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Aventure en maison de retraite

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Lue : 9902 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 31/01/2016

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Depuis ma venue en province, voulant me faire connaitre de tout le monde, je participais à des bénévolats aux écoles et tout autres rassemblements de ce genre, j'avais une copine propice à cela, car cela était son travail.

(ma description est début de mon premier récit, "vengeance heureuse d'un cocu")

Voici donc une petite aventure qui me laisse un très bon souvenir.

C'était en 2006. J'avais une copine qui faisait des animations dans divers milieux. Elle avait décroché un contrat dans une maison de retraite pour animer un loto après les fêtes, et ce, tous les ans. Son mari l'aidait habituellement à transporter le matériel, ranger les chaises, tables etc.

Mais cette fois-ci, il était cloué au lit par une grippe. Elle se retrouve donc seule à devoir faire cette animation éprouvante. Après avoir demandé à plusieurs personnes, elle se rabat sur moi en me disant que je reste la seule qui puisse l'aider.

J'étais peu enthousiaste, une maison de retraite, ce n'est pas comme une école, mais j'ai accepté. Nous installons aussi les chaises et les tables. Nous installons les lots bien en évidence. Pendant ce temps, les petits vieux sont au repas, la séance est prévue dans l'après-midi.

Une fois le loto terminé et les lots distribués, chacun rentre dans sa chambre sauf 5 d'entre eux. Ils sont un peu plus alertes que les autres et ont envie de rester dans la salle avec nous. Ils ne me draguent pas, mais me complimentent.

Après avoir démonté la sono, ma copine m'annonce qu'elle va le rendre tout de suite pour éviter la location d'une journée supplémentaire. Pendant ce temps, je commence à ranger les tables et les chaises. Les cinq petits vieux m'aident. Je leur dis de laisser, mais ils ne m’écoutent pas. Ils rangent, emboitent les chaises et passaient le balai si bien que j'ai fini une heure et demi en avance.

Je m'assois sur une sorte d'estrade, et eux viennent à côté de moi. L'un d'eux s'échappe pour revenir quelques minutes après avec une bouteille de champagne et des verres !

Me voilà seule avec ces cinq vieux. Ils ont l'intention de me parler. Je les remercie de leur attention. Sur les cinq, trois sont peu bavards, mais l'un d'eux parle à leur place. Je vois bien que la robe que je porte ne leur déplaît pas. Je reçois tous leurs compliments, du genre : je suis sexy, mon mari a de la chance, ma robe me va très bien, etc. etc.

Il y a ceux, également assis sur l'estrade, mais de chaque côté de moi, qui lorgnent dans mon décolleté et ceux assis au sol, face à moi qui louchent sur mes jambes, nous vidons la bouteille (j'ai bu deux coupes). Je me sentais comme une cible. Je leur dis :

- « Vous n’êtes pas très discrets à me regarder ainsi ».

Le bavard me répond :

- « Vous savez, nous en ce moment, nous sommes au paradis ».

Je réponds qu'il ne faut pas exagérer non plus.

- « Vous avez raison, c'est mieux que le paradis et puis avec nous, vous ne risquez plus rien, nous ne sommes que des admirateurs passifs, nous côtoyons des filles sympas, mais hélas pas aussi belle que vous, et quand nous avons la chance d'en voir une belle, en général, elle est conne.Vous vous êtes belle et sympathique, alors on en profite ».

Je réplique que c'est gentil.

- « Oui, vous êtes très belle, vous avez des formes qui laissent rêveur, vous êtes sexy, même dans des poses banales, rien que votre sourire nous réchauffe ».
- « Hé bien, vous êtes sûr que vous parlez de moi là ? ».
La bretelle de ma robe tombe régulièrement et bien sûr, je la remets en place au fur et à mesure. A un moment, il me dit :
- « Non laissez comme ça, ça vous rend encore plus sexy ».
Mais je la remets quand même quand elle retombe. Il insiste encore et se fait implorant :

- « S'il vous plaît ».
Les autres le soutiennent tellement, que je finis par accepter.
- « Aller bon, c'est jour de fête » et je laisse ma bretelle.
Le bavard me dit que je suis magnifique, il se recule un peu en me jaugeant :
- « Si j’étais peintre, je ferais un tableau. Tenez, mettez-vous comme ça, là en arrière ».
Je le voyais venir, il m'indiquait 2 ou 3 positions anodines, dont une qui ne l’était pas vraiment. Je le fis remarquer. Faisant son air de vieux chien battu.

