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Marion 1 - Job d'été

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/03/2024

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Arrivée en terminale littéraire avec option arts graphiques, je suis une jeune studieuse, ayant quelques amies bien choisies, pas du tout fêtarde, et ne pensant qu’à mon avenir. Je suis aussi assez timide, ne m’imposant jamais en groupe même si je sais faire valoir mon point de vue, très pudique et toujours vierge ; à ce sujet, je n’ai jamais joui et ne pense pas au sexe même si, depuis mes dix-sept ans, je prends la pilule sur demande de ma mère. J’ai choisi une orientation vers une école de photographie, mes parents pouvant me l’offrir quand bien même mon frère ainé poursuit ses études d’architecte. Née en mai, donc majeure en juillet, j’ai postulé (par écrit) pour un job d’été chez le photographe le plus tendance de la ville. Courant juin, il m’a invitée à le rencontrer afin d’éventuellement conclure un accord. Alors qu’il fait déjà très chaud et que des épisodes caniculaires sont prévisibles pour l’été, je me présente en pantalon noir orné d’une ceinture métallique dorée et blouse blanche ras du cou rentrant dans le pantalon. Ce photographe qui approche les 40 ans, parait plus jeune que ce à quoi je m’attendais. Il est à peine plus grand que moi, plutôt mince et porte un short en jean et un tee-shirt au col en V. Après que je me sois présentée, il m’invite dans son bureau en me disant qu’il s’appelle Christian et que l’on doit se tutoyer. Il m’explique qu’il me reçoit en premier car, au vu de mon orientation future, il pense que je vais m’impliquer un peu plus. Il m’informe qu’il ne me prend que si c’est pour huit semaines. Je lui réponds aussitôt que j’accepte (tant pis pour les deux semaines de vacances avec les parents ; je resterai avec mon frère). Je travaillerai 35 h par semaine : de 8h à 12h et de 15h à 18h du mardi au vendredi et de 8h à 13h et de 15h à 17h le samedi. Sur la pose du midi, je pourrai soit rentrer manger chez moi, soit amener un repas froid et manger avec lui, auquel cas il consacrera une à deux heures chaque jour à me former. Son lundi, il le consacre soit à des photos d’extérieur pour lui, soit à des prises de vue pour des clients voulant être pris en extérieur, soit à ses photos de studios pour lesquelles j’aurai des explications lors de la visite des lieux. Il me dit que si je veux l’accompagner bénévolement le lundi, je serai toujours la bienvenue mais qu’il n’y aura jamais d’obligation. Je lui dis immédiatement que je suis enthousiasmée par ses propositions. Il sourit et me dit que nous allons visiter les lieux afin que je comprenne bien ses quatre principales activités. Tout d’abord la boutique comprenant, outre le comptoir et sa caisse, un espace photos d’identité, un espace matériel en vente et un espace tirage avec plusieurs machines permettant de tirer des photos depuis le format identité jusqu’au format un mètre cinquante sur deux mètres. Ensuite, il y a une pièce, côtoyant son bureau, fermée par un simple rideau comprenant une chaise et un fauteuil placés devant un mur vert où l’on trouve un appareil photo sur pied et un autre prêt à prendre en main en sus de quatre parapluies lumineux ; cette pièce est dédiée aux portraits. La pièce suivante est assez petite et ne contient qu’un immense bureau avec huit grands écrans reliés à des tours informatiques, c’est son centre de post traitement. Nous accédons ensuite à une pièce plus grande avec une estrade verte posée devant un mur vert, un appareil photo sur pied et deux autres posés sur une petite commode ainsi que six parapluies pour la lumière ; dans un coin des portants. Il m’explique que dans cette pièce il fait ses shootings de vêtements pour deux boutiques en ligne avec qui il travaille et ajoute que, si je suis intéressée, j’ai un physique qui correspond bien et que c’est bien payé. Je ne réponds pas mais je sais que je ne suis pas prête à me montrer ainsi. Vient enfin la dernière pièce meublée d’un banc en bois, d’un confortable fauteuil, d’une méridienne et d’un lit à baldaquin. Cette pièce est consacrée aux photos de boudoir. Devant mon air d’incompréhension, il me dit que ce sont des photos de femmes plus ou moins déshabillées qui, en n’étant jamais pornos, sont très sexies. Me voyant