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Mari volage et cocu 7

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Lue : 665 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/02/2022

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Un après-midi, arrivant à l’improviste comme souvent, content de me voir, pensant que je vais encore faire une visite chez quelqu’un, je leur dis, je vois que vous tenez vos engagements, c'est bien, il dit, "on a des compensations qui nous motivent fortement, si vous voyez ce qu'on veut dire", je vois ça aussi que je réponds.


De la chaise, son copain a vu sur mes fesses, celui à côté de me dit tout bas, "je vous déshabille ou vous voulez le faire vous-même", je dis, et vous, il me lâche et va s'asseoir à coté de l'autre qui lui dit, qu'est ce qu'on fait, on y va, il lui dit non, et me dit, retirez votre chemisier, je le retire et me remets droites après l'avoir posé sur la chaise à côté.


J'étais venue juste pour les surprendre et je suis à leur disposition, enfin à la disposition du débrouillard.


Physiquement, ils se valent, petits, même s'ils font 5 cm de plus que moi, un peu trop enveloppés, et un visage qui ne les classes pas dans les beaux gosses, mais celui-ci, il a quelque chose qui m'interpelle, quoi, ça je n'en sais strictement rien, il m'émoustille, m'hypnotise, me fascine.


Il pourrait me demander n'importe quoi, ce qui me retient un peu, c'est l'autre, qui lui, n’a pas la même aura à mes yeux, ce n'est pas la première fois que je ressens cela, cette envie d'appartenir à quelqu'un le temps d'un orgasme, c'est tombé sur lui, influencé sûrement par les efforts qu'ils ont fait.


Dans la pièce, même si l'autre est là, pour moi, il n'y a que lui et moi, me sortant de mes pensées, il me dit de retirer mon soutien-gorge, je lui obéi, une fois défait, l'autre dit, "ho putain, qu'est ce qu’ils sont beaux", tais toi dit-il, retirez votre jupe maintenant, j'obéis encore, la honte absolue, mais au combien excitante.


Je frissonne et je sens mon entre-jambes qui commence à couler, montant la honte d'un cran et par la même, l'excitation qui s’accentue, le ruissellement accentuant la honte, etc. etc. Heureusement qu'arrivé à un stade, la honte disparaît et il ne reste que l'excitation, le plus timide redit, « ho putain, le string, dit lui de retirer le string » tais toi, lui redit-il, caressez vos seins maintenant, j’obéis encore.


Le timide commence à déboutonner sa braguette, l'autre lui dit, "hé, il n'y a pas le volet-là...", il répond sans comprendre l’allusion, « ils sont ouverts les volets », puis dit, "on y va", l'autre répond, "non", parlant toujours en me reluquant, il dit, « madame Annie a d'autres envies.


Rhabillez-vous, vous avez tenu votre parole, je me rhabille et regrette que ce soit fini, je n'en comprends pas la raison, peut-être veut-il montrer que ce n'est pas un crevard, une fois habillée, ils viennent à côté de moi, entre eux deux, ils me tripotent, mais mon regard est sur le débrouillard, on va vous laisser, vous allez être en retard sinon, va chercher la voiture dit-il à son collègue.


Une fois qu'il est parti, il me dit, « il est rustre, il ne pense qu'à lui, si mettons là, je m'approche et...", finissant sa phrase par un signe de la tête, il attend ma réponse, comprenant, je dis, "chez vous, c'est vous qui décidez... Si personne d'autre n'est là".


A peine dit, aussitôt sa main va à mon sexe, De son coté, je sens qu'il va perdre pied, l'autre a couru jusqu'à ma voiture, on l'entend passer pour aller se garer de façon à être caché par leur maison, je me remets de mes émotions, lui aussi et je rejoins ma voiture ou l'autre me tripote les fesses et les seins pendant que je monte, sachant qu’ils vont dans les bois à tour de rôle, mon débrouillard, c'est le mercredi et vendredi, ce n'est pas systématique mais c'est très fréquent, peut-être est-ce la raison que cela n’a pas été plus loin .

Je n'ai pas pu y aller le jeudi, un rendez-vous en Visio, le samedi non plus, j'avais du monde, par contre le dimanche, j'appelle pour connaitre l'heure ou son mari rentre, entre 17 et 19 h dit-elle, j'ai une solution, 3 h de route, si on appelle 16 h, soit elle l'a au bout du fil, s'il est en retard pour partir, soit à son hôtel, ils renseigneront son heure de départ, ainsi on saura son heure d'arrivée.

