ACCUEIL > Hétéro > Récit : Masturbation horizontale

Masturbation horizontale

+28

Lue : 4248 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/04/2014

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous sommes nus tous les deux, je suis allongé sur le dos, de tout mon long dans le sens du lit et Gladys me fait face, assise face à moi, elle me chevauche, ses fesses sur le haut de mes cuisses, ses genoux repliés de part et d’autre de ma taille, de mes hanches, ses bras ballants rejetés en arrière en appui sur mes cuisses. Son buste est relevé, légèrement penché en arrière, ses seins dressés, elle me sourit, ses yeux brillent.

J’ai la tête légèrement remontée par un coussin et je peux tout voir, mon sexe bandé, décalotté, gros et raide, dressé, légèrement décollé de mon ventre, bien dans l’axe de mon corps, mon gland à hauteur de mon nombril, je ne vois plus mes testicules enfouies sous l’arc de ses cuisses ouvertes, calées quelque part entre ses fesses. Le sexe de Gladys est complètement épilé, sa peau est douce comme celle d’un bébé, ces grandes lèvres sont entre ouvertes par la position.

C’est elle qui a choisi cette manière de faire l’amour, manifestement elle veut être maîtresse de la situation et je décide de la laisser faire, de rester calme, passif, de la laisser s’exciter sur moi, de diriger mon plaisir et le sien. Elle en a envie, cela se voit ; je veux lui faire ce cadeau, la satisfaire. Je reste immobile, mes bras, mes mains sur les draps du lit de part et d’autre de mon buste.

En jouant avec les muscles de ses cuisses, elle se soulève légèrement, s’avance à genoux et se repose sur moi, un peu plus haut; de mon sexe rabattu, horizontal, je ne vois plus maintenant que mon gland qui dépasse au ras de son ventre lisse, ma hampe écartèle les grandes lèvres de sa chatte. Je les vois entre ouvertes, encastrées, enroulées sur moi faire un doux collier à ma verge. En haut, là où elles se rejoignent elles laissent apparaître le capuchon bien développé, comme un petit doigt, de son clitoris qui point dans l’arcade ogivale de ses cuisses blanches.

Gladys ne bouge plus, seules des petites ondulations de son ventre d’avant en arrière, des contractions imperceptibles animent ses lèvres en les faisant vibrer, glisser sur moi ; je les vois apparaître et disparaître comme mangées dans l’antre de son entre cuisses. C’est déjà une caresse pour moi et je sens une tension dans ma verge qui grossit encore, mon gland qui s’épanouit, sa corole qui en fait le tour à sa base titille le bourgeon de Gladys selon son bon vouloir.

Cette position jouissive dure une éternité, les reptations de son ventre , le plaisir qu’elle y prend, se traduisent déjà par de petits gémissements, en Anglais sans doute, autant que des gémissements puissent s’exprimer en une langue donnée, mais ils sont ponctués de chuchotements presque inaudibles, incompréhensibles, où je distingue des « is good, beaucoup de « yes, de « yesssss, mais aussi des « oui, ouiiiii, des « c’est bon Georges, Georrrggges !

Plus que ses mots, c’est son corps qui montre le plaisir qu’elle prend à se caresser la vulve ainsi sur la rondeur de ma verge, les ondulations de son ventre deviennent des va et vient lents, très lents de sa minette qu’elle fait glisser sur toute la longueur de mon sexe. Quand son ventre s’avance en recouvrant complètement mon gland, elle y reste en se vautrant un moment sur sa douceur, je comprends qu’elle se sert de sa corolle pour écraser son clitoris et le titiller. Tout son corps vibre alors et tressaute sur moi pour aviver son plaisir et le mien qui depuis un moment me saisit, il s’épanouit dans mon sexe puis s’estompe en une évanescence sublime avant de resurgir de plus en plus fort.

Positionnés ainsi, mes bourses bien rondes, bien détachées dans leur sac de peau fripée sont agitées entre ses fesses qui palpitent, frissonnent en s’écartelant sur elles et cela ajoute à mon plaisir et au sien si j’en juge par la frénésie qui d’un coup l’anime.

Quand Gladys se recule, en une glissade sublime, mon gland, ma verge refont surface, mes couilles même apparaissent pressées sous son ventre ; mon sexe sous tension se redresse, roide ; je vois sa main droite me saisir et me caresser ; les doigts sur mon gland ou sous ma verge pour la relever presque verticale, la caler sur son ventre et se caresser avec elle, avec mon gland sur son clitoris qu’elle écrase en tournant, en le pressant….. C’est bon !