embarrassée, il sourit. Il me montre aussi une pièce de confort où il prend ses repas : table, chaises, frigo, bouilloire et machine à expresso ainsi qu’une salle d’eau avec WC. Nous revenons à son bureau pour signer, si je le veux, un contrat de travail. Evidemment, trop heureuse de l’aubaine, je signe aussitôt. A ce moment, il me dit qu’il tient dès le départ à aborder un autre sujet : ma tenue vestimentaire. Il m’explique que ses clients viennent pour se voir eux et non lui ou moi. Il me demande de n’être ni trop chique comme aujourd’hui, ni trop voyante, ce qui me convient parfaitement. Il ajoute que vu les chaleurs qui s’annoncent, il me conseille d’éviter le pantalon et qu’un short ville ou une jupe pas trop courte surmontés d’un simple tee-shirt laissé sur la ceinture devraient et m’empêcher d’avoir trop chaud et me permettre de laisser mon corps hors du champ d’attirance. J’acquiesce et le remercie pour ses conseils. Nous nous levons et il me prend dans ses bras et m’embrasse sur les deux joues en me caressant légèrement le dos. Il sent ma réaction de surprise et m’explique qu’il est très câlin et très tactile mais que, si ça me gêne, il suffit de le lui dire pour qu’il fasse attention. Je ne dis rien et le remercie de me faire confiance. Je le quitte impatiente d’être à l’été mais je sais qu’avant il me faut encore travailler pour décrocher mon bac.
Je suis très heureuse quand je commence ce job d’été le mercredi premier juillet, bac en poche. Je suis vêtue d’un short long en jean marine et d’un tee-shirt blanc à col arrondi, sans oublier mon soutien-gorge à coque (je n’ai que ça). Christian m’accueille avec le sourire et me prend dans ses bras pour un câlin avec caresses dans le dos et bisou sur chaque joue après que j’aie déposé mon casse-croûte dans le frigo. Après m’avoir félicitée pour mon bac, il me montre le fonctionnement du tiroir-caisse et, en l’absence de clients, le fonctionnement des ordinateurs pour les tirages des photos que les clients amènent soit sur clef USB soit sur carte mémoire voire directement en amenant leur appareil photo. La matinée passe rapidement, Laurent s’est occupé des clients ayant besoin de photos d’identité et j’ai réussi à vendre un appareil photo premier prix à une vieille dame. Nous sommes en train de manger quand il me dit qu’il a remarqué plusieurs regards appuyés sur ma poitrine. Je rougis immédiatement. Il sourit et, en mettant une main sur mon genou, m’explique qu’un soutien-gorge avec coque donne une épaisseur voyante et que le meilleur moyen que j’ai c’est soi de ne pas avoir de coque, soit de ne pas porter de soutien-gorge, mon tee-shirt devant être assez épais pour cacher mes seins sauf si j’ai des tétons très marqués. Je suis rouge de confusion mais il fait comme si de rien n’était et me propose un café avant de passer à mon premier apprentissage : les photos d’identité. Je réfléchis rapidement et, pendant qu’il boit son café, je vais dans la salle d’eau et retire mon soutien-gorge ; je me regarde dans la glace et constate qu’on ne voit rien, mes tétons très peu marqués ne pointant que lorsque j’ai froid. Je reste ainsi et le rejoins pour notre séance de travail. Il est passionnant et m’apprend beaucoup de techniques ; je suis à fond dans ces découvertes et oublie que mes seins sont nus sous le tee-shirt. Il ne me dit rien à ce sujet. En me prenant dans ses bras, il me félicite pour mon écoute et ma concentration et me dit que, dès l’après-midi, je pourrai faire les photos d’identité. Je suis très heureuse et ne pense qu’à ces nouvelles responsabilités. Je sais déjà que l’on va vraiment bien s’entendre. Ce n’est que le soir, au moment du départ, quand il m’a prise dans ses bras qu’il m’a dit mezzo voce que j’étais beaucoup mieux sans soutien-gorge. Ayant oublié ma gêne du départ, je la retrouve immédiatement mais je souris et lui dis merci. Il passe alors une main sous mon tee-shirt pour me caresser le dos et m’embrasse dans le cou. Etonnamment, je ne suis ni choquée, ni tétanisée ; je me contente de sourire et de lui souhaiter une bonne soirée. Le soir, allongée dans mon lit, je réfléchis à ma journée, comme je le fais chaque soir depuis longtemps, et suis obligée de m’avouer que j’aime les câlins de Christian et qu’être seins nus sous le tee-shirt n’est pas désagréable, surtout par les fortes chaleurs que nous connaissons.
