Sa première expérience

Nous étions mariés depuis seulement 5 mois quand l'envie et l'occasion m'ont été données de faire découvrir le candaulisme à ma femme, c'était au mois de juillet.
Quand je l'ai épousée elle avait tout juste 18 ans et 6 semaines, moi j'en avais 21 et un passé déjà très libertin. J'ai été celui qui la déflorée, mais sa bouche avait déjà connu d'autres queues, surtout de copains d'école.


Habitant seul depuis presqu'un an dans un petit appartement situé dans un building près d'une rivière, c'est là qu'a commencé notre vie à deux. Elle y était déjà venue et à quelques reprises j'avais eu des compliments d'un vieux voisin sur la plastique de, à l'époque, ma future femme. Si naïve elle était, cela n'empêchait qu'elle se vête toujours de manière très sexy grâce à des jupes assez courtes. Cela me plaisait, mais pas qu'à moi ! Je voyais souvent des regards s'attarder sur ses cuisses lorsqu'elle était assise ou que le vent espiègle soulevait le tissu léger, dévoilant ainsi une grande partie de son anatomie fessière.

Il y avait à peine quelques semaines qu'elle avait emménagé avec moi que Alain, le vieux, jouait déjà au coq lorsqu'il nous croisait sur le trottoir. Très vite il s'est enhardi, la prenant par la taille et l'attirant contre lui lorsqu'il racontait une blague. Timide, elle ne disait rien et se forçait même à rire quand il était lourd.
De mon côté le plaisir de la voir collée à Alain se transforma en désir que quelque chose de plus chaud se passe entre eux. Mais comment faire, de quelle manière le lui dire ? Et Alain, voudrait-il plus que de la tenir contre lui ?

C'est le jour où je le vis laisser sa main descendre de la taille à son petit cul que je compris qu'il ne serait certainement pas hostile à s'amuser avec elle. Mais comment faire ? J'avoue que je n'avais pas le cran d'en parler à ma femme, j'avais peur de briser mon mariage. Mais plus les jours passaient, plus j'étais torturé par cette envie de l'offrir. J'ai réfléchi à de nombreuses façons de l'amener à ça, mais à chaque fois je faisais marche arrière.

C'est Alain lui-même qui a, sans s'en rendre compte, déclenché le plan parfait. Tandis que je parlais avec lui sur le trottoir, une jeune femme est passée et il m'a fait remarquer la beauté de celle-ci. C'est vrai qu'elle était belle et peu avare du charme de ses gambettes car sa robe lui arrivait mi-cuisse.

Répondant à ses dires, je lui ai dit que je trouvais celles de ma femme encore plus jolies et que ses fesses étaient certainement plus fermes que celles de la passante.
- "Pour les fesses je ne sais pas, mais pour les jambes c'est vrai que ta jeune épouse donnerait envie à un eunuque" dit-il.
- "C'est certain, d'ailleurs j'ai souvent remarqué que tu aimes à les admirer" ai-je répondu.
Un petit malaise s'installa, Alain ne parlait plus et semblait embarrassé.
- "Ne sois pas embêté, cela ne me dérange absolument pas, beaucoup d'hommes se régalent à la regarder et il arrive que certains lui touchent même le cul", "Perso je les comprends et n'en suis même pas jaloux".
Sa réponse tint en deux mots et dépassa tous mes espoirs: "Les veinards !".

La possibilité de quelque chose, mais je ne savais encore quoi, entre ma femme et Alain se dessinait.
- "J'ai déjà vu que tu en fais partie, qu'il t'es arrivé de mettre ta main sur elle",
je pense même que tu ne dirais pas non à pouvoir mieux la toucher".
Il resta muet, me dévisageant comme pour voir si j'étais sérieux ou si je me moquais de lui.
- "Si tu veux, passe à l'appartement cet après-midi, je te montrerai quelques photos coquines d'elle" lui ai-je proposé.

Il accepta et prétexta devoir rentrer, je lui ai dit de venir à 16h.
Allait-il venir ? J'hésitais.
Pendant les 2 heures qui ont suivi j'ai beaucoup tourné en rond, j'étais stressé. N'avais-je pas pris un gros risque ? Que pensait-il et était-il choqué par ma proposition ? Mais c'était trop tard, plus moyen de reculer et advienne que pourra.

16 H, 16 h 10, il était exactement 16 h 13 quand la sonnette retentit. Nerveusement j'ai déposé les photos sur la table et suis allé ouvrir, c'était Alain.
Je l'ai invité à entrer puis à s'asseoir, je lui ai offert une bière puis me suis assis à côté de lui en prenant les photos en main. Ce n'était pas des photos pornographiques, quelques-unes en mini-jupes, d'autres en maillot sur la plage et, enfin, deux en lingerie dont une seins nus faite sur le canapé. Alain tenait les 2 dernières dans sa main, passant de l'une à l'autre en me disant qu'elle est vraiment magnifique et désirable.

