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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
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Air d’autoroute
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Comme convenu avec cet inconnu rencontré sur le net, je roule en direction d’une
aire d’autoroute que je connais puisque j’ai déjà eu une rencontre avec un homme.
Le principe est simple, je dois porter une tenue sexy et m’offrir au regard de l’homme
mon corps pour qu’il puisse se masturber en profitant du spectacle.
Nous avions parlé des limites de chacun, de ce que je ne voulais pas et ce que
j’acceptais.
En arrivant dans la zone, je suis passé dans la station service pour faire une dernier
pipi. J’avais fait la meme chose la dernière fois et on sait ce que ca a déclenché, mais
la c’était pas le but, simplement me soulager avant la rencontre.
Ma tenue assez sage en apparence à quand meme fait son petit effet quand je suis
passée devant les hommes entrain de boire un café affalés sur les manges debout près
des distributeurs. Ils ont du remarquer ma robe portefeuille qui s’ouvre largement sur
mes cuisses à chaque pas. Au retour meme histoire mais la j’ai pu observer chacun
d’eux. Des hommes de la route, des couples, des hommes plus soignés.
De retour dans ma voiture je rejoins le lieux de rdv au fond du parking des camions.
A l'abri des regards, il y a un renfoncement de bitume entouré de végétation avec 3
places de camion. Par chance il y a deux places vides, le semi remorque présent
semble inerte avec les rideaux de la cabine tirés.
C’est ce moment d’attente ou je suis emprise de doute sur ma présence et je me dis
que parfois mon gout du sexe et les défis lancé par Paul me font faire n’importe quoi.
Mais maintenant que je suis la, ma fierté m’empêche de quitter les lieux. Je vois un
gros SUV passer au ralenti, faire demi tour et se garer à coté de moi.
Comme à chaque fois, mon coeur s’emballe et mon ventre me tiraille mais surtout,
telle une adolescente, une certaine chaleur monte de mon entre jambe.
L’homme sort de la voiture, c’est bien lui. Il était fidèle au photos reçu, la quarantaine
grisonnante, séduisant et bien fait. Il est habillé d’un pantalon de toile légère, une
chemise blanche et des baskets.
Il a un sourire fort charmant quand il s’approche de mon véhicule.
Notre conversation banal commence alors que je suis assise dans ma voiture, fenêtre
ouverte et lui debout devant la portière.
Les mots dérapent rapidement et il me demande ce que je porte sous ma robe, car il
n’avait pas fait de demande précise sur ma tenue, et m’avait demandé de le
surprendre
- Je vous laisse deviner, et si vous trouvez, je découvre le haut de ma robe.
- En voyant vos jambes, je pense que vous portez des bas, je devine facilement que
vos seins sont libres et je m’hasarde à croire que vous avez un string ou rien du
tout.
En expert, il a tout juste.
Comme promis, j’ouvre le haut de ma robe, glisse le tissu sur mes épaules et lui
expose fièrement mes seins.
Il me flatte en les voyant et me souligne qu’ils sont exactement comme il les aimes.
Sur ces mots, il tend le bras et passe sa main sur ma poitrine comme pour tester sa
fermeté et vérifié ses dires. Ses caresses ont pour effet de faire grossir mes tétons et
de les rendre bien dur, il en profite pour jouer avec. Je me cambre, j’ouvre les cuisses
et profite du moment. Ma robe s’ouvre également et je lui offre la vue de mes cuisses
gainés de nylon.
- Je ne me suis pas trompé, ce sont bien des bas, et j’adore ca. Vous les portez très
bien.
Il ne perd pas de temps et je vois son autre main dégagé sa ceinture, dégrafé son
pantalon, glissé sa main dans son boxer et me présenter son sexe.
Il était déjà bien dressé, de belle taille, proportionné, assez large et circoncis. Un sexe
superbe, comme je les aime, fière, arrogant, brutal et triomphant.
En voyant son sexe pointé dans ma direction je me suis dit que c'était le moment de
lui prouver qu’il avait raison sur tous les points de ma tenue.
Je dégrafe ma robe sur le coté, j’ouvre lentement le premier pan, puis de meme pour
le second et je lui offre ma nudité intégrale.
Il m’observe longuement et me félicite sur ma plastique et mon anatomie. Il ne tarie
pas d’éloge et me couvre de compliment.
La situation l’a encouragé à prendre son sexe en main et à commencer une
masturbation lente et ferme.
Moi je n’ai qu’une idée en tête c'est de prendre cette belle bite dans ma bouche, mais
comme convenu il est le maitre du jeux.
C'est à ce moment précis que 2 hommes ce sont approché bruyamment de notre
cachette. Mon coéquipier à remballé sont sexe et j'ai recouvert mon corps de ma robe,
pour faire bonne figure. J’ai vu dans son regard la déception d’être interrompu dans le
lancement de notre dogging.
Ils n'ont pas mis longtemps à nous rejoindre, un petit brun trapu assez jeune, typé
portugais et un grand blond dans la quarantaine, bien conservé. certainement des
ouvrier que rentraient d’un chantier a voir leur tenue de pantalon de travail à poche et
leur t-shirt plus ou moins propre.
En arrivant plus prêt il nous salut et sans autre introduction, nous demande si ils
peuvent participer.
James (mon rdv officiel) m'interroge des yeux et je lui réponds positivement de la
tête. J'étais déjà bien excitée en arrivant, nos préliminaires m’ont fait monter d’un
cran et dans ces cas la, je ne sais pas dire non. Ils n’avaient pas l’aire méchants ni mal
sains, donc aucun signaux d’alerte pour moi.
James explique alors les règles aux nouveaux arrivants qui ne sont pas du tout
étonnés et qui je pense doivent avoir l’habitude de ce genre de spectacle sur les airs
d’autoroutes.
Comme à chaque fois dans ce genre de délire, je suis toujours surprise comme les
hommes savent prendre leur place et sont naturels fasse à une situation érotique.
Chacun prend sa place, dans l’ordre de l’arrière vers l’avant de la voiture, James, le
petit brun et le grand blond. Je distribue des lingettes désinfectantes aux nouveaux
participants et ils s’appliquent à laver leur main avec.
Une fois tout le monde prêt découvre à nouveau mon corps, j’offre ma nudité à
maintenant 3 hommes me dominant de la vue.