Ses gémissements deviennent des petits cris qu’elle ne peut retenir, elle jouit pour la première fois, très fort, je le sens, je le vois car d’un coup elle s’inonde et la sensation devient irréelle car elle m’a enfourché à nouveau et va et vient maintenant sur moi aussi vite qu’elle le peut et je sens la soie au fond sa vulve ouverte glisser sur ma bite qu’elle découvre avant de la cacher de nouveau bien centrée dans sa balafre au fond de ses cuisses serrées. Gladys est ailleurs à cette instant elle se masse les seins en s’agitant sur moi, son regard tourné vers le ciel et quand elle se penche sur nous elle pousse un grand cri en regardant mon sexe qui la fait jouir si fort.

De nouveau sa main droite est sur moi, elle agite mon gland sur son pubis entre ses grosses lèvres, sur son clitoris raidi et rougeoyant. Comme en transe elle se relève libérant mon sexe qui se redresse, je le vois bien dégagé entre ses cuisses sous son ventre. C’est sa main gauche maintenant qui par derrière en passant entre ses jambes me saisit et me branle. En arrière-plan je vois ses jolies fesses, ouvertes, je vois ses petits doigts, ses ongles carminés dans la lucarne sous ses cuisses qui s’enroulent crispés autour de ma hampe, sous mon gland, ils font coulisser ma peau sur lui pour mieux le dépuceler. Elle l’enlise et le fait aller et venir d’avant en arrière tel un soc au fond de sa vulve, entre ses petites lèvres gonflées, à l’entrée de son vagin, avant de titiller avec lui son bouton qui pointe maintenant à l’entrée grande ouverte de son capuchon. Gladys souffle elle jouit, j’ai envie de jouir moi aussi et je me retiens, seule une petite goutte de sperme perle au bout de mon gland, mon plaisir est en marche, je suis bien.

Elle me pétrit les couilles délicatement, c’est bon, elle s’y prend bien, je les sens rouler l’une après l’autre dans la paume de sa main, je commence à grogner et durant un long moment elle m’astique le sexe des testicules au gland et elle s’applique à le faire aller comme le feraient les soies d’un gros pinceau dans sa vulve entre les pétales de ces petites lèvres qui d’un coup prennent ampleur et couleur.

Mais ce qui lui plait le plus, ce qui lui donne le plus de plaisir c’est de revenir à cheval sur moi, mon sexe bien centré entre ses cuisses et là, la ronde reprend longuement très longuement, des va et vient d’ampleurs aléatoires mais tous jouissifs pour elle, cela glisse délicieusement ; je la vois jouir quatre ou cinq fois de plus en plus fort, de plus en plus longtemps en variant la manière de faire, la façon de s’offrir, en se penchant sur moi ou en se rejetant en arrière . C’est bon pour moi aussi, jamais masturbation n’a été si douce si appliquée, plusieurs gouttes de sperme annonciatrices de plaisir ont rejoint son miel et s’étalent sur mon ventre; mes gémissements se mêlent aux siens, continus.

L’imagination de Gladys est sans borne, à l’égal de son envie de jouir, ses caresses infiniment variées : de grands , longs et lents va et viens de sa vulve écrasée sur toute la longueur de mon sexe suivis d’autres très courts et très rapides juste sur mon gland au ras de son ventre avec alors pour moi le spectacle envoûtant, sans cesse renouvelé, de ses grandes lèvres mangées par ses cuisses à chaque avancée de son ventre et renaissant l’instant d’après à chaque recul, à chaque sortie de mon sexe du fourreau jouissif de son entrecuisses.

Je ne vois plus que mon gland qui dépasse, je vois je sens cette masturbation rapide de faible amplitude centré sur lui, son clito sur mon frein si sensible, ce ventre qui s’agite comme un fou, qui vibre plutôt ; j’entends les mots inaudibles de Gladys où émergent des « ouiiiii, des « my god, des « geooorrgges, des « viens. Le plaisir monte en moi, trop longtemps retenu, je grogne, souffle, gémit , je dis des « ouiiiiiii moi aussi, des « c’est bon, des « je vais jouir, des « gladyyyssss qui n’en finissent plus. Elle est en plein orgasme, les yeux au ciel, elle se masse les seins, les torture elle hurle « viens . Je ne peux plus me retenir plus longtemps l’ouragan monte de mes génitoires malmenées entre les fesses en furie de Gladys je sens mon foutre remonter dans mon sexe, je vais joindre mes hurlements aux siens.

