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Mari volage et cocu 3

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Lue : 1566 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2020

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Pendant le confinement, mon mari continuait un peu à communiquer avec elle, avec de rare texto, car son mari était présent à la maison, elle profitait des moments ou elle le voyait dehors de sa fenêtre à l'étage, dés qu'il commençait à revenir, elle rangeait son portable après l'avoir éteint.

Son mari ne la baisait pas plus que quand il partait à la chasse, à 200 km et avec une autre, elle s'y était faite et ça l'arrangeait bien, la baise pépère, ou son mari se vidait, elle avait goûté à beaucoup mieux, les deux gardes étaient à l'abstinence visuelle car elle ne pouvait pas se montrer à la fenêtre et eux ne voulaient pas être vus par lui pendant qu'ils la matait, ils avaient trop à perdre.

Quand il y a eu le déconfinement partiel, et qu'il a pu reprendre le boulot, avec mon mari elle a pu communiquer plus tranquillement, mon mari lui a dit de continuer avec les gardes, elle lui a répondu que c'était déjà fait depuis le matin même, elle comme eux n'ont pas traînés, sans se donner rendez-vous, tous étaient ponctuels.

Les colis ont repris aussi, ainsi que sa gentillesse envers eux, dans les colis, il y avait toujours 2 bouteilles de vin médiocre, du genre de ceux qu'ils boivent habituellement le soir et un colis de lingerie ou de dessin pour qu'elle justifie qu'elle s'occupe.

Les deux gardes ne diraient sûrement pas à son mari, qu'elle reçoit de la lingerie, trop peur de perdre le spectacle, chaque semaine, un colis arrivait, pour eux le rêve, le pinard et le spectacle, ils avaient juste à prendre le colis du facteur et ensuite elle allait le chercher devant leur porte, au début, ils ne la faisaient pas entrer à l'intérieur, le bordel devait être beau, jusqu’à dernièrement ou elle est surprise qu'ils lui propose, elle dit non et repart avec son colis.

Plusieurs fois ils font cette proposition et finissent par lui dire qu'ils font le ménage maintenant, que c'est rangés et propre, venez voir au moins lui ont ils dit, ne voulant pas vexer, elle regarde du pas-de-porte et est surprise, ce n'est pas le luxe, mais de ce qu'elle a déjà vu, il y a une très nette amélioration, même si cela sent fortement la lavande.

Déjà eux-mêmes avaient changé, cela était dû au fait que son mari les avait engueulé en leur disant de se faire propres, de se raser, se laver les cheveux en n'imaginant pas comment est le reste, cela devant elle, afin de les vexer encore plus, elle profite de l'occasion offerte pour lui dire devant eux, laisse les, en ce moment personne ne peut aller au coiffeur, je devais y aller aussi et on peut pas sortir.

Il lui dit que si elle avait les cheveux comme ça, il y foutrait le feu, ne voulant pas non plus trop prendre leur défense, elle lui dit de venir, de rentrer, il rentre en passant devant et elle croise leur regard désolé de la scène et le leur de reconnaissance, ce dont ils lui diront quand il a repris le travail, ce qui fait que maintenant, ils ont renoués avec le rasoir et le savon surtout depuis qu'elle leur avait fait un compliment en leur disant que ça les changeait et qu'ils étaient mieux ainsi.

Les colis ont continué, les vacances sont arrivées, après des tests, nous sommes partis et eux aussi, en famille, au retour, il les a obligé en leur payant, de se faire tester, eux également, pour être rassuré, lui surtout, là dessus, je ne dis rien, entre copain, nous avons fait la même chose, même si cela n'est pas fiable à 100% c'est toujours mieux que rien, tout en étant un con, il a la qualité d'être prudent.

Les gardes ont eux peur d'être positif et d'être virés ou cloîtrés, la première semaine les colis on reprit, et la, c'est dans leur salle qui sert également d'entrée que le colis a été ouvert, elle leur avait dit qu'elle risquait d'en recevoir un de colis, elle pense qu'ils ont arrangé la pièce pour cette occasion, elle les a complimenté encore et leur a dit, "mais c'est bien comme ca, vous devez avoir trouvé une petite copine, cachottier".