Les deux nouveaux ne tarisse pas déloge sur mon anatomie avec des mots plus ou
moins crus.
James reprend ses caresses sur mes seins et il ressort son sexe à la lumière des
réverbères. Il se relais avec le petit brun qui lui est plus hardi car sa main descend
rapidement sur mon ventre et mon petit rectangle de poil précédant mon sexe.
Dans le meme temps il sort de sa braguette un petit sexe bien large avec un gland
énorme comme un champignon, il me semble pas qu'il soit encore complètement dur,
mais je pense que sa masturbation va l’aider à grossir.
Je passe donc à l’étape suivante, j’écarte les cuisses et commence à leur montrer ma
vulve plus en détails en me caressant doucement l’intérieur des cuisses tout en
insistant sur mes lèvres et mon clitoris.
La tension érotique monte d’un cran, James demande si il peut ouvrir la portière et la
tout va plus vite. Fini les bla-bla et les petites caresses.
Je suis maintenant offerte à leur caresses qui deviennent plus insistantes et précises.
Ils parcourent l’ensemble de mon corps, explore chaque recoin, me palpe les seins le
ventre, caresses mes jambes, ils fouillent mon sexe avez leur doigts sans brutalité
mais de façon prononcé.
Je mouille largement, ils s’en rendent compte et ca les excitent encore plus.
J'ai envie de sexe
Je décide de prendre en main la bite irrésistible de James pendant que le petit trapu
me doigte la chatte sans ménagement. James est aux anges et il abandonne mes seins
pour profiter de mon geste.
Le plus grand est moins hardi que les autres mais il ne loupe pas une miette du
spectacle, il a mis du temps mais il sort enfin son sexe de son pantalon. Il commence
à masturber une tige tout a fait dans la moyenne.
Le moment est chargé d’une intensité sexuelle, James se rapproche de moi pour
reprendre ses caresses, je comprend qu'il demande un peu plus, ce n'était pas prévu
mais je ne résiste pas à l'envie de le prendre en bouche. Il est surpris pas mon action
mais bien entendu ne refuse pas la pipe que je lui offre.
Je le pompe goulûment et je sens qu'il va être très résistant. Le petit trapu ne manque
pas de souligner que c’était pas dans les consignes et je suis : une grosse gourmande
de bourgeoise qui aime la bite.
Les deux autres sont devenu plus bavard et lâchent de belles expressions sur mon
action et mes possibilités sexuelles.
L'ouverture de la portière n'est pas idéal pour notre quatuor, James me demande si je
ne veux pas sortir pour s’installer derrière la voiture pour plus de discrétion. Je sens
que la rencontre prend un tournant, c’est le moment de la bascule ou tout peut arriver.
Je suis venu pour faire de l’hexib devant un homme et je me retrouve avec 3 inconnus
à moitié à poil.
J'obéis et ils me suivent tous la bite à la main. La scène est presque risible.
J'ouvre la hayon, je me positionne de dos face aux trois compères entrain de
s’astiquer allègrement, j'enlève doucement ma robe pour la poser dans le coffre. Je
regrette presque de ne pas avoir porté un string pour leur offrir ma croupe en le
faisant descendre sur mes jambes.
Je me retrouve nue, uniquement vêtu de mes bas auto-fixant et mes chaussures
compensés.
-Ouaaah putain qu’elle est bonne la bourgeoise, j’en reviens pas.
-Quel cul est la, regarde moi cette salope. On a bien fait de venir les voir.
Sous les mots débridés des ouvriers je m'accroupis sur mes talons et reprend la
fellation que j’avais commencé sur James.
Les deux autres se placent de chaque coté de moi et ne se privent pas de sauter sur
mes seins sans oublié mon cul et mon ventre. Ils en veulent plus et je leur donne
raison en ouvrant largement les cuisses.
Le grand s'accroupit aussi et prend possession de ma chatte avec sa main et ses
doigts, il est très doué, et je sens le plaisir monter de plus en plus.
J'interromps ma pipe pour leur annoncer que je veux qu'ils jouissent sur mon corps.
Je lis une grande satisfaction sur le visage de James et j’entend de la part des autres
de nouvelles phrases glorifiant mon gout pour le sexe et les hommes.
Je veux quand meme garder le contrôle donc je prend dans la main le sexe du petit
brun tout en continuant à sucer James.
Sous les caresses du blond je ne tarde pas à avoir un orgasme accompagné de
spasmes. Je profite de cet intermède pour me relever.
Le gars est bien content de lui et pour le remercier je change de partenaire pour la
fellation.
Je m’applique et il en profite bien. En 2 min je le sens se tendre je redescend sur mes
talons afin il m’asperge de plusieurs éjac sur mes seins.
Et de 1
Nous étions tellement dans notre trip que nous avons pas vu arriver un 4eme homme
dans notre cercle. Je l’ai reconnu immédiatement, un des hommes attablés tout à
l’heure dans la station service. De taille moyenne, les cheveux blanc, grosse barbe
grises mal taillée, ventre proéminent, en salopette de travail et chaussé de crocs, le
cliché du camionneur.
- Alors on s’amuse bien les jeunes? une belle pouliche comme elle ne peut pas
refuser de rendre service à papy?
- Vous allez bien me faire une place pour que j’en profite
James l'invite à prendre la place du grand sans me demander mon avis, meme si le
gars et franchement pas mon genre, je ne dis rien. Je sais que lorsque je suis lancée
dans ce genre de délire seul mon plaisir compte.
- Je crois que j'ai pas vraiment le choix, dis-je en regardant le bonhomme.
Je vois depuis le début que James gère le truc et je me sens en confiance, donc pas de
feu rouge qui s’allume dans ma tête.
Le vieux sort direct son sexe encore mou et se masturbe en me tripotant les seins et la
croupe. Sa main est large et calleuse, des mains de travailleur.
James lui rappelle les règles dont la dernière est de gicler sur moi. Le nouvel arrivant
se régale de ce qui l’attend et nous le fait comprendre avec des mots bien gras.
