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Magmen 1

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Lue : 6052 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/01/2012

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Magmen était présentée comme une agence haut-de-gamme, destinée à fournir des employés ayant un haut niveau d’instruction et de talent aux rares personnes qui pouvaient s’offrir leurs services. Le siège de cette agence se situait en périphérie de Paris. Il s’agissait d’un bâtiment d’une hauteur surprenante et à la pointe du modernisme.

Gabrielle, lycéenne, contempla un instant le bâtiment. Il y a deux mois, elle avait envoyé une lettre à l’agence en postulant (sans trop y croire) pour un travail de vacances. A sa grande surprise elle avait reçu une réponse positive par mail moins de cinq jours après. Les vacances d’été venaient de commencer et Gabrielle devait se rendre à l’agence pour subir une formation d’une semaine avant d’être « mise sur le marché ».

Elle s’avança donc vers les portes automatiques et entra dans le bâtiment.
Le hall était très propre et dépouillé, il n’y avait aucune indication. Face à la porte, il y avait un bureau d’accueil derrière lequel se trouvait une femme blonde au sourire commercial et au décolleté plongeant. Gabrielle se dirigea vers elle.

-Bonjour, je cherche le bureau de Mademoiselle Mercier.

La blonde insipide perdit presque instantanément son sourire, constatant qu’elle avait affaire à l’un des futurs employés de Magmen et non à une cliente. Elle répondit assez sèchement :

-Second sous-sol.

Gabrielle se dirigea donc vers un des trois ascenseurs et l’appela. Pendant qu’elle attendait que la porte s’ouvre, un homme sortit de l’ascenseur voisin et se dirigea vers l’hôtesse d’accueil. Il avait une quarantaine d’année, les cheveux bruns. Il portait un costume sur mesure qui mettait en valeur ses épaules carrées et sa stature. Il avait l’air sûr de lui. Gabrielle se dit qu’il s’agissait sans doute d’un grand patron de Magmen ou d’un riche client.
Pendant qu’il passait derrière la femme blonde, Gabrielle s’engouffra dans l’ascenseur qu’il venait de quitter et pressa le bouton -2. Alors que les portes se fermaient, elle croisa le regard du bel homme en costume et au dernier instant elle cru voir ses mains se refermer fermement sur les énormes seins de la femme de l’accueil.

Elle resta bouche bée un instant puis se dit qu’elle avait probablement mal vu. La porte s’ouvrit sur le deuxième sous-sol, Gabrielle fit un pas dehors.

Elle aurait alors pu se demander pourquoi le bureau d’un formateur se trouvait en dessous du niveau du sol, mais cela ne lui sembla pas si déplacé que ça : tout était propre, moderne et lumineux. On n’aurait pas été mieux au plus haut étage du bâtiment.

La lycéenne marcha le long du couloir, sur la première porte, un panonceau annonçait « Mlle Alice Mercier, responsable du secteur spécial ». Gabrielle se demanda ce que signifiait « secteur spécial », elle n’était pas au courant de la nature du travail qu’elle allait devoir accomplir, on lui avait seulement parlé d’une excellente rémunération.
Elle frappa quelques coups timides à la porte et une voix un peu cassée mais dynamique et joyeuse lui répondit :

-Entrez ! Entrez !

Gabrielle poussa la porte et entra dans une pièce de dimensions plutôt réduites. La pièce n’était meublée que d’un bureau moderne en verre derrière lequel se tenait une femme habillée et maquillée avec goût. Elle avait de courts cheveux blonds qui semblaient naturellement éclatés avec fantaisie, en réalité le travail réalisé avait du demander une certaine patience.
Le résultat était éblouissant, son magnifique visage était dégagé et on ne pouvait que tomber sous le charme de ses yeux, de grands yeux verts en amande plissés aux coins. Des yeux perçant qui vous mettent à jour et semblent vous déshabiller d’un coup d’œil.

Elle se leva et vint serrer la main de la nouvelle venue avec un grand sourire.

