Ma soumission de femme mariée

Alors que j’étais sur le point de quitter le bureau, Hervé mon mari m’appelle pour me dire qu’il a invité un copain de travail à dîner. C’était un vendredi, et je finissais juste de bosser.
C’était un peu étrange, car mon mari n’avait jamais fait ça, et en plus, il a très peu de copains. Et le peu qu’il avait, je les connaissait.
Je ne sais pas trop ce qui se passait, j'ai dit OK et me suis occupé à faire les courses.
J’ai demandé à quelle heure ils arrivaient. Nous fixons le dîner à vingt heures. Ce qui me surprend, c’est la tenue vestimentaire que m’impose mon époux, pour recevoir nôtre invité. Jupe courte, et chemise décolletée. De petits escarpins de six centimètres. Pas de culotte, et pas de soutien gorge. Il est clair que mon mari a une idée derrière la tête. Et c’est toujours la même. Me voir faire l’amour avec un autre homme. Bien sur, j’ai toujours refusé.
Mais un jour, au bureau, curieuse, j’ai cherché sur internet, ce genre de fantasme. Et quelle ne fut pas ma surprise, en découvrant que nombre d’hommes partageaient ce fantasme. Pire, sur les forum, un sondage révèle le pourcentage de femmes mariées, qui accepte. Certaine par vice, d’autre pour sauver leur couple. Je suis même allé plus loin. Un jour, je suis tombée sur un site spécialisé dans les histoires érotiques. J’avoue que certaines histoires, m’ont ouvert les yeux sur ce genre de relations. Mais le pire, c’est quand j’ai visionné un film. Une femme se faisait prendre par un autre homme, devant son mari. Elle hurlait de plaisir.
Depuis, je ne voit plus ça comme une infidélité, mais plutôt comme une expérience.
Ce soir là, quand nous avons fait l’amour, je n’arrivais pas à évacuer de mon esprit, les scènes que j’avais vu dans la journée. Je me déchaînais sur la queue de mon mari. Je le revois à califourchon sur ma bouche, se penchant sur moi.
«Imagine-moi, tenant tes jambes ouvertes, pendant qu’un autre te baises.»
Bien sur que j’imaginais. Cette nuit là, plus il me baisait, plus je jouissais.

Vers dix neuf heures quarante cinq, on sonne à la porte. C’est Fred qui va ouvrir.

-Tiens, John, mon vieux, rentre je t’en prie, je te présente Laure, mon épouse.
-Enchanté, madame. Vôtre mari n’a pas menti, vous êtes ravissante.
-Merci monsieur, donnez, que je vous débarrasse.

L’homme, la cinquantaine, cheveux grisonnant, est très séduisant. Assez baraqué. Fred s’occupe des apéros, tandis que je prépare le repas.
Soudain, je sens une présence derrière moi.

-Que préparez-vous de bon, madame, dit John en se collant à moi.
-Oh vous savez, un repas simple.
-Vous êtes ravissante dans cette tenue.
-Merci, monsieur.
-Que de trésors cachés, poursuit-il en passant une main sous ma chemise.

Je reste scotchée devant tant d’audaces. Je ne veux rien dire, de peur que mon mari, se rende compte de la situation. Ne sentant aucune résistance, l’homme continue ses investigations. Calmement, il dénoue ma chemise. Je me retrouve les seins à l’air.
A moment donné, l’homme regarde mon époux en souriant. J’ai compris, c’est un coup monté. Puis l’homme entame de douces caresses sur le bout de mes seins, qui ne tardent pas à durcir.

-Portez-vous quelque chose sous vôtre jupe madame, me chuchote-t-il à l’oreille.

Par le miroir accroché au mur, je regarde mon époux. Il suit la scène, imperturbable.

-Heu...non, soufflais-je, en rougissant.
-Hum...intéressant, dit-il en glissant une main sous ma jupette.

Je me remémore alors, la discussion que nous avons eu, mon mari et moi, il y a quelques mois, ou il me proposait d’avoir
des rapports sexuels avec un autre homme. Je me remémore aussi les histoires, mais surtout la scène ou cette femme se fait baiser devant son homme.

Je suis tirée de mes pensées en sentant un doigt effleurer le fin duvet de ma chatte.
Je pousse de faibles gémissements, mais assez perceptible, pour que mon mari entende.

-Que t’arrive-t-il ma chérie, ça va.
-Oui mon amour, bégaye-je.
-Mais madame, vous pouvez dire à vôtre mari ce que je vous fais. Vous n’avez rien à lui cacher…
-Bien sur ma chérie, poursuit mon mari, on est marié! Tu peux tout me dire.

Mon mari veut que je me soumette aux caprices de cet inconnu, que je m’offre à lui.

-Allez-y, madame, détendez-vous.
-Heu...heu, il caresse ma petite chatte.
-On a rien entendu madame. Vous pouvez répéter que vôtre mari entende bien.
-Il caresse ma petite chatte.
-Très bien madame. A partir de maintenant, vous allez répondre à toute mes questions.
-Oui monsieur.