Je reprend ma besogne, maintenant, ma bouche alterne entre le petit brun et James
que je sens frémir de plus en plus. Je suis penchée en avant pour sucer les deux
hommes et j’offre ainsi a leur mains mes seins ballotant dans le vide malgré leur
fermeté mais surtout ma croupe. Le vieux ne se gène pas pour me fouiller allègrement
la chatte et caresser mon cul tendu.
Papy a pris de la vigueur sous le spectacle et ses gestes sur moi, et contre tout attente
son membre, devient énorme.
Je le laisse donc pas en reste et découvre avec ma main la largeur et la longueur de la
chose. Il doit bien faire plus de 20 cm avec un diamètre que je n'arrive pas à couvrir
de mes doigts.
Son apparence ne me donne pas envie de lui offrir ma bouche, alors je m'applique à
faire de mon mieux avec ma main.
Le spectacle doit être digne d’une film porno, je suis pliée en deux, juchée sur mes
talons, en dim-up, pour sucer deux hommes pendant que je branle un troisième, le
tout me faisant tripoter dans tout les sens.
Le petit brun annonce qu'il ne tient plus. Je lache tout, je m’accroupi, je le regarde
dans les yeux et il m'envoie sa semence sur mes seins et mes cuisses.
Et de 2
Le bedonnant réclame de me baiser mais James annonce que ce n'est pas le deal. Je le
remercie intérieurement pour sa sécurité, pourtant mon ventre et ma chatte réclame
le contraire mais je sens que cet homme n'est pas celui qu'il faut pour ca.
J’ai repris en bouche le sexe de James qui est plus tendu que jamais. Sous mes coups
de langues et mes gorges profondes, il va bientôt craquer. J'accélère le mouvement et
il se vide sur moi lui aussi.
Et de 3
Le petit brun et le grand quitte le ring. Il me reste un dernier objectif et de taille.
Je dégouline de sperme et ma fente est trempée également. James se place derrière
moi, et me caresse admirablement mon petit bouton. Je reprend du courage et de
l’énergie car l’homme a la bite de cheval est de plus en plus insistant.
Je le reprend en main, je frotte son gland sur mes bas et le haut de mes cuisses. Je le
branle de plus en plus vite et le mieux possible. Il est endurant et tient bon le bougre.
Après de longues minutes il commence à gémir et gicle d'énorme quantité de sperme
sur mon ventre, mon pubis et mes cuisses.
Et de 4
Je suis pleine de foutre et j'adore ca, il faut le dire. J’en reviens pas de ce que je viens
de faire, Paul va etre fière de moi. Mais parfois je me demande si ils n’avaient pas
raison en me traitant de bonne salope de bourgeoise qui aime la bite.
Le vieux me remercie chaleureusement et regrette de pas m'avoir baisée, il me le fait
comprendre et m’invite dans la cabine de son camion juste à coté. Je comprend mieux
pourquoi il est sorti de nul part…
Je ne sais pas pourquoi je lui répond :
- déjà avec une bonne douche et mieux rasé on pourrait en reparler.
il répond avec un grand sourir
- c’est pas avec ca que je suis efficace. Bonne soirée les jeunes
Il quitte les lieux aussi et on l’entend refermé la porte de son véhicule.
Je ne suis pas rassasiée, les nouvelles caresses de James et l’énorme sexe de ce
dernier homme m'ont donné envie de jouir une nouvelle fois. Mais le jeux est
terminé.
Je retourne dans l’habitacle de ma voiture et je me lave le mieux possible avec des
lingettes pour enlever tout le sperme que j’ai sur moi.
Je suis toujours nue et James à toujours le sexe à l’air pendant mollement. Je lui tend
une lingette et il se nettoie également.
Il me demande si j'aurais accepté de me faire prendre pas le vieux, il doit sentir ma
légère frustration.
Je lui répond que l'homme ne m'attirais pas mais en revanche son sexe, énormément.
Après quelques échanges et remerciements mutuels on se sépare, j’enfile ma robe et
monte dans ma voiture.
Je regarde la voiture de James partir, je coupe la lumière de l’habitacle et j’aperçois le
vieux bedonnant descendre de son camion en short et marcel avec sur le bras une
serviette et son nécessaire de toilette.
Il me fait un signe de la main et se dirige vers la station service.
J’en reviens pas, il m’a prise au mot, je ne peux m’empêcher de rire. Incroyable il
doit s’imaginer qu’une fois laver il pourrait profiter de moi.
En meme temps j’ai toujours cette boule dans mon ventre et cette frustration que je
connais bien, c’est le manque d’orgasme et de chair bien dur dans mon antre.
Je refoule ces pensées et constate dans le rétro que mon maquillage à bien coulé avec
ces pipes à répétition. J’ai également très envie de pisser.
Je laisse de l’avance à Papy et je retourne avec ma voiture à la station service. Par
chance l’heure à bien tournée et il n’y a presque personne dans la station. Je passe des
basket aux pieds, quittes mes bas couvert de trace de sperme, enfile un string et fonce
dans les toilettes femmes. J’en profites pour raconter brièvement à Paul par textos
mes aventures et lui dire que tout va bien.
Je fais ma petite affaire et je rafistole mon maquillage en prenant mon temps, pas
envie de croiser le vieux en sortant.
Je vérifie par le hublot de la porte qu’il y a personne dans le hall et rejoins ma voiture.
En montant j’aperçois Papy qui repars vers son camion, je devine qu’il est bien coiffé
et avec une barbe bien coupé.
Mon appétit sexuelle me fais basculer et je suis en train d’envisager de le rejoindre.
Ma frustration est toujours la, je n’ai pas senti de sexe d’homme en moi et le souvenir
de ce sexe hors norme me hante. Je lutte contre moi meme mais je sens que je le veux
en moi. C’est simple et facile, je veux jouir sur cette énorme bite meme si l’homme
ne me plait pas. Après tout, lui aussi il a le droit de se taper une bonne bourgeoise
comme moi, je fais un quelque sorte une bonne action sexuelle.
Voila je me suis perdu et maintenant je suis convaincu que je dois aller le rejoindre.
Je lui laisse le temps d’aller dans son camion. Je gamberge et au bout de 5min je
retourne au lieux de rdv.
En arrivant je devine la cabine éclairé derrière les rideaux. Je respire un grand coup et
je me dirige vers l’engin.
Je frappe à la porte.