- « Laissez-vous aller, regardez-nous, que craignez-vous, même pas qu'on vous morde, on a plus les moyens et pour le reste encore moins. Notre seul plaisir, le seul qui nous reste est celui des yeux, ne nous prive pas de cela ».

C'est ainsi que crescendo, il m'a fait mettre dans des positions aguichantes, qui en fin de compte n’était pas si déplaisantes. Et puis de les voir si contents et heureux, ce n’était pas pour me déplaire. Après plusieurs poses soft, uniquement sexy, complimentées à chaque fois, à un moment, il me demande :

- « est-ce que vous voudriez nous faire un immense plaisir ? ».
- « Si c'est pour une fellation, c'est non » Je me reprends aussitôt en disant pardon.

- « Hélas, on vous décevrait de trop dans ce domaine ».
- « Alors c'est quoi ? ».
- « Voilà, est-ce que je pourrais toucher votre jambe, pas vos cuisses, juste votre jambe ? C'est pour me rappeler comment c'est la sensation des bas sur une jambe ».

Le champagne surement aidant, j'ai dit oui à sa 2eme demande. Je me sentais bien. Je m'amusais. J’étais en bonne compagnie. Je mets ma jambe en avant et dis, voilà !

Il me l’attrape aussitôt et les autres demandent s'ils peuvent aussi, j'accepte évidemment. Seulement une jambe en l'air, ça va, mais les deux, j'ai perdu l’équilibre.

J'ai dû m'allonger sur l'estrade, ce qui remonta ma jupe plus haute, de sentir toutes ses mains sur mes jambes m'était très agréable. Mes deux jambes découvertes et dix mains qui se baladaient dessus, c'est très spécial.

L'un me touche la cuisse et s’excuse aussitôt. Je lui dis, ce n'est pas grave. Le bavard en me regardant s'aperçoit que cela n'a pas l'air de me déplaire, mais à ce moment-là, on aperçoit aussi par la fenêtre les feux d'une voiture qui rentre. Mes petits vieux se lèvent et je me remets.

C’était mon mari qui venait me chercher. Je suis partie en leur faisant la bise, le bavard m'a dit, comme c'est dommage. Tous m'ont remerciée en me disant qu'ils avaient passé la meilleure soirée depuis bien des années.

... Une année a passé depuis ma sympathique expérience dans la salle de spectacle...
Je demande à ma copine si elle a encore besoin de moi pour l'aider dans l'organisation du prochain loto à la maison de retraite. Elle me dit que ce n'est pas la peine, son mari va bien, cette fois-ci, il pourra l'aider.

Son mari entend ma demande et je crois qu'il a envie de profiter de l'aubaine, que si je veux y aller, il me laisse la place. Je leur fais part de bons moments que j'ai passés et que j'ai bien aimés, ça me change du quotidien.

Il m'était difficile de lui dire que j'avais envie de recommencer à me faire tripoter par des vieux, mais ce serait me mentir à moi-même que de le nier. Son mari ne fait aucune difficulté pour me laisser sa place. Je me souviens que mon amie voulait me payer pour ça. J'avais refusé par principe, c'était un service à une amie. Le reste ne regarde que moi.

Après être allé louer la sono, nous re voilà à la maison de retraite. Nous mettons tout en place dans la salle prévue pour les réjouissances, les fêtes, les projections et bien sûr, notre loto.

Au repas, les petits vieux me reconnaissent, sauf un hélas qui n’était plus là.
Le bavard, qui a toujours une ou deux bouteilles au frai, me propose une coupe de champagne dans la salle.

