Madame La comtesse

Cette histoire se déroule dans le centre de la France. Estelle, belle femme de 45 ans, vit dans le château que son mari a hérité de sa famille. Mère de 4 enfants, elle est une femme au foyer. Dans la région, son mari et elle sont appelés, à Monsieur Le Comte et Madame La Comtesse. Il faut dire qu’en plus du château, son mari a également hérité des terres autour et ce ne sont pas moins de 300 hectares qu’ils doivent désormais gérer.

L’exploitation familiale compte 5 salariés qui s’occupent d’une part de l’entretien du château et de son parc, et d’autre part des terres agricoles et de l’élevage de bovins. Estelle s’occupe de l’entretien d’une partie du château où le couple et ses enfants ont pris leur quartier depuis désormais une dizaine d’année. Ses journées étaient rythmées par les enfants et les tâches ménagères. Mais depuis le départ de ses trois plus grands pour le lycée et l’internat, ses journées et ses semaines étaient bien plus calme.

A la rentrée de septembre, c’est son dernier fils qui intègre à son tour le lycée distant d’une 50aine de kilomètres. Estelle se retrouve donc quasiment seule la semaine, les premiers temps, elle se trouve des occupations mais rapidement l’ennui et la lassitude s’installe. Son mari trop occupé par ses affaires n’y prête guère attention et elle n’a plus qu’une idée en tête sitôt les enfants déposés le lundi matin, s’est d’être vendredi pour les retrouver.

Un matin, alors qu’elle sort pour aller au village voisin, elle tombe nez à nez sur le pas de la porte avec un grand gaillard à l’air benêt. Sa surprise passée, elle lui demande ce qu’il veut. Le jeune homme la regarde avec un large sourire béat. C’est un colosse d’environ 2 mètres à la carrure très large et aux mains épaisses.

Son mari l’interpelle et lui présente leur nouvel employé Sébastien. Il chuchote à Estelle qu’il est un peu simplet mais travailleur et que l’aide de l’état pour l’embauche d’handicapés a grandement facilité son embauche. Elle tend la main pour le saluer. Il la prend avec toujours son large sourire sur le visage. Ses grands yeux bleus sont captivants et à la fois intimidants pour la Comtesse qui se sent troublée par le jeune homme.

Dans la semaine elle eut l’occasion de le recroiser, il avait une sorte de joie de vivre permanente accrochée au visage. Elle le saluait à chaque fois, agitant sa main parfois un peu bêtement.

Quelques jours plus tard, Monsieur Le Comte dût s’absenter pour une foire agricole. Durant deux jours, Estelle se retrouvait seule à la maison, chose qu’elle détestait. L’absence de ses enfants rendait la maison bien silencieuse.

A l’heure du déjeuner, alors qu’elle se préparait une salade, elle jeta un œil par la fenêtre et vit que la météo s’était dégradée. La pluie tombait drue et elle aperçut soudain le grand Sébastien assis sous l’auvent de la grange entrain de manger un sandwich. Elle tapa au carreau et lui fit signe de rentrer se mettre au chaud et au sec.
Sébastien entra dans la cuisine quelques instants plus tard. Il était trempé jusqu’aux os ! Estelle lui tendit une serviette pour qu’il se sèche les cheveux. Il la prit tout en fixant la femme. Elle se sentit de nouveau troublée par ce regard doux et perçant. Sébastien s’installa à table. Estelle lui prépara un café pour le réchauffer. Elle sentait dans son dos le regard de l’homme. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, ce trouble qu’elle ressentait en sa présence.
Dehors le temps ne s’arrangeait pas. Elle lui demanda ce qui était prévu pour lui cet après-midi. Timidement, il lui dit qu’il ne savait pas trop. Les autres étaient partis. Estelle ne comprenait pas, elle prit son téléphone et appela Raymond le responsable. En effet, Sébastien était seul sur l’exploitation. Raymond lui avait dit de rentrer chez lui à cause du temps mais il n’avait encore une fois rien compris.