-Bonjour, tu dois être Gabrielle, fit-elle en adoptant un ton familier.

Celle-ci hocha la tête pour confirmer.

-Je suis Alice Mercier. Bien, je vais te montrer où enfiler ta tenue de travail et après je t’expliquerais en quoi consiste le job.

Gabrielle acquiesça et suivit la femme au fond du couloir. Mlle Mercier ouvrit la porte des vestiaires (une pièce meublée d'un banc qui s'ouvrait au fond sur des douches) et fit signe à Gabrielle d’entrer. Tandis que cette dernière obéissait, Mlle Mercier la détailla du regard de haut en bas : la jeune brune portait une chemise à carreau laissant paraître la naissance de ses seins, son short en jean révélait de longues jambes galbées. La jeune fille serait parfaite pour le travail, la section spéciale manquait de chair fraîche ces dernier temps...

-Mets-toi en sous-vêtements, je vais chercher quelqu'un qui prendra tes mensurations et les côtes pour ta tenue de travail, je reviens tout de suite!

Mlle Mercier sortit du vestiaire, laissant seule la jeune fille. Celle-ci était impressionnée par le standing de l'entreprise: du sur-mesure pour chaque employé! Elle se demanda si elle avait les qualités nécessaires pour travailler ici. Malgré ses doutes elle enleva ses spartiates à talons, déboutonna sa chemise et retira son short. Elle se regarda un moment dans le miroir accroché au mur: sa peau d'ambre ne présentait aucun défaut, ses seins étaient petits, ronds et fermes, sous la douce peau de son ventre plat on devinait des abdominaux bien développés, les fesses musclée que suggéraient sa petite culotte moulante se prolongeaient en longues jambes au galbe parfait.

Mlle Mercier revint quelques minutes plus tard, accompagnée par une grande femme aux yeux rieurs et à la peau d'ébène.

-Salut! lança-t-elle. Moi c'est Delphine!

Gabrielle serra la main qu'elle lui tendait:

-Enchantée...

Delphine lui sourit de toutes ses dents. Elle posa la mallette qu'elle tenait sur le banc et l'ouvrit, elle en sortit un mètre ruban.

-Gabrielle, tu peux te retourner vers le mur s'il-te-plaît?

La jeune fille s'exécuta. Quelques instants plus tard, elle sentit Delphine glisser le mètre autour de son buste, effleurant ses seins au travers de son soutien-gorge avec ses mains chaudes et assurées. Gabrielle frissonna. Delphine fit ensuite glisser le mètre ruban autour de la taille de la jeune fille. Celle-ci sentait seulement le doux frottement des mains de Delphine sur sa peau, elle ne pouvait la voir et cela la troublait.
Mlle Mercier entra dans son champ de vision, elle s'approcha d'elle avec une expression brillante dans le regard. Une fois très proche de Gabrielle, Mlle Mercier posa ses mains autour de son visage et plaqua ses lèvres sur celles de la jeune fille. Celle-ci voulut lancer un petit cri de surprise mais le baiser que lui donnait la responsable du secteur spécial l'en empêcha.

-Gabrielle, calmes-toi, tu devrais plutôt profiter de la superbe bouche de Mademoiselle Mercier! Tu pourras rarement embrasser une déesse comme elle!

Tandis qu'elle disait cela, les mains de Delphine glissèrent sur la peau du ventre de sa jeune proie puis remontèrent vers sa poitrine, glissant sous le soutien-gorge et se refermant sur ses seins fermes de jeune femme.

Gabrielle essaya de se libérer des mains de ses douces tortionnaires mais celles-ci la retinrent fermement tout en continuant à lui infliger leur doux châtiment. Delphine laissa les seins aux bons soins de Mlle Mercier et retira la culotte de la jeune fille dévoilant un petit minou soigneusement épilé.

