tête des voisins quant ils vont voir les tags sur les murs.
« Caroline a baiser avec trois jeunes ».
- Mais c’est faux, dis-je, j’ai jamais fait ça…
- Imagine le scandale. Et ton mari à son retour, tu y penses ? Que va-t-il dire quand il va apprendre que sa charmante épouse s’est faite enfiler par trois inconnus, qu’elle leur a taillé des pipes, qu’elle a tout avalé. Et tes enfants quand on va les moquer à l’école, faisant allusion à leur mère en train de se faire sodomiser. Ce sera nôtre parole contre la tienne. Alors un conseil, fait nous plaisir.
- Mais...qu’attendez-vous de moi ?
- On tient à te donner du plaisir en l’absence de ton mari, tu as trois bites que pour toi...par quelle veux-tu commencer...allez, déshabilles-toi.
Je suis figée, incapable de réagir. Je sanglote doucement. Mais j’ai quand même une grosse envie d’être baiser. Pendant ce temps, le leader déboutonne mon blouson. Les deux autres se sont placés debout à côté de moi, et participe à l’effeuillage. Le blouson est retiré, alors que je n’oppose aucune résistance.
- Joli petit soutien-gorge. C’est pour faire plaisir à qui, si ce n’est à nous.
Je porte un petit soutien-gorge à balconnet de dentelle rose. Ma poitrine y est parfaitement moulée. La transparence de la dentelle laisse voir mes bourgeons érigés, se détacher de ma peau blanche.
- Maintenant, on voudrait bien voir le bas, dit l’un d’eux.
- Je vous en supplie...Laissez-moi. Je suis une femme respectable.
Le numéro un de la bande fait glisse la fermeture éclair de ma jupe, et la descend à mes pieds.
- Ouah...le petit string...la cochonne…
Des sifflements, des réflexions affluent de la part des trois jeunes gars, à mon encontre. Je reste figée comme une statut, au milieu du salon. Je porte un mini-slip de dentelle rose, assortit au soutien-gorge. Slip si petit qu’il couvre juste ma fente, par son insignifiante partie triangulaire. Les parties avant et arrière du slip, sont juste reliée par un fin élastique. La transparence laisse deviner ma chatte parfaitement épilée.
- Vous avez vu les gars, la petite femme modèle, lorsqu’elle est en petite tenue, comme elle ressemble à une petite salope…
- Tu vois….tu nous attendais, poursuit l’un d’eux. Maintenant, enlève tes dessous, en disant « Je suis une salope ».
Soumise et honteuse, je retire mon soutien-gorge, balbutiant à voix basse. « Je suis une salope...je suis une salope ».
Je baisse ensuite mon mini-slip, en réitérant les même paroles, sous les rires et les regards vicieux des trois gars. J’apparais entièrement nue, offerte à la vue de trois jeunes inconnus
- Ma parole..j’ai du mal à croire que tu sois si fidèle que ça. Avoue que tu attendais ça depuis longtemps. Tu vas pas être déçue ma belle. Trois d’un seul coup. Avec un corps comme le tien, on va bien s’amuser. Tu vas sucer mes potes, pendant que je te baise en levrette. Allez...mets toi à quatre pattes.
Je m’exécute sans rien dire, me positionne à quatre pattes. Le leader m’afflige d’une tape sur les fesses, pour m’obliger à écarter mes jambes. Cette humiliation supplémentaire, l’excite encore plus. Je suis toute mouillée. J’ai l’impression que ma chatte coule. Le jeune garçon me pénètre sans ménagement
- Ouah...ça glisse tous seul tellement elle est mouillée la salope. Allez, suce bien mes copains maintenant
J’engouffre une bite dans ma bouche, et la fellation que j’entame, se coordonne avec les va et vient de la queue dans ma chatte. C’est la première fois de ma vie, que je me dévoile nue devant des inconnus qui me baise, et subis une telle humiliation. Mais je découvre une nouvelle excitation, autre que celle que j’imagine dans mes fantasmes.
J’ai l’habitude de me caresser dans mon lit le soir, durant les longues absences de mon mari. Lorsque je rentre le soir de mes réunions, je me déshabille devant mon miroir, et m’imagine devant de vieux vicieux d’un certain âge, me caresser la chatte, en pensant à deux superbes étalons qui s’amusent avec mon corps. Ce soir, je vis mon fantasme, mais ça va plus loin que dans mon imaginaire.
Mon cerveau m’envoie des signaux pervers, ordonne à mon corps de se lâcher, de s’offrir sans retenue. Instinctivement, je lui obéit.
Je m’ouvre à eux, les incite à repousser les interdits. Mon corps a décidé de s’offrir, à lui d’assumer.
J’alterne les queues dans ma bouche, les sens cogner contre mes joues, à l’intérieur. Les garçons me tiennent par les cheveux, de peur que je ne m’échappe, tandis que leur petit chef me lime la chatte, faisant claquer ses couilles sur mes fesses. Au moment de jouir, il accélère la cadence, alors que dans un élan de plaisir, j’atteins un terrible orgasme.
- Ah...ah...je jouis dans cette petite bourge...han...han…