Je la vois d’un coup qui me regarde, elle lit mon émoi sur mon visage ; elle me sent au point de rupture, le moment où elle va me faire jouir, elle veut le voir ce moment pour jouir avec moi, elle fixe mon gland qui apparaît et disparaît au raz de son ventre plat, sa danse est infernale, elle se relève légèrement à chaque recul, je sens alors une simple caresse de ses petites lèvres gonflées, inondées sur ma hampe lubrifiée puis elle s’écrase sur moi de tout son poids en s’avançant ravageant son sexe et le mien, cela me fait l’effet extraordinaire comme une petite pompe qui ferait un vide de plus en plus poussé dans ma queue et qui aspirerait mon foutre au plus profond de moi. Manifestement elle guette l’instant de sa victoire, je la regarde, moi aussi son visage est devenu tout rose, je vois son ventre, sa chatte, je n’en peux plus, je grimace je hurle, je m’enfonce dans le plaisir, ébloui, du soleil, des étoiles plein les yeux, j’ai juste le temps de voir son visage irradié par l’orgasme et je crie en éjaculant.

Je jouis en longues giclées, du liquide transparent d’abord avant de voir mon ventre s’inonder de longs filets de sperme nacré, épais, abondant. Gladys m’a regardé tout le temps du plaisir qu’elle m’a donné, elle est heureuse je le vois, elle me sourit. Avec ses doigts elle porte mon plaisir de mon ventre à sa bouche, tout mon plaisir qu’elle garde sur sa langue, me le montre toute joyeuse, ferme sa bouche et quand elle ouvre sa bouche à nouveau, dans un grand rire me montre qu’elle a tout avalé.

Nous sommes anéantis elle s’est écroulée sur moi l’espace d’un instant, elle me chevauche toujours, elle est radieuse
« Tu as aimé Georges
« Oui Gladys, j’étais bien, tu as vu, entendus, tu as bu mon plaisir
« Georges merci de m’avoir laissé faire j’en ai tellement envie tu sais. A la fin J’ai joui en continu avec toi, en même temps que toi, j’ai vu ton sperme inonder ton ventre, je l’ai étalé avant de le boire, c’est bon

En me parlant Gladys se caresse les seins, je les remarque ils sont bien ronds, fermes elle a des bouts roses bien formés au centre de petites aréoles bistres elle les caresse à deux mains en mouvements symétriques qui partent de ses épaules où elle revient souvent ; elle empaume caresse ces merveilleux volumes, elle les prends par-dessous pour les remonter, les resserrer l’un contre l’autre, elle les palpe les doigts tournés vers la vallée gracieuse et profonde qui les sépare, les fait glisser de leur chair ronde et tendre vers leurs pointes où ils s’attardent les pincent entre le pouce et l’index de chacune de ses mains.

Elle a encore envie, cela se voit et moi je vais la laisser réaliser ses fantasmes, je ne sais où ils vont nous mener, qu’importe, car je vais en profiter moi aussi, en restant sa chose, c’est tellement beau une femme qui se fait jouir.

Ces mains émigrent du dessous de ses seins vers son torse, passent sur sa taille fine avant de gravir ses hanches et revenir réunies bien à plat sur son ventre, sur ces cuisses ouvertes. Gladys est toujours assise sur moi un peu plus en arrière, mon sexe est sorti complètement, mes testicules masquées sous elle ; ma verge est toujours raide décollé de mon ventre , je vois tout, ces deux mains qui se rejoignent sur mon sexe , paumes ouvertes, ces doigts qui me saisissent délicatement

« Je peux ? me dit-elle dans un souffle, mon silence, mon regard lui répond. Ses mains se séparent, sa main droite prend mon sexe par-dessous, le redresse pour le plaquer sur son ventre en le branlant, j’ai envie de jouir quand en se soulevant légèrement elle fait aller et venir mon gland dans sa déchirure, elle se caresse avec lui jusqu’aux confins de sa vulve, à l’entrée de son vagin. Un peu plus haut, au bas de son ventre, les doigts de sa main gauche caressent son clitoris. Gladys ondule un peu pour que mon gland frôle les petites lèvres de sa vulve, elles sont grandes ouvertes, ruisselantes de sa mouille.