-Hum, Alice, regardez-moi ça! Cette jeune chatte en chaleur sait comment attirer les dards de ces Messieurs! Elle a surement du écarter les cuisses plus d'une fois dans les toilettes du lycée! T'es pas du genre farouche ma mignonne hein?

Les joues de la lycéenne s'empourprèrent, Delphine ne pensait pas si bien dire: Lucas avait déjà baisée la jeune fille plus une fois dans les toilette du lycée, pendant une période, ils se masturbaient même mutuellement au beau milieu des cours! C'était également Lucas qui avait insisté pour qu'elle s'épile le sexe.
Le souvenir de Lucas et de ses ébats avec elle lui fit remonter un étrange sentiment: sa température corporelle sembla s'élever d'un coup.

-Vous-savez quoi Alice, on aura même pas à beaucoup essayer de la convaincre de travailler dans la section spéciale, elle mouille déjà alors que je n'ai pas encore touché son petit abricot!

Gabrielle serra les jambes pour tenter de masquer l'émoi qu'avait fait surgir la pensée de son ex en elle. Alice cessa de caresser les seins de la jeune fille et retira complètement le soutien-gorge. Ses tétons pointaient, bien durs. Mlle Mercier fit s'allonger la jeune fille sur le banc du vestiaire et lui écarta les jambes. Elle retira ses propres habits dévoilant un corps fin, gracieux et une peau d'albâtre. Elle glissa sa tête entre les cuisses de la lycéenne qui gémit lorsque les lèvres de la femme se posèrent sur son sexe, l'embrassant doucement. Les cheveux de la femme frôlaient parfois la peau nue de Gabrielle déclenchant chez elle de petits frissons incontrôlés. Mlle Mercier caressa le sexe de la jeune fille tout en la léchant avec tendresse.

Gabrielle se rendit alors compte que plus personne ne la retenait de crier depuis un moment et qu'elle n'avait même pas encore songé à appeler à l'aide. Les caresses expertes de la responsable de la section spéciale effaçaient en elle toute volonté de mettre fin à cet instant. Elle restait de son plein gré dans cette étrange situation.
Tandis que le plaisir montait en elle, Delphine retourna auprès de sa mallette et en sortit des papiers, elle retourna près de la jeune fille et son amante attentionnée et demanda à cette dernière en désignant les papiers:

-Tu crois que la fille est prête pour ça?

-Elle est à point! répondit Alice Mercier avec un petit sourire en arrêtant ses caresses.

Gabrielle lui demanda la voix tremblante de continuer, de ne pas s'arrêter, mais la femme attrapa les papiers que lui tendait la grande femme noire et se tourna vers la jeune fille:

-Gabrielle, ceci est ton contrat de travail. Si tu signes, je continuerais à m'occuper de toi, sinon tu devras m'oublier, ainsi que Delphine.

-Tout ce que vous voudrez tant que vous ne vous arrêtez surtout pas! implora Gabrielle d'une voix faible en frottant ses cuisses l'une contre l'autre impatiemment.

-D'abord tu dois savoir que si tu signes, tu t'engages à offrir ton corps à la section spéciale avec tout ce que cela implique, ce n'est pas une décision à prendre à la légère...personne ne te force à le faire.

Gabrielle hocha la tête positivement, trop obsédée par la bouche de la responsable de section spéciale pour discuter.
Delphine lui donna un stylo pour qu'elle ratifie le contrat et Alice s'installa à nouveau entre les jambes de la jeune fille, reprenant là où elle s'était arrêtée.

Gabrielle ferma les yeux, sans penser un seul instant à regretter son geste tant le plaisir que lui apportait Mlle Mercier était grand. Il lui fallut quelques minutes seulement pour jouir. Mlle Mercier sourit de sa propre efficacité à donner du plaisir et se glissa au niveau de la bouche de la jeune fille pour l'embrasser avec tendresse.

-Ma chérie, rappelles-toi bien de ce moment, ce que tu vas subir maintenant risque d'être bien moins doux...

