Maman en plein ménage 1

Magda fait le ménage, elle est vêtue d'un t-shirt très large qui lui arrive à mi-cuisses, il bâille fortement au niveau de la poitrine, à chacun des mouvements, il dévoile une partie de ses lobes mammaires. Très volontaire, cette femme mûre ne rechigne pas à la tâche. Son fils Grégoire, étudiant à la fac, est installé devant son bureau, il est encore en short de nuit, il révise ses cours.
Lorsque sa maman se penche, ses seins ont tendance à vouloir s'échappés du t-shirt trop large, il est évident que la maman ne porte pas de sous-vêtements. Le bougre l'a vite remarqué, il cesse d'étudier et se met à épier chaque mouvement de sa maman. Les seins qui ballotent dans le tissu, fait monter la tension dans le corps de Grégoire. Magda doit monter sur une chaise pour nettoyer le dessus d'un meuble, malgré cela, elle doit se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre son but. Grégoire écarquille les yeux, le t-shirt de sa maman remonte inexorablement sur le haut de ses cuisses, et découvre une bonne partie de ses lobes fessiers.


Grégoire sursaute, vicieusement, mais discrètement, il se penche pour regarder sous le t-shirt de sa maman. Ses yeux se figent, il voit nettement la petite rosette ridée, et une partie de la toison pubienne. Sa verge se dresse lentement, plus sa maman se débat sur la chaise, plus il voit son intimité. Il soupire, se lève doucement et s'approche de sa maman, puis, lui pose ses mains sur le haut de ses cuisses. Magda sursaute, elle regarde son fils sans changer de position. Le coquin lui dit en souriant :

-Maman, tu prends de risques, tu peux tomber perchée si haut !

La maman lui répond en riant :

-Eh bien maintenant, je ne risque plus rien puisque tu es là !

Il appuie tendrement sa tête contre les fesses de sa maman, sa bouche frôle un lobe. Il lui donne un petit baiser très appuyé. La maman sursaute, elle ne pensait pas que son t-shirt soit si remonté. Elle dit :

-Oh le petit cochon, profite de la situation inconfortable de sa maman pour lui embrasser les fesses !

Grégoire réitère le baiser, puis glisse ses mains sous le t-shirt et les accrochent le plus haut possible sur le devant les cuisses de sa maman. Il plaque les fesses de sa maman sur son visage et les embrasse de nombreuses fois. La maman surprise de l'audace de son fils tente de s'échapper. Mais plus elle s'agite, plus son t-shirt remonte. Elle doit se raccrocher au meuble pour ne pas chuter. Grégoire ne se retient plus, sa langue glisse plusieurs fois dans le sillon qui sépare les lobes fessiers. Magda se cabre et dit :

-Grégoire, tu deviens fou, laisse-moi descendre mon chéri, et cesse ce petit jeu qui ne me plait pas du tout !

Le bougre ne l'écoute pas, sa langue tourne sur l'anus de sa maman, qui se raidit en rageant :

-Arrête Grégoire, c'est insensé, tu débloques ma parole !

Le coquin ne répond pas et appuie encore sa langue plus fortement sur l'œillet plissé. Magda se débat comme elle le peut, le risque de chute est présent. La pointe de la langue s'insère avec peine dans son anus et le fouille le plus loin possible. La maman outrée serre les dents, son corps se met à trembler. Sans comprendre pourquoi sa chatte se met à suinter. Elle serre les cuisses, pour contenir la cyprine qui s'échappe de sa vulve. Elle se cabre et dit avec des larmes plein les yeux :

-Grégoire, tu es un monstre, arrêtes je t'en prie !

