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Madame la directrice 2

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Lue : 16980 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/02/2010

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Solange, Directrice d’école un peu exhibitionniste dans sa vie privée se trouve piégée en tenue coquine, par un maître chanteur au cours d’une sortie au restaurant.

La peine était donc de faire la sortie avec une blouse dégrafée de trois boutons, Solange se prépara avant de faire la sortie, elle enleva son soutien gorge et remis sa blouse sans les trois boutons du haut. Le tableau commençait à être trop compromettant, elle laissa deux boutons libres en haut et un en bas.

Le soir, avant de partir, elle « lui » laissa un mot : « Je n’ai pas pu laisser trois boutons ouverts en haut je m’en excuse, punissez moi mais pas en public je vous en supplie. »
La réponse ne se fit pas attendre, le lendemain une enveloppe kraft était dans la boite : « Belle salope tu seras punie et en public pour cette désobéissance mais à la rentrée. Pour cette dernière journée de classe rien. Par contre tu viendras demain à dix heures, l’école sera fermée, tu monteras dans la salle de l’oratoire, tu te mettras à genoux sur le prie-Dieu, tu enfileras la cagoule qui est dans l’enveloppe et tu attendras mes ordres auxquels tu répondras uniquement par : « oui monsieur, » rien d’autre. »

Tout ceci allait maintenant trop loin, Solange décida de s’exécuter une dernière fois et d’aviser pour la rentrée prochaine ; de toute façon elle allait toujours à l’école quelques jours après la fin de la saison et elle décida également de ne rien dire à son mari.

Le lendemain neuf heures cinquante Solange monta dans l’oratoire, l’école était déserte elle était vêtue comme d’habitude et serrait dans sa main la fameuse cagoule. Après quelques profondes inspirations elle l’enfila sur sa tête et s’agenouilla comme convenu. La cagoule était totalement opaque, rien à faire pour voir quoi que ce soit. Au bout de trois minutes elle entendit la porte s’ouvrir et des pas se diriger vers elle. Une voix métallique s’adressa à elle, sans doute masquée par un dispositif électronique quelconque.
« Bonjour belle salope tu es contente de ma présence ? »

Solange réfléchit quelques secondes, et se souvenant des consignes : « Oui monsieur. »
« Tu va exécuter mes ordres à la lettre ? »
« Oui monsieur. »
« Alors lève toi et déboutonne ta chemise, OK ? »
« Oui monsieur. » Solange s’exécuta déboutonna son corsage et l’enleva.
« Maintenant le soutien gorge, OK »

Solange avala sa salive : « Oui monsieur. » elle dégrafa le soutif, le posa à terre et laissa retomber ses bras le long du corps.
« Tu sais que tu as l’air d’une vraie salope ainsi ? »
« Oui monsieur. »
« Tu va te retourner et je vais te caresser les seins, OK »

Solange de plus en plus stressée avalant sa salive : « Oui monsieur. »
« Tu le veux vraiment ? Je veux sentir tes tétons se durcir. »
« Oui monsieur. »

Elle se retourna, il senti l’homme s’approcher et lui poser une main sur chaque sein. Elle sursauta mais se ravisa rapidement. Durant de longues minutes il lui caressa les seins d’abord doucement puis de plus en plus frénétiquement en finissant par lui pincer les tétons jusqu'à lui faire mal. C’est à ce moment que Solange sentit ses seins se durcir, instinctivement elle cambra le buste sous les caresses. Elle commençait à y trouver du plaisir et se tortilla un peu dans tous les sens.
« Je te fais mal »
« Oui monsieur. »
« Retournes toi. »

Elle s’exécuta et contrairement à toute attente il pinça les tétons plus fort. Solange se cambra sous la douleur mais pris garde de ne pas se dérober.
« Tu n’as pas mal n’est-ce pas, je peux pincer un peu plus fort ? »