Le rideaux s’ouvre, la vitre se baisse et je vois le vieux avec un sourire jusqu’aux
oreilles me lancer :
- alors la bourgeoise, elle a quand meme envie de gouter au gros bâton de papy.
Le rouge aux joues, je répond :
- peut etre
- Monte ma petite, n’aies pas peur.
Je fais le tour de la machine et grimpe coté passager dans l’habitacle. Je ne suis
jamais monté dans un camion comme celui la, il est comme je l’imaginais. Eclairé en
rouge, pas de désordre, une grande couchette derrière les fauteuils de devant. Des
poster de femmes avec des postures suggestives accrochés sur les murs de la
couchette.
Une fois assise, le vieux ne perd pas de temps, il en caleçon et marcel, il se relève et
découvre son sexe poilu mais déja de belle taille. A son âge il est encore bien en
forme. Je ne l’avait pas remarqué tout à l’heure mais malgré sont gros ventre il est
bien musclé.
- Enlèves ta robe et vient t’occuper de Popol. Tu es pas venue pour prendre le thé.
Comme hypnotisée, je me lève lui dévoile à nouveau mon corps en faisant tomber ma
robe.
- C’est bien aussi avec ton petit string noir, tourne toi que je reluque le matos
- J’ai plus mes bas et mes talons, ca va quand meme ?
- Pas besoin de ca pour te faire monter au plafond, allez viens la
Je me rapproche de lui et prend en main le monstre. Après quelques aller et retour il
reprend vite la taille déja connu auparavant.
J’entreprend de le sucer mais j’arrive tout juste à prendre son gland en bouche, après
un peu d’effort je vais un peu plus loin. Je comprend qu’il aime ca en entendant les
sons qui sorte de sa bouche et les mots qu’il emploie a mon sujet.
Ma bouche est déformé par le diamètre de la bite, je me fatigue vite. Il relève ma tete
et me dis qu’il veut me baiser.
- Vous avez une capote?
- C’est ton boulot ca ma petite
- J’en ai dans mon sac mais j’espère qu’il va etre assez grand
Je plonge dans mon sac, j’attrape une capote et avec grande difficulté j’arrive à lui
enfiler jusqu’a la moitié de sa verge.
Il me soulève comme une poupée et me pose sur la couchette, attrape mon string sur
le devant et le déchire d’un coup, il ouvre mes cuisses et plonge la tete dedans.
Je sens sa barbe sur mes cuisses et sa langue me pénètre immédiatement pour mon
plus grand plaisir. il ajoute un de ses gros doigts dans ma chatte et se lance dans un
cunni digne des plus grand expert. Je mouille abondamment et il bouffe d’avantage.
Il ne met pas longtemps a me faire partir dans un énorme orgasme qui me fait
trembler de la tete au pied.
Il ne me laisse meme pas le temps de souffler, il se redresse le mandrin à la main et le
dirige vers ma chatte offerte et largement ouverte.
Son gland s’enfonce sans difficulté a mon grand étonnement, il attrape mes jambes et
commence à me pénétrer plus profondément.
Je suis écartelée, possédée, complètement rempli, je sens son membre flatté mon
point G instantanément. Il est énorme et il veut encore rentrer en moi. Je me redresse
pour voir le spectacle, son sexe est a moitié en moi, il pousse encore mais touche le
fond de ma matrice.
Je sens déja un second orgasme arriver. Il commence de lent va et vient. Il me traite
de bonne salope, petite pute de parking, il veut me voir hurler, il va me baiser comme
jamais.
C’est pas la première bite hors norme que je prend en moi, j’aime ca de temps en
temps, me sentir entièrement rempli.
Je transpire et lui aussi, l’acte est bestial, il me baise, il y a pas d’autre mot.
Ca cadence augmente, je me tends, je me crispe et un autre orgasme fulgurant me
traverse, mes jambes trembles, je ne m’arrête pas jouir. Je hurle, je cri de plaisir.
Il continu de me pénétrer comme un métronome, il a déja gliclé 30min avant, il va
etre endurant, je vais etre son jouet.
Il se retire d’un coup et je sens un immense vide en moi, ma chatte est béante, je ne
suis plus moi meme, je me jète sur son sexe et le suce comme une furie.
-Ah tu l’aime ma bite ma salope, vasy pompe, tu dois pas en avoir des comme ca tous
les jours.
-c’est autre chose que les petits merdeux de tout à l’heure hein?
- Attend tu vas voir, j’ai pas fini.
Il me retourne sur la banquette et m’attrape le cul. Il se place derrière moi et
m’enfourche a nouveau. Je hurle de douleur mélangé à un plaisir immense.
Maintenant il me défonce en levrette, il y va franchement, il donne tout. je n’arrive
meme pas à tenir sur mes mains, je m’affale sur la banquette certainement recouverte
de sperme de ses dernières branlettes nocturnes.
Ma position augmente la pénétration, et à mon grand étonnement je sens mon ventre
bouillonner, je suis traversée d’un autre orgasme encore plus long et puissant que le
précédent. Ce mec me rend folle. Je suis presque évanoui par le plaisir.
Il continu sa besogne en me claquant le cul de ses grosses paluches et après de longue
minutes à me labourer la chatte, je le sens encore plus gros, il se bloque et hurle en
éjaculant dans sa capote.
- Oh putain que tu es bonne la bourgeoise, tu m’as bien vidé.
- Oui, tu m’as bien fait jouir aussi vieux pervers
J’étais en nage, trempée des pieds à la tete, ca sentait le sexe et la luxure. J’ai réussi
tant bien que mal a me relever, attrapé un mouchoir dans mon sac pour m’essuyer
l’entre jambes dégoulinant. Pendant que lui tentait avec difficulté d’enlever le
préservatif bien rempli de liquide blanc.
J’attrape ma robe et je l’enfile pour m’échapper de cette machine à orgasme.
- Tu va pas partir maintenant la bourgeoise, laisse moi 10 min et je te fais le cul.
- Oullla désolée mais la c’est impossible, vous avez vu la taille de votre engin à coté
mon petit trou?
- Fais confiance à Papy, c’est toujours rentré.
- Non désolée mais la j’ai largement eu ma dose, j’en peux plus, je vais rentrer chez
moi.