Gabrielle était trop fatiguée pour répondre. Elles restèrent l'une dans les bras de l'autre un bon moment tandis que Delphine quittait la pièce. Gabrielle essayait de mettre ses idées en ordres, tout s'était enchaîné avec une rapidité effrayante. Elle espérait qu'elle n'aurait pas à regretter sa signature. Tandis qu'elle reprenait ses esprit, la dureté du banc la frappa, elle se redressa, Mlle Mercier était déjà debout, habillée.

-Bien, suis-moi!

Gabrielle fit mine de se rhabiller mais la responsable l'en dissuada d'un geste.

-Nue. Ne t'en fais pas, l'étage n'est accessible qu'aux membres de la section spéciale...

Gabrielle suivit donc Mlle Mercier, nue. Celle-ci ouvrit la porte en face du vestiaire et entra. Gabrielle la suivit. Au premier coup d'œil, Gabrielle se cru dans une salle de sport. La réalité était un peu différente...

La pièce était pleine d'instruments étranges: des chaînes étaient accrochée aux murs, un gigantesque lit occupait à lui seul le quart de la pièce (qui devait bien mesurer la taille de deux terrains de tennis), sur des étagères trônaient des godes de toutes les tailles et les formes imaginables, des objets à l'utilité mystérieuse étaient répartis partout dans la pièce. Le long d'un mur, il y avait plusieurs petits box avec des couchettes. Toute la pièce était animée d'une étrange activité: de nombreuses personnes utilisaient le matériel, tous des hommes et des femmes aux corps de rêves.
Le regard de Gabrielle se posa sur le groupe de personne qui s'enlaçaient sur lit central, dans un ballet de caresses, de baisers, de pénétrations, de fellations, de masturbation...

Mlle Mercier posa une main sur l'épaule de la jeune fille qui restait muette de surprise:

-Gabrielle...avant tout tu dois savoir que le contrat que tu as signé est seulement là pour la forme. Tu peux encore demander à ce que l'on arrête tout ça. Et même si tu acceptes de continuer, à tout moment tu pourras dire stop. Ton corps va être utilisé, tu vas peut-être parfois être choquée. Il faut que tu le saches.

Gabrielle regarda une fille qui devait avoir seulement un an de plus qu'elle se faire prendre la chatte et le cul par deux hommes aux verges impressionnantes. La femme avait une expression d'extase totale. Les yeux mi-clos, elle gémissait à chaque fois que l'un de ses cavaliers enfonçait sa queue au plus profond de ses entrailles. La jeune spectatrice se mordit la lèvre inférieure. Elle se tourna vers Mlle Mercier, une expression déterminée dans les yeux:

-Je veux continuer.

Mlle Mercier la dévisagea un moment, comme pour savoir si la jeune fille était vraiment prête, puis elle sourit.

-Bien. A partir de maintenant tu m'appelleras uniquement Maîtresse Alice ou Mademoiselle Alice. Tu devras obéir à tout ordre de ma part ou de la part d'un membre de la section ayant finit sa... « formation ». Compris?

-Oui, Mademoiselle Alice.

-Parfait...je crois qu'il est temps de te présenter à quelques uns de ces messieurs, fit Mlle Mercier en désignant un trio de jeunes hommes qui avaient arrêté leurs activités pour détailler le corps de la nouvelle venue.

Gabrielle suivit sa Maîtresse auprès des beaux jeunes hommes nus qui la contemplaient. Ils étaient tous assez musclés, leur peau était bronzée, leurs visages étaient harmonieux: tous de superbes jeunes hommes taillés pour le plaisir des yeux.
Lorsque Mademoiselle Alice arriva près d'eux, ils baissèrent la tête d'un air soumis.

-Messieurs, voici une nouvelle fille, j'aimerais que vous commenciez sa séance d'initiation.

-Bien, Mademoiselle Alice, répondit l'un des Apollons.