Pouffant, ils répondent que ça risque pas, ne s'éternisant pas sur le sujet, elle remarque aussi qu'ils ne sentent pas mauvais comme les premières fois ou même dehors leur transpiration n'était pas du jour, maintenant il est vrai que s'ils sont "propres", cela ne fait pas d'eux des boyfriend, comme elle dit, ils sont devenus approchables et presque sympathique.

Leur mission de chien de garde, n'aidait pas au départ à ce qu'elle les porte dans son cœur, mais comme mon mari dit, se sont des pauvres types, qu'il tient en leur offrant un toit contre quelques travaux d'entretien, en même temps, ils gardent à bon compte la propriété en ayant un œil sur sa femme, de ce côté-là, il est plus que gâté, car ils sont zélés à l'extrême, ils ont les 2 yeux d'ouvert et grand ouvert.

Comme mon mari lui disait, elle fait tout pour les mettre dans sa poche, la journée, elle se promène sur la pelouse et entre les fruitiers, c'est justement à ce moment qu'eux aussi ont quelque chose à faire a cet endroit, elle discute avec, ils la remercient encore pour ce qu'elle fait pour eux, les cadeaux et le fait qu'elle ne dit rien à son mari, qu'elle peut demander le service qu'elle veut, sortant en robe courte et légère, ils n'en perdent pas une miette, la reluquant discrètement.

Mettant mon mari au courant de tout ça, il décide de passer à la vitesse supérieure, le colis suivant contient des dessous, ils ouvrent le colis, comme mon mari lui a dit, dés l'ouverture elle prend le petit paquet en disant, "ça, c'est pour moi, le reste, c'est pour vous", puis s'en retourne rapidement dans la maison, eux sortent leur bouteille et découvrent sous l'une d'elles, un déshabillé autant sexy que transparent, avec une carte disant, excusez-nous, nous avons fermé le paquet en oubliant d'y mettre ce cadeau commercial.

Elle attend 10 bonnes minutes et ils frappent tous les 2 à la porte, avec un air gêné en montrant le déshabillé, indiquant qu'il était dans les papiers d'emballage et ne s'en sont pas aperçu tout de suite, que quand ils ont voulu aller jeter les emballages comme prévu, dans une poubelle au village afin que son mari ne découvre pas cela dans la leur, ce qui est faut, c'était sous les bouteilles justement pour qu'ils voient cela soit en sa présence, soit aussitôt les bouteilles en main, mais ils n'ont pas voulu le dire.

Ils ont dû tourner le déshabillé dans tous les sens, l'imaginant à l'intérieur, faisant la femme prude, elle fait ho mon dieu en leur arrachant des mains et disant, j'ai jamais demandé cela, peu fufute, l'un d'eux lui dit qu'ils avaient déjà fermé le paquet quand ils s'en sont aperçu, montrant qu'en plus ils ont lu la carte, elle leur dit, vous n'avez rien vu surtout, ils répondent, ne craignez rien, jamais on ne vous dénoncera là dessus, vous êtes trop gentille avec nous.

À l'heure habituelle, une heure avant que son mari n'arrive, elle était toute excitée de savoir qu'ils vont la mater là dedans, elle ferme les volets et eux savent ce que cela signifie, que leur spectacle va commencer, avant ils venaient chacun leur tour, maintenant, ce sont les 2 en même temps.

Dans la pièce, elle essaie les dessous, bien souvent, ce sont les mêmes qu'elle a redonné à mon mari pour qu'il les remette dans un paquet, ils n'y voient que du feu, elle essai ensuite le déshabillé, faisant parfois un peu de repassage pour justifier de rester sur place, en principe elle a une femme de ménage qui fait tout ça, mais ils sont plus à la contempler qu'à réfléchir à ce qu'elle fait.

Sont ils plus confiant, et prennent ils moins de précaution, ou est ce le fait qu'elle les sait derrière, elle dit qu'elle les entends un tout petit peu, en tout cas, elle fait celle qui ne se doute de rien, tous les jours, sauf quant il pleut, elle sort dehors, et ils viennent toujours avec un mobile, elle a toujours une robe courte et un décolleté ou les boutons ne sont pas tous fermés.