- Je suis la chaque semaine le mardi, si tu veux ta dose, tu sais ou me trouver
- A bientot Papy dis-je en quittant le camion
aire d’autoroute que je connais puisque j’ai déjà eu une rencontre avec un homme.
Le principe est simple, je dois porter une tenue sexy et m’offrir au regard de l’homme
mon corps pour qu’il puisse se masturber en profitant du spectacle.
Nous avions parlé des limites de chacun, de ce que je ne voulais pas et ce que
j’acceptais.
En arrivant dans la zone, je suis passé dans la station service pour faire une dernier
pipi. J’avais fait la meme chose la dernière fois et on sait ce que ca a déclenché, mais
la c’était pas le but, simplement me soulager avant la rencontre.
Ma tenue assez sage en apparence à quand meme fait son petit effet quand je suis
passée devant les hommes entrain de boire un café affalés sur les manges debout près
des distributeurs. Ils ont du remarquer ma robe portefeuille qui s’ouvre largement sur
mes cuisses à chaque pas. Au retour meme histoire mais la j’ai pu observer chacun
d’eux. Des hommes de la route, des couples, des hommes plus soignés.
De retour dans ma voiture je rejoins le lieux de rdv au fond du parking des camions.
A l'abri des regards, il y a un renfoncement de bitume entouré de végétation avec 3
places de camion. Par chance il y a deux places vides, le semi remorque présent
semble inerte avec les rideaux de la cabine tirés.
C’est ce moment d’attente ou je suis emprise de doute sur ma présence et je me dis
que parfois mon gout du sexe et les défis lancé par Paul me font faire n’importe quoi.
Mais maintenant que je suis la, ma fierté m’empêche de quitter les lieux. Je vois un
gros SUV passer au ralenti, faire demi tour et se garer à coté de moi.
Comme à chaque fois, mon coeur s’emballe et mon ventre me tiraille mais surtout,
telle une adolescente, une certaine chaleur monte de mon entre jambe.
L’homme sort de la voiture, c’est bien lui. Il était fidèle au photos reçu, la quarantaine
grisonnante, séduisant et bien fait. Il est habillé d’un pantalon de toile légère, une
chemise blanche et des baskets.
Il a un sourire fort charmant quand il s’approche de mon véhicule.
Notre conversation banal commence alors que je suis assise dans ma voiture, fenêtre
ouverte et lui debout devant la portière.
Les mots dérapent rapidement et il me demande ce que je porte sous ma robe, car il
n’avait pas fait de demande précise sur ma tenue, et m’avait demandé de le
surprendre
- Je vous laisse deviner, et si vous trouvez, je découvre le haut de ma robe.
- En voyant vos jambes, je pense que vous portez des bas, je devine facilement que
vos seins sont libres et je m’hasarde à croire que vous avez un string ou rien du
tout.
En expert, il a tout juste.
Comme promis, j’ouvre le haut de ma robe, glisse le tissu sur mes épaules et lui
expose fièrement mes seins.
Il me flatte en les voyant et me souligne qu’ils sont exactement comme il les aimes.
Sur ces mots, il tend le bras et passe sa main sur ma poitrine comme pour tester sa
fermeté et vérifié ses dires. Ses caresses ont pour effet de faire grossir mes tétons et
de les rendre bien dur, il en profite pour jouer avec. Je me cambre, j’ouvre les cuisses
et profite du moment. Ma robe s’ouvre également et je lui offre la vue de mes cuisses
gainés de nylon.
- Je ne me suis pas trompé, ce sont bien des bas, et j’adore ca. Vous les portez très
bien.
Il ne perd pas de temps et je vois son autre main dégagé sa ceinture, dégrafé son
pantalon, glissé sa main dans son boxer et me présenter son sexe.
Il était déjà bien dressé, de belle taille, proportionné, assez large et circoncis. Un sexe
superbe, comme je les aime, fière, arrogant, brutal et triomphant.
En voyant son sexe pointé dans ma direction je me suis dit que c'était le moment de
lui prouver qu’il avait raison sur tous les points de ma tenue.
Je dégrafe ma robe sur le coté, j’ouvre lentement le premier pan, puis de meme pour
le second et je lui offre ma nudité intégrale.
Il m’observe longuement et me félicite sur ma plastique et mon anatomie. Il ne tarie
pas d’éloge et me couvre de compliment.
La situation l’a encouragé à prendre son sexe en main et à commencer une
masturbation lente et ferme.
Moi je n’ai qu’une idée en tête c'est de prendre cette belle bite dans ma bouche, mais
comme convenu il est le maitre du jeux.
C'est à ce moment précis que 2 hommes ce sont approché bruyamment de notre
cachette. Mon coéquipier à remballé sont sexe et j'ai recouvert mon corps de ma robe,
pour faire bonne figure. J’ai vu dans son regard la déception d’être interrompu dans le
lancement de notre dogging.
Ils n'ont pas mis longtemps à nous rejoindre, un petit brun trapu assez jeune, typé
portugais et un grand blond dans la quarantaine, bien conservé. certainement des
ouvrier que rentraient d’un chantier a voir leur tenue de pantalon de travail à poche et
leur t-shirt plus ou moins propre.
En arrivant plus prêt il nous salut et sans autre introduction, nous demande si ils
peuvent participer.
James (mon rdv officiel) m'interroge des yeux et je lui réponds positivement de la
tête. J'étais déjà bien excitée en arrivant, nos préliminaires m’ont fait monter d’un
cran et dans ces cas la, je ne sais pas dire non. Ils n’avaient pas l’aire méchants ni mal
sains, donc aucun signaux d’alerte pour moi.
James explique alors les règles aux nouveaux arrivants qui ne sont pas du tout
étonnés et qui je pense doivent avoir l’habitude de ce genre de spectacle sur les airs
d’autoroutes.
Comme à chaque fois dans ce genre de délire, je suis toujours surprise comme les
hommes savent prendre leur place et sont naturels fasse à une situation érotique.
Chacun prend sa place, dans l’ordre de l’arrière vers l’avant de la voiture, James, le
petit brun et le grand blond. Je distribue des lingettes désinfectantes aux nouveaux
participants et ils s’appliquent à laver leur main avec.
Une fois tout le monde prêt découvre à nouveau mon corps, j’offre ma nudité à
maintenant 3 hommes me dominant de la vue.
