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Une chaude randonnée

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 30/09/2022

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Avec ma femme nous nous promenons dans la montagne, en ce mois d’août. Il fait très beau. Aussi, nous optons pour des tenues vestimentaires décontractées. Short moulant et t-shirt pour Lisa, pas de soutien-gorge, short et sweater pour moi.
Cela fait cinq ans que pour des raisons professionnelles, n’avons pus prendre des vacances. C’est pourquoi cette année, nous avons loués un semaine, dans un gîte de montagne. Comme souvent, lors de nos balades, nous parlons de sexe, fantasmant sur des situations les plus folles. Il faut dire que ma femme en est particulièrement friande et ne peut se passer de jouir plus de vingt quatre heures. De mon côté, je compense ses besoins par de torrides baises. De plus, elle fait plus qu’en parler, elle veut baiser à l'instant: Elle avoue qu'elle mouille de plus en plus. Nous trouvons, sans vraiment le chercher un endroit à l'abri des regards, sous un chêne, tapissé de mousse, et vraiment destiné à recevoir des corps d'amants.
Nous nous asseyons tout d'abord et nous embrassons: nos langues fouillent nos bouches et mon désir monte vite. Mon épouse était très excitée. Je lui caresse les seins comme elle adore: elle ôte son t-shirt et sa poitrine nue se tend pour que je la caresse, ce que je ne manque pas de faire. Je lui suce les bouts. De son coté, elle passe une main sous mon sweater et me caresse le torse. Je pose ma main sur le short qu'elle porte, à l'endroit stratégique: elle écarte les jambes et me demande d’ôter ce vêtement embarrassant. Je le tire comme si je pelais un lapin, sauf que le mien de lapin est bien vivant. Elle enlève d'elle même son string et écarte les jambes. Je lui caresse une cuisse jusqu'au genoux et remonte vers sa chatte. Elle me provoque en posant sa main sur la bosse qui s’est formée entre mes jambes. Elle sait que cette façon de faire me rend encore plus excité.
Enfin elle enlève son t-shirt et sa poitrine jaillit: ses seins défient la pesanteur. Elle est totalement nue et sa vue me fait bander encore plus. A mon tour je suis nu. Pendant que je lui sors son petit bouton d'amour, elle commence à me branler, comme je le lui ai appris. Je la doigte, comme elle me l'a apprit aussi, de façon à avoir un maximum de plaisir. Je me tourne pour la sucer. Elle se penche, prend ma queue en bouche, tandis qu’elle m’offre sa chatte juteuse.
Elle suce divinement et n'aime pas arrêter avant que je ne jouisse. Cette fois, elle fait durer mon plaisir le plus possible, sa langue frotte mon gland et ses lèvres sont transformées en véritable chatte, il lui arrive parfois, d’arrêter sa fellation pour mieux la reprendre. Elle tarde énormément à me faire exploser. Mais quand j'éjacule, elle ne se retire pas, elle attend que j'ai fini de jouir pour avaler tout mon sperme.
Moi, je la suce comme elle aime, ma langue lèche ses lèvres, les mordille un tout petit peu. Enfin un doigt ou deux force son orifice, et pour finir, le lui happe le clito, pour le caresser du bout de ma langue. Quelque fois je passe ma langue sur tout le sillon de sa fente, jusqu’au petit trou. Quand je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir, j'appuie un peu plus fort et accélère les mouvements de ma langue.
Nos deux plaisirs arrivent ensemble. Je préfère toujours satisfaire ma partenaire avant moi. Nous sommes remplis de ce sentiment de plénitude qui nous donne toujours un orgasme réussi. Entièrement nus nous ne faisons pas attention à ce qui peut se passer.
Un gros nuage est arrivé, et soudain un éclair suivi d'un coup de tonnerre violent. Des gouttes commencent à tomber. Nous voulons quitter le dessous de l'arbre témoin de nos plaisirs. Heureusement nous voyons à moins de cinquante mètres une petite cabane où nous allons nous abriter. Nous sommes toujours nus et l'eau ruisselle sur nos corps. Nous en rions et heureusement que nos habits sont pratiquement sec
Vers le fond de la cabane, un tas de paille est posé, comme s'il attendait que nous arrivions. Lisa le remarque et m'y entraîne en me prenant la queue comme on prend un chien en laisse. Elle veux encore jouir. C'est vrai, je ne lui ai pas encore
mis ma bite et je sais qu'elle la veut en elle, la bouche ne compte pas.