Estelle qui avait besoin d’aide pour monter des choses au grenier, dit à Raymond qu’elle le gardera avec elle cet après-midi. Elle regarde Sébastien et lui demande si ça lui va. Un hochement de tête et un sourire lui confirme.

Sitôt le café terminé, il la suit dans les escaliers jusqu’au deuxième étage. Là sur le palier se trouvent une multitude de cartons de vêtements. Estelle fait signe au garçon et lui montre l’échelle qui monte au grenier. Sébastien en prend un sur l’épaule et grimpe un à un les barreaux de l’échelle.

Estelle l’observe faire. En peu de temps, le palier est vidé de ces encombrants. Sébastien a chaud, il su à grosses gouttes. Entre la pluie et les efforts, son tee-shirt est trempé. Estelle va lui chercher un tee-shirt de son mari afin qu’il ne prenne pas froid. Il sera bien sûr trop juste mais ce sera mieux que rien pense-t-elle.
Sous ses yeux, le jeune homme quitte son tee-shirt découvrant un torse musclé. Sébastien est une force de la nature. Elle le regarde bouche-bée. Elle lui indique la salle de bain, s’il veut prendre une douche avant.

Timidement il hoche la tête et se rend dans la pièce. La porte ferme mal et elle reste entrebâillée. C’est plus fort qu’elle, Estelle s’en approche et jette un œil à l’intérieur.

Elle voit soudain les fesses nues du garçon qui se penche pour s’extirper de ses vêtements. Elle l’observe discrètement pénétrer sous la douche et l’instant d’après lorsqu’il se tourne pour tirer le rideau de douche, elle voit son sexe qui pend entre ses jambes. Elle a un mouvement de recul. Jamais elle n’a vu sexe aussi gros. La bête est au repos mais est déjà bien plus grosse que ce qu’Estelle connaît. Elle n’en revient pas. A croire que dame nature a compensé le manque d’esprit du jeune homme par des capacités physiques hors normes !!
Estelle se retourne et fuit.

Quelques instants plus tard, Sébastien redescend. Il a tenté d’enfilé le tee-shirt mais celui-ci est trop serré. Il se présente donc torse nu devant la femme de son patron.

Estelle est très troublée. Son regard détaille l’apollon face à elle et ne peut s’empêcher de descendre vers la ceinture du jeune homme. Lui, il ne bouge pas. Estelle ne se contrôle plus, elle avance vers lui et pose délicatement ses mains sur son torse. Le garçon s’apprête à dire quelque chose mais elle lui pose un doigt sur les lèvres pour lui signifier de se taire.

Elle laisse ses mains parcourir le buste de l’homme, descendant irrémédiablement vers son pantalon. Elle attrape la boucle de ceinture et tire dessus. Le pantalon s’ouvre et glisse le long des jambes. Elle bosse alors sa main sur la bosse volumineuse qui déforme le slip. Elle est encore plus grosse que tout à l’heure.

Estelle se laisse tomber à genoux. Elle tire sur l’élastique du sous-vêtement. L’incroyable queue de Sébastien apparaît sous ses yeux. Elle est énorme. Elle reste un instant dans l’expectative et soudain sent la main du jeune homme sur sa tête. Il la tire vers lui et ses lèvres se retrouvent bientôt en contact avec le membre de chair.

Elle ouvre machinalement la bouche et tente tant bien que mal d’y faire entrer le sexe. Ce dernier continue de gonfler. Il prend des proportions monstrueuses et Estelle manque de s’étouffer avec. Elle s’applique sur ce morceau de choix sous les murmures de contentement de Sébastien. Elle se fatigue rapidement à sucer pareille queue. Elle le branle alors, sentant son plaisir monter et soudain le gland se met à cracher des jets de sperme. Estelle est surprise par la puissance et l’abondance de l’éjaculation. Elle se recule et les jets de foutre viennent malgré tout souiller sa robe. Le sexe est traversé de spasmes et continue de cracher sa semence.

