Martine (5ème partie)

Nous arrivons à la pizzeria avant Jeanne et nous installons dans un coin de la salle, un peu à l’écart au cas où notre discussion dévie un peu trop, sur une table ronde de quatre places.
Alors qu’elle s’assoit à côté de moi, j’observe Martine et je la trouve très en beauté. A croire qu’elle a tout misé pour séduire Jeanne. Ses cheveux attachés en palmier haut, son visage est rajeuni et mis en valeur par un maquillage très sensuel. Elle porte pour cette occasion une robe ample mauve pale, avec un décolleté profond qui accentue la rondeur de ses seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge et quand elle se penche, je peux voir jusqu’aux tétons qui pointent sous le tissus fin de son vêtement. Elle a croisé ses jambes et la cuisse qui se trouve sur l’autre se trouve nue et l’ouverture de sa robe laisse voir sa peau presque jusqu’à son string. Elle est tellement sexy qu’elle me donne envie de la baiser sur le champ.
Pour ma part, j’ai revêtu un pantalon à pinces, noir, très fin et une chemise blanche en lin.
Quand Jeanne arrive, je constate qu’elle aussi s’est mise sur son trente-et-un. Elle porte une mini robe noir à boutons. En fait, il n’y a que trois boutons à sa robe, le premier se trouve légèrement au-dessus du nombril, le second juste en dessous de celui-ci et le dernier est juste au-dessus du pubis. Elle porte tout de même un mini short noir très fin et par contre, ne semble pas avoir de soutien-gorge elle non plus, ce qui laisse apercevoir une poitrine généreuse bien maintenue naturellement et juste serrée dans le vêtement.
Sans dire un mot, elle vient s’installer face à moi et juste à côté de Martine.
On échange quelques banalités et je commande une bouteille de vin rouge, avec leur accord bien sûr. Les pizzas sont englouties tranquillement en parlant de nos passés respectifs et c’est comme ça que j’apprends les circonstances détaillées de leur rencontre.
Alors que nous attendons nos desserts, je lance les hostilités.
-Jeanne, tu m’as dit tout à l’heure que tu voulais revoir Martine car tu aimais être en sa compagnie, eh bien, elle est là !
- Oui, et j’avoue que j’avais peur de ne jamais pouvoir t’aborder ma belle !
- Pourquoi ?
- Parce que tu étais tout le temps avec Luc ! Et j’ai très vite compris que vous baisiez tous les deux ! J’étais contente pour toi, mais j’avoue aussi que j’étais un peu jalouse !
- Tu voulais te faire Luc ?
- Eh, les filles, je suis là ! J’entends tout ce que vous dites !
- Non Martine, c’est toi que je voudrais baiser !
- Tu ne t’es pas dit que je n’aime peut-être pas les femmes ?
- Je ne me suis pas posée la question ! Je voulais tenter quoi qu’il arrive !
- Tu me fais super plaisir ! J’avoue que moi aussi, je suis attirée par toi ! J’ai jamais fait l’amour avec une femme, mais faire des câlins avec toi me tente plus que tout !
- C’est vrai ?
- Carrément !
- Les filles, je vous propose ma chambre d’hôtel ! Je vous laisse faire connaissance physiquement et on se voit demain !
- Euh, je ne sais pas ce que tu en penses Jeanne, mais j’aimerais que Luc reste avec nous ce soir.
- Pourquoi pas !
- Vous êtes sérieuses, les filles ? Je ne suis pas sûr de pouvoir me contenir si je vous entends gémir dans le lit juste à côté de moi !
- Qui te dit de te contenir ? N’est-ce pas Martine ?
- Je suis tout à fait d’accord avec toi, Jeanne ! Deux partenaires, c’est mieux qu’un seul ! Enfin je pense !!
Et les deux filles partent dans un rire franc et chaleureux. Je me sentais bien et un peu pressé de me retrouver dans ma chambre d’hôtel avec ces deux bombes.
Nous finissons notre dîner et nous regagnons ma chambre d’hôtel.
A peine la porte refermée, Jeanne attrape Martine par la taille et viens la plaquer contre le mur de l’entrée. Elle l’embrasse à pleine bouche en lui caressant les cheveux.
Martine ne reste pas sans rien faire et pose ses deux mains sur les fesses de Jeanne. Moi, je ferme la porte derrière nous et viens m’installer dans le fauteuil à côté du lit.