Je refuse, mais comme il insiste énergiquement, la directrice le voit et s'approche pour me dire de ne pas accepter. Je lui fais comprendre que je ne veux pas être désagréable avec eux et qu'il me semble qu'il me faut accepter. Le bavard rajoute à son encontre :

- « Ici, c'est nous tous qui payons et on invite qui on veut ».
La directrice est repartie d'un sourire vexé.

À la fin du repas, tout le monde se déplace vers la salle et chacun s'installe comme il peut autour des tables pour le loto. Il y a pas mal de chaises roulantes et de personnes en difficultés.

Pendant le jeu, même s'il faut répéter souvent pour que chacun entende, tout se passe bien. Lorsque toutes les parties sont finies, qu'il ne reste plus de lots à distribuer, chacun se lève et repart dans sa chambre ou la salle de télé.

Comme l’année d'avant, les 4 petits vieux restent pour m'aider. Cette fois, ils me disent de rester assise, je refuse, mais ils insistent. J'arrive péniblement à rassembler quelques chaises.

Une fois le rangement terminé, le bavard sort une bouteille de champagne et des verres. Je me laisse servir une coupe, eux me tiennent compagnie. Comme l'an dernier, je suis assise sur l'estrade et ma coupe à la main, je les vois venir. C'est comme si une parenthèse d'une année venait de se refermer.

Ils devaient penser la même chose, car sinon, ils ne seraient pas là avec moi.

L'un d'eux éteint la lumière de la salle. Nous sommes maintenant juste éclairés par ce qui sert de cuisine. Le bavard remémore l’année d'avant, les positions que j'avais, j'avais une autre tenue, moins ample. Il me demande de poser avec celle-ci. Bien sûr, à la 2eme demande, je dis oui, rien ne sert de recommencer à dire non, puisque je le ferais de toute façon.
Bavard me dit :

- « Vous avez changé de marque pour vos bas ».
- « Non, pas du tout, c'est toujours les mêmes » Bien sûrs, c’était l’excuse pour les toucher.
- « Je peux ? Dit-il, je réponds :
- « Si je dis non, vous allez me le redemander » il dit oui en se marrant.
- « Mais vous savez que vous pouvez avoir confiance en nous ».

Il m’attrape la jambe, et frôle le bas, son voisin fait pareil et je me retrouve comme l’année d'avant, sur les coudes, sauf que ce coup-ci, ils sont deux pour chaque jambe.

- « Comme c'est doux, c'est aussi bien le dessus que le dessous. Est-ce le bas qui rend la jambe aussi douce, ou est-ce la peau qui rend le bas aussi doux ? Puis-je oser comparer avec la cuisse belle dame ? ».
- « Dites, vous n’exagérez-vous pas un peu ? ».
- « Bien sur que si, mais vous nous donnez des ailes, dites-nous, oui, pensez que peut être l’année prochaine, nous n'aurons plus ce plaisir comme notre ami disparu ».
C'est dur d'argumenter contre cela. Et puis leurs huit mains commencent à faire de l'effet.
- « Aller, c'est mon soir de bonté ! ».
De concert, les 2 compères remontent jusqu'aux cuisses, relevant ma jupe par la même occasion, pour le plaisir des deux de l'autre côté de moi.
Il me dit :
- » C'est aussi doux partout, mais ça ne répond pas à notre question ».
- « Laquelle ? » Dis-je.
- « À savoir si c'est le bas qui rend doux votre peau, ou votre peau qui rend le bas doux ».
- « Et que faut-il faire pour savoir cela ? » Demandais-je l'air ingénu.
- « Retirer le bas, belle dame ! ».
- « Vous voulez que je les retire ? ».
- « Nous pouvons le faire si c'est votre souhait ».
- « Ah, mais vous êtes des petits malins » dis-je en hochant la tète.
- « Allez, dites-nous oui belle dame » Je ne réponds pas verbalement, mais, ma non-réponse ainsi que la mimique de mes lèvres signifient "bon allez-y".