Le jeune homme prit la main de la jeune fille et la conduisit vers un box. Gabrielle monta à quatre-pattes sur la couchette, comme on le lui demandait. Elle sentit une main douce et ferme lui caresser le sexe mais n'eut pas le temps de s'en inquiéter: un jeune homme au visage d'ange l'embrassa brièvement avant de mettre sa verge au niveau sa bouche.
Comprenant ce que l'on attendait d'elle, elle se saisit de la queue de l' « ange » et commença à la branler délicatement. Puis, Gabrielle approcha sa bouche et se mis à sucer le jeune homme comme Lucas le lui avait appris. Elle parcourut la hampe de haut en bas avec sa langue, s'attardant à la base du gland, puis ouvrit la bouche pour enfoncer le beau membre autant que possible, faisant gémir son bel amant. Pendant ce temps, les caresses de la main sur son sexe furent bientôt remplacées par des coups de langues précis et efficaces qui firent monter le désir chez la jeune fille.

Le beau garçon qui subissait une divine fellation laissa la place à la queue d'un nouvel éphèbe, puis il disparut du champ de vision de Gabrielle qui ressentit bientôt le sexe de son « ange » forcé l'entrée de son petit minou avec douceur. Elle le sentit s'enfoncer doucement en elle, écartant les parois de sa chatte avec son puissant sexe.

-Elle est bien serrée...ça doit faire plusieurs semaines qu'elle ne s'est pas prise une belle queue, hein ma belle?

Gabrielle n'avait pas couché avec qui que ce soit depuis que Lucas l'avait quittée. Elle lança un petit cri, elle se sentait écartelée par la longue bite qui s'enfonçait profondément en elle. L' « ange » commença un doux mouvement de va-et-vient, faisant gémir la belle lycéenne. Tandis que le mouvement accélérait, Gabrielle se mit à sucer les deux verges qui se présentaient devant sa bouche, déclenchant de long râles de plaisirs chez ses beaux partenaires. L' « ange » lima la chatte de la jeune fille jusqu'à sentir la jouissance approcher, il se retira avant de jouir et approcha de Mademoiselle Alice qui observait le spectacle avec un sourire satisfait.

Gabrielle ne put voir ce que son ange faisait avec la femme qui était désormais sa maîtresse car son attention fut détournée par la queue qui quitta sa bouche pour remplir son sexe avec violence. Son nouveau partenaire la saillait violemment, sa respiration s'accéléra et elle eut bientôt du mal à encaisser les coups de bite et à sucer le dernier jeune homme en même temps.
Lorsque l'éphèbe qui lui prenait la chatte avec vigueur fut sur le point de jouir, il se retira et rejoint son copain à la gueule d'ange auprès de Mlle Alice.

Le jeune homme que Gabrielle suçait combla bientôt le vide dans la petite chatte chaude. La lycéenne fut pilonnée par le troisième sexe de la journée, cela faisait beaucoup et elle se serait effondrée si le jeune homme ne la tenait pas par la taille pour s'enfoncer plus profondément en elle.
Elle jouit en quelques instants sous l'assaut des mouvements experts de son partenaire.
Celui-ci laissa son dard en elle le temps que Mademoiselle Alice vienne les rejoindre. Cette dernière prit en bouche le sexe du jeune homme et le suça jusqu'à ce qu'il jouisse dans un verre à pied, où se trouvait déjà le foutre des deux autres.

Gabrielle devina ce qu'on allait lui demander.
Elle s'approcha de Mademoiselle Alice qui lui tendit le verre. Gabrielle contempla un instant l'épais liquide, assez repoussant à regarder, elle profita du fait de n'avoir pas encore repris ses esprits pour avaler le sperme chaud sans trop réfléchir.

Mademoiselle Alice en fut pleinement satisfaite, sa jeune élève n'en laissa pas une goutte. La formation serait terminée largement dans les temps. D'ici une semaine, Gabrielle, employée de Magmen, irait promulguer ses services à de riches clients et deviendrait une courtisane de haut standing...

(La suite dans Magmen II)
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Histoire de Ange

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