Je suis fasciné par le tableau érotique qui s’offre à ma vue, le pont de ces cuisses blanches écartelées avec sous le manteau mon sexe dressé qui masque en partie la rondeur de ses fesses. Ma verge est abandonnée un instant tout en restant en bonne place car Gladys se caresse la vulve comme seule une femme peut le faire, je vois la danse des doigts de ses deux mains caresser, écarteler ses petites lèvres pour mettre son clitoris en évidence, elle le titille d’un doigt, le redresse, tourne autour de ce petit grain qui est sorti de son antre. Les mouvements de sa main sur son bouton s’accélèrent, deviennent heurtés, erratiques, presque incontrôlés, Gladys gémit de plus en plus fort elle va se faire jouir cela est évident. Elle s’est affaissée sur moi de nouveau et elle conjugue ses caresses à celles de ma queue qu’elle chevauche à nouveau .Sa jouissance éclate d’un coup en un long cri suivi de plaintes ininterrompues comme son plaisir qui dure à n’en plus finir. Je suis bien moi aussi , jamais une femme n’a joui de la sorte et pourtant je n’ai fait que la laisser faire sur moi.

Le calme est revenu et Gladys veut manifestement s’occuper de moi, elle voit mon sexe entre ses cuisses, ma grosse veine bleue gorgées de sang et elle commence à me masturber avec ses mains, chacune soucieuse de me donner du plaisir, elle a l’air t’aimer et cela se voit à son regard fixé sur ma virilité. Sa main droite m’abandonne un instant et revient enduite de lubrifiant prit je ne sais où , peu importe car d’un coup la branlette prend une autre dimension. Ses mains glissent sur la verge , un chuintement se fait entendre à chaque va et vient de ses doigts serrés sur moi, je sens ma peau qui recouvre mon gland, on s’occupe de lui de toutes les façons possibles en le pressant, en le décalottant en le cerclant d’un anneau de doigts, en caressant son frein avec la pulpe de ses deux pouces, on me branle à une main, à deux mains, doucement ou énergiquement ,on tire sur mon sexe comme pour l’allonger, cela a pour effet de voir surgir mes testicules et de les faire participer à la sarabande diabolique qui va finir par me faire jouir . Gladys s’excite sur elles, les frôle, je les sens rouler, remonter, suivre les va-et-vient de sa vulve, de son clitoris érecté sur leurs rondeurs ; sur la touffe de poils qui les tapissent et cela à l’air de lui plaire cette douce caresse presque irréelle de ma toison sur sa muqueuse si sensible.

D’un coup Gladys se décolle de moi, de mon ventre, en se relevant d’un côté seulement, le côté droit, elle a relevé son genou, posé son pied sur le lit. Mon champs de vue s’élargit d’un coup, c’est comme une grande fenêtre qui s’ouvre, bizarrement, en arrière-plan, je vois mes jambes allongées sur le lit, légèrement écartées, mes pieds en éventail, comme on dit et cela me ferait rire si mon excitation n’était pas monté d’un cran avec celle de Gladys. Mon sexe s’est dressé, vertical, raidi comme du bois, il est saisit à la base par la main droite de Gladys passée par devant. Guidé par cette main complice mon gland luisant de mouille, décalotté, fouille, cherche, Il s’immobilise d’un coup entre les grandes lèvres écartelées au fond des petites lèvres bandées, sorties, ouvertes. Ce n’est pas possible, je ne bouge pas et pourtant je m’enfonce, c’est Gladys qui descend sur moi, c’est tellement bon que je ne peux rester sans voix je gémis, respire à grands coups je murmure des « Gladyyyysss langoureux au fur et à mesure qu’elle m’enlise dans son puits d’amour, elle me répond comme en écho des « oui des « oouuuiii des « oh my god des « georgggeeesss à n’en plus finir.

Je suis à moitié en elle quand elle s’arrête de descendre mais c’est pour remonter légèrement ; entamer un va et vient de sa chatte sur l’extrémité de mon sexe. Le spectacle est hallucinant car je vois tout, je ressens tout, les contractions de son vagin lubrifié qui me broie délicieusement à chaque descente , descentes de plus en plus vertigineuses, profondes mais qui pourtant laisse la place à sa main droite libérée, à ses doigts de passer par devant entre ses cuisses et venir en arrière sous ses fesses pour me saisir les roubignoles, me les palper en les agitant en les soutenant par-dessous. Depuis un moment, de sa main gauche, Gladys recommence de se caresser les petites lèvres et son clitoris. D’un coup la chambre se nourrit de nos gémissements.

