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Mari volage et cocu 8

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Lue : 481 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 06/03/2022

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Le vendredi suivant, je suis disponible, mais pour la suite de cette histoire, je me dois de présenter une nouvelle copine, que j’appelle cousine, c’est la cousine d’un coquin devenu ami coquin, sa cousine donc, mariée à un parvenu, celui dont je parle au début de cette histoire, celui qui me suivait là où j’ai rencontré, je devrais dire, mon mari a rencontré la femme du futur cocu, ce parvenu était comme un poisson dans l’eau dans ce genre d’endroit.


Le cousin, ami coquin, chômeur, divorcé, fauché puis presque SDF, humilié tous les ans, par ce parvenu pout ces raisons, qui l’invitait lui et 6 autres personnes de la famille, m’avait demandé de l’accompagner en me faisant passer pour sa maîtresse, sous réserve que je n’ai pas honte de lui, m’expliquant la raison, et surtout me décrivant l’individu, j’accepte, chez lui, c’était, vous avez vu les assiettes, c’est du limoges à 1500 €, je vais vous faire goûter du foie gras a 150 €.


Il avait une très bonne situation, mais 2 gros défauts, sa vantardise d’avoir réussi et la façon de traiter, ceux qui n’avaient pas réussi, comme ce cousin, ainsi que sa femme qu’il rendait transparente, lui reprochant de ne pas ramener d’argent à la maison, alors qu’il ne voulait pas qu’elle travaille, vous l’aurez compris, con et abject.


Ce con, donc, me drague ouvertement devant sa femme, arrivée il y a moins de 5 minutes, les autres années, ce cousin, constamment humilié par lui, me l’avait bien décrit, à chaque mot qu’il disait, je le contredisais et l’humiliais indirectement, ne comprenant pas toujours, je moquais de lui, devant la famille présente, j’étais là pour cela.


Pour moi, il était plus que transparent, seule sa femme m’intéressait, doublement d’ailleurs, je la complimentais pour la propreté et tenue de la maison, ainsi que pour ce qu’elle avait préparé, à plusieurs reprises, il lui coupait la parole et je la lui redonnais, en disant que je n’avais pas entendu.


L’après-midi, se promenant avec le cousin, pour lui poser des questions graveleuses, avec elle, nous discutions, et petit à petit, je me suis aperçue que moi non plus, je ne lui étais pas indifférente, profitant qu’elle me raconte sa vie morose, je lui attrape les mains, un frisson l’a parcouru ainsi que la chair de poule sur ses bras, tout comme son visage rosie.


La femme du cocu de cette histoire et cette cousine, ont beaucoup de points communs, très belles femmes dans une cage dorée, ayant sympathisé avec elle, dans la semaine, je lui rends visite, étonnée de la façon qu’elle me fait vite rentrer, je comprends aussitôt, interdiction de sortir, pas de tenue pour sortir en se mettant en valeur, pareil pour rester à la maison et recevoir, par contre elle avait une cuisine moderne et tout l’électroménager existant.


Nous étions le contraire, moi, femme libre, elle, femme sous le joug, j’étais son modèle, celle dont elle aimerait ressembler, soumise à son mari, et à moi de plus en plus, je la poussais à sortir, amenant des tenues pour cela, elle avait peur qu’on la regarde, mais comme j’avais un pouvoir sur elle, elle suivait.


Nous sommes sortie plusieurs fois et m’obéissant ,elle devenait de plus en plus docile à mes demandes de plus en plus osées, genre remonter une jupe en voiture à coté d’un camion, il y a eu aussi d’autres choses moins soft sans être hard, par la suite, avec le cousin, on venait leur rendre visite, ils venaient chez nous également, mon mari devait s’éclipser, j’avais raconté la vérité à la cousine, que son cousin et moi, c’était pour rendre vert de rage son mari, il a eu raison a-t-elle dit.

Déjà, le premier jour, je suis venue avec la A8 Sté conduite par celui devenu mon chauffeur quelques mois plus tard, sa femme disait qu’il pestait sans cesse, « mais qu’est ce qu’elle fout avec ton cousin, il n'a rien, il n'est pas beau, il n'a pas de fric », à table, il avait dit pareil en plus gentil, j’avais répondue, qu’il avait une qualité cachée, que toute femme apprécie », ça lui avait cloué le bec.

Quand elle me parlait de son mari, ses sorties, ses horaires, son boulot, j’ai eu des doutes sur son emploi du temps, je demande conseil à mon mari qui me dit, « il a une maîtresse, c’est sur », à ma visite suivante, je lui demande si leur couple est heureux sexuellement, je lui avouais depuis quelque temps, que je n’étais pas une sainte et que mon mari le vrai, avait d’autres femmes.