Leur comportement est rapporté à mon mari dans le détail, leur dévouement, leur complicité, leur silence, il décide encore de franchir une étape, mon mari ne me dit pas tout, mais je l'ai appris par elle, qui n'a pas dit oui de suite, pour ce que je raconte ci-dessous.

Un colis plus gros arrive le mercredi, dedans, un carton bleu et un autre rose, l'un ouvre le carton marron, l'emballage du transport, elle dit, cette fois-ci, je crois que ce n'est pas du vin, mais des échantillons de cognac, en discutant avec eux, ils avaient indiqués aimer cela, mais que c'était cher.

Sitôt ouvert, elle prend le carton rose en disant, "ha ça c'est le mien, ouvrez le votre, pour voir si c'est bien du cognac", elle fait celle qui attend, et dans leur paquet, ils découvrent un gode de bonne taille, elle se jette sur le paquet en le refermant et criant mon dieu, quels imbéciles, ils sont sans voix, elle leur donne leur carton et elle s'en va en pestant.

Ils ne font rien, ne disent rien, elle ne sait pas ce qu'ils se sont dit après le soir elle recommence les séances d'essayage de dessous, et le lendemain en se promenant, ils la rejoignent et elle leur dit, "je voudrais vous dire, enfin pour hier, je", avant qu'elle termine sa phrase, ils lui disent, "madame, on n'a rien vu et vous avez le droit de faire ce que vous voulez, on ne lui parlera jamais de ça, on est avec vous, on est de votre côté".

Elle leur demande, de façon mielleuse, "vous êtes gentils aussi, je n'aurais jamais cru ça de votre part, mais il faut dire que mon mari ne vous a pas décrit à votre avantage, voilà, si mettons, je recevais une amie, en principe vous devez l'appeler pour le lui dire, mais je voudrais que vous le gardiez pour vous, ne pas lui dire, vous comprenez, si vous lui dites, il faudra qu'il vienne pour voir qui c'est, et avec lui, personne n'est à l'aise".

Il se regardent et demandent si elle sera seule cette amie, sans son mari, elle répond que oui, ils se regardent à nouveau, réfléchissent, posent des questions, comme ils ne disent pas non, elle fait l'article, "vous verrez mon amie est très sympathique, très jolie également, vous aurez plaisir à la voir.

Ils lui disent, après s'être regardé à nouveau, si vous recevez une femme, ils nous engueulera de ne pas l'avoir prévenu aussitôt, si c'est un homme et qu'on l'a laissé entré ou qu'on ne l'a pas prévenu non plus, là, c'est direct notre valise qu'on devra faire avec tout ce qui s'en suivra.

Ne craignez rien dit-elle, vous vous doutez que je ne sors que quand il m'emmène et il me surveille aussi, alors si un homme me parlait, il serait aussitôt à coté de moi pour prendre part à la conversation, celui-ci aurait bien du mal à me séduire, oui madame disent-ils, votre mari doit être très jaloux alors que lui il......

Se reprenant aussitôt sur la gaffe qu'il allait faire, il continue en disant, lui, il n'a aucune raison d'y être, faisant celle qui n'y a pas porté attention, elle change de sujet et dit qu'elle a à faire puis rentre, elle envoie un texto à mon mari pour lui dire qu'il avait raison, que les gardes savent que son mari va batifoler.

Mon mari, lui demande si elle est libre pour être appelée et après sa réponse positive, il l'appelle, mon mari la conseille et lui dit quoi faire, elle retourne les voir avec un bouton défait en plus à sa robe, ils sont étonnés, car il n'y a pas de colis à venir chercher, et elle leur dit, vous savez tout à l'heure, vous vous êtes trahi, vous savez que mon mari n'est pas un exemple de fidélité.

Tout gêné, le gaffeur commence à vouloir se dédouaner, mais elle se montre affirmative, il lui dit, je regrette madame, il n'est pas gentil avec vous, vous allez lui dire, vous savez ce qui va nous arriver, mon mari avait prévu une réponse de ce genre, elle leur dit, vous savez, je ne suis pas une imbécile non plus, je pensais qu'il savait au moins être discret, apparemment ce n'est pas le cas.