En attrapant le haut du bas, je sens leur doigt sur la chair, j'ai du mal à ne pas tressaillir. Le bavard s'en est aperçu de suite. Les quatre m'ont ensuite caressé les jambes et plus haut, les cuisses en disant :

- « Le bas est une matière inerte qui n'est rien sans ce qu'il contient, la valeur n'est que dans le contenu, votre peau est douce belle dame ».
Je ressens ses caresses qui me plaisent de plus en plus, je réponds de moins en moins.

Je ne dis rien non plus quand il m'a embrassé la jambe.
Voyant que je reste muette, ils comprennent ma complaisance et s'y mettent à quatre. J'ai les jambes parcourues de mains et de bouches. Je perds ma volonté. Je ferme les yeux et vis mon plaisir.

Bavard dit :
- « Voilà, notre question a sa réponse, nous pouvons vous remettre vos bas ».

Son copain commence, il le fait ensuite, mais tout doucement, il enserre la jambe au-dessus du genou et remonte tout en haut, pour les tirer. Il s'y prend à plusieurs reprises. À chaque fois, bien sûr, il frôle mon string juste sur ma fente et son copain fait pareil pendant que les deux autres regardent.

Comme je reste silencieuse en tenant bien mes jambes à leurs dispositions, Bavard me dit :

- « Il faut bien tendre les bas, mieux que ça encore ».
Je le fixe silencieusement dans les yeux. Joignant la parole au geste, en me regardant dans les yeux, lentement, il monte ses mains sur l'aine et contourne mon bas-ventre.
- « Attention, vous prenez des libertés cher monsieur », et me répond:
- « Laissez-vous allez belle dame » et sa main appuie maintenant mon string. Il me redit:

- « Voulez-vous vous laissez allez belle dame ».

Joignant la parole au geste, en me regardant dans les yeux, lentement, il monte ses mains sur l'aine et contourne mon bas-ventre. Il frôle mes hanches de ses mains à plat, comme une caresse qui m'étourdit. Il va chercher l'élastique de mon string tout en haut.

Il tire sur le string et cherche à le descendre, mais je suis assise dessus. Alors je lève le bassin. Il libère le string qui glisse le long de mes cuisses que je rapproche avant de les rouvrir.

- « Voyez mes amis, la dame s'abandonne, nous ne devons pas la décevoir, elle se donne à nous, a nous d'en faire bon usage ».
Alors que mon string intéresse l'un deux, Bavard commence à titiller mon bouton. Je pousse un petit cri. Il dit aux autres :
- « Ça y est, elle est à nous, allez-y, tout est permis ».

Les deux qui étaient restés un peu à l'écart s'approchent très près de moi. Ils me défont les boutons de ma robe. L'autre monte sur l'estrade et dégrafe mon soutien-gorge, il l'enlève et le montre en trophée. Me voilà les seins à l'air dans cette salle, d'ou on est, personne ne peut voir de dehors, l'année passée, j'avais repéré l'échappatoire de pouvoir dans la tenue où j'aurais été, de me diriger vers les toilettes !

Mes cuisses sont tenues écartées. Bavard a toujours ses doigts qui me pénètrent et font des va-et-vient dans mon vagin. Des mains s'activent partout, je ne sais plus à qui elles sont, sur les seins, le ventre, les cuisses, la chatte.

Voilà que l'un d'entre eux derrière moi me relève et m'écarte les jambes pour les mettre en V à la verticale. Mon anus maintenant dégagé est investi par un doigt, j'ai toujours quelques doigts dans le vagin et d'autres qui titillent mon clitoris.

Je me trémousse, je glousse, je crie, et je jouis sans retenue.

Celui qui est à côté du bavard, vient se placer entre mes cuisses et commence à me sucer le sexe. Je le sens qui se régale, ma réaction est rapide, je jouis dans sa bouche. Un autre lui prend la place, et fait pareil. Le bavard se met à côté de moi et en me tripotant le sein me regarde dans les yeux me dit de me laisser aller complètement.