Solange dans une plainte : « Oui monsieur. »
A la pression suivante elle ne pu s’empêcher de pousser une plainte, elle n’avait jamais aimé ce type de caresse avec son mari.
« Tu aimes ça belle salope à ce que je vois, » dit-il en la lâchant
« Oui monsieur »
« Bien, ça ne m’étonne pas, de as vraiment de beaux nichons, on te l’a jamais dit. »
« Oui monsieur » elle ressentait encore une douleur cuisante, un peu exquise.
« Tu vas maintenant de déshabiller complètement, je ferai quelques photos sexy et tu attendras mon feu vert pour te rhabiller, OK ? »
« Oui d’accord. »
« Pour cette dernière entorse au paroles autorisées nous referons une petite séance demain, j’y ai pris goût, mais cette fois tu viendras, habillée en pute, je te laisse le choix et tu m’attendra à dix heures, avec la cagoule, bien sur, assise à ton bureau de classe, OK. »
« Oui monsieur. »
« Je vois que tu comprends vite, salut belle salope. »

Solange s’exécuta, quitta robe, culotte bas, et chaussures et attendit sur le prie-Dieu de nouveaux ordres. Elle entendit de nombreux déclenchements d’appareil photo et puis plus rien durant de longues minutes, après ce qu’elle apprécia comme un quart d’heure elle se risqua à enfreindre la consigne : « Monsieur, êtes-vous là. » pas de réponse « Monsieur, êtes-vous là. » Tremblante elle se leva et arracha la cagoule. Elle était seule dans la pièce, nue, il avait disparu.

Tremblante, Solange se jeta par terre et se mit à sangloter, elle était perplexe, coupable de s’être conduite comme une salope mais troublée par l’émoi qu’elle avait ressenti. Une vive douleur de ses deux tétons était là pour lui rappeler qu’elle n’avait pas rêvé. Le plus difficile allait être de raconter tout cela à son mari ce soir. Elle décida, en début d’après-midi de l’appeler à son travail : « C’est moi, je me suis mal conduite, il faut que je te raconte tout. » A la fin du récit son mari lui fit le reproche de ne pas lui avoir fait confiance et posa la question qu’elle redoutait : « As-tu éprouvé du plaisir ? » Solange avala sa salive, et répondit : « Je vais être franche, oui, mais je dois t’avouer que pendant toute la séance, je me suis efforcée de penser à toi. »
« Bon, je pars en réunion, nous réglerons tout cela ce soir. »

Le soir venu Solange en rentrant se précipita sur son mari et en l’embrassant fougueusement lui dit : « Tu m’en veux beaucoup ? »
« Un peu que tu m’aie caché la séance de ce matin, mais je te pardonne, cela doit être difficile. »
« Que fait-on pour demain ? »
« Je pense qu’il faut en finir, tu vas y aller comme convenu et j’interviendrais et on avisera à ce moment là en fonction de la personne, tu es d’accord ? »
« Oui, mais je ne sais pas ce qu’il va me demander. »
« Je serais la. Je pense qu’il ne faut pas éveiller les soupçons, tu t’habilleras comme prévu, minijupe, bas résille, hauts talons, ton soutien seins et ton sweet transparent. N’oublie pas un maquillage chargé.»

Le matin Solange s’habilla comme prévu, le tableau était vraiment saisissant, une vraie prostituée n’aurait pas fait mieux. Elle avait entre-aperçu la voiture de son mari qui la suivait, elle était un peu rassurée, mais se demandait bien comment elle allait effectuer à pied, le trajet du parking à l’école.

A l’arrivée, elle se gara le plus près possible du portail et attendis de nombreuses minutes avant que la rue ne soit déserte. Elle se jeta alors hors de la voiture, les clés prêtes à la main, ouvrit le portail, traversa la cour et ouvrit sa classe. Son cœur battait à deux cent à l’heure, pourvu que personne ne l’ai vue, c’en serait fini de son poste. Elle scruta par la fenêtre pour apercevoir son mari, mais rien.

A dix heures, elle enfila la cagoule et s’installa à son bureau. Elle posa les bras sur le bureau et attendis. A peine installée, elle entendit la porte s’ouvrir, des pas s’approcher, son cœur battit de plus en plus fort. Toujours la même voix métallique :
« Salut belle salope, lève toi vite que je contemple le tableau. »