Jeanne prend alors l’initiative et commence à effeuiller ma blonde. Elle fait glisser les pans de la robe longue le long de ses bras et Martine ne retient pas le vêtement qui finit à ses pieds. La voilà en sous-vêtement, ou plutôt je devrais dire en string car elle ne porte pas de soutien-gorge. Je sais que Martine a une belle poitrine et je constate que Jeanne est également conquise par ces deux seins qui se tiennent merveilleusement bien pour une femme de l’âge de Martine ! Beaucoup de quadra doivent l’envier. Martine prend alors Jeanne par la main et l’attire vers le lit où elle la projette.
Jeanne se retrouve sur le dos. Sa robe courte ne cache plus du tout son petit short noir. Martine déboutonne les trois points d’attache et écarte les pans de cette magnifique tenue de soirée. Je découvre alors les seins de Jeanne et j’avoue qu’ils sont aussi solides que ceux de ma maîtresse et qu’ils sont même un peu plus gros avec des tétons très pointus. Ma blonde n’en reste pas là et avant que sa partenaire n’ai pu faire le moindre mouvement, elle s’attaque à son shorty qu’elle fait descendre sensuellement le long de ses jambes et libère aussitôt ses pieds, découvrant ainsi un tanga en dentelle noire.
Jeanne, la robe grande ouverte et les bras un peu bloqué, ne réagit pas et garde les yeux fermés pendant que Martine viens s’allonger sa droite en posant sa main droite sur la poitrine de sa partenaire du moment. Elle pose dans le même temps sa bouche sur celle de la belle brune qui se laisse faire.
Martine se relève après quelques instants et se met à califourchon sur le bassin de Jeanne et malaxe vraiment les deux seins de celle-ci, la faisant ainsi gémir doucement.
Assis sur mon fauteuil, juste à côté du lit, j’admire le spectacle et je sens ma queue se durcir dans mon caleçon. Mais je ne bouge pas pour le moment, car je voudrais voir jusqu’où peut aller Martine avant de réaliser qu’elle se comporte comme une vraie lesbienne.
En attendant, Jeanne a réussi à se libérer les bras et elle pelote elle aussi les seins de ma blonde, avant de se relever suffisamment pour faire basculer Martine et venir sur elle à son tour. Mais, elle ne reste pas au-dessus d’elle, au contraire, elle commence à descendre le long de ses jambes et au moment où sa bouche commence à effleurer son ventre, Martine frémit et pousse un gros soupir.
Jeanne n’en reste pas là. Satisfaite de la réaction de sa partenaire, elle continue de descendre en pose sa bouche sur le pubis de Martine, par-dessus le vêtement, puis continue de descendre. Elle attrape alors le string puis libère le sexe de Martine en lui retirant son sous-vêtement. Jeanne se positionne alors entre les jambes de Martine, qui les écarte suffisamment pour offrir sa chatte à la langue gourmande de la belle bisexuelle brune qui commence alors à lui prodiguer un cunnilingus très attentionné.
Martine, qui avait les yeux fermés et sa tête tournée vers moi, me voit en train de l’observer au moment où elle ressurgit de son plaisir. Alors qu’elle avait ses deux mains sur la tête de Jeanne, elle tend sa main gauche vers moi et me fait signe de venir près d’elle.
Je me lève de mon fauteuil et viens m’asseoir juste à côté d’elle. Martine m’attrape au niveau de ma chemise et me fait approcher mon visage du sien. Elle me roule alors une grosse pèle en me disant merci.
Je ne réponds rien, mais lui fait un sourire. A ce moment-là, elle pose sa main sur ma queue qui tend le tissu de mon pantalon.
-Sors-moi ça de là ! Mets-toi à l’aise !
Je n’attends pas une seconde plus et me mets entièrement à poils.
A peine libéré de mes vêtements, Martine m’attire vers elle et prend ma queue entre ses doigts avant de la diriger vers sa bouche. Pendant qu’elle se fait lécher le clitoris, elle prend ma bite toute dure dans sa bouche et commence à me faire une fellation. Voir ma suceuse se faire lécher me procure un véritable plaisir. J’aimerais toucher Jeanne, mais je ne veux pas brusquer les choses, car elle ne me l’a pas proposé et je ne sais pas encore jusqu’où elle est prête à aller avec moi. Je me contente d’observer cette belle croupe qui se tient à ma portée et qui est très attirante.
Je pense que Jeanne a vu mon regard porté sur son cul. Elle prend alors ma main la plus proche d’elle et la pose sur ses fesses, tout en ondulant du bassin.
