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Martine la mutée

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Lue : 978 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/08/2013

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Martine est mutée, elle est partie un samedi. Je la regrette beaucoup nous avions beaucoup d'affection l'une pour l'autre. Nous aimions finir la journée de travail sur une étreinte féminine. Souvent, même le samedi, après les courses nous nous retrouvions chez l’une ou l'autre pour nous épurer, comme nous disions. Nous faisions l'amour entre fille comme j'aime. Une nouvelle arrive. Alors adieu les petits câlins dans le cou, les moments passés à nous faire l'amour, même des fois au bureau quand nous avions la certitude d'être tranquilles.

Un matin est arrivée Mine, la remplaçante. J'ai eu des doutes sur cette nouvelle, bien fichue, très féminine, belle selon mes normes, brune comme une corse, yeux trop bleus pour moi. Je suis bien obligée dû supporter l’héritage. Finalement elle est sympathique Mine. Assise à sa place je peux le voir en entier. Elle est habillée très court, plus court qu'était Martine, presque à raz de la touffe. La pudeur et elle ne sont pas passées par la même porte. Quand elle s'étire elle montre ses seins, son haut en sort de la ceinture. J'ai vu son nombril. Je me pose la question principale pour moi : en est-elle une ou pas ?

Nous avons sympathisé comme deux collègues doivent le faire. Je crois lui avoir fait comprendre que j'aime les filles, pas les mecs ou alors rarement pour le bien être passager. Si elle n'a pas compris ce que je souhaite, c'est à désespérer. Pourtant un soir en sortant du bureau elle m’a accompagné vers chez moi, en métro d’abord et en bus ensuite. Nous bavardions de sujets anodins quand comme ça pour en avoir le cœur net je posais la question :
-Est-ce que tu aimes les choses....féminines.

J'avoue que la question ainsi posée ne veut pas dire grand-chose. Mon silence au milieu de la phrase est sans doute plus éloquent.
Mais oui, j'aime les machins féminins.
Lesquels ?
La cuisine, le ménage, pas trop le ménage, et puis surtout les enlacement, si tu vois ce que je veux dire.
Oui, je vois
En réalité je ne vois rien. A moins que « enlacement » veut dire se serrer entre deux.

Nous nous apercevons que nous sommes pratiquement voisines. C'est commode. Le lendemain au bureau, en milieu d'après-midi je me lève en disant que j'allais aux toilettes en ajoutant pour me masturber. Elle me regarde en souriant simplement. Quand je reviens elle se lève pour les mêmes raisons. Au retour elle ajoute que les WC sentaient ma cyprine. Je rougis un peu. Je lui demande si elle a bien joui : je m’attends à un silence gêné. Elle me regarde bien en face en répondant que ce genre de choses sont toujours meilleurs à deux.

Le soir au retour j'allais lui proposer de passer la soirée ensemble entre filles. C'est elle qui m'invite chez elle pour nous amuser. Je réponds oui, sans trop savoir ce qu'elle veut dire par s'amuser. Quand j'étais jeune je m'amusais avec ma cousine ou ma tante à apprendre le véritable amour, celui entre filles. Un seul homme plus tard m'a appris à me méfier des hommes.

Cette fois c'est une vraie surprise quand elle ouvre sa porte : elle est à moitié nue avec seulement un paréo autour d'elle. Elle est visiblement nue dessous. Une bouteille de vin blanc est ouverte sur la table avec deux verres. Des biscuits apéritifs sont à disposition.
Assis toi, enlève ton manteau, il fait assez chaud ici. Nous allons commencer notre jeu tout à l'heure.
Quel jeu ?
Tu verras, tu seras satisfaite.

Je me sers un petit verre de vin je grignote un Belin. Enfin le jeu commence, elle est derrière moi, se penche un peu, pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue ne fait pas de chichi. Si le jeu se réduit à des amours féminines, je suis largement d'accord, surtout qu'elle me plaît, que je pense à elle quand je me caresse le soir dans le lit. Je voudrais me lever pour rendre le baiser, elle ne m'en laisse pas le temps, ses mains descendent vers la poitrine, emprisonne mes seins. Elle ouvre les boutons de mon corsage. Je suis immobilisée pas contre mon gré, j'accepte de qu'elle commence. Elle fait tomber le corsage, ouvre le soutien-gorge que j'aurais dû oublier de mettre.