Le lendemain, jeudi, je m’habille sans prendre de soutien-gorge, bien décidée à continuer ainsi. Mon tee-shirt est un peu plus large et a un col légèrement en V. A mon arrivée, il me prend dans ses bras, ses deux mains sous le tee-shirt remontant haut dans mon dos et m’embrasse sur les deux joues et dans le cou. Je me serre contre lui en signe d’assentiment. Les clients sont nombreux, j’ai plusieurs photos d’identité à réaliser et midi arrive sans que j’aie vu le temps passer. Lors de notre pause prandiale, il veut me former aux portraits. Après quelques explications techniques, il me fait poser et prend une série de clichés avec ses deux appareils ; pour certains, il soulève légèrement mon tee-shirt et le noue devant découvrant ainsi mon ventre qu’il caresse au passage. Puis vient mon tour de le photographier comme je l’entends. Après cette séance, nous n’avons pas le temps de travailler nos photos et nous le promettons pour le lendemain. Il s’approche de moi pour dénouer mon tee-shirt et en profite pour me caresser longuement le dos et le ventre pour mon plus grand plaisir. L’après-midi est bien chargée et quand arrivent dix-huit heures, je suis contente de rentrer chez moi après un dernier câlin avec caresses et bisous. Lors de mon bilan quotidien avant de m’endormir, je prends conscience de mon évolution personnelle dans mon ressenti vis-à-vis de mon corps et du plaisir que l’on a dans les bras d’un autre.
Le vendredi, j’arrive au travail, vêtue d’un short gris un peu plus court que mon short en jean mais pas ras les fesses et d’un tee-shirt rouge légèrement moulant. Il m’accueille avec le sourire et m’enlace pour un tendre câlin en remontant mon tee-shirt car il le trouve un peu serré et ne veut pas l’élargir. Sa boutique est très fréquentée et le travail ne manque pas. Midi arrive sans avoir un seul instant pour bavarder. Notre repas rapidement avalé, nous partons en salle de montage. Comme je connais déjà le logiciel de retouche qu’il utilise, nous nous installons chacun devant un ordinateur pour travailler les photos que nous avons prises la veille ; il travaille sur mes portraits et moi sur les siens. Je suis trop concentrée pour regarder ses écrans et suis surprise quand il se positionne derrière moi en me caressant les genoux pour me dire qu’il est l’heure d’arrêter et que nous finirons le lendemain. L’après-midi est un peu plus calme et il prend le temps de me dire qu’il apprécie beaucoup mon contact avec les clients. Nous nous quittons le soir après un dernier câlin et les trois bisous habituels : les deux joues et le cou ; pour ma part, je l’embrasse sur les joues.
Le samedi matin est la période la plus intense de la semaine. Je suis vêtue comme la veille si ce n’est que mon tee-shirt est jaune (c’est le jumeau du rouge). Le midi, la pose étant plus courte, je me précipite pour terminer mes retouches sur les portraits ; Laurent m’assiste car il a fini, l’expérience lui permettant de travailler plus vite que moi. Nous décidons alors de projeter en grand nos réalisations. Je commence par mes photos ; Laurent me félicite et me dit qu’il va en tirer un pour offrir à sa mère. Il projette ensuite ses photos. Je suis surprise de me trouver belle ; je me vois sous un jour que je n’avais jamais perçu. Je suis très touchée et le lui dis. Il me prend dans ses bras en me caressant et, après un bisou dans le cou, me dit qu’il m’offre ces photos et que, si j’en veux une en grand, il me la tirera ; il enchaine en m’expliquant qu’il veut me faire un book où on trouvera ses photos de moi, avec sa signature et mes photos avec ma signature. Ce n’est que du bonheur et je finis l’après-midi radieuse. Avant de partir, il m’informe que lundi, il part pour une courte randonnée afin de faire des clichés au bord d’un ruisseau en sous-bois et m’invite à venir si je le désire. Bien entendu j’accepte. Rendez-vous est pris à 9h devant la boutique en tenue de rando et en n’oubliant ni le pique-nique ni l’eau en bonne quantité vu le climat.