Ses mains vicieuses jouent avec mon intimité. Je suis soumise, humiliée devant mon mari qui n’intervient pas. Je me surprends moi-même.

-Oh oui, monsieur, c’est bon ça…
-Quoi madame.
-Ce que vous faites à mon clitoris. Vous l’avez bien décalotté.
-A vous d’en juger madame, caressez le.
-Oh oui, il est bien décalotté...doigtez le, s’il vous plaît, branlez le...oui...monsieur, comme ça...on mon dieu, je jouis...mon chéri, ton copain me fait jouir...quel salaud.

Je me cambre sous les doigts vicieux de ce pervers, qui prend plaisir à me voir jouir.

-Nous allons passer à table madame. Et vous allez quitter ses habits qui ne servent plus à rien. Je veux que vous soyez toute nue ce soir.

A table, John m’oblige à m’asseoir à côté de lui. Il prend ma jambe, la passe sur la sienne, caresse ma chatte. Un doigt excite mon clitoris. Je m’écarte d’avantage pour faciliter la caresse. Devant mon époux, j’envoie des coups de reins sur ce doigt qui me clite.

-Alors ma chérie, tu aimes ce qu’il te fait.
-Si tu savais ce qu’il fait à mon petit bouton. Je sens que je vais venir encore...je voudrais pas que ça s’arrête...hein monsieur... dites que vous allez me baiser après, devant mon mari, il est d’accord. Hein mon chéri...dis lui que tu es d’accord.
-Ça dépend de lui mon amour, si tu es obéissante, pourquoi pas.
-Je serais obéissante monsieur, je veux être vôtre chienne ce soir.

Maintenant, J’avais vraiment envie de sentir une autre bite me baiser. Je voulais voir les yeux de mon mari, pendant que je me faisais défoncer la chatte par l’énorme queue de John.
John s’est levé, à baiser sa braguette, et a glissé sa bite dans ma bouche. Je lui est pompé le dard, jusqu’à ce qu’il éjacule. Il m’a coincé la tête pour m’obliger à avaler.
Mon mari, stoïque, suis la scène sans broncher. John me soulève, et m’entraîne à la chambre, faisant signe à mon époux de les suivre. Il me jette sur le lit.

-Ouah, quel cul, dit-il . Je vais bien lui donner. Un petit trou pareil...hum.
-Ah...doucement monsieur, dis-je quand sa bite pénétra mon petit trou. vôtre queue est tellement grosse…
-Çà va aller, encourage mon mari. Il fallait bien qu’un jour, tu en prennes une bonne.
-Le cul de ta femme est trop bon, disait John.

Je sentais les quatre vingt dix kilos de John sur mon dos, et son énorme bite me labourer les reins. Le pire, c’est que je l’encourageais à me défoncer le cul. J’atteins un orgasme terrible, sous les rires soutenus des deux hommes.
John me retourne, me prend en missionnaire. Les lèvres intimes, pleines de mouille, s’ouvrent facilement pour recevoir son calibre. Je parvint à glisser une main entre nous, et lui saisit les couilles. Mon dieu, elles sont énormes et encore pleines. Mais je suis bien décidé à les lui vider. Au bout de quatre heures de baise intense, John commençait à donner des signes de fatigue. C’est à ce moment que mon mari me souffla de l’achever. Mais le bougre avait encore des ressources. Il me retourna comme une crêpe, pour me prendre en levrette. Je hurlais de plaisir sous les violents coups de boutoir. Je n’en finissais pas de jouir. Mon corps était souillé de sperme. La chatte, le cul, la bouche, sur mes seins. Partout. C’est mon mari qui se chargeait de me nettoyer.
A chaque fantasme, il me faisait dire des choses ignobles.
«Qu’il était mieux monté que mon mari... qu’il me baisait mieux qu’Hervé...que j’aimais bien avoir sa grosse queue dans le cul, dans ma chatte, ou dans ma bouche, que j’aimais bien avaler son jus»
Et moi, comme une soumise, j’acquiésais.
Mais au bout de la nuit, je finis par l’avoir, après lui avoir tailler une dernière pipe.
Mais je dois reconnaître que c’est un sacré baiseur, qui n’a cessé de me faire jouir. Même mon mari a salué ses performances.
Épuisés, nous nous assoupissons dans les bras l’un de l’autre. Je ne pourrai jamais oublier cette nuit, ou je suis allé au bout de moi même. Je n’ai jamais éprouvé autant de plaisir avec mon mari, qu’avec John.
Je me lève sans bruit, pour ne réveiller personne, et vais à la salle de bains.

Étrangement, je me sentais fière de moi. En une nuit, j'avais réalisé le fantasme de mon mari, et j'avais rendu son copain fou.
Même si, je l’avoue, j’ai pris énormément de plaisir dans cette relation.