Les deux nouveaux ne tarisse pas déloge sur mon anatomie avec des mots plus ou
moins crus.
James reprend ses caresses sur mes seins et il ressort son sexe à la lumière des
réverbères. Il se relais avec le petit brun qui lui est plus hardi car sa main descend
rapidement sur mon ventre et mon petit rectangle de poil précédant mon sexe.
Dans le meme temps il sort de sa braguette un petit sexe bien large avec un gland
énorme comme un champignon, il me semble pas qu'il soit encore complètement dur,
mais je pense que sa masturbation va l’aider à grossir.
Je passe donc à l’étape suivante, j’écarte les cuisses et commence à leur montrer ma
vulve plus en détails en me caressant doucement l’intérieur des cuisses tout en
insistant sur mes lèvres et mon clitoris.
La tension érotique monte d’un cran, James demande si il peut ouvrir la portière et la
tout va plus vite. Fini les bla-bla et les petites caresses.
Je suis maintenant offerte à leur caresses qui deviennent plus insistantes et précises.
Ils parcourent l’ensemble de mon corps, explore chaque recoin, me palpe les seins le
ventre, caresses mes jambes, ils fouillent mon sexe avez leur doigts sans brutalité
mais de façon prononcé.
Je mouille largement, ils s’en rendent compte et ca les excitent encore plus.
J'ai envie de sexe
Je décide de prendre en main la bite irrésistible de James pendant que le petit trapu
me doigte la chatte sans ménagement. James est aux anges et il abandonne mes seins
pour profiter de mon geste.
Le plus grand est moins hardi que les autres mais il ne loupe pas une miette du
spectacle, il a mis du temps mais il sort enfin son sexe de son pantalon. Il commence
à masturber une tige tout a fait dans la moyenne.
Le moment est chargé d’une intensité sexuelle, James se rapproche de moi pour
reprendre ses caresses, je comprend qu'il demande un peu plus, ce n'était pas prévu
mais je ne résiste pas à l'envie de le prendre en bouche. Il est surpris pas mon action
mais bien entendu ne refuse pas la pipe que je lui offre.
Je le pompe goulûment et je sens qu'il va être très résistant. Le petit trapu ne manque
pas de souligner que c’était pas dans les consignes et je suis : une grosse gourmande
de bourgeoise qui aime la bite.
Les deux autres sont devenu plus bavard et lâchent de belles expressions sur mon
action et mes possibilités sexuelles.
L'ouverture de la portière n'est pas idéal pour notre quatuor, James me demande si je
ne veux pas sortir pour s’installer derrière la voiture pour plus de discrétion. Je sens
que la rencontre prend un tournant, c’est le moment de la bascule ou tout peut arriver.
Je suis venu pour faire de l’hexib devant un homme et je me retrouve avec 3 inconnus
à moitié à poil.
J'obéis et ils me suivent tous la bite à la main. La scène est presque risible.
J'ouvre la hayon, je me positionne de dos face aux trois compères entrain de
s’astiquer allègrement, j'enlève doucement ma robe pour la poser dans le coffre. Je
regrette presque de ne pas avoir porté un string pour leur offrir ma croupe en le
faisant descendre sur mes jambes.
Je me retrouve nue, uniquement vêtu de mes bas auto-fixant et mes chaussures
compensés.
-Ouaaah putain qu’elle est bonne la bourgeoise, j’en reviens pas.
-Quel cul est la, regarde moi cette salope. On a bien fait de venir les voir.
Sous les mots débridés des ouvriers je m'accroupis sur mes talons et reprend la
fellation que j’avais commencé sur James.
Les deux autres se placent de chaque coté de moi et ne se privent pas de sauter sur
mes seins sans oublié mon cul et mon ventre. Ils en veulent plus et je leur donne
raison en ouvrant largement les cuisses.
Le grand s'accroupit aussi et prend possession de ma chatte avec sa main et ses
doigts, il est très doué, et je sens le plaisir monter de plus en plus.
J'interromps ma pipe pour leur annoncer que je veux qu'ils jouissent sur mon corps.
Je lis une grande satisfaction sur le visage de James et j’entend de la part des autres
de nouvelles phrases glorifiant mon gout pour le sexe et les hommes.
Je veux quand meme garder le contrôle donc je prend dans la main le sexe du petit
brun tout en continuant à sucer James.
Sous les caresses du blond je ne tarde pas à avoir un orgasme accompagné de
spasmes. Je profite de cet intermède pour me relever.
Le gars est bien content de lui et pour le remercier je change de partenaire pour la
fellation.
Je m’applique et il en profite bien. En 2 min je le sens se tendre je redescend sur mes
talons afin il m’asperge de plusieurs éjac sur mes seins.
Et de 1
Nous étions tellement dans notre trip que nous avons pas vu arriver un 4eme homme
dans notre cercle. Je l’ai reconnu immédiatement, un des hommes attablés tout à
l’heure dans la station service. De taille moyenne, les cheveux blanc, grosse barbe
grises mal taillée, ventre proéminent, en salopette de travail et chaussé de crocs, le
cliché du camionneur.
- Alors on s’amuse bien les jeunes? une belle pouliche comme elle ne peut pas
refuser de rendre service à papy?
- Vous allez bien me faire une place pour que j’en profite
James l'invite à prendre la place du grand sans me demander mon avis, meme si le
gars et franchement pas mon genre, je ne dis rien. Je sais que lorsque je suis lancée
dans ce genre de délire seul mon plaisir compte.
- Je crois que j'ai pas vraiment le choix, dis-je en regardant le bonhomme.
Je vois depuis le début que James gère le truc et je me sens en confiance, donc pas de
feu rouge qui s’allume dans ma tête.
Le vieux sort direct son sexe encore mou et se masturbe en me tripotant les seins et la
croupe. Sa main est large et calleuse, des mains de travailleur.
James lui rappelle les règles dont la dernière est de gicler sur moi. Le nouvel arrivant
se régale de ce qui l’attend et nous le fait comprendre avec des mots bien gras.
Je reprend ma besogne, maintenant, ma bouche alterne entre le petit brun et James
que je sens frémir de plus en plus. Je suis penchée en avant pour sucer les deux
hommes et j’offre ainsi a leur mains mes seins ballotant dans le vide malgré leur
fermeté mais surtout ma croupe. Le vieux ne se gène pas pour me fouiller allègrement
la chatte et caresser mon cul tendu.