Le lundi, je m’équipe d’un vieux short en jean un peu court, d’une brassière pour le sport et d’un vieux tee-shirt tout déformé. A mon arrivée, il m’attend près de sa voiture en ayant déjà chargé son matériel photo. Je n’ai le droit qu’à un rapide bisou et nous partons. Après une petite heure de route, nous arrivons sur un parking en bord de forêt. Nous nous équipons et empruntons un chemin de randonnée balisé où nous croisons quelques personnes. Après une demi-heure de marche, il jette un coup d’œil pour s’assurer que nous sommes seuls puis me fait signe de quitter le sentier et de le suivre à travers les fougères. Quelques minutes plus tard, déjà cachés par la végétation, nous trouvons un mini sentier que nous empruntons pendant trois-quarts d’heure. Brusquement le sentier s’arrête dans une toute petite clairière dans le creux du coude d’un cours d’eau. Il y a beaucoup de lumière chatoyant sur l’eau du ruisseau et aussi beaucoup de jeux d’ombres avec les arbres, c’est l’endroit idéal pour de belles photos. Nous nous en donnons à cœur joie. A un moment, il me demande de prendre quelques poses près d’une souche ou sur un rocher au bord de l’eau avant que nous nous restaurions. Après ce pique-nique, alors que nous sommes assis, il me prend dans ses bras et, passant la main sous mon tee-shirt, s’aperçoit que je porte une brassière. Il me dit aussitôt qu’il le regrette car il préfère le contact de ma peau. Je ris et lui propose de la retirer en lui précisant qu’il ne verra que mon dos. Il accepte mais me dit qu’il va me photographier. J’hésite un instant puis lui donne mon accord s’il m’assure ne pas chercher à voir et encore moins à photographier ma poitrine. Il sourit et me rassure. Il me demande d’être debout face au ruisseau et se place dans mon dos. L’appareil cliquète aussitôt et, tout en me mitraillant, il me dit d’enlever lentement mon tee-shirt. Je m’exécute et attends la suite. Après quelques secondes d’immobilité, il me dit d’enlever ma brassière. Je le fais le plus lentement possible ; il m’arrête par moments pour me saisir dans une pose donnée puis me fait continuer. A chacune de ses demandes, j’obéis sans poser de questions. Assez vite, je me retrouve torse nu en pleine nature pour la première fois de ma vie et de le sentir derrière moi me fait frissonner. Enfin il me dit de me rhabiller. Il vient alors face à moi ; il m’enlace en soulevant le dos de mon tee-shirt pour me caresser librement. Je lui souris et me colle à lui. Il me propose alors d’autres photos. Il me fait allonger sur le ventre, la main tendue vers l’eau et mon tee-shirt remonté très haut puis il me demande de l’enlever ; comme il ne va me voir que de dos, j’accepte. Alors que je vais pour me rhabiller, il me demande d’attendre. Il pose au sol une serviette de bain et me demande de m’y allonger sur le dos en mettant mon tee-shirt en bandeau sur mes seins. J’avoue être un peu stressée en le faisant. Il s’agenouille à mon côté et me caresse le ventre en m’assurant qu’il ne découvrira pas ma poitrine. Il me fait poser mes mains parfois sur mon ventre, parfois au sol comme si je dormais. Après plusieurs clichés, il me demande si j’accepte de déboutonner mon short pour qu’on aperçoive ma culotte. Me sentant hésiter, il pose la main sur le premier bouton et me dit qu’il n’ira pas plus loin. Je murmure un oui. Aussitôt il me déboutonne et écarte bien les bords du short pour découvrir ma culotte blanche ornée de fraises. Il me dit que je suis très jolie ainsi et que cette culotte correspond vraiment à qui je suis, qu’il aurait été surpris de me voir vêtue d’un dessous érotique. Je souris et nous reprenons nos photos. Pour ma dernière pose, il me demande de poser ma main sur mon ventre avec le majeur glissé sous l’élastique de la culotte, comme si je voulais me caresser. A ce moment, je ne réfléchis plus et continue à obéir à ses consignes. Ce n’est qu’après m’être rhabillée que je rougis à l’idée de ce que je viens de faire. Il me remercie de m’être prêtée au jeu en me câlinant et nous rentrons. Le long du trajet, nous parlons de ces photos, il m’explique son point de vue en me caressant les cuisses. Arrivés au studio, nous chargeons nos photos sur les ordis et faisons quelques retouches de lumière avant de les visualiser. Il me félicite pour mon coup d’œil et m’avoue qu’il est admiratif. Il projette alors ses photos de moi. J’avoue ne pas être choquée par celles où on me voit lascive et reconnais qu’elles évoquent beaucoup plus le romantisme que l’érotisme. Il est heureux et me caresse longuement pour me dire au revoir. Le soir, dans mon lit, je m’avoue que j’ai aimé cette promenade, cette première approche du mannequinat, voire même ces quasi photos de boudoir.