Estelle n’en revient pas du spectacle. Elle se relève et repousse Sébastien lui demandant de partir. Elle se rend compte de ce qu’elle vient de faire. Mais le jeune homme n’en entend pas ainsi. Il ne s’en va pas et au contraire avance vers cette femme qui l’excite. Il la pousse contre la table. Elle proteste, le repousse mais c’est peine perdue. Elle bascule sur la table. Sébastien lui écarte les cuisses et s’installe entre elles. Elle ne bouge plus, effrayée et impatiente à la fois. Il lui retire délicatement sa culotte et elle sent alors le pieu de chaire toujours aussi raide commencer à s’enfoncer en elle.
Une bouffée de chaleur la submerge. Le colosse entre en elle, elle sent ses lèvres s’écartées. Il va-et-vient maladroitement, rapidement mais avec force. Estelle ne peut retenir ses cris de plaisir. Il la tient fermement par les hanches et s’enfonce au plus profond d’elle. Il la saute ainsi pendant de longues minutes, la comtesse jouit à répétition sous ses coups de queue.

Cela fait désormais 30 minutes qu’il s’agite entre ses cuisses, elle n’en peut plus, elle essaie de le repousser mais rien n’y fait. Il continue à pilonner, inlassablement. Elle se redresse tant bien que mal et s’accroche à son cou. Il passe ses mains sous ses fesses et en riant la fait sauter sur sa queue. Soudain alors qu’elle chavire de nouveau de plaisir, elle voir Raymond derrière la fenêtre. Bouche ouverte, il regarde la scène avec un air ahuri. Elle ne peut réagir et continue de s’accrocher à son amant.

Quelques secondes plus tard, la porte de la cuisine s’ouvre et elle voit Raymond et Cédric un autre employé entrer dans la pièce. Raymond hurle sur le « pauvre » Sébastien, il lui tape dessus pour qu’il relâche son étreinte. Estelle tente de remettre de l’ordre dans sa tenue. Cédric chasse Sébastien dehors.

Les deux hommes viennent consoler leur patronne qui se cache maladroitement les seins. Dans le feu de l’action, les bretelles de sa robe ont cédé. Mais Cédric et Raymond sont excités, ils devaient regarder depuis un moment la scène et ils veulent également leur part du gâteau. Ils s’approchent de la comtesse qui ne comprend pas puis qui proteste lorsque Raymond autoritairement glisse sa main sous la robe. Cédric a sorti son sexe et vient de sauter sur la table. Elle se retrouve rapidement la bouche remplie par la queue de l’homme. L’autre a plongé sur son entrejambe pour y fourrer sa langue. Estelle s’abandonne complètement sous les menaces de Cédric de tout raconter à Monsieur Le Comte.

Les deux hommes prirent leur plaisir tour à tour dans sa bouche et entre ses cuisses, elle subit mais apprécia également leurs assauts répétés. Raymond, le plus vieux des deux, la traita comme une catin, jouissant sur son visage et dans ses cheveux, tandis que Cédric déchargeait son foutre au fond d’elle.

Ils se rhabillèrent prestement, finalement un peu honteux et quittèrent rapidement les lieux. Quelques instants plus tard, Sébastien vint voir Estelle. Il la retrouva pleurant sur la table. Ses vêtements à terre. Il la prit dans ses bras et l’emmena dans la salle de bain. Il la lava puis la déposa sur son lit.

Estelle s’endormit presque immédiatement.

En plein milieu de la nuit elle se réveilla brusquement. Avait-elle rêvé ?

Elle alluma la lumière et vit dans un coin de la pièce sur un fauteuil, le grand Sébastien. Ce n’était donc pas un rêve…

Si cela vous a plu… je vous conterais prochainement la suite des aventures de la comtesse…