- Moi aussi je jouis...salaud...putain, qu’elle queue...
Après en avoir terminé avec moi, il laisse la place à un pote, pour aller se boire une bière, qu’il s’est procuré dans le frigo.
Je suis aussitôt prise par un deuxième larron, qui préfère me prendre dans la position du missionnaire, allongée sur la moquette.
- Fais moi voir cette petite chatte et ce clitoris, que je joue avec...tiens salope...prends ça…
- Vas-y enfoiré, soufflais-je, régale toi. Baises la femme d’un officier...
- Tu m’appelle quand tu as fini de la baiser, dit le troisième garçon, je vais prendre une bière moi aussi.
Je continue à prendre du plaisir, et atteint un deuxième orgasme, aussi puissant, avant que le second de l’équipe ne termine avec moi. Des gémissements de plaisir sortent de ma bouche, tandis que ma chatte se contracte autour de sa grosse bite. Sentant cela, le garçon se mit à jouir en moi.
- Oh putain, comme elle a joui...vous l’avez entendu crier… Allez Jeff, remets lui un coup…
Enfin un prénom, le premier que j’enregistre de la soirée.
Le troisième arrive derrière moi, me saisit par les hanches, s’assoit sur un chaise. Il me force à descendre sur lui, jusqu’à ce que sa queue coure sur ma fente. Je la saisit d’une main, la guide vers ma chatte, m’y empale dessus dans un râle de plaisir. Une fois encrée en lui, je lui prends les mains, les guide sur me seins.
- Vas-y...caresses les…excite mes bouts...ça fait si longtemps...
Le moindre va et vient m’arrache des gémissements de plaisir, attirent un deuxième pote. Celui-ci s’approche, sort sa queue, la présente devant ma bouche. Elle se décalotte en passant entre mes lèvres.
Un plaisir intense monte en moi. Je suis maintenant prête à braver tout les interdits. Je me soulève légèrement, prend la bite en main, et la dirige vers mon petit trou. Je serre les dents quand elle dilate mon orifice.
- Ouah...regardez les gars...elle veut que je l’encule…
- Vas-y salaud...embroche moi…régale moi...
Puis je sens une main caresser mon ventre, descendre sur ma chatte. Un doigt excite mon clitoris isolé en haut de ma fente. Il a quitté son nid, et s’expose fièrement. Il est facile à atteindre, et le doigt qui tourne sur son extrémité, me rend folle, tandis que la queue s’active dans ma bouche. Je la sens gonfler, prête à gicler. C’est ce qui se produit, après simplement quelques va et vient. J’avale l’énorme décharge. Il devait vraiment avoir une grosse envie. Il se retire, laissant la place à son pote, qui se vide les couilles à son tour, son sperme coulant sur mes lèvres..
Je m’écroule, épuisée, reste allongée nue sur la moquette.
Avant de se faire sucer une dernière fois, les trois comparses se rajustent, et sont sur le point de partir. Il est cinq heures du matin.
- On serait bien resté encore, mais il est tard, dit le nommé Jeff.
- Salut Caroline, ajoute un autre, on a passé un bon moment avec toi.
- Si tes copines en veulent aussi, tu sais qu’elles peuvent compter sur nous, poursuit le dernier.
- On va toujours à la même discothèque, termine Jeff. Tiens, je te laisse ma carte au cas ou...
Après m’avoir chacun donner un tendre baiser, La porte se referme.
Je me dirige à la salle de bains, pour prendre une bonne douche, avant de me coucher, épuisée, mais riche d’avoir vécu une expérience si intense, qui me motive pour me caresser durant les nuits de longue solitudes. Je me rend compte finalement, n’avoir rien connu avec mon mari, il est vrai piètre partenaire au lit.
Le lendemain, je rencontre Lise et Sandra, que je rassure, en leur disant que tous s’est bien passé, et que comme prévu, un jeune homme m’a sagement ramené chez moi.
Après une dure journée de travail, je rentre le soir, éreinté. Je vais prendre une douche, enfile un peignoir, et viens m’installer sur le canapé. Je ferme les yeux, et calmement, écarte les pans du peignoir, glisse une main entre mes cuisses, commence à me caresser. Je décalotte mon petit bouton, le doigte, puis enfonce deux doigts dans ma chatte, commence à la branler. A ce moment, j’ai envie de sentir une grosse queue dans ma chatte, dans mon petit trou, dans ma bouche. Je suis en plein délire.
« Il me faut une queue, pensais-je, une grosse queue pour me baiser».
J’étais prête à jouir, quand j’aperçois la carte de visite que Jeff a laissé sur la table basse du salon. Je me précipite sur mon sac.
« Vite mon portable ».
































































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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Ma sortie en discothèque.

Le 23/10/2023 - 15:26 par Bigben0308
J adore les petites coquines comme toi ( enfin si c est une histoire réelle)

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