Cette semaine fut, comme la précédente, bien remplie de travail, de découvertes et d’apprentissages mais aussi de câlins, de caresses et de bisous que j’apprécie de plus en plus. Au moment de partir, le samedi soir, Christian me prévient que le lundi il doit faire une série de photos de robes avec un de ses mannequins et il me demande si cela m’intéresse. Je lui réponds par l’affirmative.
Le lundi, j’arrive dès 9h, même si les prises ne commencent qu’à 10h. Nous prenons le temps d’un câlin puis préparons les robes dans l’ordre qu’il décide. Pendant la séance, je ne me contente pas de le regarder. Tentant de comprendre les poses qu’il demande à la jeune femme portant les robes, en plus de lui tenir l’appareil portatif quand il se sert de celui sur pied, je n’hésite pas à aller repositionner une robe sur le corps du mannequin pour éviter soit un pli soit une ombre ou à déplacer un projecteur… C’est passionnant et dès midi nous avons terminé. Il me remercie de l’avance que je lui fais prendre. L’après-midi, il s’attaque au post-traitement des clichés du matin. Vers 15h, il s’arrête en me disant qu’il finira le lendemain et que je tiendrai la boutique seule. Il me dit qu’il veut compléter mon book et qui, si je l’accepte, il aimerait faire quelques vraies photos de boudoir. Comme j’hésite, il me prend dans ses bras et, les mains sous mon tee-shirt, me caresse tendrement. J’ai besoin d’en savoir plus :
- Qu’attends-tu de moi ?
- Tu te mets torse nu, allongée sur le ventre sur le lit, et tu prends un livre. Je ne photographie que ton dos et ne vois pas ta poitrine.
- C’est comme celle qu’on a fait près de la rivière ?
- Oui, pour commencer…
- (En riant) Parce qu’il y a un après ?
- Oui, la même mais sans le short !
- Si ça continue, je vais finir nue !
- Non, aucun risque. Je ne fais que des photos de boudoir. Pas de porno avec moi !
Je me serre contre lui, ses mains enserrent mes omoplates, et je lui dis que je lui fais confiance. Tout en le disant, je m’étonne en moi-même de faire fi de ma pudeur.
Nous passons dans la salle aménagée. Je me mets pieds nus et, lui tournant le dos, ôte mon tee-shirt. Je mets un bras devant ma poitrine pour me diriger vers le lit. Je m’allonge, il me donne un livre que j’ouvre au hasard et j’entends l’appareil photo cliqueter. Il fait plusieurs clichés, jambes tendues, jambes pliées, jambes relevées avec les pieds en l’air etc. Puis vient le moment d’enlever le short. Je me mets à genoux sur le lit et, comme il vient vers moi, je barre ma poitrine avec un bras. Il s’assoit devant moi et me déboutonne mon short avant de le baisser en faisant attention à ne pas baisser ma culotte. Je suis un peu gourde, immobilisée par mes émotions : c’est la première fois qu’on me déshabille. Il me dit de me rallonger en finissant de m’ôter mon short. Pendant qu’il va le poser avec mon tee-shirt, je retends ma culotte (celle-ci est aussi blanche mais ornée de petits dessins multicolores). Il se retourne et revient vers moi. Il m’explique que je ne dois pas tendre ma culotte car ça ne fait pas naturel ; il pose alors une main sur mes fesses et la bouge dans tous les sens, froissant ma culotte et découvrant partiellement le bas de mes fesses. Il retourne à ses appareils et les clichés s’enchainent. Parfois il vient repositionner ma culotte différemment me découvrant plus ou moins sans que je réagisse. Après un moment, il me dit qu’on peut arrêter là mais qu’il a une idée de série : je reste dans cette tenue, lâche le livre et me positionne comme si je dormais. Je dois me souvenir de cette position car chaque jour nous referons la même photo avec une culotte différente. Amusée par le concept, j’accepte. Nous déterminons une pose et il en profite pour m’enfoncer une partie de la culotte dans la raie des fesses, découvrant largement une fesse. Après que je me sois rhabillée, il m’invite à découvrir les photos à l’état brut. Je suis debout à sa gauche, il est assis devant un ordinateur et fait lentement défiler les photos de la main droite, la gauche étant glissée dans le bas de mon dos