Elle m’avoua après plusieurs demandes, que sexuellement, cela avait beaucoup baissé par rapport au début, commun à chaque couple, baissé comment dis-je, et elle finit par me dire 2 fois la semaine, les bonnes semaines, dont la moitié du temps, elle n’a pas de plaisir abouti, en clair, baise hygiénique.


Ne voulant pas lui annoncer qu’elle est peut-être cocu, pour un petit billet, j’ai un copain qui va le suivre, les jours ou cela parait bizarre, et bingo, photo datée avec l’heure avant l’hôtel, et à la sortie, quand j’y retourne, je lui demande si elle est heureuse avec lui, sa réponse est net, c’est non au niveau sexe et presque pire au niveau vie de couple, il faut savoir que lors de leur 2eme visite chez nous, lorsque j’étais avec son mari, le mien avait chercher à se placer, il me dit, j’ai eu une ouverture, mais elle n’a pas voulu conclure.

Les vacances passent et au retour, elle me reparle des horaires de son mari, rien n’a changé, il baise ailleurs, je renvoie le copain qui photographie pareil que la première fois, je lui dis, tu es ma copine, pas lui, tu me préfères comment, te cachant la vérité ou que je sois franche, même si cela risque de te faire du mal, la réponse est net et je lui raconte, elle avait des doutes, mais pensait être mytho, nous sortons quand même, mais elle est ailleurs, à ce qu’elle vient d’apprendre, Je lui explique qu’il ne sert à rien de lui dire, de faire des scènes etc.

De réfléchir à ce qu’elle veut, je les invite un samedi pour qu’il m’accompagne et mon mari me dit de mettre une tenue plus sexy que d’habitude, que le cousin soit absent, ça ne loupe pas, il me drague ouvertement, l’après-midi nous allons voir les têtes à claques, la soit disant élite.

Mon mari conclut son ouverture, j’avais dit à la cousine, qui m’avait dit que mon mari était entreprenant, que comme on est un couple très ouvert, si elle voulait, elle pouvait se laisser faire, chose faite, mon mari n’a jamais pu aller chez elle, car c’est à la vue des 5 voisins autour, mais moi, je pouvais, une femme, c’est une copine, un homme ça aurait été un amant.

Mon mari m’a presque « obligée » à tous les rendez-vous officiels pour qu’on les invite, pour qu’elle reste seule et qu’il s’en occupe, à chaque fois, je devais pour lui, être habillée sexy et endurer sa drague à 2 balles, ou il ne fallait pas que je le rembarre durement, de mon côté, je profitais de cette cousine, je me disais que si un jour, il nous surprend revenant d’une sortie, il serait plus cool.

Voyant qu’à chaque fois qu’il m’accompagnait, sa drague ne donnait pas de résultat, il a coupé les ponts , sa femme et moi, on se voyait toujours, on sortait pour plus de 3 h, elle avait moins peur de lui, nos sorties devenaient de plus en plus coquines, un jour je l’emmène dans un sex-shop ou je connaissais le patron, je lui avais fait faire des affaires, et avec la cousine, j’allais recommencer, du genre ou le client nous achète un déshabillé, qu’on essai sans tirer le rideau, parfois deux clients partageait le cout.

Je demandais au patron de leur faire un super prix, car on lui laissait le déshabillé, on était là pour le fun, pas pour se faire payer une lingerie, même si cela arrivait rarement, au premier essai, la cousine était pivoine, je n’ai jamais eu de soucis avec les clients, respectueux et polie, une fois, l’un voulait que je me mette en sous-vêtement, string et soutif fantaisie.

Le client demandait au patron, qui lui venait me demander, quelques rares fois, c’est le client qui nous demandaient directement, il annonçait ce qu’il était prêt à nous acheter sous réserve de nous voir dedans, un jour, je reconnais un client à qui j’avais déjà eu affaire 1 ou 2 ans auparavant, bien avant de connaitre cousine, il est seul dans la boutique, je lui fais signe de venir me demander ce qu’il aimerait, il me l’indique, je lui dis ok, mais que c’est ma copine qui va le porter, ce qui lui convient aussi.


La cousine, contrairement au début, est moins farouche, mes sorties l’on dévergondée et sa fidélité envers son mari n’existe plus, elle se déshabille et met ce que le client a pris, je regarde comme lui, dommage qu’on ne peut pas toucher dit-il, elle est à sa portée, mais il respecte, je lui dis, "client fidèle, allez, posez votre main".


