Il trouve sa fille dans un club 5

Après une nuit de repos, le trio se lève frais et dispo. Chacun vaque à ses occupations. Le déjeuner terminé, les deux femmes attendent l'arrivée de Raymond, en se pomponnant devant le miroir de la coiffeuse. Enfin la sonnette retentit, Paul va ouvrir à son ami. Les deux femmes descendent et rejoignent les hommes au salon. Raymond et gêné de voir Cloé. Il embrasse les deux femmes, puis dit en regardant son copain Paul :

-Tu sais Paul, j'ignorais que c'était ta fille au club l'autre jour, crois-moi, sinon jamais, je l'aurais sauté !

Paul lui donne une tape dans le dos et répond en souriant :

-Ce n'est pas ta faute Raymond, moi aussi, j'ignorais que c'était Cloé, maintenant, je te rassure, nous baisons comme des malades, ma femme aussi participe aux ébats, Cloé l'a initiée au lesbianisme !

Raymond reste un instant béat en apprenant la tournure des choses. Il dit en souriant :

-Alors que du bonheur pour vous mes amis !

Paul ajoute :

-Mais mon pote, du bonheur pour toi aussi, c'est à la demande de ma femme que tu es là !


Raymond fronce les sourcils et regarde Marthe dubitativement en disant :

-À la demande de Marthe ?

Paul souriant répond :

-Eh oui, elle veut être prise en double comme nous l'avions fait avec Cloé !

Raymond sursaute :

-Oh putain si elle est aussi bonne du cul que sa fille, je vais me régaler !

Il regarde Marthe et ajoute :

Marthe, tes souhaits sont des désirs, quand commence-t-on ?

Paul répond :

-Mais immédiatement mon cochon aller à poil et à douche, nous la toilette des objets sexuels, c'est deja fait !

Pendant que Raymond fait sa toilette intime, le trio se dévêt. Il réapparaît nu, les deux femmes regardent la verge qui balance entre ses cuisses musclées de l'invité. Il s'approche de Cloé, il se cambre pour qu'elle attrape sa queue, habituée aux pratiques sexuelles de Raymond, elle saisit la verge et la branle, rapidement la bite devient opérationnelle, Marthe est stupéfaite par la forme recourbée de la bite de Raymond, elle ressemble à un sabre monté d'un gros cèpe. Décalottée, naturellement, et tendue comme elle est, elle parait monstrueuse, Marthe est émerveillée devant un tel engin. Raymond est fier de l'exhiber, il se cambre davantage pour que Marthe se rince l'œil. Cloé lui fait une masturbation dans elle a le secret, de temps en temps, elle donne des coups de langue sur le chapeau qui coiffe le sabre fortement veineux. L'effet que produit la langue agile de Cloé, fait couiner Raymond de plaisir. Marthe ne quitte pas du regard la verge qui frétille dans la main de sa fille, elle avance sa main et saisit les couilles bien pleines de l'invité. Elle Les triture fortement en regard la verge que Cloé brande sans cesse. Du méat s'échappe quelques perles de rosée, que Cloé s'empresse de laper. Marthe presse les couilles de Raymond pour le faire cabrer.


Les chattes des deux femmes sont en feu, elles suintent abondamment, un filet continu de cyprine coule sur les cuisses entrouvertes des deux gourmandes de bites. Enfin Cloé lâche la bite de Raymond, Paul s'allonge sur le sol, il bande comme un poney, Cloé l'enjambe, elle attrape sa bite tendue et la dirige vers sa chatte dégoulinante, elle descend avec souplesse son corps et s'empale sur la bite de son papa qui pousse un râle pendant la pénétration. La coquine s'agite sur le pieu qui la cloue sur le ventre de son papa. Elle se sert de son corps, comme d'un ascenseur. Elle monte et descend au rythme qu'elle souhaite sur la longue hampe qui lui fore le ventre. Marthe Regarde Raymond en l'implorant presque. Il la bascule sur le canapé et enfonce d'un seul coup son sabre dans le ventre de la demandeuse. La forme spéciale de la bite fait que le gland monstrueux lui racle le haut de la gaine vaginale en s'enfonçant dans son ventre. La sensation que procure le sabre dans son corps et indéfinissable tellement c'est bon. Raymond commence un va-et-vient à la fin de chaque enfoncement de sa queue dans le ventre de Marthe, il donne un coup de reins violent comment pour la traverser avec son sabre. Le gland appuie avec force sur le col de l'utérus en tentant de le pénétrer. Marthe défaille, jamais une bite ne la fait autant vibrer. Il s'avere que Raymond et en expert en la matière, il s'evartie à faire planer Marthe. Le bougre sait y faire, Marthe semble ailleurs, ses gémissements de bêtes font sursauter Paul qui déglingue comme il se doit sa fille vorace de queue.

Cloé s'agite en grognant, après chaque montée de son corps, sur la bite paternelle, elle se laisse tomber de tout son poids pour subir un empalement total. Soudain, elle grince des dents, se cabre et explose de jouissance. Paul donne des coups de reins violents, il veut répandre dans le ventre de sa fille sa semence épaisse. Il ne faut pas attendre longtemps pour que cela arrive, il se raidit et envoie plusieurs jets de sperme dans le ventre de sa fille qui s'agite comme une furie pour vider les couilles de son papa. Cloé se plaque contre le torse de son papa, retire la bite de sa chatte dégoulinante du surplus de semence et la dirige vers son anus. Elle se redresse et habilement s'encule jusqu'à la garde avec la bite de son papa, qui pousse un :

-Oui, oui, ma chérie donne ton cul à papa !