et, parfois, sur mes fesses. Je suis étonnée du résultat et ne trouve aucune vulgarité dans ce que je vois mais plutôt de la sensualité. Même lorsqu’une fesse est plus ou moins découverte, la photo invite plus à la discrétion du voyeur ne voulant pas déranger cette femme lascive que j’incarne. Lors de mon auto bilan vespéral, je ressens du plaisir à m’être ainsi laissée déshabillée et m’avoue même que ses mains sur mes fesses n’ont rien de désagréable. La semaine va se passer ainsi. Je suis souvent seule en boutique car il me fait confiance et tous les midis après un repas rapidement avalé, je pose sur le lit. Dès le mercredi, il m’enlève mon short avant même que nous mangions car il me préfère ainsi et, étrangement, je le laisse faire et ne me rhabille qu’au moment de rouvrir la boutique. Pour la photo du vendredi, il trouve que ma culotte jaune à très fine bordure blanche risque d’être un peu fade et il me propose de la baisser légèrement pour que l’on aperçoive le début de ma raie. J’accepte et le laisse positionner ma culotte comme il l’entend. Il en profite pour passer un doigt sur ma raie me faisant frissonner de plaisir. C’est après cette première caresse directe qu’il a déposé un bisou sur mes lèvres. Le samedi, il m’invite, si je le veux, à participer à une séance où il doit photographier des maillots de bain. Comme d’habitude, j’accepte.
Comme la semaine précédente, j’arrive dès neuf heures pour préparer le shooting de 10h. Il venait d’ouvrir deux cartons pour sortir les maillots et les ranger sur les portants dans l’ordre de ses prises quand le téléphone a sonné dans son bureau. Pour la première fois, je l’ai entendu crier ; je n’entendais pas ce qu’il disait mais sa voix trahissait une grande tension et de la colère. Il a raccroché et est revenu en me disant que c’était foutu, son mannequin venant de l’appeler pour le lâcher sous un faux prétexte alors qu’il doit renvoyer les épreuves dès le mardi à son client. Je le sens tellement désappointé que je me surprends moi-même en réagissant sans réfléchir ; je lui propose de poser. Il me regarde, étonné, puis me sourit en me remerciant et en ajoutant qu’il y a cinq cents euros à la clé. A partir de là, il me précise l’ordre de la séance : maillots une pièce classiques, maillots une pièce échancrés voire sexys puis bikinis allant du classique au micro bikini. Je prends conscience que je viens d’offrir une grande partie de mon corps à la vue de tous et rougis. Vient le moment de commencer ; je réalise alors que je vais aussi me changer, entièrement nue devant lui. Mais n’ayant jamais renoncé après m’être engagée, courageusement je me déshabille en lui tournant le dos. En ôtant ma culotte, je me dis que comme ça, il va pourvoir voir mes fesses entièrement nues. J’enfile le premier maillot (il les a tous reçus en S et en M, ma taille). Il prend quatre photos : une de face, les jambes pas trop serrées, une de dos et une de chaque profil en m’expliquant que certaines photos seront séparées en morceaux au montage (bas de maillot seul, attache de soutien-gorge etc.) ; mes cheveux courts sont un avantage pour bien voir les attaches de dos. Les maillots s’enchainent et je me change en ayant perdu mes premières inhibitions. Il ne me dit rien sur mon corps. Nous en arrivons rapidement aux maillots échancrés et, le premier enfilé, je lui dis que ça va poser problème au niveau du pubis car je ne suis pas épilée. Il sourit et me dit qu’il effacera au post traitement, que je n’ai aucune crainte à avoir là-dessus. Il vient vers moi, me fait un rapide câlin pour me rassurer, passe une main sur mes poils frisés et me dit qu’il m’apprécie comme je suis puis il me tourne et écarte mes fesses pour bien faire rentrer l’arrière du maillot. Encore une fois, je m’étonne moi-même en n’ayant aucun mouvement de fuite. Nous reprenons la séance. Lorsque j’enfile les premiers bikinis, je ne pense même plus à être de dos pour me changer ; il fait comme s’il ne voyait pas ma nudité. Après des bikinis classiques, les bas deviennent plus étroits, avec de moins en moins de tissu