Il les tenait toujours lorsque ma femme apparut, nous ne l'avions pas entendue rentrer et elle nous surprit ainsi. Son regard se dirigea sur les photos étalées sur la table, puis elle me regarda d'un air dubitatif. Même si j'en avais le souhait, je n'avais imaginé cette situation. Il me fallait trouver quelque chose à dire, mais sans la heurté. De son côté Alain était rouge pivoine, il conservait les photos en main mais ne pipait mot.

- "Nous parlions des jambes des femmes et j'ai voulu montrer à Alain que les tiennes sont ravissantes, j'espère que tu ne m'en veux pas".
- "Non" répondit-elle tout en retirant sa veste.
- "Je ne savais pas que celle-ci était dans le tas" dis-je en m'emparant de celle où elle était seins nus et en la lui montrant. A son tour elle devint rouge tout en regardant Alain, cela lui a fait bizarre d'être ainsi exposée à un homme qui avait 48 ans de plus qu'elle m'a-t-elle dit par la suite.
J'ai ramassé toutes les photos et les ai rangée dans le tiroir du meuble, Alain s'en est allé et c'est tard dans la soirée que ma femme et moi avons parlé de ce que j'avais fait avec les photos.

Elle n'était pas fâchée, mais ne comprenait pas pourquoi j'avais montré ses photos intimes à Alain. Je lui ai un peu menti en lui disant qu'il était venu pour un renseignement pour une nouvelle voiture, que la conversation avait dérapé sur les jeunes femmes-potiches lors du salon de l'auto, qu'on en était venu à parer de leurs tenues souvent courtes et qu'il m'avait dit apprécier de voir leurs jolies jambes. De fil en aiguilles je lui avais dit que toi, Céline, ma femme n'avait rien à leur envier et c'est à ce moment que je lui ai montré les photos en ne me doutant pas qu'il y avait celles plus coquines.

- "Tu es fâchée ?" ai-je alors demandé.
- "Non, mais j'espère qu'il gardera ça pour lui".
- "Il me l'a promis, heureux de t'avoir découverte en petite tenue".
- "Je m'en doute, d'ailleurs il y a un petit temps que je voudrais te dire quelque chose à propos d'Alain".
- "Oui, quoi ?".
- "Tu me promets de ne pas te fâcher ?".
- "Oui, je te le jure".
- "Et bien voilà plusieurs fois qu'il me touche".
- "Que veux-tu dire ?".
- "Et bien, parfois quand il m'attire contre lui sa main finit où il ne devrait pas".
- "C'est à dire ? Sois plus claire".
- "Parfois il me sent les fesses comme si de rien n'était, mais je sais qu'il le fait exprès".

Et tandis que nous parlions de ça j'ai senti une grande excitation monter en moi, alors j'ai décidé de poursuivre sur le sujet.

- "Et je pense que ça ne te déplait pas puisque c'est seulement maintenant que tu m'en fais part, moi je trouve normal qu'un gars de son âge soit attiré par une aussi belle femme que toi".
- "Oui, mais de là à me toucher ...".
- "Je te comprends, mais es-tu sûre que ça te gêne ou apprécie-tu un peu ? Franchement ?".
- "Je ne sais pas, il pourrait être mon grand-père et nous sommes mariés toi et moi".
- "Effectivement, mais si tu devais me tromper je serais moins jaloux si c'est avec un vieux dont tu ne risquerais pas de tomber amoureuse" ai-je dit en rigolant.

Un petit moment de silence se fit puis j'ai repris la conversation:
- "J'ai vu qu'il a vraiment aimé la photo où tu es en string et seins nus, je crois qu'il avait envie de la caresser". "Et si on l'invitait à boire un verre alors que tu serais dans la même tenue ?".
- "T'es fou !".
- "Pourquoi pas ? Je me dis que si je me retrouve seul à son âge je serais vraiment heureux qu'une jeune femme me montre un peu d'elle".

J'avoue que j'ai dû en reparler les jours suivant, elle n'était pas trop encline à s'exhiber devant Alain. A force de patience, et en lui disant (et montrant) l'effet que ça me faisait rien que d'y penser, elle a fini par accepter en précisant bien qu'il était hors de question qu'il se passe quelque chose. Je le lui ai promis en ajoutant que jamais je ne l'obligerais à ça.

Le lendemain j'ai guetté Alain et, lorsqu'il est sortit de chez lui, suis allé à sa rencontre et l'ai invité à venir prendre l'apéro le dimanche sans en lui indiquer la raison.

Dimanche, 17h, Céline est simplement vêtue d'un string dentelles et de talons hauts, la sonnette nous signale l'arrivée d'Alain. Céline est nerveuse, elle a vidé 1/2 bouteille de rosé pour se donner du courage. Alain entre dans le salon et la découvre dans cette tenue minimaliste, il la regarde, me regarde puis s'avance vers elle pour lui dire bonjour d'un petit bisou. Elle se lève, lui tend la joue puis se rassied. J'avais tout prévu, j'espérais un peu plus que cette simple exhibition, alors j'avais déposé des livres sur un des 2 fauteuils et ai montré le canapé à Alain, canapé où Céline était assise.