Ici, vous êtes les seules personnes qui sont gentilles avec moi, alors, non je ne lui dirais rien, de plus ça ne servirait à rien, et c'est parce que je vous estime bien, que je vous le redemande, puis-je compter sur votre discrétion, si je fais venir UNE amie samedi, je m'ennuie toute seule sans personne avec qui parler chiffon.

Jouant sur la corde sensible comme mon mari lui a dit, "vous allez me dire, pourquoi je ne le quitte pas, si je le quittais, déjà, il n'aurait plus besoin de vous et vous, ayant été témoin de l'affront d'avoir été quitté, il vous mettrait à la porte, vous voyez, notre quotidien est lié, nous avons besoin des uns des autres contre lui".

Ses arguments étant irréfutables, ils connaissent très bien l'individu pour qui l'humain arrive après le fric et le statut social, ils lui disent, vous savez madame, on a toujours été avec vous, vous saviez ce qu'il faisait au début, vous vous souvenez, les personnes qui parfois venaient vous voir, une fois la veille, je l'avais vu avec lui en train de discuter, je crois qu'il nous testait, pour voir si on le lui rapportait aussitôt sa visite, c'est pour ça qu'il était là plus rapidement que s'il était à son travail, pour voir s'il pouvait compter sur nous.

Quand elle a raconté cela à mon mari, il lui a dit, que le garde ne ment pas, que son mari en est fort capable, quoi qu'il en soit, ces gardes sont dans sa poche maintenant, presque copain comme cochon contre le renard, il faut savoir aussi que parfois en journée, il téléphone sur le fixe et lui demande d'aller dans son bureau, pour lui demander ce qui est écrit sur telle page d'un dossier, des fois qu'elle aurait un appel suivi.

Même la nuit, il l'appelle, une fois cela a réveillé mon mari, quoi qu'il en soit, je suis prévue samedi pour prendre le café et parler chiffon, elle leur avait dit encore, que son amie est une très belle femme et n'a pas de restriction pour s'acheter des vêtements, elle leur dit également que contrairement à elle, que je ne suis pas timide, qu'elle est certaine que je vais leur plaire aussi, que je ne suis pas farouche, elle leur indique aussi que pour qu'ils soient concilient, que je suit toujours habillée courte, qu'il ne le regretteront pas, si avec ça, ils n'ont pas compris que les volets risquent d'être fermés.

Depuis les séances d'essayage et branlettes derrière les volets, ils rentrent chez eux après avoir nourri les chiens, le matin, c'est elle, le soir, ce sont eux ou parfois lui, afin que les chiens reconnaissent leur maître, ceux qui les nourrissent, les vendredis et samedis soir, c'est elle qui leur dit qu'elle leur donne à manger, en fait, c'est mon mari qui le fait, leur donnant leur croquette habituelle, plus besoin de leur donner de viande comme au début, même si parfois, il leur en amène.

Le samedi, à 14 h, j'arrive devant le portail, les gardes m'accueillent, faisant l'inventaire de ce que je porte, je m'étais habillée sexy, j'avais pris une vieille voiture, l'un d'eux me demande si leur patronne m'a prévenue, je dis que oui, vous allez la mettre dans un chemin, oui madame dit-il d'un air voulant dire, "qu'est ce qu'il ne faut pas faire".

Il a entièrement raison, interdire les visites amicales à sa femme, même s'il ne les interdit pas au sens propre, elle ne peut pas recevoir sans sa présence, s'il sait qu'une est-là, il arrive aussitôt. Il détourne la conversation sur un sujet qui lui plaît même si nous, ça ne nous intéresse pas.

Il prend ma voiture et elle arrive, elle me fait rentrer chez eux, je fais celle craignant les chiens, comme si elle était chez elle, on entre, me disant vient à l'intérieur que je te présente au moins, celui-ci trop content de suivre, je fais celle qui regarde en disant, je suis stupéfaite, une maison sans femme aussi propre et rangé, sa fierté en est presque palpable.