La coquine se sodomise totalement en s'agitant comme une forcenée sur le pal raide de désir. Marthe, elle subit avec bonheur les assauts de son amant, à chaque coup de bélier, elle sursaute, elle craint que son utérus ne cède. Elle s'accroche à son amant en gémissant terriblement. Elle se ploie comme un pont sous la tempête et jouit en hurlant de plaisir. Raymond accélère, il veut aussi son plaisir, il retire entièrement sa bite du ventre de sa soumise et la replonge avec violence jusqu'aux couilles dans le ventre de Marthe qui défaille de plaisir. Le bougre, infatigable, lui remplit le ventre de plusieurs giclées de sperme. Il se retire du puits bouillonnant, et offre aux lèvres de son amante son gland gluant. Marthe, comme pour remercier son bienfaiteur, lui suce la verge comme une professionnelle, elle veut sentir dans sa bouche la saveur du sperme de son amant. Raymond ne résiste pas longtemps, il envoie une décharge puissante dans la bouche de la suceuse avide. Marthe repousse son amant et avale le sperme qu'elle a tant désirée. Enfin, le couple se sépare. Cloé essuie avec sa langue la queue de son papa avant de le libérer. Les deux hommes bandent encore, Paul dit en regardant sa femme :

-Vient t'empaler ma chérie, c'est le moment que tu attends depuis longtemps !

Marthe enjambe son mari et s'empale comme il le lui a demandé. Paul la plaque contre son torse et dit à haute voix :

-Raymond, mon ami vient défoncer le cul de ma femme, elle le desir tellement !


Raymond s'approche de sa proie en riant. Il caresse les fesses rebondies de Marthe, passes ses doigts dans la raie pour titiller l'anneau ridé, en fonce un doigt pour sonder le puits d'amour, Marthe pousse un petit couinement de bonheur, elle se cabre lorsqu'il lui enfonce un second doigt. Raymond les enfonce jusqu'aux dernières phalanges, fait des demi-rotations en ramonant doucement le conduit pour le dilater le plus possible. Marthe est aux anges, elle va recevoir enfin ce qu'elle souhaite. Raymond retire les intrus et place son sabre contre l'anus frétillant. Il pousse, sans trop de difficulté, la verge recourbée, s'enfonce dans le rectum. Le manche en forme d'arc lui laboure la gaine anale en la distendant. Marthe sent dans son corps pour la première fois deux bites en même temps. Elle a l'impression que les deux bites sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare et fine. Raymond cesse de pousser que lorsque ses couilles viennent en contact du fessier charnu de Marthe. Enfin, les deux hommes cherchent la synchronisation parfaite pour défoncer la demandeuse. Les coups de reins deviennent de plus en plus violents, Marthe gémit comme une femme à l'agonie. Les deux hommes la déglinguent férocement, elle sent les bites voyager dans ses entrailles, cela la rend folle de bonheur, elle serre les dents, les hommes deviennent plus violents, la tension monte d'un cran. Le pilonnage de son cul et de sa chatte la rend hystérique, elle agite son corps comme une diablesse possédée par le démon.


Cloé regarde sa maman se faire défoncer le cul, elle en bave d'envie, elle saisit un fourreau et se l'enfonce profondément dans la chatte. Elle grimace, les pointes de l'engin les raclent, mes parois. Elle veut se faire mal, elle veut jouir. Elle s'acharne sur sa chatte en faisant voyager le fourreau avec une violence inouïe. Elle ne quitte pas des yeux sa maman qui couine comme une truie que l'on égorge. Marthe pousse un cri inhumain et jouit comme une malade. Pour autant, les hommes n'ont en pas fini avec elle. Ils la besognent sauvagement en cherchant leur propre plaisir. Enfin, à tour de rôle, ils lui remplissent le ventre et le cul de semence. Marthe sous la douche de sperme qui lui noie les entrailles jouit une seconde fois comme une bête en hurlant. Raymond propose à son pote Paul de la prendre par le même trou. Sitôt dit, sitôt fait. Le sabre de Raymond rejoint la bite de Paul dans la chatte de Marthe. Pour elle, c'est sa seconde nouveauté. Dilatée par les deux bites vigoureuses, Marthe subit les assauts brutaux de ses deux amants. Rapidement, elle jouit en hurlant, son corps est prit de tremblements monstrueux. La coquine jouit encore une fois, Paul demande à Raymond de changer de trou. Marthe se cambre fortement, les deux bites puissantes s'enfoncent dans son cul sans le ménager. Encore une nouveauté pour Marthe, deux bites dans le cul en même temps, c'est une chose à ne pas manquer. Elle hurle en agitant sa croupe :

-Oui, oui, défoncez-moi le cul, éclatez-le, oh putain comme c'est bon !

Cloé regarde avec envie cet accouplement hors norme, elle se defonce la chatte avec rage jusqu'à ce qu'elle jouisse. Marthe est au bord de la syncope, elle gemit comme une mourante. Soudain elle recoit plusieurs decharges de sperme dans le cul, elle se cabre et jouit du cul comme une malade. Enfin, les enculeurs retirent leur engin et s'assieds sur la canapé en souffant comme des bêtes. marthe semble devastée, elle haléte elle transpire, son corps a été un bon moment une machine à jouir. Les deux femmes difficilement se retrouvent sous la douche pour une derniere seance de doigtage et de lêchage. Paul promet à Raymond de faire appelle à lui dans les jours avenir, pour exploser les deux salopes qui a aà la maison.