Nous nous affalons sur la paille et commençons à jouer comme des jeunes à la recherche de leur première étreinte. Elle me fait mettre sur le dos et contrairement à ce qu'elle demande souvent, elle veut me chevaucher. Le fait d'être pris par la bite pour me tirer jusque là, m'a donné une belle érection. Aussi dès que je suis installé elle m'enjambe pour venir s’empaler la chatte sur mon calibre, et se branler en même temps. Pendant les mouvement de va et vient je lui caresse les seins. Je vois sa main s'agiter sur son petit bouton. Elle jouit rapidement et elle jouit encore avant que je ne le fasse moi-même. Elle se couche sur moi.Je sens ses seins durcis contre ma poitrine. Elle garde en elle ma bite plus ou moins flageolante. C'est pour ça qu'elle serre les muscles de son bas ventre pour que je bande à nouveau. Ma femme sait exactement ce qu'elle veut. Comme je bande en elle, elle se lève un peu pour se la mettre elle même dans le petit trou. Et c'est toujours elle qui donne la cadence. Elle vas de plus en plus vite, et lui jouis dans le cul. J'ai jouis, mais pas autant qu'elle. Elle voudrait encore que je l’enfile, mais je ne suis réellement plus en forme pour bander. Alors de dépit peut être, elle fait ce qu'elle ne fait que rarement devant moi, elle se branle en me regardant, disant des grossièretés. C'est une garce, une salope, une putain, une moins que rien. Je ne peux plus rien faire, mais la voir se donner ce plaisir, je bande à nouveau. Je la renverse sur le dos et elle écarte ses jambes offrant à ma vue tous ses trésors. Je me laisse choir sur elle, glisse ma queue dans sa chatte pleine de mouille et de sperme.
Nous jouissons ensemble, et arrêtons enfin nôtre intense relation.
L'orage est parti et maintenant comme un couple sage, nous sortons habillés pour regagner nôtre chalet.
Le soir, au restaurant, nous ressassons nôtre après-midi torride. J’ai l’impression que cette suite d’orgasme, n’a pas encore assouvi les besoins de ma femme.
A table, elle n’a de cesse de regarder par dessus mon épaule. Je me retourne discrètement, et aperçoit, assis à la table derrière nous, un homme, la cinquantaine, cheveux grisonnant, avec assez de charme pour séduire une femme.
Il me sourit, mais d’un sourire anodin, désintéressé.
Soudain, le serveur glisse un mot dans la main de mon épouse. Lisa ouvre grand les yeux en le lisant, et envoie un sourire discret à la table derrière nous. Dans la foulée, le serveur nous apporte deux coupes de champagne, offertes par ce curieux inconnu. Si moi je n’en fais rien, Lisa lève son verre à son intention.
Vers minuit, nous regagnons nôtre chambre.
- C’est quoi ce mot, demande ai-je à Lisa.
- Tiens...lis le.
« Je suis sûr que vôtre chatte est toute mouillé...j’y glisserais bien ma queue. »
Je tombe assis sur le lit, KO. Le pire, c’est que mon épouse n’a acquiescé aucune colère suite à cette provocation. Mieux, je la sens heureuse de se sentir encore désirable, et qu’un homme puisse franchement l’aborder en ces termes, même si la façon n’est pas galante.
- Je lui réponds quoi, mon amour.
- Ben...ça dépend si tu tiens à avoir une relation avec lui.
- Tu m’aides pas beaucoup…
- Tu sais que j’ai toujours fantasmé de te voir baiser avec un autre homme...alors à toi de décider.
- Et si c’est le cas, voudrais-tu y assister.
- Cacher dans un coin, oui...
Je la vois écrire un mot sur le bloc. Elle me le fait lire.
« Si vous arrivez à faire mouiller ma chatte, vous pourrez la pénétrer. Chambre 9»
Lisa se blottit dans mes bras, me dit que je peux tout arrêter si ça ne me convient pas. Mais je la sais prête pour cette relation d’un soir. Elle prend mes lèvres, puis tombe à genoux devant moi. Elle ouvre ma braguette, extrait ma queue en totale érection. Lentement, elle la décalotte et la prend en bouche. Ses lèvres sont gourmandes de bites. Va-t-elle en faire profiter l’inconnu du restaurant. A force de va et vient savoureux, le désir monte en moi, jusqu’à dégager une puissante éjaculation. Lisa prend un mouchoir en papier, essuie le sperme qu’elle n’a pu avaler.
Le soir, nous nous retrouvons dans la salle du restaurant. Chacun à gardés sa place habituelle. Lisa me demande une dernière fois, si j’accepte cette proposition. Je la confirme. Elle appelle le serveur, et lui donne le mot qu’il doit porter à ce bel inconnu. En retour, le garçon nous emmène deux coupes de champagnes.
Puis Lisa et moi, regagnons nôtre chambre. Je la sens stressée tandis qu’elle se prépare dans le salle de bains. Oh, se préparer est un bien grand mot. Un simple peignoir suffit.
Vers minuit, on sonne à la porte. Je me cache vite derrière le paravent, ou les lames de bois permettent de voir le salon.
- Bonsoir, dit une voix d’homme.
- Bonsoir, répond mon épouse. Alors comme ça, vous voulez me baiser.
- Non...je ne veux pas...je vais vous baiser...et peut-être d’avantage.
- Oh là...Monsieur est sûr de lui...
J’ai l’impression que je ne suis pas au bout de mes surprises.
Lisa invite l’inconnu à se mettre à l’aise, et à s’asseoir sur le canapé. Je l’entends sortir le champagnes, et remplir les coupes, suivis d’une exclamation.
L’inconnu a baissé son pantalon, et arbore son sexe sans vergogne. Et quel sexe.