Elle leur avait dit le matin qu'elle me présenterait à eux, comme ça vous verrez qu'elle est gentille, l'autre arrive essayant de camoufler son essoufflement, sachant que je venais, elle leur avait demandé de bien ranger, d'être bien rasé, propre, etc.

Faites moi honneur leur avait elle dit, une femme chez eux, même dans leurs rêves, ils voyaient cela impossible, et là, il y en avait deux, comme il faisait froid, j'avais mon manteau, dessous, je m'étais mise en tailleur jupe courte, avec un chemisier ayant quelques boutons défait, pareillement qu'au boulot.

Après avoir regardé autour, je retire mon manteau, la copine me dira, tu aurais vu leur tête, on aurait dit le loup de Tex Avery, les yeux sortis de leur orbite et leur langue trainant par terre.

Elle me fait asseoir sur le canapé, et s'assoit à côté de moi, elle leur dit, excusez moi, je fais comme chez moi, venez prendre notre place, on va prendre une chaise, ils disent, non, non,non, c'est nous qui allons prendre une chaise, mesdames quand même, on est plus des hommes des bois que des gentlemen's, mais on a quand même quelques notions de galanterie, surtout avec des dames aussi jolies.

je dis merci en disant, tu ne m'avais pas dit que tes voisins était aussi galants, elle répond, je le sais depuis peu, on m'avait raconté le contraire sur eux, je ne te fais pas un dessin, je réponds, oui, je vois ce que tu veux dire, au moins, là, je me rends compte du contraire.

Je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois, pour des hommes seuls, la maison est propre, il n'y a pas le bordel, la déco est sobre, chacun fait avec ses moyens, en arrivant, j'ai remarqué que vous n'étiez pas sous emprise d'alcool, vous ne sentez pas la sueur millésimé, votre haleine est convenable, alors ma chérie, soit il parlait d'autres personnes, soit c'est un con.

Par ces paroles, je gagne mes futures visites, pour eux, je ne suis plus qu'une inconnue en plus d'être la copine à leur patronne, patronne qui en a le titre, mais pas la fonction, c'est lui son mari qui tient la bourse et leur destin, comme j'ai dit, il les tient par la peur et elle les tient par sa gentillesse, pour elle, ils prendront des risques mesurés.

Tout en discutant, avec le sourire, parlant entre nous et revenant sur eux ensuite, nous nous trémoussons sur le canapé, nos jambes se croisent, se décroisent, nul doute que cela attire leur regard que je surprends à plusieurs reprises et ou je fais celle, ne se rendant compte de rien.

Contrairement à ce que je pensais d'eux aux dires de la copine et aussi de mon mari, mais il y a aussi le fait qu'entre temps, il y a eu du changement, ces hommes des bois dont on se doute de la pauvreté de leur éducation, se révèle être plus des pauvres types que la vie n'a pas épargnés, leur échec scolaire et d'arrêter l'école de bonne heure, l'alcool a été leur médicament pour oublier leur triste vie.

Plusieurs fois, ils proposent ce qu'ils n'ont pas, jus de fruit par exemple, ou encore verre d'eau, qu'on refuse en disant qu'à cette heure, comme on vient de sortir de table, on n'a pas soif, lorsque nous parlons de gens que l'on connaît toutes les deux, j'en profite pour que ma jupe remonte un maximum, ceux-là ne dirons rien à personne, trop peur que ça revienne aux oreilles de leur patron.

Nous devions aller directement nous exhiber, dans la pièce prévue à cet effet, mais la situation fait que nous le faisons autrement et d'une autre façon, ma cuisse, celle ou on voit le haut de mes bas est sous surveillance étroite, le regard de celui de mon côté est seulement dérangés quand nous nous adressons à eux.

Dans tous les villages, il y a les salopes connues de tous, tous comme les cocus, à un moment ou cela arrive sur le sujet, je dis à la copine, je ne devrais pas, mais il faut que je te raconte, je les regarde et je dis, aller, approchez, ce n'est pas facile à raconter, on se connaît à peine, mais tant pis, je ne dirais aucun nom, vous ne les connaissez pas.