Mais le bougre enfonce encore un peu plus sa langue dans le temple anal. La maman se crispe, son corps est secoué par des frémissements intenses. Elle se mord la main pour ne pas hurler, sa chatte déborde, un petit filet de cyprines s'écoule le long de ses cuisses. Grégoire soudain retourne sa maman, elle manque de tomber, elle parvient à se rattraper tant bien que mal au meuble. Il plaque sa bouche sur la vulve débordante et enfonce profondément la langue dans le conduit brulant. Il ne faut pas longtemps pour que sa maman se cabre et jouit en grognant de plaisir. Grégoire aspire le flot qui s'écoule de la vulve en feu, le bruit de succion et bruyant. Enfin, il desserre son étau, pour que sa maman puisse descendre de la chaise. Elle respire fortement, ses yeux ne peuvent retenir ses larmes. Grégoire l'enlace et la serre étroitement contre lui, et lui couvre le visage de baisers. Le coquin n'omet pas les lèvres tremblantes de sa maman, qui ne dit pas un mot. Elle n'ose pas regarder son fils, elle a trop honte de ce qui vient de se passer. Elle tremble, elle appuie sa tête contre l'épaule de son fils en snifant bruyamment, elle dit entre deux reniflements :

-Tu es un voyou, sans cœur qui profite de moi, tu devrais avoir honte !

Les regards se croisent, les visages sont si prêts l'un de l'autre que les souffles se mêlent, les lèvres se frôlent dangereusement. Grégoire sent battre le cœur de sa maman contre son torse, sa poitrine se soulève à un rythme anormal. Les yeux ne se quittent pas, Grégoire ondule du bassin, les corps se frottent l'un contre l'autre sans brusquerie. Il pose ses mains sur les fesses de sa maman et la tire fortement contre lui. Elle sent contre son ventre la verge tendue. Elle ravale sa salive, mécaniquement, sans le vouloir, elle agite doucement son bassin. Grégoire regarde sa maman amoureusement et lui dit tendrement :

-Ma petite maman, je te demande pardon à la vue de tes cuisses nues, j'ai perdu la raison, tu es si belle,
que cela a été plus fort que moi !

Magda regarde son fils avec tendresse et répond en poussant un long soupir :

- N'y pensons plus mon chéri, mais tu devrais te contrôler, tu m'as mise dans un tel état !

Il lui sourit, et ironiquement réplique :

-Je sais maman, tu en as joui comme une dingue !

Il approche ses lèvres de celles de sa maman, et fait glisser la pointe de sa langue sur les lobes charnus. La maman a un geste de recul, elle ravale sa salive et dit :

-Sois sage mon chéri, tu en as déjà assez fait aujourd'hui !

Il la regarde et lui demande en souriant :

-Je crois que ma petite salope de maman a apprécié ma langue dans son cratère !

Magda baisse les yeux et répond :

-Tu es grand fou, oui pour être honnête, le petit combat que nous avons mené sur la chaise m'a excité, je l'avoue, c'est pour cela que ma jouissance a été si violente !

Grégoire s'esclaffe en souriant :

-Ouah, j'ai réussi à t'exciter, hum alors allons plus loin ma petite maman chérie !

Elle le regarde en fronçant les sourcils, elle dit :

-Tu veux dire quoi par allons plus loin ?

Grégoire répond :

Ne fais pas l'innocente ma petite maman salope, tu sais très bien ce que ça veut dire !

Elle hausse les épaules et réplique :

-Et pourquoi maman salope ?


Grégoire éclate de rire et répond :


-Mais parce que tu vas être ma salope ma petite maman !


Elle écarquille les yeux avec inquiétude, et dit :


-Tu veux que nous fassions l'amour, mais tu n'y penses pas sérieusement, j'ai un mari, je crois que tu l'ignores !

-Oh oui, je le pense et nous allons le faire comme des bêtes, tu en as envie autan que moi, je sais que papa à une maitresse et qu'il te délaisse depuis longtemps !



Magda soupire profondément, baise la tête, elle sait que son fils a raison, elle ne répond pas à la question. Grégoire lui relève le menton avec sa main, et dépose un baiser brulant sur les lèvres de sa maman. Sans chercher plus loin, elle le prend par le cou, et joint ses lèvres aux siennes. Le baiser est très brulant, les langues se nouent, les souffles sont courts. Le cœur de Magda bat tellement qu'elle défaille. La queue de son fils qui voyage sur son ventre, la rend fébrile. Elle prend l'initiative un instant, elle passe une main entre les deux ventres et saisit la verge gonflée à travers le tissu. Elle la presse plusieurs fois, en soupirant, elle réussit à glisser sa main dans le short et à caresser l'engin tendu d'une main habile.

À suivre.