Lisa s’approche, pose les verres sur la table basse. L’inconnu lui prend la main, l’invite à s’allonger sur le canapé. Il se lève, se met à genoux sur le bord du canapé. Tout en ouvrant le peignoir, il tend sa queue vers la bouche de ma femme. Lisa a compris le message, et prend la bite en bouche. L’homme ouvre le peignoir, met le sexe de mon épouse à nu. D’une main experte, il caresse la chatte, extrait le clitoris qu’il doigte lentement. Ma femme.quitte son peignoir, et apparaît magnifique dans toute sa nudité Je me dis que cet homme a de la chance de pouvoir profiter de ce superbe corps.
L’inconnu s’assoit sur le canapé. Lisa se penche, reprend la bite en bouche, enroule sa langue autour du gland. Tout ça, je connais, et m’imagine le plaisir que doit prendre cet homme. Lisa lâche la bite luisante de salive, écarte se jambes pour éviter les genoux de son amant, puis descend doucement s’empaler sur sa queue. Le soupir laisse supposer qu’elle se le fait mettre bien profond.
- Mais...je n’ai pas eu le temps de constater si vôtre chatte était mouillée.
- Ne vous inquiétez pas, monsieur, elle l’est…
Les mains posées sur les hanches de ma femme, c’est lui qui donne le tempo, en la faisant coulisser sur son pieux. Cinq minutes, pas plus, suffise à déclencher un premier orgasme à mon épouse. Les bras passés autour de son coup, elle l’embrasse à pleine bouche. Tout en restant encré en elle, il la couche sur le canapé. L’occasion pour moi d’apercevoir une énorme paire de couilles. Les lèvres soudés, la queue reprend ses va et vient dans la chatte brûlante de ma femme. Les gémissement de plaisir augmentent, prennent la mesure de la puissante pénétration. Le bouche grande ouverte, ma femme hurle un deuxième orgasme. L’inconnu aussi vient, mais différemment. Il se retire, présente sa queue à la bouche de Lisa. Celle-ci l’ouvre, et reçoit les giclées de sperme au fond de la gorge. Elle le fixe du regard, tandis que le gland est aspiré par ses lèvres.
- On trinque vite fait, sourit-il.
- Hum...du champagne sur du sperme…
La pause est courte. L’inconnu se place derrière Lisa, la prend par la taille, la couvre de baiser, tout en promenant ses mains sur son corps de braise. Puis il la pousse, la fait mettre à genoux sur le canapé, la tête dans les coussins. Il glisse une main entre ses cuisses, excite le clitoris, pénètre la chatte avec ses doigts. Cette caresse n’est pas innocente, car les doigts tourne autour du petit trou, le lubrifiant. Lisa tente d’échapper à l’étreinte de son amant inconnu.
- Ne l’avez-vous jamais fait, dit-il.
- Si...mais pas avec une aussi grosse queue
C’est vrai. Même si elle n’a pas à se plaindre des mensurations de mon sexe, je dois reconnaître que le sien est une catégorie en dessus. Ce qui explique les réticences de ma femme. Mais je la connais tellement, qu’elle ne risque pas de laisser passer l’occasion de se faire sodomiser par une telle bite. L’homme, en gentleman, lui promet d’aller doucement, et d’arrêter si elle ne supportait pas la pénétration.
Lisa serre les dents, je peux lire la souffrance sur son visage, mais n’abdique pas.
Elle pousse un « ouf » de soulagement, quand elle sent les couilles cogner contre ses fesses. Ça y est, son petit trou est rempli, et bien rempli. Il ne reste plus qu’à la queue à se mettre en action. La croupe cambrée, elle reçoit l’offrande de cette bite qui la sodomise, sans sourciller.
- Hum...elle est bonne vôtre queue monsieur.
- Heureux qu’elle vous convienne madame…mais vos trous sont si accueillants.
- Certes...mais jamais une queue ne m’a apporté autant de plaisir.
Là, je viens d’en prendre plein la gueule. Et si c’était vrai. J’ai vraiment besoin de me remettre en question, sous peine de voir défiler las amants à la maison.
Malgré les demandes incessantes de Lisa, suppliant l’inconnu de la baiser une dernière fois, celui-ci refuse, la saisit par la taille, et lui donne un tendre baiser.
- Vous savez, madame, Les paravents amortissent très peu les changements de respiration, et les halètements. J’espère que vôtre mari a pris du plaisir, à voir sa femme se faire baiser et sodomiser par un autre homme. De voir une autre queue que la sienne pénétrer sa chatte, son petit trou et sa bouche. La faire jouir sans discontinuer. Avez-vous compté vos orgasmes madame...cinq...six...peut-être.
Sur ce, madame, monsieur, je vous souhaite une excellente nuit.
Et c’est vrai que j’ai pris du plaisir à voir ma femme se faire baiser par un autre homme, ça m’excitait de l’entendre hurler de plaisir quand elle atteignait l’orgasme. Six fois...six fois ce salaud l’a faite jouir..un phénomène. Jamais, même pendant nôtre nuit de noces, je n’y suis parvenu.
Je sortais de derrière le paravent, et serrais fort ma femme dans mes bras.






























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