Je raconte la fois ou un matin, je vais voir une copine, au moment de sonner, la porte s'ouvre et son mari apparaît, me disant qu'il doit partir et qu'elle est encore au lit, je me dis que je vais lui faire peur pour rigoler, j'entends la voiture de son mari partir, je me déchausse, et réfléchie à la meilleure façon de faire ma farce.

Tout en racontant, attrapant la cuisse à ma copine, je raconte l'histoire et à chaque moment crucial, j'attrape aussi celle de celui de mon côté, en disant, "alors figurez vous, que j'entrouvre la porte de sa chambre, très doucement, et avant que je la fasse sursauter, j'entends un bruit qui m'intrique, me disant que je me trompe, je regarde discrètement".

M'adressant à eux 3, je dis, et bien, c'est difficile à croire, mais je vous le jure, devinez ce qui se passait, la copine s'en doute, mais n'ose le dire, comme je les regarde eux, tout en appuyant ma main sur sa cuisse, l'un dit, elle était nue, je réponds, ça, c'est normal en appuyant à nouveau sur sa cuisse tout en avançant un peu ma main, en même temps, je fais cela aussi à ma copine qui a compris, mais ne veut pas le dire, elle me dira qu'elle a été aussi gêné qu'excitée suite au colis reçu (celui avec le gode).

Je finis l'histoire en disant, et bien non, elle se faisait un petit plaisir solitaire avec un outil sans fil, si vous voyez ce que je veux dire, vous vous rendez compte, son mari venait juste de partir, une célibataire, j'aurais compris, mais là, quoi que ça se trouve, il n'est peut-être pas porté sur la chose, la copine me dit, ho toi quand même.

je dis, ho et quoi, se sont de grands garçons, ils savent ce que c'est, on est tous pareils n'est ce pas, elle leur dit, "j'espère qu'elle ne vous choque pas, mon amie ne sait pas parler en sous-entendue, c'est pour ça que je l'aime bien, elle dit les choses sans ambiguïté.

Les gardes disent, "ho non madame, votre amie est aussi sympathique qu'elle est belle, j'espère qu'elle viendra souvent vous rendre visite, qu'on puisse la saluer", je dis, tu vois, depuis le temps que je voulais venir et que tu avais peur de ton mari.

Après cela, on va chez elle, en disant qu'on va les laisser, qu'on a à parler chiffons, à peine rentré et après avoir retiré mon manteau, je ressors aussitôt et frappe à leur porte en disant que je n'ai pas descendu mon sac du coffre et qu'en talon dans le chemin, il se fait un plaisir d'aller me le chercher et l'autre me fait entrer, car je grelotte un peu.

Je lui dis, vous m'avez l'air d'être des coquins tous les deux, j'ai bien vu comment vous la reluquiez ainsi que moi aussi d'ailleurs, il va pour s'en défendre, mais je dis, "ne mentez pas, je ne suis pas idiote, d'ailleurs si vous ne l'aviez pas fait, j'aurais été vexée, cela aurait voulu dire que nous sommes moche.

Il me dit, vous êtes très belle au contraire, je lui dis, alors vous me reluquiez, aller dites le, il dit qu'il n'a pas l'habitude de voir des femmes aussi belles, je lui redis, donc vous me reluquiez, aller dite moi le, soyer un homme, et il me le dit, "ben oui, je vous regardais, vous avez de très belles jambes".

Vous voyez, ce n'est pas dur à dire, merci pour le compliment, ma copine me l'a dit que vous la reluquiez aussi dans le jardin, mais ne lui répété pas, elle serait gênée, continuez, elle aime ça aussi, mais ne l'avouera jamais, vous lui faites un compliment, et ce n'est pas son mari qui lui en fera si vous le connaissez.

L'autre arrivant avec mon sac, je le prends et vais la rejoindre, elle ferme les volets qu'ils peuvent voir faire de leur salle, dans la semaine, elle s'est fait livrer une armoire avec une glace, pour mettre quelques affaires en bas, les gardes l'ont vus, car elle s'est arrangée pour que l'un surveille les monteurs livreurs, ainsi, ils savent qu'une armoire avec glace est dans cette pièce.

Quand elle a fermé les volets, je me suis caché dans la cuisine sur le côté, lumière éteinte, et je les ai vu faire ceux allant sur la pelouse et revenir ensuite à moitié caché par les arbustes plus loin, je dis à la copine, le public est là, s'il fait froid dehors, dans la maison, abritée du vent, ça va.


Je tends une robe et lui dis de la passer, comme la fenêtre est ouverte, on sait qu'ils entendent, je lui dis, ils sont sympa tes voisins, elle répond, c'est mon idiot qui me les avait décrit comme des bêtes, ils sont super gentils, tu as vue, tu peux revenir quand tu veux, je lui dis, tu as vue comment ils nous reluquaient, elle dit, oui, ils ont raison, au moins eux, ils savent apprécier, mon goujat lui, il y a longtemps qu'il ne le fait plus, avec moi du moins.


je lui dis ce que j'ai dit à l'un, lorsque j'attendais que l'autre aille me chercher mon sac, tu n'as pas fait ça me dit-elle, j'ai dit, si mais rassure toi, je lui ai dis de ne pas te le répéter et de rester discret, humm, elle te va bien cette robe lui dis-je pendant qu'elle se regarde dans la glace face à eux.


La lumière est allumée, mais dehors, il fait encore jour et a travers les persiennes, on voit entre chaque, que c'est sombre, on devine les deux ombres, surtout là ou la persienne est presque mise horizontale, afin qu'ils aient une vue correcte, je passe derrière elle et remonte sa robe lentement sur le devant, je fais, ton mari, c'est un con, il ne sait pas apprécié ce qui est beau.

Je lui dis, je suis sur que si tes voisins te voyaient ainsi, ils auraient une attaque, n'exagère pas dit-elle, tu rigoles dis-je, ils ne sont peut être pas cultivés, mais ils ont l'air de nous appréciez fortement, je sens encore son regard sur mes cuisses, il matait tellement intensément que j'avais l'impression que c'était ses mains qui me touchait.

Toi alors dit-elle, tu ne changeras jamais, je lui dis, et alors, tu vois ton crétin, lui, il ne me verra jamais en jupe très courte, je me montrerais en pantalon et pas de décolleté, alors qu'eux, quand je viendrais, je m'arrangerais toujours pour qu'ils puissent se rincer l'œil, à voix très basse, elle me dit, "s'il te touche, tu feras quoi, je réponds, "s'ils touchent, je n'hésiterais pas, je dirais stop, mais si inaudible", ha celle là, il a raison ton mari, tu ne penses qu'a ça.

Pendant qu'on parle, on essai des robes, des jupes, mais pas encore des dessous, il faut faire durer le plaisir, le temps passe et après 16 h30, je dis, tu as leur téléphone de tes voisins, elle dit oui, et je dis, tu sais ce qu'on va faire, on va mettre les jupes qu'on a mise tout à l'heure et on va aller prendre le thé avec eux.

Tu es folle dit-elle, je fais, "et alors, au moins eux, ils vont apprécier, se sont des hommes de gout, contrairement à ton bonhomme, et ça sera une manière de les remercier pour m'avoir permis de venir, tu m'as bien dit qu'ils prenaient un risque, et tu as vu, ils ont dit que je peux revenir quand je veux.

J'insiste et elle les appelle, je vois les 2 ombres qui s'en sont aller pour répondre, ils ont fait vite, elle les a directement, je sors les 2 jupes, ultra courte, des bas à jarretelles, elle fait celle qui refuse mais en étant excitée à l'idée de se présenter à eux ainsi, on met ces jupes avant de les rejoindre avec thé, café, petit gâteau que j'avais apporté.

En sortant, on écoute la route, afin qu'un véhicule lent ne passe pas à ce moment là et nous voit ainsi, car je dois reconnaitre, que nos tenues ne sont pas ce qui est courant par chez nous, peut être rue saint Denis à paris, mais pas ici, celui qui passerait et nous verrait, se ferait un plaisir de le raconter pour se rendre intéressant, cela ferait le tour des villages alentours et finirait dans des oreilles indésirables.

Asuivre.
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Histoire de annizette

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