Craintive, je la rassure, et le dimanche, j'arrive seule, une copine devait venir, mais elle a dû rester, cette fois-ci, je fais juste un petit passage chez eux ou leurs mains se promènent sur moi, elle les a prévenues que ça ne sera qu'entre fille, qu'il n'y aura pas de défilé pour cause d'incertitude d'horaire.

Après ce pelotage, je rentre chez elle, et elle va fermer les volets, laissant la fenêtre ouverte, elle appelle le cocu et elle l’a dans la chambre, tu m’as appelé lui dit-elle le combiné clignote, il répond que non, sûrement de la pub ou un mauvais numéro, je te fais quoi à manger demande t’elle pour profiter de l’avoir, il lui répond et indique qu’il compte partir dans une bonne demie –heure voire une heure maxi.

Ainsi renseigné, on se dit qu’on a 3 heures devant nous, dans la petite pièce, on étale les tenues et les mettons, nous savons qu’il y a des voyeurs, on s’habille à droite de l’armoire, non visible des volets et on se regarde dans la glace ou là nous sommes vue.

Après la 2 em tenue, je vais derrière elle et lui attrape les seins, héé fait-elle à voix basse sachant qu’on est matée, je l’embrasse dans le cou, chuchotant, « allumons-les », je retire son soutif ensuite, laissant voir ses seins, je mets ma main entre ses cuisses, c’est tout trempé, mais elle se retourne pour que j’arrête.

Allez à toi d’essayer, tient, celle-là dit-elle, je mets la jupe là où je ne suis pas vue, pendant qu’elle se rhabille, me mettant devant la glace, mais pas devant complètement, plus sur le côté fenêtre pour me voir, à son tour, elle passe derrière en disant, « à moi maintenant, je me venge », elle me malaxe les seins à travers le soutif puis le dégrafe ensuite, mes seins sont à nouveau à la vue de ceux derrière les volets.

Elle me tripote les seins longuement, je me laisse faire, et comme nous sommes plus côté fenêtre, nous ne voyons rien dans le miroir, par contre les voyeurs sont aux premières loges, je regarde vers eux en souriant, je saurais plus tard qu’ils m’ont vue leur faire signe.

Se doutant du décalage par rapport au miroir, elle continue et défait ma jupe, je reste debout en levant les pieds pour qu’elle la remette sur le lit, je fixe toujours la fenêtre, elle revient derrière moi pour me tripoter à nouveau les seins, puis me baisse le string, je lève encore les pieds pour qu’il soit posé sur le lit.

Elle me tripote encore les seins, et passe sa main entre mes cuisses, contrairement à elle, je ne me pousse pas, je profite de la caresse, dans ma tête le spectacle est pour le débrouillard, je gémis de la caresse intime et comme elle allait s’arrêter, je lui dis de continuer, se doutant de mon intention, mais n’étant pas prête, elle dit, « ha toi alors, aller, on se rhabille et on va voir nos voyeurs".

Nous nous remettons en jupe, chemisier, porte jarretelle, string et soutif, ce qui leur laisse le temps d’aller se préparer à nous recevoir, quand on arrive, on n'a même pas le temps de frapper que la porte s’ouvre, le débrouillard dit, je vous ai vu arriver quand j’étais à l’évier, justifiant la raison pour que l’autre a ouvert en vitesse, car notre visite n’était pas prévue.

On s’installe sur le canapé, eux sur une chaise en face, ils matent sans retenue maintenant et on fait tout pour, elle se calque sur moi, je fais, « on leur dit de venir nous caresser les cuisses » ho Annie dit elle, je fais un signe à leur encontre et en quelques nanosecondes, le rustre surtout, est à mes pieds, le débrouillard est à ceux de la copine.

Non pas que je sois préférée physiquement, ni mieux, mais le rustre ne se gênera pas, il sait que je suis beaucoup moins farouche, le débrouillard relève lentement la jupe de la copine, le rustre lui, c’est d’un coup, il se fait reprendre par l’autre, doucement, fait tout en douceur.

Je le reprends à mon tour, « oui ne filez pas nos bas, aller, on remet les jupes comme c’était, voilà, on la relève lentement, voilà comme cela, maintenant, on caresse les jambes, tout en douceur, vous n’avez pas besoin de courir comme pour nous violer, puisque c’est nous qui vous disons de le faire, promis on ne se sauvera pas, oui comme ça les caresses, vous n’avez ni train, ni avions à prendre ».