Papy a pris de la vigueur sous le spectacle et ses gestes sur moi, et contre tout attente
son membre, devient énorme.
Je le laisse donc pas en reste et découvre avec ma main la largeur et la longueur de la
chose. Il doit bien faire plus de 20 cm avec un diamètre que je n'arrive pas à couvrir
de mes doigts.
Son apparence ne me donne pas envie de lui offrir ma bouche, alors je m'applique à
faire de mon mieux avec ma main.
Le spectacle doit être digne d’une film porno, je suis pliée en deux, juchée sur mes
talons, en dim-up, pour sucer deux hommes pendant que je branle un troisième, le
tout me faisant tripoter dans tout les sens.
Le petit brun annonce qu'il ne tient plus. Je lache tout, je m’accroupi, je le regarde
dans les yeux et il m'envoie sa semence sur mes seins et mes cuisses.
Et de 2
Le bedonnant réclame de me baiser mais James annonce que ce n'est pas le deal. Je le
remercie intérieurement pour sa sécurité, pourtant mon ventre et ma chatte réclame
le contraire mais je sens que cet homme n'est pas celui qu'il faut pour ca.
J’ai repris en bouche le sexe de James qui est plus tendu que jamais. Sous mes coups
de langues et mes gorges profondes, il va bientôt craquer. J'accélère le mouvement et
il se vide sur moi lui aussi.
Et de 3
Le petit brun et le grand quitte le ring. Il me reste un dernier objectif et de taille.
Je dégouline de sperme et ma fente est trempée également. James se place derrière
moi, et me caresse admirablement mon petit bouton. Je reprend du courage et de
l’énergie car l’homme a la bite de cheval est de plus en plus insistant.
Je le reprend en main, je frotte son gland sur mes bas et le haut de mes cuisses. Je le
branle de plus en plus vite et le mieux possible. Il est endurant et tient bon le bougre.
Après de longues minutes il commence à gémir et gicle d'énorme quantité de sperme
sur mon ventre, mon pubis et mes cuisses.
Et de 4
Je suis pleine de foutre et j'adore ca, il faut le dire. J’en reviens pas de ce que je viens
de faire, Paul va etre fière de moi. Mais parfois je me demande si ils n’avaient pas
raison en me traitant de bonne salope de bourgeoise qui aime la bite.
Le vieux me remercie chaleureusement et regrette de pas m'avoir baisée, il me le fait
comprendre et m’invite dans la cabine de son camion juste à coté. Je comprend mieux
pourquoi il est sorti de nul part…
Je ne sais pas pourquoi je lui répond :
- déjà avec une bonne douche et mieux rasé on pourrait en reparler.
il répond avec un grand sourir
- c’est pas avec ca que je suis efficace. Bonne soirée les jeunes
Il quitte les lieux aussi et on l’entend refermé la porte de son véhicule.
Je ne suis pas rassasiée, les nouvelles caresses de James et l’énorme sexe de ce
dernier homme m'ont donné envie de jouir une nouvelle fois. Mais le jeux est
terminé.
Je retourne dans l’habitacle de ma voiture et je me lave le mieux possible avec des
lingettes pour enlever tout le sperme que j’ai sur moi.
Je suis toujours nue et James à toujours le sexe à l’air pendant mollement. Je lui tend
une lingette et il se nettoie également.
Il me demande si j'aurais accepté de me faire prendre pas le vieux, il doit sentir ma
légère frustration.
Je lui répond que l'homme ne m'attirais pas mais en revanche son sexe, énormément.
Après quelques échanges et remerciements mutuels on se sépare, j’enfile ma robe et
monte dans ma voiture.
Je regarde la voiture de James partir, je coupe la lumière de l’habitacle et j’aperçois le
vieux bedonnant descendre de son camion en short et marcel avec sur le bras une
serviette et son nécessaire de toilette.
Il me fait un signe de la main et se dirige vers la station service.
J’en reviens pas, il m’a prise au mot, je ne peux m’empêcher de rire. Incroyable il
doit s’imaginer qu’une fois laver il pourrait profiter de moi.
En meme temps j’ai toujours cette boule dans mon ventre et cette frustration que je
connais bien, c’est le manque d’orgasme et de chair bien dur dans mon antre.
Je refoule ces pensées et constate dans le rétro que mon maquillage à bien coulé avec
ces pipes à répétition. J’ai également très envie de pisser.
Je laisse de l’avance à Papy et je retourne avec ma voiture à la station service. Par
chance l’heure à bien tournée et il n’y a presque personne dans la station. Je passe des
basket aux pieds, quittes mes bas couvert de trace de sperme, enfile un string et fonce
dans les toilettes femmes. J’en profites pour raconter brièvement à Paul par textos
mes aventures et lui dire que tout va bien.
Je fais ma petite affaire et je rafistole mon maquillage en prenant mon temps, pas
envie de croiser le vieux en sortant.
Je vérifie par le hublot de la porte qu’il y a personne dans le hall et rejoins ma voiture.
En montant j’aperçois Papy qui repars vers son camion, je devine qu’il est bien coiffé
et avec une barbe bien coupé.
Mon appétit sexuelle me fais basculer et je suis en train d’envisager de le rejoindre.
Ma frustration est toujours la, je n’ai pas senti de sexe d’homme en moi et le souvenir
de ce sexe hors norme me hante. Je lutte contre moi meme mais je sens que je le veux
en moi. C’est simple et facile, je veux jouir sur cette énorme bite meme si l’homme
ne me plait pas. Après tout, lui aussi il a le droit de se taper une bonne bourgeoise
comme moi, je fais un quelque sorte une bonne action sexuelle.
Voila je me suis perdu et maintenant je suis convaincu que je dois aller le rejoindre.
Je lui laisse le temps d’aller dans son camion. Je gamberge et au bout de 5min je
retourne au lieux de rdv.
En arrivant je devine la cabine éclairé derrière les rideaux. Je respire un grand coup et
je me dirige vers l’engin.
Je frappe à la porte.
Le rideaux s’ouvre, la vitre se baisse et je vois le vieux avec un sourire jusqu’aux
oreilles me lancer :
- alors la bourgeoise, elle a quand meme envie de gouter au gros bâton de papy.