Mon sexe s’enfonce de plus en plus , moi comme elle sommes en attente d’une pénétration complète et pour que cela soit possible Gladys doit reprendre sa position assise qu’elle avait avant de relever sa cuisse droite , elle la reprend , son genou de nouveau sur le lit, mon sexe peut alors s’enfoncer complètement, il le fait progressivement, le temps de plusieurs montées et descentes de ses fesses. Mon sexe disparait, la fenêtre s’est refermée, mon sexe est complètement en elle, je ne vois plus que son ventre blanc et lisse et émergeant de ses lèvres son joli petit clitoris.

Nous sommes immobiles, l’arc de ses cuisses épousent mon ventre, j’attends l’estocade, celle qui nous fera jouir ensemble, une masturbation puissante et rapide de sa chatte sur moi qui va nous faire éclater. Mais semble t’il Gladys veut encore s’amuser, s’exciter avec moi car elle se relève un peu et de sa main gauche passée entre ses cuisses elle empoigne et extirpe à nouveau mon sexe et le met à l’air et recommence à me branler.

Manifestement Gladys adore voir et caresser mon sexe et je lui fais ce cadeau de lui laisser faire ce qui semble tant l’exciter. Jamais masturbation n’a été aussi complète aussi variée, cela recommence avec ses deux mains enduites à nouveau de d’huile odorante, elles glissent, emprisonnent, font à ma hampe un doux collier, à tour de rôle ou ensemble, l’une sur l’autre en laissant émerger mon gland décalotté, gorgé de sang, elles s’enchevêtrent, tournent en sens inverse, l’une au-dessus de l’autre comme on s’y prend pour essorer un tissu.

Je regarde Gladys, elle est sérieuse, appliquée, elle me regarde de temps en temps , elle guette ma respiration et quand je lui montre le plaisir qu’elle me fait elle me sourit, son nez pincé par l’émotion, son souffle court lui aussi et rassurée elle replonge vers son plaisir de la possession, elle me branle d’une main maintenant en me serrant très fort au rythme des chuintements qui accompagnent les va et vient de sa main sur moi, elle laisse son autre main sur mon ventre avant qu’elle ne rejoigne celle qui m’empoigne, alors, toutes les deux , leurs doigts s’entrelacent en tous sens, comme pour mimer un vagin qu’elle fait aller et venir sur mon sexe comme si je le possédais sauf qu’à chaque descente je vois mon gland surgir comme un diable entre ses jolis petits doigts.

Gladys se recule, ses fesses lointaines assises sur mes jambes, elle se penche sur moi et j’ai la surprise de voir sa poitrine, ses beaux seins sur mon ventre, sur mon sexe, ils ont la douceur de la soie, ils sont légèrement allongés par la pesanteur et ses tétons dodelinent joliment. Son bras droit en appui sur le lit la soutient au-dessus de moi et lui permet d’onduler sur moi à son gré de droite à gauche, de me frôler ou de s’écraser plus ou moins sur le cylindre de ma verge, sur mon gland. Je sens leurs caresses ; ils glissent, se déforment sur moi, jamais caresse n’a été aussi douce. Gladys me regarde, je lis son plaisir dans ses yeux , ses seins sont sensibles à l’extrême, d’un coup ils sont devenus plus gros, plus durs et à chaque fois qu’elle fait passer mon sexe d’un sein à l’autre en tortillant son buste un rictus accompagne ses petits gémissements.

Mon sexe comment dire ? Il frétille, il pulse, se dresse, s’abaisse, caresse, il s’agite dans la douce vallée qui sépare ces merveilleux volumes ; il se redresse comme à ressort quand Gladys se relève . Gladys me prend le sexe par-dessous de sa main droite, le relève pour présenter mon gland sur ses tétons et leurs aréoles, elle semble comme électrisée quand les deux muqueuses se touchent. Mon sexe déforme ses seins en s’agitant, il se cale souvent serrés entres eux et Gladys me branle collée sur moi, sur mon ventre. Elle jouit une fois encore, heureuse femme qui peut jouir par des caresses sur sa poitrine, sur ses seins. Je vois qu’elle voudrait m’entraîner moi aussi dans le plaisir, je le voudrais pour que son plaisir soit complet, jamais jouissance n’est si forte en effet que lorsqu’elle est partagée, mais pour l’instant je ne suis que très bien, seulement très bien , mais tendu à l’extrême .