La cousine me regarde, le client a sa main sur sa hanche, la cousine a la chair de poule, non pas par la température, mais par ce qu’elle ressent, le client la complimente, « vous êtes très belle, très sexy, vous avez la peau douce, vous êtes une femme magnifique, j’espère que votre mari sait la chance qu’il a de vous avoir dans son lit".


Je lui dis, hélas non, Mr préfère sauter les femmes moins belles qui s’habillent sexy, chose qu’il refuse à la sienne, c’est pour cela qu’on contente des connaisseurs comme vous, « Mme, si je peux me permettre, votre mari est le roi des imbéciles, quand on a une femme aussi belle, on la traite comme une reine et accède à tous ses désirs".


La cousine lâche un timide merci, je lui dis, Mr qui est un gentleman, auquel je lis dans ses pensées, aimerait te toucher les seins, je n’oserais jamais dit-il, je lui réponds, vous la vexeriez, cousine se met face à lui, il me regarde, et je lui dis, profitez que son mari soit un imbécile, attendez, tourne toi dis-je à la cousine, je lui retire le soutif et la fait retourner, voilà, servez vous dis-je.


Le patron regardait de loin, craintif que quelqu’un ne rentre, je lui fais signe que je gère, sa crainte était surtout, d’avoir à sortir le client, si celui–ci perdait la tête, la cousine, elle par contre, elle commençait à la perdre, je dis stop, il la lâche, met ton pull dis-je, et la jupe, nous allons en bout de rayon, ou si un client rentre, avant qu’il arrive au fond, on a le temps de se remettre.


Et à l’arrière, je dis au client, vous n’avez pas honte, vous avez vu dans quel état vous l’avez mise, alors maintenant, vous allez la finir, vous savez vous servir de vos doigts, la cousine ouvre des yeux tout rond, ni une ni deux, au client, son honneur est en jeu, et lui embrassant les seins, ses doigts se sont activés sous la jupe, il l’a fait jouir, laissez vous aller, qu’il lui a répété plusieurs fois.


Ce client lui a acheté un autre string, car il a voulu garder celui tout trempé, nous sommes retournées plusieurs fois dans ce sex-shop, ou les essais ont été plus soft, il y a juste eu beaucoup de caresses des jambes, du string aux pieds.


Quelques années plus tôt, toujours accompagné, j’avais eu un très jeune qui avait entendu des clients parler de femmes comme moi, car je n’étais pas la seule d’après celui qui m’a fait connaître l’endroit, pendant que celui-ci discute avec le patron, je regardais les nouveautés, aux godes, un jeune s’approche de moi, tout congestionné, et me demande si je veux essayer une paire de bas, qu’il me paiera.


Étonnée que le patron l’ait mis au courant de ça, c'est-à-dire dis-je, et après plusieurs demandes pour qu’il soit plus précis, il me dit avoir entendu 2 types en prenant un demi sur une terrasse, celui derrière son dos expliquait en détail à l’autre en ayant donné ma description.


Ce jeune m’avait émue, les bas étant ce qui est le moins cher, d’où sa demande, j’avais pris un déshabillé, des bas à élastique et en passant devant le patron, je lui dis, montre ta pièce d’identité, c’est juste pour contrôler ton âge, il était bon de quelques semaines, tout désorienté, il n’a même pas payé les bas, je lui ai fait une prestation gratuite comme il voulait, en lui laissant mes jambes à caresser au départ, puis mes seins ensuite.

Nous sommes revenues plusieurs fois avec la cousine, un jour, elle m’appelle pour me dire qu’elle allait le quitter, qu’elle en avait marre, etc. Je lui dis, ne fais rien, on va élucider un plan, je te vois dans 2 jours, le plan, c’était que son divorce soit à ses torts, qu’elle ait 50/50 avec une pension mensuelle pour toutes ses années à faire la bonniche.

Son salaire allait sur un compte à son seul nom, j’ai dû lui prendre un avocat qui a aidé au déroulement adéquat, pour justifier son changement d’adresse aussi loin, je l’ai embauché au SMIC, pour qu’elle ait une pension plus élevée que si elle avait un salaire plus confortable, elle a tout obtenu, elle aurait pu avoir plus, mais elle a dit, « il ne m’a jamais frappée et je ne veux que mon dû, pas le mettre à poil ».

Maintenant, cette cousine vit chez nous, elle n’a pas envie de partir, et nous non plus, elle m’a accompagné (voir, ça a commencé au ciné) et maintenant chez la femme du cocu, nous arrivons un vendredi soir avec des pizzas, toutes les 3, la cousine, marie et moi, sachant que lui, à 18 h, il part pour dîner avec sa maîtresse sur la route.

A suivre.
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Histoire de annizette

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