Le rouge aux joues, je répond :
- peut etre
- Monte ma petite, n’aies pas peur.
Je fais le tour de la machine et grimpe coté passager dans l’habitacle. Je ne suis
jamais monté dans un camion comme celui la, il est comme je l’imaginais. Eclairé en
rouge, pas de désordre, une grande couchette derrière les fauteuils de devant. Des
poster de femmes avec des postures suggestives accrochés sur les murs de la
couchette.
Une fois assise, le vieux ne perd pas de temps, il en caleçon et marcel, il se relève et
découvre son sexe poilu mais déja de belle taille. A son âge il est encore bien en
forme. Je ne l’avait pas remarqué tout à l’heure mais malgré sont gros ventre il est
bien musclé.
- Enlèves ta robe et vient t’occuper de Popol. Tu es pas venue pour prendre le thé.
Comme hypnotisée, je me lève lui dévoile à nouveau mon corps en faisant tomber ma
robe.
- C’est bien aussi avec ton petit string noir, tourne toi que je reluque le matos
- J’ai plus mes bas et mes talons, ca va quand meme ?
- Pas besoin de ca pour te faire monter au plafond, allez viens la
Je me rapproche de lui et prend en main le monstre. Après quelques aller et retour il
reprend vite la taille déja connu auparavant.
J’entreprend de le sucer mais j’arrive tout juste à prendre son gland en bouche, après
un peu d’effort je vais un peu plus loin. Je comprend qu’il aime ca en entendant les
sons qui sorte de sa bouche et les mots qu’il emploie a mon sujet.
Ma bouche est déformé par le diamètre de la bite, je me fatigue vite. Il relève ma tete
et me dis qu’il veut me baiser.
- Vous avez une capote?
- C’est ton boulot ca ma petite
- J’en ai dans mon sac mais j’espère qu’il va etre assez grand
Je plonge dans mon sac, j’attrape une capote et avec grande difficulté j’arrive à lui
enfiler jusqu’a la moitié de sa verge.
Il me soulève comme une poupée et me pose sur la couchette, attrape mon string sur
le devant et le déchire d’un coup, il ouvre mes cuisses et plonge la tete dedans.
Je sens sa barbe sur mes cuisses et sa langue me pénètre immédiatement pour mon
plus grand plaisir. il ajoute un de ses gros doigts dans ma chatte et se lance dans un
cunni digne des plus grand expert. Je mouille abondamment et il bouffe d’avantage.
Il ne met pas longtemps a me faire partir dans un énorme orgasme qui me fait
trembler de la tete au pied.
Il ne me laisse meme pas le temps de souffler, il se redresse le mandrin à la main et le
dirige vers ma chatte offerte et largement ouverte.
Son gland s’enfonce sans difficulté a mon grand étonnement, il attrape mes jambes et
commence à me pénétrer plus profondément.
Je suis écartelée, possédée, complètement rempli, je sens son membre flatté mon
point G instantanément. Il est énorme et il veut encore rentrer en moi. Je me redresse
pour voir le spectacle, son sexe est a moitié en moi, il pousse encore mais touche le
fond de ma matrice.
Je sens déja un second orgasme arriver. Il commence de lent va et vient. Il me traite
de bonne salope, petite pute de parking, il veut me voir hurler, il va me baiser comme
jamais.
C’est pas la première bite hors norme que je prend en moi, j’aime ca de temps en
temps, me sentir entièrement rempli.
Je transpire et lui aussi, l’acte est bestial, il me baise, il y a pas d’autre mot.
Ca cadence augmente, je me tends, je me crispe et un autre orgasme fulgurant me
traverse, mes jambes trembles, je ne m’arrête pas jouir. Je hurle, je cri de plaisir.
Il continu de me pénétrer comme un métronome, il a déja gliclé 30min avant, il va
etre endurant, je vais etre son jouet.
Il se retire d’un coup et je sens un immense vide en moi, ma chatte est béante, je ne
suis plus moi meme, je me jète sur son sexe et le suce comme une furie.
-Ah tu l’aime ma bite ma salope, vasy pompe, tu dois pas en avoir des comme ca tous
les jours.
-c’est autre chose que les petits merdeux de tout à l’heure hein?
- Attend tu vas voir, j’ai pas fini.
Il me retourne sur la banquette et m’attrape le cul. Il se place derrière moi et
m’enfourche a nouveau. Je hurle de douleur mélangé à un plaisir immense.
Maintenant il me défonce en levrette, il y va franchement, il donne tout. je n’arrive
meme pas à tenir sur mes mains, je m’affale sur la banquette certainement recouverte
de sperme de ses dernières branlettes nocturnes.
Ma position augmente la pénétration, et à mon grand étonnement je sens mon ventre
bouillonner, je suis traversée d’un autre orgasme encore plus long et puissant que le
précédent. Ce mec me rend folle. Je suis presque évanoui par le plaisir.
Il continu sa besogne en me claquant le cul de ses grosses paluches et après de longue
minutes à me labourer la chatte, je le sens encore plus gros, il se bloque et hurle en
éjaculant dans sa capote.
- Oh putain que tu es bonne la bourgeoise, tu m’as bien vidé.
- Oui, tu m’as bien fait jouir aussi vieux pervers
J’étais en nage, trempée des pieds à la tete, ca sentait le sexe et la luxure. J’ai réussi
tant bien que mal a me relever, attrapé un mouchoir dans mon sac pour m’essuyer
l’entre jambes dégoulinant. Pendant que lui tentait avec difficulté d’enlever le
préservatif bien rempli de liquide blanc.
J’attrape ma robe et je l’enfile pour m’échapper de cette machine à orgasme.
- Tu va pas partir maintenant la bourgeoise, laisse moi 10 min et je te fais le cul.
- Oullla désolée mais la c’est impossible, vous avez vu la taille de votre engin à coté
mon petit trou?
- Fais confiance à Papy, c’est toujours rentré.
- Non désolée mais la j’ai largement eu ma dose, j’en peux plus, je vais rentrer chez
moi.
- Je suis la chaque semaine le mardi, si tu veux ta dose, tu sais ou me trouver
- A bientot Papy dis-je en quittant le camion
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