Elle s’avance et se rassoit sur moi . Elle s’est relevée, presque debout au-dessus de moi, et elle s’avance encore, mon sexe dressé entre ses fesses ; sa main droite me saisit et agite mon gland énergiquement à l’entrée de son vagin, elle le fait glisser sur toute sa vulve, sur ses petites lèvres qui dégoulinent, elle pousse des petits cris, elle s’enfonce en moi et durant un instant avant qu’elle ne m’absorbe entièrement, je vois encore sa petite main passée devant entre ses cuisses me flatter les testicules et puis c’est de la folie, dans un cri elle s’empale sur moi, entièrement, au milieu de son ventre je ne vois plus que la base de ma verge, je vois une partie de mes couilles écrasées par ses cuisses. Elle me masturbe avec sa chatte et là je crois que je vais défaillir, elle danse sur moi et fait claquer ses fesses sur ses cuisses.

Nous nous observons tous les deux, mon regard est monté de son ventre, de ses cuisses, de mon sexe, vers son visage, je lis son plaisir qu’elle prend sur moi en allant et venant doucement sur ma hampe, de mon gland qui apparaît quand elle remonte au plus haut jusque à mes bourses qu’elle écrase en s’enfonçant à fond……elle se contorsionne tordant mon sexe en elle entre ses fesses mouvantes et elle commence à gémir. Manifestement elle m’attend pour de son plaisir plonger avec moi dans l’orgasme.

Depuis un moment je sais que je vais jouir moi aussi, Gladys fait tout pour ça, elle se contracte sur mon sexe, les bouts des doigts, leurs ongles de ses deux mains me caressent le ventre, la taille, les cuisses la poitrine comme le feraient des pattes d’araignée, nos « ahans se conjuguent, se mêlent à nos gémissements. Je ne contrôle plus rien, Gladys le vois, elle me hurle de venir, de l’inonder au plus profond de sa chatte, elle ne bouge plus, je suis complètement en elle et c’est moi qui bouge et ondule sous elle, je remonte mon ventre pour aller plus profond encore. Je jouis d’un coup, formidablement, en longues giclées en elle, au plus profond de son vagin. Gladys est en plein orgasme depuis longtemps, le corps tétanisé, le buste relevé elle se caresse durement les seins, elle jouit bien après moi et je la laisse en l’observant ? C’est beau, qu’elle est belle ainsi.

Gladys remonte pour se désengager, mon sexe apparaît de nouveau dans toute son ampleur, jamais je crois je n’ai été si gros si raide et avant que mon gland apparaisse entre ses grandes lèvres écartelées, mon sperme coule de sa chatte sur mon sexe, dégouline sur mon ventre. Gladys me sourit, elle est heureuse et moi aussi
« Georges !
« Oui !
« Tu me laisses faire encore ?
« ……… ?
« Ce que j’ai envie depuis que je te connais
« Fais le Gladys

Alors, elle s’avance à genoux , son entrecuisses sur mon ventre, puis sur mon torse, il s’écarte pour franchir mes épaules, il est au-dessus de mon visage, je me doutais qu’elle aurait cette envie de se faire jouir ainsi, toutes les femmes en rêvent, je suis prêt à lui faire ce cadeau d’autant plus que j’aime faire cette caresse. Au-dessus de moi je vois la raie de ses fesses, je vois son anus pour la première fois, il est adorable, froncé, cerné de bistre, sage comme une image, par contre sa chatte est encore ouverte, grande ouverte et inondée de mon sperme et de sa mouille, ce n’est pas pour me déplaire.
Je lui dis « Viens et je la laisse faire, comme tout depuis le début
Je vois qu’avec ses mains, sous elle, elle écartèle ses lèvres, les grandes et les petites et elle descend ainsi vers ma bouche ; manifestement elle n’a pas envie de léchouille car elle hurle
« Enfonce bien ta langue Georges