sur les fesses mais je continue sans réfléchir jusqu’au dernier, un micro bikini ne mettant qu’un mini triangle de tissu sur chaque pointe de sein et devant mon sexe. La dernière photo prise dans ce micro bikini, il me rejoint, m’enlace et, en me caressant le dos et les fesses et m’embrasse d’un vrai baiser. Il me lâche et me demande si je suis prête pour ma photo quotidienne. J’acquiesce et vais me changer pendant qu’il se rend dans le studio du lit. Je le rejoins torse nu, ne portant que ma culotte du jour et prends la pose. Il fait quelques clichée puis s’approche de moi. Je pense qu’il va repositionner ma culotte à son goût mais à la place il me demande de me retourner. Sa main me caresse un sein qui commence à s’ériger sérieusement. Il m’embrasse et je lui rends son baiser. Il ne me pose qu’une question : nue ? Je lui dis oui et soulève le bassin pour qu’il me retire mon dernier rempart. Il prend le temps de me caresser longuement, la poitrine, le ventre, les cuisses, le pubis sans jamais atteindre mon sexe. Je suis de plus en plus tendue, j’ai envie de sentir sa main, son corps sur moi, en moi. Alors qu’il me caresse l’intérieur des cuisses que j’ai grandes ouvertes, je commence à lui ôter son tee-shirt et caresse sa poitrine. Je me sens bien, heureuse et impatiente de la suite tout en étant consciente que nous allons faire l’amour et que ce sera ma première fois. Quand il est nu, il caresse enfin mon sexe délicatement, un doigt effleurant en permanence mon clitoris pendant que deux autres agacent mes lèvres et vont jusqu’à s’introduire légèrement dans mon vagin. Je suis essoufflée par le plaisir intense que je ressens, je n’arrête pas de gémir jusqu’à un point d’extase que j’atteins lorsque son autre main s’occupe de mes seins. Quand mes sens commencent à s’apaiser, sa tête descend entre mes cuisses et jouant de sa langue tant entre mes lèvres que sur mon clitoris, il me fait remonter en pression. Le sentant, il se redresse, se place entre mes jambes et descend sur moi pour m’embrasser, une main guidant son sexe vers mon antre magique. Sa pénétration est douce et lente et me procure beaucoup de plaisir jusqu’au moment où il bute sur mon hymen. Il s’arrête un instant, me regarde dans les yeux et alors que je lui dis ‘’viens’’, il m’embrasse et me transperce. Il y a momentanément une vraie douleur faisant perler quelques larmes au coin de mes yeux mais ses mains excitant mes seins et son pénis imprimant des petits cercles dans mon vagin me font vite retrouver des ondes de plaisir qu’il sent ; il s’adapte à mon rythme et n’accélère que lorsqu’il me sent prête. Le plaisir est intense et, sans en avoir totalement conscience, je crie lorsque que la jouissance m’emporte. Mon cri, mon extase déclenchent son propre plaisir et lorsque je le sens jouir en moi, j’ai une nouvelle vague de bien être qui me parcourt. Nos ébats se finissent par des câlins sous la douche.
Dès le lendemain midi, à peine la porte du magasin fermée, en m’embrassant, il me prend dans ses bras et me déshabille, ne me laissant que ma culotte. Je reste ainsi le temps du repas et pour travailler. Il finit ses retouches sur les photos de la veille où mon visage neutre permet d’oublier le mannequin pour se concentrer sur les maillots ; parfois, il ne garde que le corps, coupant la tête. Il a merveilleusement réussi à gommer mon pubis pour ne laisser qu’une peau ombragée. Vers quatorze heures, il s’arrête et me prend par la main pour m’emmener au lit où, après les photos rituelles, il me déshabille et me fait l’amour différemment de la veille mais avec autant de tendresse et de plaisir pour nous deux. Ce sera, jusqu’à fin août notre rituel quotidien. Seuls les lundis pourront différer en fonction de nos activités…
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Commentaires du récit : Marion 1 - Job d'été

Le 03/04/2024 - 01:29 par alexandre8819
tu racontes suoer bien quel plaisir ça doit être de te connaître je serai ravi de pouvoir échanger avec toi alexandre8819@yahoo.fr

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