Dans ma tête, c’est un immense feu vert qui s’est illuminé en face de moi. Je commence alors à caresser ce corps que je ne connais pas du tout, mais que je trouve très sensuel.
Jeanne est plus jeune que nous deux. Peut-être une dizaine d’années de moins que moi et donc encore plus de Martine. Mais elle s’y connaît bien apparemment car ma blonde commence à pousser des gémissements qui trahissent l’immense plaisir qu’elle est en train de prendre à se faire lécher et à me sucer en même temps.
Mais, une idée me vient à l’esprit. Je voudrais que Martine profite vraiment de ce que lui donne Jeanne, alors je m’écarte de sa bouche en lui disant de se concentrer sur ce que lui fait sa copine. Dans le même temps, je passe derrière Jeanne et pose mon bassin contre ses fesses, ma queue dressée entre ses fesses. J’attrape ses hanches et je commence à bouger pour faire coulisser ma queue dans sa raie. Jeanne ne réagit pas, du moins, pas en mal. Au contraire, elle semble apprécier la caresse et une de ses mains passe entre ses jambes et attrape mes couilles qu’elle malaxe un moment. Puis je sens, alors qu’elle continue de lécher la vulve de sa partenaire, qu’elle cherche à attraper ma queue. Je m’écarte alors un peu et je la laisse faire. Elle la prend alors entre ses doigts et place le gland au niveau de ses lèvres, que je sens toutes écartées.
-Baise-moi, fais-moi jouir avec ta grosse queue !
Je ne demande pas mon reste et je la pénètre d’un grand mouvement de bassin pour faire entrer ma queue jusqu’à la garde, tout au fond de son vagin. Je sens alors ma queue butter contre son col de l’utérus et ça lui fait lâcher un gros soupir.
Je commence alors mes va-et-vient au fond de son sexe et elle se met rapidement à pousser des grands gémissements. Les mouvements que j’impose à son bassin se répercutent sur le sexe de Martine, qui comprend alors que je baise fortement sa copine. Elle ouvre les yeux et au moment où elle me voit prendre Jeanne en levrette, elle explose dans un râle de plaisir et jouit comme elle ne l’avait pas encore fait avec moi. Dans le même temps, je vois sa chatte couler et inonder la bouche de Jeanne qui se met alors à crier qu’elle va jouir à son tour. Je sens alors sas chatte se contracter à plusieurs reprises et son corps se mettre à trembler au moment où elle lâche un crie qui trahit le plaisir qu’elle vient de ressentir, avant de s’écrouler sur le lit, libérant ainsi ma queue encore raide.
J’admire le spectacle et prends un plaisir purement intellectuel de voir deux belles femmes qui viennent de jouir pratiquement simultanément.
Après quelques instants de repos, Jeanne s’installe à côté de Martine. Toutes les deux sont installées sur le dos et se regardent mutuellement, en souriant. Je m’approche alors de la vulve de Jeanne, toute gonflée d’avoir reçu ma queue il y a quelques minutes, et je commence à la lécher tranquillement. Aussitôt, elle commence à gémir et je sens une main venir se poser sur ma tête, c’est celle de Martine, qui me fait ainsi comprendre que je peux y aller. A ce moment, celle-ci se relève et vient s’asseoir plus prêt de moi. Elle prend les pieds de la belle brune et les soulève e, écartant les jambes, m’offrant ainsi non seulement la chatte grande ouverte de Jeanne, mais son petit trou du cul aussi. Je me met alors à le lécher aussi et une fois bien humide, j’y glisse un doigt pendant que ma langue s’insère dans sa vulve dégoulinante. Jeanne pousse des soupirs appuyés à chaque intromission de mon majeur dans son anus. Pendant que je m’occupe de la chatte et du cul de Jeanne, Martine vient se positionner pour mettre sa chatte sur la bouche de Jeanne. Celle-ci comprend vite et ne tarde pas à lécher avidement le sexe de sa partenaire, qui, visiblement, dégouline aussi directement dans la bouche de sa lécheuse. Mais Martine n’en reste pas là. Elle se penche alors en avant et vient saisir ma queue pour l’attirer vers sa bouche. Je me tourne alors un peu pour lui faciliter la tâche. C’est un peu acrobatique, mais on se fait une partie à trois très sensitive et nous ne tardons pas à jouir tous les trois, moi me déversant entièrement dans la bouche de Martine, pendant que je peu déguster la cyprine de Jeanne qui est très sucrée.