Je la sors, toute grande toute raidie, d’un coup la nuit se fait, elle est sur moi et ma langue est en elle au plus profond qu’elle peut, mon nez est sous son ventre, sur le capuchon de son clitoris. C’est de la folie, Gladys devait attendre cet instant, cette caresse car elle se déchaîne, en criant presque, elle s’agite en tous sens, fait en sorte que ma langue reste en elle, que mon nez écrase son clitoris, elle hurle maintenant et d’un coup je suis noyé par une mouille épaisse qui dégouline dans ma bouche.
« Suce mon cul Georges……oui….ouiiiiiiii……ah c’est bon….my god…my god….. ouiiiiiiii…..ouiii…..ouuuiiii

Elle s’est avancée d’un pouce et je lui lèche l’anus, il est fermé mais ma langue fait son œuvre sur son œillet et ses alentours, mais je crois que c’est mon nez dans sa chatte qui l’excite le plus et elle se vautre longuement sur lui. Il fait plus clair d’un coup car Gladys est descendu de cheval si j’ose dire elle est allongée à mes côtés et elle récupère, elle me sourit et m’envoie un baiser, elle a l’air exténuée
« Georges
« Oui Gladys
« J’ai envie…..
« Envie de quoi chérie ?
« J’ai envie de te sucer, c’est mon fantasme

Son regard me brûle il est presque implorant, si elle savait comme cette idée me réjouit elle aurait été moins inquiète. De toutes les caresses, celles faites par une bouche, des lèvres, une langue me bouleversent et je leur dois mes plus belles jouissances. Avec Gladys et cette envie irrépressible qu’elle semble avoir cela promet d’être chaud
« Tu veux ? répète t’elle
« Bien sur
« Ah Georges…merci

Alors je m’abandonne, une fois encore, je la laisse faire, je la regarde ; elle s’est levée hors du lit, qu’elle est belle ainsi, nue, debout, elle m’empoigne, me tourne, jambes pendantes dans la travée, elle les écarte et se glisse à genoux entre mes cuisses. Je glisse un coussin sous ma tête pour la regarder faire, j’adore çà.

Elle me fait comprendre que je dois relever mes jambes, elle m’aide à mettre mes pieds sur le lit en gardant mes cuisses ouvertes, mes fesses bien au bord du lit, vous voyez comme je suis offert ainsi positionné., totalement offert, à sa merci, prêt à lui laisser assouvir tous ses fantasmes ,tous ses désirs, ses envies, je suis heureux de la laisser faire. Elle avance son visage, je sens son souffle, elle me respire, je dois sentir le fauve, cela n’a pas l’air de la rebuter, au contraire; mon sexe est en appui sur mon ventre, ployé il a retrouvé un peu de souplesse, sa peau a retrouvé sa place et recouvre mon gland et je sens mes testicules pendre de tout leur poids entre mes fesses.

Gladys justement commence à me lécher les parties, sa langue les enduit de sa salive en mouvements enveloppants en les agitant , en les séparant, elles sont bien indépendantes, libres à l’abri dans leur besace de peau, elles masquent un peu mon anus que sa langue cherche à titiller en passant par dessous .Cela commence bien, j’ai affaire à une esthète ; mon sexe du coup reprend de la vigueur et je le sens qui se décalotte.

Gladys sous moi à ouvert sa bouche et gobe une de mes couilles, en aspirant elle arrive à l’engamer entièrement et même à glisser sa langue par-dessous car je la sens tourner autour dans sa bouche fermée qui ne me lâche pas. Je me sens tiraillé ; aspirée ma couille va-et-vient dans sa bouche, je la sens glisser, aller et venir, et quand elle est sur le point de sortir, je la devine bien ronde, ovoïde, moulée dans son enveloppe étirée par ces lèvres serrées sur elle. L’instant d’après elle disparait par la succion de cette bouche qui la réclame.

Jamais je n’ai eu cette sensation, une alchimie s’installe dans mon ventre, cela bouillonne, j’ai une sorte de jouissance sèche, je veux que cela dure et je le montre en gémissant. Gladys me tête comme un cabri tête sa mère pour faire jaillir son lait de son pis, elle donne des à-coups qui me surprennent et me réjouissent. Je n’ai jamais été aussi excité, je me laisserais tuer pour que cela dure, j’ai envie de jouir et je retarde cet instant tant le présent est délicieux.