Enfin torse nu, je peux commencer à me lever. J'attrape son paréo pour le faire tomber. Wouah je suis une laideronne comparée à elle. Des nichons comme je n'ai jamais vus, une taille fine, presque trop. C'est une pin-up des années 50. Elle me prend un instant dans le bras, m''embrasse encore profondément. Je mouille trop tôt ans doute, mais c'est plus fort que moi, elle me plaît tellement. Elle m’entraîne dans sa chambre avec un lit immense bon pour s'y retrouver à 4 ou 5. Je la laisse me coucher, enlever le reste de frusques. Elle vient sur moi, je sens ses seins contre les miens : elle le fait exprès. Son pubis contre le miens chauffe ma chatte. Je ne sais que l'enlacer par le dos. Sa tête passe sur le cou, les épaules, la poitrine, le ventre, les côtés, même mes fesses ont droit à sa visite. Mais le véritable jeu commence quand elle passe sa main entre mes cuisses. Je suis prête, elle n’a qu'à caresser comme elle veut, me faire l'amour, j'y tiens. Je ne suis pas sa première c'est certain. J'en étais resté aux caresses presque chastes de ma tante que je vois de temps en temps c'est tout.
Ça te plaît comme ça ?
Bien sûr.
Alors montre le
Comment ?
En me baisant moi aussi.

Je suis une sotte, ce n'est pas parce qu'elle me masturbe que je ne dois rien faire. J’essaie bien de trouver un accès vers sa vulve. Je n'y arrive pas. Pour me punir elle ne caresse plus les fesses. C'est une véritable fessée comme quand j'étais petite qu'elle me donne. J 'ai mal aux fesse, elle continue sans tenir compte de la douleur. J'ai toujours mal et je ressens une bizarrerie dans mon corps, je commence à aimer ses taloches. J'en arrive à mieux jouir.
Tu me baises ou quoi ?

Je ne sais que répondre, je cherche un endroit où je pourrais lui donner ce plaisir qu'elle réclame. Je suis une imbécile, je l'avais sous les yeux : ses fesses. Je passe une main caressante, je trouve sa raie qui me donne envie de la suivre jusqu’au bout. Je glisse lentement entre ses globes généreux. Je trouve sans trop le vouloir son petit trou. Je me laisse tenter, on dit que des fois en y prend du plaisir. Je vérifie le on dit. Je masse cette extrémité du corps. Elle me laisse faire, je continue, recommence en cas d'arrêt. J'ai l'idée saugrenue d'entrer mon doigt, même si jamais ma tante ou ma cousine n'ont fait une telle sottise.

Je suis en elle, elle tend ses fesses vers moi. Je continue à entrer et même à sortir un peu pour revenir. Elle gémit. Je lui donne du plaisir que je ne connais pas.
Continue dans mon cul, donne-moi le tien.

Je n'ose pas trop lui donner mes fesses, je n'ai pas cette habitude, elle m'y a frappé. On y prend du plaisir, c'est si près du reste. J'accepte son doigt. Elle le manie mieux que moi. C'est dérangent au début, on dirait une crotte mal sortie ; Et puis j'y prends l'habitude de la grosseur du doigt. Elle me ramone le cul. J'y prends goût Je me dévergonde complètement. C'est bon tout ce qu'elle me fait, rien avoir avec Martine, la mutée.

Nous nous retournons, elle me fait venir sur elle. Je la sens sous moi, sa bouche sur le pubis, sa langue qui fouille le con. Elle la fait passer partout. Je me régale. Mais il faut que je lui rende aussi ce qu'elle fait. Ma langue cherche d'abord son goût, j'ai horreur de certaines odeurs. Elle est excellente à lécher, ses organes sont excitants. Son clitoris est presque dur sous ma langue. Je la sens se crisper quand elle jouit. J'ai réussi à la faire jouir, moi une presque néophyte.

Moi, je ne me plains pas, je jouis presque par routine quand elle me branle ou le lèche. Je crois qu'elle voudrait entrer sa main en entier dans le vagin. C’est dit-elle jouissif. Nous verrons un peu plus tard, le temps de digérer mes orgasmes. Demain soir pour la suite du jeu.
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Histoire de fabrissa

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