Mon abandon est total. Mes yeux dans les siens, je sens une jouissance profonde monter. Elle explose, j'ai un nouvel orgasme très puissant.

Un troisième s'allonge sur l'estrade et me demande de venir mettre mon sexe sur sa bouche, je m’exécute aussitôt, le bavard en profite pour me mettre à son tour un doigt dans l'anus.
Le bavard se met à côté de moi et en me tripotant le sein me regarde dans les yeux me dit de me laisser aller complètement.

On me demande de me mettre à 4 pattes. Ils se relaient pour me lécher la chatte et le cul dans cette position humiliante.
Le bavard me fait à nouveau me mettre sur le dos. Il dit à ses amis sur l'estrade.
- « Tenez-lui les mains », et à celui à côté de lui :
- « Tiens sa jambe droite bien écartée » lui s'assoie à cheval sur ma gauche. Il me frotte le sexe et me pénètre de ses doigts, faisant des allées et venus à toute vitesse. Je jouis encore une fois, criant grâce.

Je reste 5 mn allongée, prostrée à reprendre mon souffle. Ils sont attentionnés, ils m'apportent à boire, rapproché mon sac, je me recoiffe. Mes bas sont filés, mon maquillage est plus que douteux. Heureusement que j'ai toujours une paire de rechange dans mon sac et de quoi me refaire une beauté. Ils ont l'air navré de mon problème et veulent me les rembourser.

- « Surtout pas, j'ai reçu au centuple le prix des bas. On a discuté un peu.
Bavard me dit, qu'il savait que si je revenais, ça se passerait comme cela, mais là, ça a été au-delà de ce qu'il espérait.
Quelques minutes après, nous voyons des phares dans le parc, la copine arrive au loin et ils me disent :

- « L’année dernière nous avons passé une soirée qui était la plus belle depuis bien longtemps, mais cette soirée d'aujourd'hui, c'est la meilleure de toute notre vie, les trois autres ont dit, oui nous aussi et sans aucun doute »

En nous faisant la bise, je les remercie de la soirée.
- « Non, c'est nous qui vous remercions, un petit rien pour vous et un énorme quelque chose pour nous »
Me voilà repartie.

L’année suivante, je me suis tâtée pour recommencer, un peu honteuse dans le sens, qu'est-ce qu'ils vont penser de moi.
Mais hélas, quand j'ai demandé à la copine, elle m'a dit :
- « Je suis désolée, la directrice m'a posé une condition : si tu revenais, elle annulait le contrat ».

Là, j'étais furieuse, je voulais le lendemain, allez voir les petits vieux et le leur dire, mais je me suis dit, que si je dis cela, ils vont aller, se faire mal voir d'elle, et comme c'est eux qui la supporte à l’année, que ça risquait de les mettre dans une situation difficile, alors je me suis effacée.

Ma copine a dit que je n’étais pas libre quand le bavard a demandé comment j'allais, j'ai leur bonjour. Son mari, lui, range les tables et les chaises tout seul, je ne leur ai jamais dit, que moi, j'avais de l'aide.

J'ai voulu quelques fois aller dire un petit bonjour, mais j'ai peur d'apprendre une mauvaise nouvelle, et le temps passe.

J'ai appris par la suite que la directrice était une conne qui avec ses 80 kg faisait la belle parmi les retraités, (au pays des aveugles, le borgne est roi), et quand une autre était là, elle n’était plus le centre d’intérêt.
Ma copine toujours en pantalon et jamais sexy, ne lui faisait pas d'ombre.
Cette directrice, je lui souhaite qu'un jour, elle ait ce qu'elle mérite.

Et puis comme disait Picabia :
« Si l'on médit de moi, ce n'est pas grave, mon cul les contemple».
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Aventure en maison de retraite

Le 20/03/2020 - 08:42 par alma
C'est moral de penser à donner un peu de plaisir aux personnes âgées... beau récit!

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