Je poursuis, « oui comme ça, ni trop lent, ni trop rapide, cela doit être un plaisir pour vous et pour nous, vous vous arrêterez quand vous en aurez marre », le débrouillard dit, « on a donc toute l’année », l’autre dit, « au moins, parce qu’en avoir marre, ça ne va pas arriver tout de suite, vous êtes trop belles ».

Je dis à la copine, « vois comme ils sont gentils, serviables et galants, ne rechignant pas à la tache », d’un coup, elle fait ho avec un soubresaut, elle me regarde en faisant une mimique avec ses yeux, la caresse a été trop haut, son peloteur commence à dire, « je m’excuse ma… », je le coupe, « ne vous excusez pas, ça peut arriver et heureusement, aller continuez.

M’adressant à elle, « il ne te fait pas autant d’effet ton bonhomme », même en faisant plus fort, il n'y a pas de danger dit-elle, m’adressant au débrouillard, je lui dis, recommencez, il me regarde voir s’il a bien compris, je confirme et il recommence, moins surprise, elle me regarde, je fais, encore, aller encore, maintenant à chaque remontée.

Ses cuisses se serraient à chaque remontée de main, maintenant elles restent ouvertes, elle bouge son bassin, de mon côté, le rustre lui, n’avait pas perdu de temps, à la 2eme remontée, il avait déjà été trop haut et moi aussi, je gesticulais.

Ma préférence va au débrouillard, mais le rustre ne m’est pas antipathique, j’aime bien dire non, mais qu’on continue encore, mon mari dit, il y a le "NON" gentil et le "NON" méchant, au gentil, je continue, au méchant, j’arrête, je n’ai pas souvenance d’avoir dit des "NON" méchants dans mon existence, par contre des "NON" gentils, je n'en ai pas été avare, je les disais du plus gentiment possible pour pas qu’ils soient pris au sérieux.

Avec mon amant, devenu mari actuel, au début, il me disait, « une petite sieste crapuleuse », je disais "ha non", mais en me déshabillant, une fois sur le lit, je lui dis, « je n’avais pas dit « non », il répondait, « si, mais si peu crédible que je n’en ai pas tenue compte ».

Le rustre remonte par l’entrecuisse et redescend par les côtés, maintenant vous allez nous retirer les bas, aller doucement aussi, on a envie de sentir vos mains en direct sur notre peau, la copine me roule des yeux pour dire que ce n’est pas « ON » mais moi qui ai envie, mais je la mêle toujours, car elle n’ose pas, le rustre monte ses mains et me fait sentir son doigt sur le string, je ne bouge pas, sûrement pareil à coté, mais je ne le vois pas.

L’autre jambe a droit au même traitement, puis ils nous caressent les jambes et cuisses en complimentant, la copine peine à contenir ce qu’elle ressent, je lui attrape la main, et approchant l’autre, je lui prends aussi, on se cramponne l’une à l’autre, jusqu’au moment où mon bras lui attrape la tête que je colle contre la mienne.


C’est bon, dis-je, elle ne répond pas, la force de ses soubresauts sont clair, on profite des caresses et je dis, ¼ d’heure passé, changement de place les hommes, le rustre va avec elle et moi, j’ai l’autre, il me caresse d’une main, celle du cote de la copine, son autre main reste en haut et son doigt me frotte le string.

J’ai repris la tête de la copine qui me chuchote « hooo Annie », elle a déconnectée, elle compte sur moi pour rester maître de la situation, je dis tout haut, continuez, on apprécie, ma tête est devant la sienne, nos oreilles sont collées à l’autre, je vois le rustre et lui fait signe que c’est bien.

Vous êtes autorisés à toucher le string, dis-je, retenant le soubresaut de la copine à cet énoncé, le débrouillard me le tire en ayant passé son doigt sur le devant, j’écarte ma jambe extérieure pour lui faire comprendre qu’il peut aller encore plus loin.

Son doigt, passant derrière le string, descend vers mon sexe, sensation garantie, je reçois comme une décharge de 1000 volts, ma jambe écartée se resserre sur l’autre, coinçant sa main, il attend et peu à peu, j’écarte à nouveau ma jambe pour lui laisser tout mouvement.

La copine n’est pas en reste, le rustre aussi doit être dans une configuration approchante ou similaire, la copine me serre, à croire qu’elle a peur de tomber par terre, elle risque plus de succomber que de tomber.

Sentant son doigt, je sais que je mouille, ça me coule même dans la raie des fesses, je vais trop vite dis-je dans ma tête, mais le plaisir est trop intense, son doigt me caressait entre les lèvres, et le voilà qui s’insinue très doucement à l’intérieur.