J'ai servi un verre de rosé à Alain, ai à nouveau rempli celui de Céline et vidé le reste de la bouteille dans le mien. Comme si la situation était normale, nous avons bavardé de tout et de rien pendant quelques minutes. Je les ai laissés seuls un moment pour aller rechercher une nouvelle bouteille que j'ai ouverte dans la cuisine. Lorsque je suis revenu j'ai constaté qu'Alain c'était très légèrement rapproché de ma femme et qu'ils étaient en grande conversation.

- "Vous parlez de quoi ?" ai-je demandé.
- "De ma voiture" répondit Alain.
- "Ah, je croyais que tu complimentais Céline" ai-je continué en souriant.
Il la regarda en prenant le temps de parcourir visuellement son corps et me répondit:
- "Si je devais lui faire des compliments j'en aurais pour la soirée, ta femme est délicieusement belle et n'importe-quel homme n'aurait que du désir en la voyant comme ceci".

Je savais la promesse que je lui avais faite, mais mes 2 cerveaux battaient la chamade et j'avais fortement envie de voir la main d'Alain caresser la poitrine de ma femme.
Alors je me suis lancé et j'ai dit: "Tu sais, contrairement aux bimbos de la télé Céline a des seins naturels, pas de silicone".
- "Je te crois" a-t-il répondu, "bien que je n'aie jamais toucher de seins siliconés".

Je voyais que Céline se doutait où je voulais en arriver et me regardait sévèrement, mais c'était trop tard et j'ai continué: "Et des vrais seins naturels de jeune femme, tu en as caressés récemment?".
- "Non, ça fait des années" me répondit-il en matant ceux de Céline.
- "Si elle est d'accord tu peux caresser ceux de ma femme" ai-je ajouté sans oser la regarder.
Alain a approché sa main et lui a demandé si il pouvait, elle a dit oui !

Pendant qu'il la pelotait j'ai regardé Céline qui avait les yeux rivés sur moi sans aucune expression. Mais alors qu'il jouait avec les tétons j'ai vu la tête de ma femme se pencher vers l'arrière et ses yeux se fermer. Je la connais, j'ai su que cela lui procurait du plaisir. "Petite salope" me suis-je mis à penser, "tu fais la prude mais tu apprécies quand le vieil Alain te tripote les nibards".
Quand Alain dirigea son regard vers moi je lui ai fait comprendre qu'il devait se saisir d'une main appartenant à ma femme et l'amener sur lui, au bon endroit.

Délicatement il s'exécuta, lui prit une main et la déposa là où je l'espérais. Elle n'eut aucune réaction et la laissa là. J'ai fais des signes à Alain afin d'attirer son attention et lui ai mimé qu'il devait sortir Popol de son pantalon afin que Céline s'en empare (du moins je l'espérais). Il se déboutonna, plongea la main dans son caleçon et en ressortit une quinzaine de centimètres mi-dur? Ensuite il reprit la main et la redéposa qu'il redéposa sur son sexe.

Alors que sa bouche dégustait maintenant la poitrine de ma femme, celle-ci le masturbait lentement. La queue d'Alain n'avait pas beaucoup grandi, mais elle avait pris du volume. La mienne également, je n'en revenais pas d'être aussi excité de voir ma femme branler un autre, d'autant plus qu'il était aussi âgé. A cet instant je me suis posé la question de savoir si elle m'avait déjà trompé et si elle était plus attirée par les vieux qu'elle ne le disait. J'en aurais la réponse plus tard.

Tout en ne me quittant pas du regard (certainement afin d'y voir mon accord), Alain redressa la tête de ma femme et appuya dessus jusqu'à l'amener à sa queue. Je crois qu'aucune émotion n'était lisible dans mes yeux, j'étais simplement époustouflé de la voir prendre le sexe d'Alain dans sa bouche. Le moment fut bref, plus ou moins 5 à 6 minutes, puis je vis Alain se raidir et soulever légèrement son bassin, j'ai compris qu'il venait d'éjaculer.

Céline se redressa et avala le sperme avant de se saisir de son verre et d'en boire quelques gorgées.

Ce qui suivit fut un peu bizarre, pour ne pas dire culcul. Alain a rangé son membre et nous avons reparlé de tout et de rien tout en finissant la bouteille. Ensuite il s'en est allé.

Moi j'avais envie de faire l'amour, alors j'ai pris la main de ma femme et l'ai emmenée dans la chambre où j'ai pu me libérer sauvagement. Elle n'était pas en reste en ce qui concerne l'état d'excitation et j'ai dû remettre le couvert à 2 reprises !

Par la suite nous avons reparlé de ce moment passé avec Alain et nous sommes avoués le plaisir réciproque, bien que différent, que nous avions pris.

Ainsi à commencé notre candaulisme, que du bonheur.