Solange s’exécuta, un long sifflement la félicita : « bravo, quelle tenue, je te laisserai cent euros en partant, c’est le prix d’une passe, non ? Tu as vraiment l’air d’une pute. Voici le programme, tu pourras me répondre comme tu voudras, toujours en finissant par monsieur, bien sur, et si tu as été bien sage, je te laisserai jusqu’à la rentrée. Tu es prête ?»
« Oui monsieur. »
« Alors faisons ton profil sexuel, fais-tu souvent l’amour avec ton mari ? »
« Une fois par semaine, au moins. » Une cinglante douleur lui traversa la fesse gauche, elle ne pu réprimer un cri et des larmes.
« Une fois par semaine qui ? »
« Oh pardon, une fois par semaine au moins, monsieur »
« Attention à la moindre faute la cravache retombera, là, elle a été amortie par la jupe. D’ailleurs enlève-la tout de suite. »
« Tout de suite monsieur. »

Elle se retrouva en bas et string en bas en sweet transparent en haut. Encore un peu plus pute.
« Tu lui fait des fellations ? »
« Oui souvent, monsieur. »
« Il éjacule dans ta bouche ? »
« Oui monsieur. »
« Tu avales le sperme ? »
« Oh non, je n’ai jamais pu. »
« Aïe, aïe, » la cravache venait de retomber sur l’autre fesse, « je m’excuse monsieur, vous me faites mal monsieur. »
« Tu étais prévenue. Ton mari t’as-t-il sodomisée, a-t-il éjaculé dans ton cul ? »
« Non monsieur, j’ai toujours refusé monsieur. »
« Bien voila le programme tu vas te déshabiller complètement, gardes tes talons et tes bas, tu vas ensuite descendre le zip de ma braguette, me préparer une belle érection et me faire une pipe jusqu’à ce que j’éjacule dans ta bouche, tu avaleras mon sperme. Tu es d’accord ? »

Solange réfléchit quelques secondes, le pire était arrivé, pourvu que son mari arrive tout de suite.
« Alors, ça viens, à genoux, la cravache va retomber. » Elle se déshabilla se mit à genoux : « Où êtes vous monsieur, approchez, monsieur. » Elle avança le bras droit et rencontra le bassin de l’homme ; elle descendit la fermeture éclair, sorti le sexe de son slip en tremblant, l’homme la repris : « Les putes ne se font pas prier, je veux la plus belle pipe de ma vie. » Solange pensa très fort à son mari, empoigna la verge et se mit à la caresser doucement, l’effet ne tarda pas, le sexe grossit dans sa main pour atteindre une taille fort respectable, un peu comme Gérôme pensa-t-elle. Après une seconde d’hésitation elle prit le sexe dans sa bouche en commença la fellation. Elle y alla de tout son cœur en pensant qu’il éjaculerait vite, ce qui ne manqua pas, elle était assez experte et son mari ne résistait pas non plus bien longtemps. Il éjacula abondamment. Solange prit une grande respiration, et, avec un haut le cœur, avala la semence. Elle était toute essoufflée et maudissait son mari, que faisait-il ?
« Ahhh, quel pied, la plus belle pipe de ma vie, bravo belle salope. Tu as apprécié»
« Non monsieur, je n’aime pas avaler. »
« Les préparatifs étant faits, nous allons passer aux choses sérieuses, mets tes mains derrière ton dos. » Elle s’exécuta sans réfléchir et se trouva prisonnière d’une paire de menottes.
« Maintenant tu vas t’allonger sur le ventre sur ton bureau. »
« Que voulez-vous faire monsieur ? »
« Le temps de récupérer une érection, je vais t’enculer belle salope.»

Solange n’y tint plus, elle hurla qu’elle en avait assez, qu’elle ne voulait plus continuer et qu’on avait été déjà bien trop loin, et tentait, en vain d’enlever la cagoule.
« Délivrez moi immédiatement ou je pousse des hurlements, ils attireront du monde. »

Une voix connue répondit : « Je crois que j’arrive à temps. » il enleva les menottes, arracha la cagoule, elle se trouva nez à nez avec son mari. Elle se jeta à son cou et se ravisant le regarda : « C’est toi depuis le début ? »
« Oui et j’ai passé de très bons moments. »
« Pas moi. »
« Menteuse, pas toujours. Tu me pardonneras ? »

L’immense soulagement qu’elle ressentait lui ôtait toute rancune.
« Oui mais tu ne perds rien pour attendre, je te rendrais la monnaie de ta pièce ; Mais je n’ai pas aimé la cravache. » Fit-elle en se massant les fesses, « au fait tu me doit cent euros pour la passe… »
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