J’ai un sursaut de plaisir, elle aussi, on se cramponne l’une à l’autre, tournant la tête pour voir mon débrouillard, je m’aperçois qu’ils communiquent entre eux par gestes, je n’ai plus aucun doute, elle a pareil que moi, je remets ma tête vers elle, sa bouche est ouverte, elle est très belle cette femme et de la voir excitée ainsi, je mets mes lèvres sur les siennes et on s’embrasse mêlant nos langues.

Nos « doigteurs » s’en aperçoivent et cela les excitent, leur but à présent est, nous faire jouir, ils nous savent à leur volonté, ils savent qu’ils viennent de franchir un cap et qu’il n’y aura pas de retour en arrière, la prochaine fois, la limite sera ce qu’ils ont aujourd’hui, les 2 sont droitiers, ils se mettent sur le côté pour être à leur main et ils nous doigtent en s’activant.

Nous sommes foutues toutes les deux, on se lâche pour se mettre droite et de façon la plus confortable pour ceux qui nous prodigue ce bien fait, nous les encourageons avec des plus vite, plus fort, encore, haaaa, c’est bon, nos bassins ont glissés vers le bord du canapé, pour mieux sentir leur doigt, on a relevé plus notre jupe, notre string est entièrement à leur vue.


Le débrouillard lui dit, « on le retire », leur doigt sorte, on a entendu ce qu’ils veulent et on les aide, une fois enlevé complètement, ils recommencent, là, ils vont plus profond, n’étant plus gênés, je dégrafe mon chemisier et sort mes seins par-dessous.

Le débrouillard passe sa main derrière moi et réussi après quelques tâtonnements à le retirer d’une main, le soutif est dessous les seins, le rustre n’est pas en reste, la copine n’ose dire non, elle laisse faire, lui aussi tâtonne, mais réussi, nos seins sont pelotés, triturés, la copine n’a plus de pudeur, je fais un geste avec ma langue au débrouillard qui comprend, il s’accroupit et me fait un cunni.

Le rustre calque, elle hésite, me regarde, et comme elle ne l’arrête pas, elle a son cunni, leur inexpérience est compensé par l’abstinence, il nous bouffe littéralement, tels des chiens nourris pendant des mois au yaourt et à qui on vient de donner un morceau de viande, nous sommes obligées de les retenir en poussant leur tête sur notre chatte pour atténuer le plaisir qui est insupportable.

Chacune de nous ne s’occupe que d’elle et de notre bienfaiteur, je ne tarde pas à jouir, de m’entendre sûrement, la copine se lâche aussi et toutes les deux nous crions notre jouissance, le pic est passé, mais l’excitation est encore là, ils continuent à nous sucer, entre eux et nous, il n’y a plus de retenus, on les encourage.

Oui encore, continuez, un autre arrive, nous bouffant comme des crevards, le second orgasme ne tarde pas, nous l’accueillons en hurlant, ils étaient prêts à continuer, mais on avait notre souffle à reprendre.

Affalée sur le canapé, elle regarde l’heure et crie, « Annieeee, c’est l’heure", elle se rhabille en vitesse et en sortant, elle écoute la route, pas de bruit, elle fonce dans sa maison et nous appelle, le garde me la passe et en palabrant sur les pauvres qui vont devoir se la mettre sur l’oreille, j’allais continuer et j’entends, le v’là, le v’là, raccroche dis-je, il arrive.

Le rustre sort pour ouvrir le portail et l’aider, je prends mon chemisier que je n’avais pas encore mis et je vais dans une chambre, celle du débrouillard coté route, j’entends la voiture rentrer, je m’habille, heureusement qu’on avait tout rangé me dis-je, sa femme partait à la douche quand j’ai raccroché, la douche va effacer toute trace.

Il rentre chez lui, on attend, le débrouillard fait celui affairé à l’évier et me dit chaque geste qu’il fait, ils déchargent la voiture, il rentre, ça y est il est rentré, le rustre revient, il dit, ouffff, on a eu chaud, habillée, le débrouillard va me chercher la voiture, je sors en même temps que lui.

Je me cache derrière leur maison, quand ma voiture arrive, presque en roue libre, je monte en vitesse et je démarre lentement pour ne pas faire de bruit, en rentrant, je me dis, j’espère que pour elle, çà c’est bien passé aussi, j’en ai la confirmation le lendemain soir, ou mon mari m’explique leur soirée minable.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Mari volage et cocu 7

Le 26/02/2022 - 22:00 par criloulou
trop content de te relire enfin Annie, tes histoires sont toujours aussi palpitantes à lire...

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