Gladys ne m’a lâché que pour prendre l’autre couille et maintenant elle passe de l’une à l’autre, les engame, les fait glisser, rouler avec sa langue, dans sa bouche ; je m’aperçois que je bande comme un cerf, ma bandaison est revenue sans que je la ressente. Tout en continuant de me sucer Gladys prends ma verge dans sa main gauche et elle me branle à pleine main, je vais jouir c’est sûr, Gladys le sais et elle fait tout pour retarder cet instant en modérant sa main et sa bouche. Elle vient de passer sa main droite sous son menton et je sens une caresse entre mes fesses, sur mon anus lubrifié, une pression tout autour « ……non…..noonn ….noonnnnnn ….siiiiiiiii….. c’est trop bon je suis pénétré, enculé par un doigt qui glisse dans mon anus et tourne comme un fou en moi, ce n’est pas possible.

Je n’ai jamais connu çà, un tel plaisir, une telle plénitude. Qui n’a pas été sucé par Gladys ignore tout de ce que peut être une fellation ; Elle me regarde, essaie de mesurer le temps qu’il lui reste avant que je me rende, que j’explose, le temps presse. Sa bouche déglutit mes couilles, sa main gauche lui présente mon gland tout en continuant de me masturber à la base au ras de mes valseuses. Je suis bien dans sa bouche ; après mes testicules c’est mon gland, ma verge enfoncée entre ses lèvres qu’elle pompe. Je n’en peux plus mes couilles agitées battent la chamade, les quatre doigts de sa main droite les ont empoignées et c’est le pouce qui maintenant par-dessous me pistonne l’anus.

Les gémissements étouffés de Gladys sonnent l’hallali, des profondeurs de mon ventre monte un flot bouillonnant de plaisir , le foutre est dans ma verge, je hurle mon plaisir, je jouis comme je n’ai jamais jouis, je suis mort, ailleurs, Gladys regarde mon visage irradié, mes yeux dans le vague, ses yeux lancent des éclairs, je suis sur qu’elle m’a attendu pour jouir elle aussi, avec moi. Je n’ai pas pu me retirer j’ai joui dans sa bouche, un flot de sperme épais, celui des jouissances extrêmes.

Je suis toujours raide, le sang bouillonne dans mon sexe, j’ai allongé mes jambes dans la travée du lit, mes pieds sur la moquette ; Gladys grimpe sur moi, ses genoux de part et d’autre de ma taille, elle s’accroupit sur moi, les fesses sur son ventre, elle a les yeux fous, elle a passé une main entre nous, elle saisit ma verge dressée , la centre et elle s’enfonce ; je suis serré, je comprends que je suis dans son anus ; la sensation est tout autre que dans son vagin et c’est elle, toujours elle qui s’empale sur moi, elle se penche sur moi, me serre dans ses bras et tout en agitant ses fesses en tous sens elle prend ma bouche, lèvres ouvertes, nos langues s’enroulent, la sienne a encore le gout de mon sperme.

Gladys jouit comme jamais je n’ai vu jouir une femme, nous sommes unis, soudés l’un sur l’autre, par nos bouches, ses seins sur mon torse, mes cuisses relevées qui enserre sa taille avec mon sexe entre ses fesses qui pistonne son joli petit cul. Je fais en sorte d’entretenir son plaisir en faisant varier le rythme et l’amplitude des pénétrations de mon sexe dans ce puits sans fond ; c’est la première fois que je ne la laisse pas libre de nous faire plaisir et je le fais jusque au moment où telle une poupée de chiffons Gladys s’écroule ivre de plaisir, dans mes bras, serrés l’un contre l’autre, moi j’ai eu une jouissance sèche sans éjaculation le plaisir est monté en moi cependant, irréel comme les bulles évanescentes qui éclaboussent quand on débouche un magnum de champagne.

Nous sommes allongés sur le lit, lovés l’un contre l’autre, nous nous regardons, nous ne disons mot. Je lis une interrogation dans les yeux de Gladys, je comprends ce qu’elle cherche à savoir et je la rassure
« Merci Gladys, je n’ai jamais été aussi bien

Alors son visage s’éclaire, ses yeux pleins de promesses, s’embuent de larmes, des larmes de bonheur, d’émotion, de reconnaissance; elle s’approche de moi et pour la première fois nous nous embrassons vraiment, sur la bouche, tendrement en laissant nos langues faire connaissance, et là encore c’est sublime.
30 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Masturbation horizontale


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :