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Mari volage et cocu 4

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Lue : 884 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/10/2020

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Lorsque nous arrivons chacune avec un plateau, nous n'avons pas besoin de frapper, la porte s'ouvre aussitôt, je vais jusqu'au milieu de la pièce pour que la copine rentre aussi et qu'il puisse refermer derrière nous, notre tenue n'est guère de saison, notre chemisier est bien ouvert.

Je dis, messieurs, nous abusons de votre gentillesse, mais pour vous remercier de m'avoir reçu, j'ai dit à votre patronne qu'on allait prendre notre thé chez vous, l'un dit, "vous avez bien fait, et je peux vous dire que cela nous fait extrêmement plaisir, il y a bien longtemps qu'on n'avait pas passé d'aussi bon moment en aussi bonne compagnie", on se remet sur le canapé, ils prennent leur chaise et directement se mettent face et proche de nous, comme pour l'histoire racontée.

contrairement à la première fois, leurs yeux sont sans gêne, on fait celles ne voyant rien, ils savent que ce qu'ils apprécie, on l'apprécie aussi, on discute "anodinement", ils sont plus détendus, moins timide, je change le sujet d'un coup en disant, "allez, vous devez vous demander pourquoi cet accoutrement un peu osé".

Il nous dit que nous sommes très belles et qu'on peut tout se permettre, je dis à la copine, "il te le dit souvent cela ton mari ", ironiquement elle répond, "oui tous les 30 février", l'un dit, votre mari ne vous mérite pas, une femme comme vous, on doit la combler de gentillesse.

Je dis, "tu vois, des amours ces hommes-là, nous sommes venues parce que je lui ai dit ," tu n'es pas cap d'aller prendre le thé dans cette tenue", et elle m'a répondue, "si tu le fais, je le fais aussi", alors nous voilà, pas de vainqueur, pas de vaincu, vous avez bien fait disent-ils, et ce n'est pas nous qui allons nous en plaindre.

Ils sont marrants dans leur façon de raconter, des anecdotes soft comme celles un petit peu moins, leur accent du pays, les mots employés, qu'on ne connaît pas, mais dont on se doute de leur signification, de mon côté, j'ai pas mal d'anecdotes coquines soft, que je raconte, qui me sont arrivées et ou je mets ça sur le dos à d'autres.

Nous sommes restées une bonne heure ainsi, ils mataient tantôt nos cuisses, tantôt nos décolletés, je dis à la copine, tu vois, au moins eux, ils apprécient ce qu'ils regardent, je vois ça dit elle, je dis, "je pense qu'ils ont confiance en nous maintenant, demande leur, si avant aujourd'hui, ils te mataient aussi".

Ho Annie dit-elle, je leur dis, alors messieurs, qui est-ce qui répond, ils se regardent et l'un dis, vous êtes tellement jolie madame, on est obligé de vous regarder. Je leur dis, regardez nous, nous avons eu le courage de venir ainsi vêtue chez vous, vous n'avez aucune peur à avoir sur ce que vous direz.

C'est à ce moment que le téléphone sonne, elle coure vite décrocher, je leur dis désolée, on doit vous laisser, je prends les plateaux et ce qu'on a apporté puis je la rejoins sans faire de bruit, par ce qu'elle dit, comme je n'entends pas, ce que lui, il lui dit, les réponses qu'elle donne, sont de l'extrait de faux-cul, elle a eu un bon maître, qu'elle m'a dit après avoir raccroché.

Je l'aide à nettoyer la vaisselle, pour le peu, mais toute trace doit disparaître au cas où, on aurait pu aller les voir à nouveau, mais l'ambiance a été cassé et ça permettait de ne pas avancer trop vite, nous n'avons pas essayé les dessous, elle fera cela une fois que je serais partie, ils pourront ainsi se soulager.

Sommes toute, la journée n'a pas eu de moment pénible, j'avais peur de leur odeur corporelle autant que buccale et de leur conversation sans intérêt, bien évidemment, leur culture était limité, mais ils ont fait beaucoup d'effort, leurs mots choisit, maladroitement certes, leur sevrage, ils n'ont pas du tout bu, même à leur repas, car je n'ai rien senti à mon arrivée lorsqu'ils parlaient.

La semaine se passe, avec les mêmes dans la petite pièce, il n'y a plus de colis, plus besoin maintenant dit mon mari, quand le temps le permettait, elle se promenait sur la pelouse où ils venaient la voir, elle disait qu'ils avaient du madame Annie à chaque phrase.

Comme elle avait insisté pour que je revienne, je lui avais dit, "oui sous conditions", que je passe à la vitesse supérieure, qu'on s'amuse avec eux, elle avait dit son, "hooo Annie", et j'eu l'idée qu'elle me refasse la demande avec eux à coté, avec leur téléphone, "aller, vient Annie, ils ont fait des efforts, je leur ai dit, que tu n'aimais pas ceux qui boivent de trop et ils beaucoup restreint leur conso pour toi.

Elle leur tend le téléphone pour qu'ils parlent, "oui madame Annie, on vous jure qu'on a juste pris le minimum et on a bu de l'eau", je dis, même le cognac, ils disent oui et l'un est aller chercher les petites bouteilles pour montrer à la copine, ou seulement le quart manquait sur chacune, je dis, bon, je viens, promettez moi de ne boire qu'avec le fromage, d'une même voix, j'entends, "on l'jure vaindieu".

Dubitative, je demande à mon mari si des poivrots comme décrit, peuvent arrêter ainsi, il me dit que leur vie a été chamboulée, leur patronne leur parle, elle est complice avec ils veulent montrer une image moins moche que celle qu'ils ont, ils regardent leur bouteille et se disent, "c'est toi ou elles", ils pensent qu'ils se font violence pour que ça dure et se raisonnent pour repasser un moment comme samedi.

Dans la semaine, je les rappelle, étonné de m'avoir, je leur dis, si samedi vous êtes bien habillée, propre, que vous n'avez pas bu de la semaine, ou juste avec le fromage, ne cherchez pas à me rouler, j'ai un détecteur qui capte les résidus d'alcool dans le sang pendant 5 jours,(bluff), alors si vous cumulez ce que je vous demande, vous aurez une surprise qui vous plaira.

Après avoir insisté, j'avais d'autres choses de prévue, mais que la semaine suivante, ou j'étais vraiment occupée, étant prévenue, ils étaient prêts mais, je suis arrivée une heure en avance, ils m'attendaient impatiemment, après déchargement de mes affaires, tenue, chaussure à talon, gâteaux, ma voiture est emmené dans le chemin plus loin.

J'attends mon voiturier, pendant que l'autre me dit qu'ils ont tenu leur promesse, soufflez dis-je, et en effet, pas d'odeur de vinasse ni de parfum de camouflage, je peux dis-je, voulant rentrer, il me laisse passer en ouvrant la porte, je remarque aussi, qu'ils sont habillés propres, avec de belles chemises où on voit bien qu'elles ne sont pas vraiment à leur taille ni dans leur moyen, la copine me dira que c'est ceux de son mari, qu'il ne met plus, elle avait lavé et repassé leurs affaires en nuisette, pendant qu'ils se faisaient du bien.

Quand le voiturier arrive, je lui demande si cela a été, il me dit que oui, mais c'était pour sentir, je dis, bien, plus qu'a contrôler si vous n'avez pas tout bu le même, jour en faisant abstinence aujourd'hui, en faisant celle qui cherche l'appareil dans mon sac, je leur dis, alors dites moi la vérité maintenant, car si je découvre que vous me mentez, je serai vexée et je repartirais.

On peut vous jurer que non madame, l'alcool, c'est quand on a rien d'autre, on préfère discuter avec de belles-dames, là, on faisait deux jours avec une bouteille pour deux, l'autre dit que je vaux mieux que toutes les bouteilles, je dis, "oui mon mari me le dit parfois que je le saoule", non madame ce n'est pas ca que je veux dire", le prenant au premier degré, je le rassure en disant que c'est de l'humour.

Ne cherchant plus dans mon sac, je leur dis, "j'ai décidé de vous faire confiance, ne me décevez pas", avec moi ceux qui disent la vérité y gagnent, les menteurs y perdent beaucoup, vous ne le regretterez pas madame.

Comme convenu, la copine m'avait laissé avec eux cette heure, je leur dis qu'elle se prépare, comme je voyais qu'ils se demandaient pourquoi elle ne venait pas, ils sont pendus à mes lèvres autant qu'à mes cuisses, je les fais languir, je sais que ce qu'ils veulent savoir, c'est ce qu'est la surprise promise, en même temps, je teste encore leur haleine, au cas où, mais non, ils sont clean.

Je les regarde et dis qu'ils ont la tête de quelqu'un qui attend quelque chose, ils se regardent et l'un dit, "hihi, oui, la surprise", taquine, je dis, quelle surprise, ils répondent, celle pour notre sobriété, je sourie et dit, j'ai promis, donc je tiendrais, alors voilà, j'ai apporté des affaires, robe jupe, etc. Et on les essayera, vous serez comme dans un défilé, vous donnerez vos impressions, critiques, préférences.

Nul besoin de demander si ça leur plaît, leur visage trahi leur joie, étant prés de moi sur leur chaise, moi assise sur leur canapé, l'un me touche la jambe avec la sienne, et se pousse aussitôt en s'excusant, tant que vous ne me filé pas mes bas, ce n'est pas grave.

Les questions pleuvent, est ce uniquement moi ou toutes les deux qui défilerons, quel genre d'habits, je leur réponds, des robes du soir, des robes d'été, des jupes, des chemisiers, l'autre me touche la jambe à son tour, je ne sais pas si c'est volontaire ou non, je ne bouge, cela s'arrête là, ils marchent sur des œufs, le deuxième, sûrement voyant que je ne me retire pas, fait pareil, mais là, je vois bien que ça l'est.

Je leur fais remarquer que je sens leur jambe, ils font ceux qui allaient se retirer, mais je leur dis, laissez, comme vous avez fait un effort, et je ne suis pas farouche, et votre patronne n'est pas là, ça reste entre nous, je peux compter sur vous, oui madame, soyez en sur répondent-ils.

Je sens la pression sur mes jambes augmenter, à mesure que nous discutons de ce dont on va essayer comme tenues, celui de la semaine dernière à qui j'ai fait dire qu'il nous matait me fait un compliment sur mon physique et mes jambes, je réponds qu'en effet, je vois ça, l'autre dit, une femme comme vous qui discute à coté de types comme nous, on est dans un rêve.

Réveillez-vous, tout à l'heure, vous aurez du boulot, on aura les yeux grand ouvert disent-ils, je réponds, "comme maintenant", l'un me dit, ça signifie quoi "pas farouche", je leur dis, "et bien, que je ne me formalise pas si je vous vois regarder mon décolleté par exemple, ni si vous me taquinez".

J'ai dit 14 h à la copine, il reste 1/4 d'heure, je me lève en me mettant debout devant eux pour aller regarder à la fenêtre qui en effet donne sur le côté de la façade de la maison, ils voient ainsi quand elle ferme les volets, ils se sont approché autour de moi, pensant que je suis en ville, ils me parlent des oiseaux et autres en ayant les mains sur mes hanches.

Je fais, " hihi vous êtes taquin, vous me chatouillez", en quittant la fenêtre et continuant de parler, vous êtes chatouilleuse me dit l'un, tout en me faisant des chatouilles à la hanche et ou l'autre s'y met aussi de l'autre coté, hihi, bande de coquins dis-je, ils continuent de plus belle en élargissant leur terrain comme les fesses et le ventre.

Arrêtez dis-je à nouveau en me déhanchant, ha ça c'est bien les hommes, de vrai gosse, allez venez, elle devrait être prête, je me dirige vers la porte pendant qu'ils continu de me chatouiller, j'ouvre et ils arrêtent, ils me suivent et je toque à la porte avec une main furtive sur ma fesse, avant que la porte ne s'ouvre, ils ont reculés en arrière, je dis, "mon sac", et l'un va le chercher.

On ne se fait pas la bise comme tout le monde, comme convenu, elle fait celle étonnée de les voir arriver, je lui dis, les as-tu vu boire, elle dit non, je fais bien, alors je leur ai promis une récompense, on va essayer des affaires et ils nous diront ce qu'ils en pensent, elle fait le "mais" d'étonnement et je lui dis, pas de mais, un défilé de mode, ce n'est pas un strip-tease.

Je la pousse dans la petite pièce, celle ou habituellement, ils sont derrière les volets, toute contente, elle met sa main devant la bouche, pour ne pas qu'ils entendent son cri de joie, après avoir étalé tout ce que j'avais apporté comme tenue et paire de chaussures à talon, ainsi que ce qu'elle avait de son coté, on commence soft, c'est à dire par les siennes, des robes sages, puis après, ça sera les miennes, des robes courtes, la première présentation, la copine attend à coté de la porte, entre la salle et là ou se change, quand je reviens, elle y va et j'attends qu'elle revienne.

On se change et je dis, on fait 2 passages et quand on revient, on se change aussitôt, quand l''une revient, celle prête y va à son tour, ça évite l'attente et l'embouteillage, on passe ses robes, puis les miennes ensuite, à force, on se met en phase, celle qui s'est changé dit, "prête", et celle qui défile en faisant traîner, quitte la salle pour aller se changer à son tour et l'autre défile.

Timide au départ, elle s'est vite habituée à leur regard, comme ils notent, on joue le jeu, elle s'amuse, même eux le remarque et ils me le diront plus tard, comme je lui dis quand on se croise, allume les, au départ, on se met à 2 mètres, de l'autre coté d'une petite table, pour qu'ils aient une vue d'ensemble, et on revient à moins d'un mètre entre cette table et eux, en les fixant avec un regard allumeur.

Pour les jupes, on mets les bas et chemisiers, puis je la fais passer en premier, comme beaucoup, la jupe a plus de succès, elle revient et je prends sa place, elle se change, et au mot "suis prête", je reviens et elle me remplace.
Peut-être à la troisième jupe essayée, au moment où je passe près d'eux, quand l'un tient son carnet et stylo, l'autre me caresse le mollet en remontant, je mime 'hééé", celui tenant le carnet me fait signe plus prés et me tripote le fessier dés que je suis à sa portée.

Je me dandine pour me dégager et au mot "prête", je rejoins la copine qui défile ensuite, les jupes sont dans l'ordre de soft à sexy, et je mets celle qu'elle avait porté avant, je n'ai pas apporté toute ma garde-robe.

Quand c'est mon tour, je passe et reviens plus prés du canapé ou la, directe, il me tripote, excitation garantie, mon cœur bat à toute vitesse, leurs mains caresse, je me dandine en faisant du sur place, je suis sauvé par le "prête", ou ils me lâchent.

Le tour suivant, c'est une jupe plissée, petit passage puis revenant vers eux qui se disent, elle revient, donc c'est que ça va, arrivé à leur porté, en tripotant, il me relève ma jupe, l'un devant l'autre derrière, j'ai tout fait pour les rendre moins timides, là, je m'aperçois que j'ai trop réussi, je pense qu'ils ont dû voir le haut de mes bas, peut être le string, je me dandine pour faire celle qui s'échappe, la copine passe à son tour, je la regarde et lui dis après son passage, "si on se reposait un peu".

Elle propose un thé et café, on accepte et je vais chercher dans la cuisine des petits gâteaux secs, ceux que j'avais préparés à cette occasion, j'avais découvert lors de nos discussions, qu'ils étaient gourmands, je propose mon aide pour préparer les boissons, mais elle dit, "vas t'asseoir, je devrais gérer ça toute seule", il y a deux fauteuils, tournés vers la télé et ce grand canapé, face à la table basse, j'étale les pâtisseries et gâteaux.

Je vais pour m'asseoir sur le côté, mais le plus proche prend la place, pour que je me mette entre eux deux, je fais celle qui refuse, mais il me pousse aux fesses pour que j'avance et l'autre me fait asseoir, dés que je suis à sa portée.

Une fois que je suis assise, la copine vient demander si leur café, c'est avec ou sans sucre et combien, puis retourne dans la cuisine, et là leurs mains se mettent sur mes fesses, comme je suis assise et non enfoncée dans le canapé, les deux autres mains sur ma cuisse, on avait gardé notre dernière tenue, j'ai donc la jupe plissée.

je parle sans le son, mes lèvres disent les mots, mais ils sont presque inaudibles, tous les 3 on surveille la cuisine, pour se remettre bien dés qu'on entend qu'elle revient, on entend son pas, Leurs mains se retirent, ils se remettent droit, elle pose le plateau en se penchant devant celui à ma gauche et elle sert les tasses, il la mate en me montrant qu'il le fait, mimant la caresse de son fessier en restant à quelques centimètres, je fais un non silencieux qui leur laisse croire que je suis leur complice, celle qui fait tout pour qu'elle ne sache rien.

Après avoir servi l'un, elle me sert, toujours dans la même position et ensuite sert l'autre qui lui aussi fait comme le premier, elle hésite ou s'asseoir, je lui dis à coté de moi, celui à gauche se pousse, le canapé est grand, on n'est pas très serré, une fois installé, celui à ma droite pose sa main sur ma fesse, geste qu'elle ne peut pas voir.

Nous discutons, la copine et moi nous sommes assissent et un peu tournée l'une vers l'autre, les hommes eux sont plus en avant pour pouvoir nous voir aussi, celui a ma droite me caresse les fesses, il se dit que je me laisse faire, pour pas que la copine le sache, que je ne veux pas faire d'histoire, la caresse est douce, il ne force pas, ce qui n'est pas désagréable.

Notre tasse finie, on se met en arrière du canapé pour discuter, il continue de faire contact, je profite d'une conversation pour lui demander si elle ne sort jamais, et elle laisse les gardes répondre, "madame vous savez bien que si on vous laisse sortir et qu'il appelle chez vous et que vous ne répondez pas, il nous appellera sur notre téléphone et demandera à ce qu'on vous le passe".

La dessus, on sait qu'ils ont raison, mais le fait qu'ils nous le disent, et en soit désolés, indique qu'ils sont avec nous, cela n'est en rien étonnant, son mari, ils le détestent, il les tient par leur logement, pas par sympathie, déjà même là ce qu'ils font, ils risquent gros, l'autre dit, "oui, s'il rentrait maintenant, houla la, il nous tue".

Je dis, "oui et on ne fait rien de mal", la copine dit, "ha s'il était aussi gentil que vous"", je dis, "là, je suis entièrement d'accord, et je suis fière de vous, jamais je n'aurais pensé qu'on valait mieux qu'une de vos bouteilles", l'un dit, vous valez même plus que plusieurs barriques, on est bien ici avec vous a discuter, et ..... Je dis oui et quoi, il répond "assister à votre défilé, on a beaucoup aimé, vous étiez belle dans vos habits", taquine je fais "oui, mais maintenant, on est redevenu moche".

Ho non fait-il et vous le savez que vous êtes très belle, je dis, "justement, alors vous avez noté", il dit, oui, mais ca ne sert a rien, pourquoi dis-je, il répond, c'est 10/10 partout, la copine demande, mais il y en a bien une qui surpasse les autres, le même répond, " c'est très difficile à dire, vous êtes toutes les deux aussi belle l'une que l'autre.

La copine dit, je ne parlais pas de nous, mais des tenues essayées, là, il répond que les dernières sont à leurs yeux les mieux,, l'autre confirme également, la copine demande le critère de leur choix, hésitant, il me regarde, il la regarde puis me regarde à nouveau en disant, madame Annie nous a dit qu'il fallait mieux dire une mauvaise vérité qu'un beau mensonge.

Exact, dis-je, et celui de mon coté dis, les dernières découvraient plus vos belles jambes, la copine fait ho les cochons, celui a coté de moi qui a dit ça me regarde, regrettant ses paroles, cherchant en moi une défense, je dis, tu vois, ça, c'est un homme, il dit ce qu'il pense et la copine fait, "oui et je préfère aussi, marre des faux-cul qu'on fréquente".

Il reprend une bouffée d'oxygène, je dis, bravo, c'est ça le courage, de dire les choses comme elles sont, pour la peine, on va continuer le défilé, "oui, super" disent-ils, on va se préparer, et la on enfile les robes du soir et la, je dis copine, sans rien dessous, ni string ni soutif.

Tu crois que ce n'est pas un peu .... me fait-elle, je lui réponds que ça ne se verra pas, qu'ils ne doivent pas en voir souvent des femmes en robe du soir, hormis a la télé, oui c'est sur, dit-elle, on garde juste notre porte jarretelle et bas, elle en a dans sa garde-robe, mais elles sont plutôt soft et c'est avec celle là qu'on commence.

Nous en essayons 2 seulement, à leur tête, on voit bien que leur note ne serait pas terrible, après cela nous essayons les miennes, qui ont un décolleté beaucoup plus plongeant et qui sont toutes fendues d'un coté ou de l'autre, on reprend notre alternance du défilé, l'une se change pendant que l'autre défile, on profite de la rapidité pour se vêtir pour se regarder dans la glace et contrôler qu'on est bien.

Le premier passage éloigné, ils ne s'aperçoivent de rien, pensant que c'est pareille que celles avant, mais au lieu de passer prés d'eux, on retourne d'ou nous venons, et ils découvrent le côté fendu, on entend, "oui la, c'est super,", quand la copine passe avec le même genre, ils ne disent rien, "elle leur dit, "apparemment moi ça ne vous plaît pas".

Ils s'en défendent et leur dit, alors pourquoi quand c'est elle, vous dites super et quand c'est moi vous ne dites rien", ben madame, avec vous, on n'ose pas, vous êtes comme une patronne, on ne veut pas que vous croyez qu'on vous manque de respect.

Elle leur dit, "je vous ai dit que quand nous sommes entre nous, qu'on oublie tout ça, je veux être traitée pareil qu'Annie, aller, je refais un tour, elle recommence le défilé et on entend, "super, vous êtes très belle", bien dit-elle, je préfère ainsi, oui madame répondent-ils

Nous faisons une représentation, ou là le décolleté est plus ouvert encore, la fente est de l'autre coté et je passe cette fois-ci entre la table et eux et je me penche un peu vers eux pour montrer mon décolleté, surpris, ils ne m'attrapent pas et complimentent avec leurs mots, c'est au tour de la copine qui elle, ne s'est pas penchée vers eux, mais a légèrement secouée ses seins en passant.

Je n'ai apporté qu'une seule robe fendue devant, fendue jusqu'aux attaches du porte jarretelle, je lui dis, "retirons nos bas, on va porter l'estocade", elle fait comme moi, je la regarde et me dis, ou est-elle la petite bourgeoise, qui au début aurait à peine montrer le dessus du genou.

Comme je lui avais dit lors de nos discussions, mon mari dit, "une belle femme, c'est comme une œuvre d'art, c'est fait pour être admiré par les connaisseurs, et non être enfermé dans un coffre pour le plaisir d'un égoïste qui en retirerait un sentiment de puissance", puissance compensant une impuissance ailleurs (ça, c'est de moi).

Mon mari qui n'a rien d'un philosophe, ni d'un poète, dit, "une belle femme à le devoir de se laisser admirer, afin de remercier la nature qui lui a fait ce don". Une fois, une discussion avec la femme d'un copain (donc pas une copine), invité à la maison à Paris, celle-ci critiquait mes tenues vestimentaires jugée beaucoup trop courte, le pull trop ouvert ou le décolleté des robes trop plongeant.

Chacune met ce qu'elle veut dis-je et en réponse, elle dit qu'elle regrette, mais que ca fait pute, je répond que chacun aussi est libre de le croire, tout comme ceux qui ne savent pas faire la différence, n'ont pas à s'étonner d'une gifle qu'il prendrait pour cette méprise.

Mon mari, qui à autant de diplomatie qu'un sdf a de lingot d'or dans sa poche, en colère contre le raisonnement de cette femme lui répond, "tu dis cela parce que toi, si tu portais les mêmes fringues, celui qui te verrait dedans, prendrait peur et partirait en courant, rien qu'avec l'élan, il ne s'arrêterait pas avant Lyon, c'est de la jalousie à l'état pur la connerie que tu viens de dire, quand tu fais un gâteau, s'il est réussi tu es fière de le faire gouter à ceux que tu reçois, s'il est dégueu, tu en as honte, et bien là c'est pareil, tu as honte de ton physique ingrat, et sur ce point, je suis entièrement d'accord avec ton point de vue.

Le copain a dit, "changeons de sujet", ce qu'on a fait mais mon gâteau que j'avais fait et ou elle m'a complimenté, en disant que ça sentait bon quand elle est arrivé, elle n'en a pas voulu, enfin tout ça pour dire que celle qui prenne plaisir a s'exhiber, doivent avant tout avoir un physique, le plaisir ressenti, ce n'est pas celui d'être nue ou en tenue sexy mais celui de se savoir apprécier par celui qui regarde.

M'exhiber devant un poisson rouge ne m'apporte aucune excitation, le voyeur a besoin de l'exhibe et l'exhibe a besoin du voyeur, sans l'un, il n'y a aucune alchimie pour personne, mon mari lui a fait découvrir ce plaisir que son cornard lui refusait, par contre lui, ça ne l'empêchait pas d'aller voir, et mêmes continuer d'aller avec les putes de luxe.

La copine enfile ma robe du soir fendue devant, , je passe derrière elle et avec des pinces vu sur un meuble, je tire les coté derrière elle et les épingle, dévoilant le devant de ses cuisses, je tire jusqu'au ras de la moule dis-je, elle fait, Annie non", je dis si, et elle répond, "après je te ferais pareil", je fais hummm.

Cette robe m'avait plu en boutique, présentée de façon plus soft, la première fois que je l'ai mise, avec des bas élastique, j'avais fait impression en dansant, une fois en place, je la tourne, l'embrasse sur la bouche et à sa grande surprise, je mets ma main sur son sexe déjà trempé, elle a un sursaut négatif, mais qui ne dure pas.

J'arrête et lui dis, "c'était pour te donner du courage", elle me dit, "salope", je réponds, "oui, suis salope, défait là, je vais y aller", elle répond, "non" et y va, les wouaa, super, qu'est ce que vous êtes belle madame fusent, elle tourne autour de la table basse, et au moment de revenir, le téléphone sonne, les gardes se lèvent de frousse, se doutant de qui c'est, elle leur dit de rester assis et leur fait signe de faire le silence, elle allume la télé pour faire comme d'habitude.

Elle décroche en disant qu'elle était au dessin et la discussion habituelle s'ensuit, il disait être rentré de la chasse, car il tombait des cordes, elle se déplace en parlant, et continuant de se montrer aux gardes, justifiant qu'elle reste sur place, eux matent en silence, la peur au ventre, peur de tousser, d'éternuer, ou tout autre bruit les trahissant, elle s'assoie sur le canapé, entre eux deux, elle me fait un clin d'œil, je lui sourie, ses cuisses sont complètement découvertes, ils n'en perdent pas une miette, elle étale ses jambes en mettant ses pieds sur la table basse, jamais ils n'ont vu pareil d'aussi prés.

Tout en se mettant à l'aise, elle fayote, "pense à retirer tes affaires trempées, ne va pas attraper froid, elle leur dit que les gardes sont chez eux, qu'elle voit le reflet de leur télé sur leur fenêtre, ceux la tourne la tête, mais leurs yeux retourne à ses cuisses.
Je saisis l'opportunité, je la rejoins et me mettant à genou devant le garde, je caresse sa jambe, elle sursaute, tarde sûrement à répondre, car elle indique regarder les dégâts des inondations à Nice sur la télé alors que c'est un film qui passe, je prends la main du garde et la pose sur sa jambe, la caressant du genou à la cheville, déterminant les limites elle me fusille du regard,mais ne bouge pas, le garde la caresse, et a l'autre, je fais signe qu'il peut faire pareil.

Il la regarde, me regarde, la regarde à nouveau et pose sa main puis caresse à son tour, j'aurais pu pousser plus loin, mais je n'ai pas voulu qu'elle se trahisse, j'attrape la télécommande et mets la chaîne correspondante où on voit Nice inondé, elle peut ainsi à chaque parole qu'elle n'a pas entendu, parler de ce qu'elle voit.

Ho la la, la maison est emportée, mon dieu les gens dit-elle, en clair, "tu me fais chier, les deux qui me tripotent là, m'intéresse beaucoup plus que tes conneries de chasse, dont la plupart est inventé", car il faut savoir que lui aussi, il invente les moments de chasse alors qu'il baise avec d'autres.

Rassuré que sa petite femme bien docile est à la maison, toute seule, qui s'occupe au dessin ou avec la télé, il lui souhaite une bonne soirée, ou elle répond merci mon chéri, à toi aussi, après avoir raccroché, elle dit, "Annie, regarde ce qu'ils font", eux, ils s'arrêtent étonnés et me regarde et elle leur dit, "Annie, ce n'est pas vous, personne ne vous a dit d'arrêter.

Leur sourire revient et ils continuent, je lui dis, bon, c'est peut-être à mon tour maintenant de mettre ma robe, oui dit elle en se levant doucement pour qu'ils aient le temps de la lâcher, on va se changer, j'enfile ma robe qu'elle m'ajuste et je vais défiler, mêmes compliments qu'à elle, et quand je passe à coté d'eux, ils ne me touche pas, la copine me dit, aller sur le canapé aussi en m'y poussant.

Comprenant ce qu'elle va faire, je ne résiste pas, et eux, n'ont pas besoin qu'on leur répète deux fois, comme avec elle, ils me caressent de la cheville aux genoux, je reviens dit-elle, continuez, ni eux ni moi comprennent, elle monte à l'étage et eux, ils en profitent, celui qui était à ma gauche est plus entreprenant que l'autre qui lui, suit.

Il se met à genoux pour m'embrasser la jambe, il me la lève, me faisant plier le genou, l'autre faisant pareil, il découvre que je n'ai rien dessous, il me fixe, tellement excitée, je ne bouge pas, il me regarde intimement, me fixe encore et sa main remonte, me fixant pour voir ma réaction, je suis tellement excitée que je souhaite ce qui arrive, il le voit à mon visage, sait-il lire ce qu'il souhaite, je ne le sais pas.

Je suis l'arroseur arrosé, je devais tout contrôler, mais les choses ne se sont pas passées comme ce que j'avais prévue, la copine plus entreprenante, eux aussi et moi trop excitée, je n'arrive pas a les repousser, heureusement, sauvée par le gong, ils me lâchent, la copine redescend en short, disant, voilà, je suis plus à l'aise.

Dans ses mains, elle a ma jupe plissée qu'elle avait sur elle, je vais ranger les affaires dit-elle, je réponds, oui, on va remettre tout en place, la regardant en short, une idée me vient, je pense à des jeux, l'idée est simple, on bande les yeux de l'homme et en nous touchant les jambes, la limite est le tissu du short, il doit deviner qui est-ce, cela se joue à 5, 5 femmes et 5 hommes, on se contentera de 2.

Ils sont emballés, le jeu leur plaît, elle va me chercher un short et deux foulards, on leur bande les yeux et nous voilà partie dans leur patte, eux devant le canapé et nous assise, ils nous tripotent, on se regarde, façon complice.

Leurs mains remontent jusqu'au short, dépassant même un peu la limite, mais si peu, la main du mien redescend lentement, jusqu'en bas, j'en profite pour remonter un peu le tissu afin de sentir sa main plus prés de mon sexe, elle me regarde faire, sourie, et fait pareil quand son peloteur redescend sa main.

Ils remontent leur main et gagnent quelques millimètres seulement, mais ho combien agréable, ils recommence une troisième fois, la dernière comme il a été dit, ils restent et on change de place en silence, et le jeu recommence, nous frissonnons à nouveau.

Une fois terminées, nous allons sur l'autre coté de la table basse et nous leur disons qu'il retire leur foulard, et que sur un papier, ils marquent nos initiales dans l'ordre de celle tripotée en premier, ils regardent encore nos jambes, et inscrivent sans se concerter, la même chose, forcement l'un gagne.

Je fais, maintenant, à nous de deviner qui nous caresse les jambes, ils sont contents, car eux, se faire caresser leur jambe, ça ne les intéresse pas du tout, et nous non plus, on se met sur le canapé comme précédemment, sauf qu'eux nous voient, mais pas nous, ils viennent se mettre en place et nous caressent.

Ce jeu se joue à 5 comme j'ai dit, et en principe, le "présentateur", choisit 5 femmes aux belles jambes d'allure identique et 5 hommes au corps acceptable, ni maigre ni gros, suivant les mentalités des personnes, pour les femmes ca s'arrête aux genoux ou comme là, au short court.

Pour les hommes, ceux-ci sont torse-nu, et suivant les mentalités aussi, on les touche avec les mains avant la ceinture et avant le cou, ou alors même surface, mais avec les doigts, pouvant caresser leur téton, cela dépend des personnes présentes, des couples jaloux ou cool, je suis toujours choisie, pour mes jambes et aussi pour mon mari cool (certains qui me connaissent ici, comprendront).

Cela pour dire que caresser les torses des gardes, ça ne nous intéresse pas, même s'ils ont changés, ils sont très loin d'être des top-modèles, les yeux bandés, avec leurs mains sur nos cuisses, ça va, des mains en valent d'autres, on ne choisit pas son physique, mais on choisit celui des autres.

Nous avons les yeux bandés, assises sur le canapé, et ils nous caressent les jambes comme avant, sauf que là, c'est à nous de deviner, étant une habituée, (d'ou mon explication ci-dessus), je reconnais celui qui me tripote les jambes, puis une main arrive en haut et entre les cuisses et dépasse le short, et son autre main cherche à passer par la taille du short.

Je serre les cuisses, retiens sa main à ma taille, sa main entre les cuisses force sur le tissu du short, l'effet est foudroyant, excitée comme je suis, je pense qu'il regarde mon visage, ma bouche a fait un "haa" silencieux, je fais maintenant un non avec la tête de droite à gauche, j'allais presque succomber, mais la copine fait, "voilà", signifiant que l'autre a fait ses 3 allers venus sur ses jambes.

Le mien se retire aussi, je fais "ici aussi", je dis, "changez", le suivant fait un aller simple et ayant vu faire l'autre, fait pareil au sexe et m'attrape un sein, je retiens sa main sur mon sexe et le laisse faire au sein, quand la copine donne le signal, je dis pareil, il me lâche et ils vont derrière la table.

Chacune note et on gagne, ils reviennent a leur place sur le canapé, elle me dira plus tard, qu'elle a mis au hasard leur nom, elle jubile de joie quand même, elle nous laisse pour aller au petit coin, et entendant le verrou se fermer, une main arrive entre mes cuisses, une autre sur un sein par le dessus du chemisier.

Surprise agréablement hélas, je ne suis plus suffisamment forte pour résister, je relâche mon étreinte et dis, "pas ici pas maintenant", on entend la chasse d'eau , le robinet puis le verrou, ils me lâchent lentement et elle arrive, peur que ça se voie, je fais , "moi aussi, j'y vais au WC", je me remet de mon émotion, je me regarde pour voir si ça se voit puis les rejoins.

L'heure étant déjà bien avancée, je dis que je vais devoir y aller, les trois me disent, "déjà", hélas dis-je le temps passe vite, je dis qu'ils n'auront qu'à garder les gâteaux, et la copine dis qu'elle va en cuisine, les remettre dans le carton, à peine est elle hors de vue, qu'une main passe sous mon short, je fais non, tout à l'heure en partant, mais pas maintenant, ils continuent un peu et stoppent, j'indique aller me rhabiller comme je suis venue.

Je leur donne mon sac d'affaires, elle leur donne le carton de gâteau et les raccompagne en disant qu'elle va tout remettre en place, l'un lance, vous nous direz pour la voiture madame, qu'on aille la chercher, oui dis-je

Après m'être habillée, je prends congé de la copine, je lui dis qu'ils ont des questions à me poser, que je passe un petit 1/4 d'heure, elle me dit avec un sourire, tu leur diras que j'ai du repassage à faire, qu'il ne faudra pas me déranger, car je serais en robe de chambre, compris, bise, on s'appelle et bonne bourre pour ce soir (comme mon mari vient la voir).

A suivre.
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Histoire de annizette

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